samedi 25 février 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 5

Je pleurais encore quand je fus mis au coin. Mes fesses me brûlaient, particulièrement là où l'extrémité de la ceinture avait fini sa course. Cela se localisait sur le haut de mes cuisses et sur la peau tendre dans la raie de mes fesses.
Je résistais tant bien que mal à l'envie pressante de frotter mon postérieur, pensant que cela atténuerait la douleur. La position totalement immobile m'était impossible. Sachant que mon nez et mes mains, positionnées dans mon dos, ne devaient pas bouger, je commençais à lever légèrement une jambe pour séparer mes deux globes fessiers dont le frottement, l'un contre l'autre, avivait la douleur là où le bout de la ceinture avait particulièrement contusionné la peau.

mercredi 22 février 2017

Une soirée compromise

"Parce que tu pensais que tu allais pouvoir rejoindre les copains pour une soirée de beuverie alors que le travail que je t'avais donné à faire pour la journée n'est pas terminé ?
Je t'avais prévenu que s'il n'était complètement achevé, tu serai privé de sortie. Tu as préféré regarder le match à la télévision cet après-midi. Tu as choisi : pas de sortie.
Bien qu'il soit puni, monsieur met son chapeau et sa veste comme si de rien n'était. Croyais-tu que j'allais te laisser faire ?

samedi 18 février 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 4

C'était la première fois que je me trouvais en tête à tête avec Madame Tolbois depuis qu'elle m'avait donné la fessée. Lors du petit déjeuner de ce matin, j'étais ennuyé par mon comportement de la veille au soir. Cela avait créé une gêne mais qui m'avait parue partagée. A l'évidence nos statuts réciproques avaient changé du tout au tout. Jusque-là, nos repas se passaient entre adultes. Les conversations n'étaient pas très animées, mais chacun faisait des efforts pour entretenir un minimum de dialogue.
Ce midi-là, je ne savais pas quoi dire. En m'asseyant, je croisais le regard de ma logeuse. J'aurai cru y lire de la moquerie et du triomphe. Ce n'était pas le cas. Elle était concentrée, sérieuse, attentive à ce que je faisais et que je mangeais, semblant tout observer ce qui se passait. Elle ne cessait de me donner des recommandations quant à mon comportement à table ou ma façon de manger. J'avais réellement le sentiment d'être un enfant prenant son déjeuner sous le contrôle strict d'une grande personne. C'était d'autant plus tangible que je me dépêchais d'obtempérer à ses moindres remarques.

mercredi 15 février 2017

Introspection d'une fesseuse

"Oh, tu peux gigoter tant que tu veux, petite peste. Tu resteras là où je t'ai placée jusqu'à ce que j'estime que tu as compris la leçon. Te débattre ne sert à rien, nous irons toutes les deux au bout de cette fessée. J'aurai bientôt sous mon bras une demoiselle repentie qui demande sincèrement pardon avant que je ne te relâche.
Tu vas vite comprendre que dans cette maison je compte être obéie sans discussion. Tu respecteras les règles que je te donne et quand je ne serai pas satisfaite de toi, ce sera la fessée. Tu vas voir, cela va améliorer ton comportement en un temps record.

samedi 11 février 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 3

Cette autorisation tardait à venir. La matinée s'avançait sans que je puisse bouger de ce maudit coin où je commençais à ressentir des crampes à force de rester immobile dans la même position. Je ne cessais de tourner dans ma tête les paroles de Madame Tolbois : "… tu en auras une autre demain pour avoir conduit après avoir bu et une troisième après demain pour m'avoir réveillé en rentrant."
Elle m'avait également promis deux autres fessées aujourd'hui pour mes désobéissances durant la fessée elle-même. L'une pour avoir refusé de baisser mon pantalon et l'autre pour avoir tenté d'interposer ma main pour protéger mes fesses. Cela ne m'avait mené nulle part, sauf dans le coin où je me tenais avec des fesses sans doute écarlates si j'en juge par la douleur que j'éprouvais alors.

mercredi 8 février 2017

Fessée en public

"Je n'aurais pas dû, aïe ... elle m'avait prévenu, aïe ... au prochain caprice, aïe ... c'est la fessée, aïe, ...

Je n'aurais pas dû,aïe ...être insolente, aïe ... avec ses amis, aïe ... qu'elle avait invités, aïe ... à déjeuner, aïe ...



samedi 4 février 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 2

… Si l'on veut remonter à l'origine, il faut repartir de la réponse que je fis, un mois plus tôt, à une offre d'emploi. Ce n'est pas que le poste dont il était question représentait le boulot de mes rêves, mais après trois ans de chômage, je voyais le bout de mes économies arriver et avec elles la grande incertitude des chômeurs de longue durée contraints à vivre avec les minimas sociaux.
Le poste d'employé de bureau, chargé des petites tâches quotidiennes, n'offrait pas de perspective visible, et ce n'est pas le salaire, à peine au-dessus du SMIC qui m'attirait. C'était une porte de sortie provisoire qui me permettrait de faire durer ma situation qui, bien que représentant une sérieuse chute de pouvoir d'achat, me laisserait la tête hors de l'eau en attendant de trouver mieux. Le plus compliqué, c'était sa localisation. L'entreprise, une PME familiale, était située dans une toute  petite ville du centre ouest de la France, là où ni le train ni l'autoroute ne facilitaient les déplacements.

mercredi 1 février 2017

Déculottage devant ces dames

Un prélude indispensable à une fessée digne de ce nom : le déculottage. Baisser le pantalon, puis faire glisser la culotte le long des cuisses pour l'abandonner à hauteur des genoux, annonce la nature de la correction à venir : une bonne fessée. Quelle désobéissance ou quelle insolence lui a valut cette punition ?

Ce n'est pas la première fois qu'il doit exposer ses fesses pour recevoir la fessée qui, à chaque fois, lui est donné culotte baissée. Par contre, c'est la première fois que cela se passe dans un lieu public et en présence de témoins. il sait bien que ses protestations sont futiles. Sa honte et son humiliation n'y changeront rien.