dimanche 30 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 29

Cet épisode met fin provisoirement au récit des aventures de Daniel chez Madame Tolbois pour laisser place à un autre long récit publié en feuilleton.
la suite est en cours d'écriture. Nous retrouverons donc Daniel dans quelques mois. JLG

Malgré les deux corrections que Madame Tolbois m'avait administrées avec le martinet en une seule journée et qui m'avaient laissées des marques douloureuses sur les fesses, il m'avait été plus facile de me remettre physiquement que psychologiquement. J'avais été profondément marqué par la honte d'avoir été déculotté puis fessé devant tant de gens.

jeudi 27 juillet 2017

Une désobéissance à deux, une fessée pour deux

" Vois-tu, j'ai promis à ta femme de lui montrer comment je maintiens la discipline dans mon foyer.
Elle a bien remarqué que mon mari était particulièrement obéissant, particulièrement attentif à ce que je lui dis de faire. On ne peut pas dire que cela fait partie de tes qualités.
Quand était-ce la dernière fois où tu as fait ta part de ménage dans votre appartement ? Combien de fois es-tu rentré fort tard la semaine dernière, après avoir passé une soirée entière au café avec des copains ? As-tu respecté ton engagement de réparer la porte de placard que tu as abîmée alors que tu étais énervé sans motif réel ? J'ai cru comprendre que ta dernière colère, suite à la frustration de ne pas avoir gagné au loto, date d'hier.
En ai-je oublié ? Tu vois je suis bien au courant de tes turpitudes.

lundi 24 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 28

Ces quatre fessées reçues en une matinée me guérirent définitivement de prétentions à montrer ma mauvaise humeur. Cela ne pouvait plus qu'être un sentiment intérieur, très intérieur afin qu'il ne soit pas perceptible par Madame Tolbois. Toutefois, je n'en avais pas fini. Le risque de recevoir une nouvelle fessée d'ici la fin de la journée était bien réel. Je faisais confiance à Madame Tolbois pour tenir sa promesse.
A la fin du repas qui s'était déroulé sans anicroche, Elle m'informa qu'une visite au supermarché s'imposait.

vendredi 21 juillet 2017

Fessée devant toute la classe

" Je crois, Mademoiselle, que vous n'avez pas bien compris comment doivent se comporter les élèves dans cette classe.
Vous y êtes nouvelle et vous ne connaissez pas bien les us et coutumes de notre école. Vous êtes peut-être habituée à ce que des professeures tolèrent des comportements insolents. C'était sans doute le cas là où vous suiviez vos études auparavant. Il est vrai que, souvent, dans les grandes villes la discipline se relâche. Ce n'est pas le cas ici.

mardi 18 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 27

Je me réveillais le lendemain encore furieux de ce qui s'était passé la veille. Je fulminais du traitement que Madame Tolbois m'avait imposé. Je ne m'habituais pas à mon sexe et à mes fesses épilées. J'avais l'impression d'avoir perdu une partie importante de ma virilité en même temps que mes polis pubiens. J'avais vraiment l'impression d'être redevenu un enfant.
Je n'avais pas osé protester. Madame Tolbois aurait pris cela pour un caprice dont les conséquences pour mes fesses étaient prévisibles. Persuadée d'avoir agi pour mon bien, elle aurait pris mes récriminations comme une nouvelle irresponsabilité qu'il convenait de corriger au plus vite.

samedi 15 juillet 2017

Une discipline domestique à établir

"Cela ne fait pas une semaine que nous avons décidé de vivre ensemble et c'est la troisième fois que je dois passer derrière toi pour ranger la cuisine après que tu y es passé.
Une bouteille de bière vide que tu as laissée traîner lundi, jeudi de la vaisselle salle dans l'évier plutôt que de la mettre dans le lave-vaisselle, et aujourd'hui, les reliefs de ton petit-déjeuner qui sont restés sur la table. Pas le temps de les ranger ? Ou bien tu n'y a pas pensé ?
Tu dois confondre compagne avec qui tu partages ta vie et bonniche ! Je vais te montrer la différence.

mercredi 12 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 26

Dès le début de mon séjour chez Madame Tolbois, mes écarts de langage faisaient partie de ce qui l'horripilait au plus haut point.
Je n'utilisais pas un parler ordurier, mais, depuis que j'étais enfant, je n'hésitais pas à ponctuer mes phrases d'un "merde" ou de conclure par un "quel con" ou encore de m'exclamer "bordel". Suivant les circonstances et les lieux dans lesquels je me trouvais, ils pouvaient être plus ou moins sonores et parfois je les faisais très discrets.
Bien sûr, cela m'avait valu quelques ennuis épisodiques, notamment à l'école. Les réactions des adultes qui m'entouraient se limitaient à des remarques qui parfois avaient tourné à l'engueulade en règle. J'écoutais ces récriminations d'une oreille distraite. En aucun cas elles ne m'avaient paru dissuasives.

dimanche 9 juillet 2017

Mauvaise note à l'université

"Ce n'est pas parce que tu vas maintenant à l'université et que tu es majeur que tu peux te permettre de ne plus travailler, de rendre des devoirs, non seulement en retard, mais en plus totalement bâclés !

Je crois que tu n'as pas compris que le travail scolaire doit passer avant tout le reste. Il n'est pas possible de réussir en travaillant aussi peu et en faisant la fête presque tous les soirs et en passant plus de temps avec les copains que sur tes livres et tes cahiers.

jeudi 6 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 25

Il y avait une certaine tension. Chacune se demandait si elle allait pouvoir assister à ma deuxième fessée.
"Vous avez raison, répondit Madame Tolbois, ses fesses ont eu le temps de refroidir, il est temps de les réchauffer !"
Quelques rires et gloussements accompagnèrent ce trait d'humour que je trouvais particulièrement déplacé, mais je me gardais bien de protester.
"Daniel, viens me voir !"

lundi 3 juillet 2017

Une fessée devant les copines

"Ça, ma chérie, c’est une fois de trop ! Je t'avais prévenue que je ne tolérerai plus tes insolences. Je n'ai jamais admis que tu me répondes quand je te fais une remarque. Ce n'est pas parce que tu as vingt-sept ans que cela va changer.
Tant que tu vivras sous mon toit, tu respecteras les règles que j'ai fixées dans ma maison. Elles ont toujours été valables pour tous ceux qui y habitaient, toi y compris. J'exige que tu te comportes comme une enfant bien élevée qui obéit à toutes les grandes personnes quand on lui dit de faire quelque chose, à commencer par moi, ta mère.

samedi 1 juillet 2017

Les entretiens privés avec Geneviève - chapitre 5

Geneviève bloqua mes poignets au creux des reins, remonta mon polo sur ma taille afin de bien dénuder et exposer mes fesses nues de la taille aux pieds, pour ce que je devinais aller être la plus belle fessée de cette fin d’année scolaire. Elle invita sa jeune collègue à se tenir derrière la chaise sur laquelle elle se tenait assise, me maintenant fermement, poignets bloqués au creux des reins. Mlle Bénédicte se déplaça et vint se placer debout derrière nous, pour mieux apprécier le spectacle qui allait se dérouler sous ses yeux !