vendredi 23 juin 2017

Les entretiens privés avec Geneviève - chapitre 4



Deux mauvaises notes dans la même semaine, m’avaient coûté deux bonnes fessées claquantes, cuisantes et rougeoyantes, l’une le mercredi après-midi et l’autre le dimanche matin avant le petit déjeuner … ramassant et enfilant rapidement mon pantalon de pyjama sur mes fesses nues, écarlates et brûlantes, j’étais alors retourné rapidement dans ma chambre … malgré une douche glacée sur la partie la plus charnue de ma personne avant de m’habiller, la cuisson persista jusqu’à la fin de la matinée et sembla se raviver quand Geneviève revint de sa sortie avec ses revues ... ces dernières bonnes fessées à la fois « éducatives » et « punitives » à l’automne cette rentrée scolaire , rapidement m’encouragèrent à mieux travailler et dès novembre disparurent de mes mercredis et samedis …

Fin juin de l’année suivante, une fois les épreuves du baccalauréat passées et les résultats connus, avec la joie de l’avoir obtenu, l’avant-dernière semaine de la fin des classes, j’avais manqué de respect – disons plutôt de politesse – à une jeune femme et professeur, Mlle Bénédicte, laquelle nous surveillait lors d’une étude au lycée où malgré la fin des programmes, Geneviève ne voulant pas me laisser seul dans sa maison, m’avait contraint de retourner quelques jours, quelques heures au lycée. Comme je ne cessais pas de bavarder avec mon voisin de table, Mlle Bénédicte m’avait convoqué à la fin de l’après-midi et menacé de deux heures de colle, ce à quoi je lui avais répondu que je n’en avais rien à f… et qu’elle n’avait qu’à aller se faire voir. Surprise, elle avait rougi sans relever l’insulte et ne m’avait ni collé ni envoyé chez la directrice.

De retour à la maison, le soir même, Geneviève ne me fit aucune réflexion ou remarque et j’en concluais qu’elle n’avait rien su de mon accrochage avec sa jeune collègue. Ces six derniers mois, j’avais remonté la bonne pente, avais obtenu le bac avec une mention et les fessées de Geneviève n’étaient plus que de lointains et cuisants souvenirs de début d’année. Encore une dernière semaine chez et avec Geneviève et la semaine suivante j’allais retourner parmi les miens et bénéficier de deux bons mois de vacances avant la rentrée universitaire.

Ce samedi, en milieu d’après-midi, soudain quelqu'un sonna à la porte et Geneviève me demanda d’aller ouvrir et surprise Mlle Bénédicte se tenait à l'entrée ! Je compris tout de suite que j’allais avoir quelques petits ennuis, comme devoir justifier mon attitude et à coup sûr fournir explications et excuses envers la jeune professeure. Geneviève apparût et convia sa collègue à prendre le thé, accompagné de biscuits, que je ne fus pas autorisé à déguster, restant debout auprès des deux dames, sommé de donner des explications sur mon attitude et mon insolence.
Sans la moindre surprise, Geneviève donnait raison à sa collègue, mais précisa toutefois que de me punir de quelques heures de colle à moins de quinze jours de la fin des cours ne servait à rien et n’aurait aucune efficacité ; elle ajouta qu’elle avait une solution plus radicale et efficace pour apprendre la politesse à un lycéen, même en fin de terminale ...
Je m’attendais bien sûr à une fessée, ce qui ne m’était plus arrivé depuis de longs mois, ayant compris dès le premier trimestre que Geneviève ne renoncerait pas à me faire étudier et que je devais rapidement me mettre au travail pour éviter ses fessées claquantes et cuisantes hebdomadaires. Mais cette nouvelle fessée, je m’y attendais après le départ de Mlle Bénédicte et bon gré, mal gré, je m’en étais fait une raison !!! Mais à ma grande surprise et honte, Geneviève annonça à sa collègue qu’elle allait me fesser immédiatement devant elle ! Et joignant le geste à la parole,
Geneviève se leva, invitant sa collègue à nous suivre dans son bureau, lieu traditionnel de mes précédentes fessées, tout en m’ordonnant de les y précéder.
Sachant qu’il était inutile de discuter, c’est avec une boule au ventre que je me dirigeais vers cette pièce. Si cette nouvelle fessée par elle-même ne m’effrayait pas car je savais que je n’y échapperais pas et que tout compte fait, je m’y étais habitué, mais la recevoir devant un témoin, qui de plus devant une de mes professeurs me mettait très mal à l’aise.

Une fois tous trois réunis dans le bureau, Geneviève plaça une chaise au milieu de la pièce, s’y assit et m’ordonna d’approcher et cette fois, non pas de baisser, mais d’enlever complètement pantalon et slip, avant de m’allonger sur ses genoux. C’est rouge de confusion et de honte que je m’exécutais assez lentement, même si je savais qu’il était inutile de jouer la montre, le tout sans regarder ni Geneviève, ni Mlle Bénédicte, que je délaçais et ôtais mes chaussures, puis dégrafais mon pantalon, le baissais sur mes genoux et chevilles, avant de l’enjamber et de l’ôter.
Devant la lenteur de mes gestes, Geneviève baissa elle-même mon slip qui tomba sur mes chevilles puis, m’ordonna de l’enjamber. Par chance pour moi, mon polo d’été protégeait mon bas ventre. Geneviève, comme d’habitude, remonta sa robe d’été sur ses cuisses, robe sous laquelle malgré la belle saison, elle portait des bas clairs et fins retenus par des jarretelles blanches et me tenant par un bras, me bascula rapidement en travers de ses cuisses.

Comme elle l’avait maintes fois fait, une fois allongé à plat ventre, en déséquilibre, en travers de ses cuisses, Geneviève me maintint fermement par la taille, et une fois bien en position, m’ordonna de lui tendre mes mains qui étaient à plat sur le sol, bloqua mes poignets au creux de mes reins, ce qui ne prévoyait rien de bon pour la suite des événements, ayant déjà par une fois utilisée cette méthode, par laquelle il était impossible de chercher à protéger ses fesses de ce qui les attendait et remonta mon polo au-dessus de mes reins afin de bien dénuder, préparer et exposer mes fesses nues ... Geneviève invita alors sa jeune collègue à s’approcher et à se tenir debout derrière nous, sur la droite, du côté où mes fesses nues étaient le mieux exposées pour mieux apprécier le spectacle qui allait se dérouler sous ses yeux !

A suivre ...

Premier épisode : chapitre 1
Episode précédent : chapitre 3

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