lundi 24 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 28

Ces quatre fessées reçues en une matinée me guérirent définitivement de prétentions à montrer ma mauvaise humeur. Cela ne pouvait plus qu'être un sentiment intérieur, très intérieur afin qu'il ne soit pas perceptible par Madame Tolbois. Toutefois, je n'en avais pas fini. Le risque de recevoir une nouvelle fessée d'ici la fin de la journée était bien réel. Je faisais confiance à Madame Tolbois pour tenir sa promesse.
A la fin du repas qui s'était déroulé sans anicroche, Elle m'informa qu'une visite au supermarché s'imposait.

"Tu vas venir avec moi cet après-midi. Tu as besoin de plus de survêtements. Nous devons en acheter plusieurs afin que tu puisses en porter en permanence à la maison. C'est tellement plus pratique pour te déculotter."
A compter de ce jour, ce fut Madame Tolbois qui choisit et acheta tout ce qu'il fallait pour m'habiller. Elle fit évoluer ma garde-robe au fur et à mesure de ses achats sans que mon avis fût sollicité à aucun moment. C'est du côté des pantalons et des culottes que les changements furent le plus clairs.
Je n'allais plus faire de courses que chaperonné par ma logeuse. Quelques  jours auparavant, elle avait effectué les démarches pour que je lui donne procuration sur tous mes comptes. J'avais signé tous les papiers qu'elle m'avait présentés. Je dus également lui confier et ma carte bancaire et le code qui allait avec ainsi que mon chéquier. Dépossédé de tout moyen de paiement, je dépendais d'elle pour tous mes achats. Je n'avais plus d'autonomie financière que pour le faible montant de l'argent de poche qu'elle me donnait chaque semaine et dont j'étais souvent privé à la moindre incartade. Elle subvenait à tous mes besoins qui étaient réduits à leur plus simple expression. Quand je souhaitais faire un achat exceptionnel, je devais lui en demander l'autorisation qui dépendait de mon comportement dans les jours qui avaient précédé la demande.
C'était donc la première fois que Madame Tolbois marqua son autorité sur le choix de mes vêtements. Elle se dirigea tout droit vers le rayon des sous-vêtements dans le supermarché situé en périphérie de la ville où nous demeurions. Elle choisit des culottes très enveloppantes, en coton blanc et sans aucune fioriture. Je voyais bien qu'elle hésitait.
"Quelle étourdie, fit-elle, je n'ai pas regardé qu'elle est la taille qu'il te faut. Je vais vérifier tout à l'heure."
De l'autre côté de l'allée c'était les pantalons. Elle fouilla quelques instants parmi les différents modèles et en retint deux qu'elle posa sur son chariot. Les cabines d'essayage étaient situées un peu plus loin. Pour y accéder, il fallait franchir un portillon qui était contrôlé par la vendeuse du rayon.
"Je vais lui essayer ces deux pantalons, déclara Madame Tolbois."
La vendeuse, une jeune fille qui semblait avoir une vingtaine d'années, resta interloquée. Elle mit une seconde ou deux secondes avant de nous ouvrir le passage. Madame Tolbois me fit avancer vers la première cabine.
"Entre là !"
La cabine était petite. Elle n'était pas prévue pour contenir deux personnes. Bien que confiné au fond, je ne laissais pas assez de place pour que Madame Tolbois puisse y entrer totalement. Il n'était pas possible de tirer le rideau pour me ménager un espace d'intimité comme il se doit dans ce genre d'endroit. Madame Tolbois négligea ce détail. Elle s'accroupit pour m'ôter mes chaussures. La vendeuse nous observait. Elle cherchait à comprendre ce qui se passait devant elle. Son visage reflétait sa perplexité. Elle n'arrivait probablement pas à faire tenir ce qu'elle voyait sous ses yeux dans la panoplie de situations dont elle avait l'habitude.
Ses yeux s'arrondir quand Madame Tolbois déboutonna mon pantalon et le baissa pour me l'enlever. Je me tenais maintenant en culotte devant ma logeuse, ce dont j'avais l'habitude, mais également à la vue de la vendeuse, ce qui était moins courant. Madame Tolbois me passa le premier pantalon.
"Trop grand, commenta-t-elle. Essayons le deuxième !"
La scène se reproduisit sous les yeux de la vendeuse qui n'en perdait pas une miette.
"Trop grand également, décida Madame Tolbois."
En baissant le pantalon, elle entraîna ma culotte qui glissa jusqu'au milieu de mes fesses. Je portais vivement mes mains à mon sous-vêtement pour le remettre en place. J'en fus arrêté d'une petite tape sur les doigts.
"Laisse-moi faire, gronda Madame Tolbois. Je vais en profiter pour regarder quelle taille tu fais."
Elle m'inclina sous son bras et m'entoura la taille de son bras comme elle le faisait pour me fesser. Elle remit ma culotte à sa place et en retourna l'élastique pour en lire l'étiquette.
" Pas assez de lumière, grommela-t-elle !"
Elle fit deux pas en arrière et je fus bien obligé de suivre. Je me retrouvais sur le seuil de la cabine. Là, toutes les personnes qui circulaient dans l'allée contigüe pouvaient m'apercevoir en tenue légère. J'étais maintenant tout proche de la vendeuse qui me fixait droit dans les yeux. Je n'arrivais pas à soutenir son regard. Je baissais les yeux.
"Voilà qui est mieux, fit Madame Tolbois. Taille quatre. C'est bien ce que je croyais."
Madame Tolbois me ramena dans la cabine.
"Je vais changer les pantalons. Tu m'attends ici !"
En passant, elle échangea quelques mots avec la vendeuse.
"Je le laisse là, conclut-elle. Vous le surveillez, s'il vous plait."
"Bien sûr, répondit la vendeuse."
Elle suivit Madame Tolbois du regard, puis elle se tourna vers moi. Elle me contemplait des pieds à la tête. Elle s'arrêta longuement sur le haut de mes cuisses, là où il devait y avoir encore quelques marques rouges que le martinet avait laissé.
Je n'osais pas ni remettre mon pantalon pour retrouver une tenue plus conforme à mon âge. Je pris le bord du rideau pour me soustraire à son regard. Elle fronça les sourcils et fit :
"Non, non !"
Je suspendis mon geste. Je ne voulais pas prendre le risque d'encourir la réprobation de Madame Tolbois quand elle reviendrait, et la punition qui en découlerait certainement bien que, à mon sens, le lieu ne s'y prêtait pas.
La vendeuse fut interpellée par une cliente qui souhaitait utiliser les cabines d'essayage. Une robe sur le bras, elle passa devant la cabine où je me tenais et je vis nettement un regard de stupéfaction lorsqu'elle m'aperçut.
"A-t-il été sage, demanda Madame Tolbois en revenant ?"
Je regardais la vendeuse d'un air suppliant. Je ne savais pas si ma tentative pour me dissimuler derrière le rideau pouvait être un motif suffisant pour que je reçoive la fessée. Je priais pour que la vendeuse n'en parlât pas à Madame Tolbois. La jeune femme hésita quelques secondes.
"Ça a été, il n'a pas bougé."
Je soufflais intérieurement pour ne pas montrer que je venais de passer tout près d'une correction. Madame Tolbois me fit essayer les deux pantalons l'un après l'autre. Satisfaite de son choix, elle me renfila celui avec lequel j'étais arrivé. Puis, me poussant devant elle, nous passâmes devant la vendeuse.
"Je vais prendre ces deux-là. Je vous remercie, Mademoiselle, vous avez été très aimable."
"Je vous en prie, je suis là pour cela."
Madame Tolbois m'administra une claque sur le fond de mon pantalon.
"Remercie Mademoiselle pour avoir bien voulu te garder !"
La main de Madame Tolbois ne m'avait fait aucun mal, le tissu du pantalon avait amorti la claque, mais je savais qu'il ne fallait pas tenter ma chance de façon périlleuse. Elle ne m'épargnait aucune humiliation. Elle se comportait comme si elle avait avec elle un petit garçon à qui il fallait apprendre la politesse. Il ne devait plus y avoir de doute, dans l'esprit de la vendeuse, sur le traitement qui m'était réservé en cas de désobéissance. C'est le rouge au front que je bredouillais :
"Merci Mademoiselle."
La jeune vendeuse arborait un sourire ironique.

Je suivis Madame Tolbois vers la partie alimentaire du magasin. Elle remplit son charriot des denrées dont nous aurions besoin pendant une semaine. Je prêtais peu d'attention à ce qu'elle achetait. De son côté, elle ne se souciait pas de mon avis. Nous avions presque traversé le magasin, quand Madame Tolbois s'exclama :
"Décidément aujourd'hui, j'oublie tout."
Elle posa ma main sur le charriot et me dit :
"Tu restes ici. Je dois retourner chercher des piles. Elles sont à l'entrée du magasin."
Elle tourna le dos en me laissant planté à côté du caddie. Je patientais un petit moment. Madame Tolbois ne revenait pas. Je commençais à trouver le temps long.
Je voyais le rayon des périodiques non loin de là où je me tenais. C'était tentant. J'attendis encore un petit moment, puis je laissais le charriot en me promettant de guetter le retour de Madame Tolbois. Je pris un premier journal que je feuilletais. Madame Tolbois n'était toujours pas de retour.
"Elle exagère, pensais-je."
J'attrapais un deuxième hebdomadaire et je me plongeais dans sa lecture. Lorsque je levais ma tête, juste un tout petit moment après avoir commencé, je constatais que le charriot avait disparu. Je posais la revue et je revins là où j'aurais dû attendre le retour de ma logeuse. Elle n'était pas en vue. Je pris au hasard une première allée, rien en vue, puis une deuxième, toujours rien. Je commençais à m'affoler, imaginant sans difficulté la colère de Madame Tolbois. Je m'engageais dans une troisième allée quand la sonorisation du magasin me scotcha sur place.
"Le petit Daniel est attendu à l'accueil du magasin par sa gouvernante."
S'agissait-il de moi ? La coïncidence était troublante. Je marchais vers le lieu où selon toute vraisemblance, Madame Tolbois m'attendait. Elle prendrait mon absence pour une nouvelle désobéissance. Je devais m'attendre à une fessée dès notre retour à la maison.
C'était bien Madame Tolbois qui patientait près du comptoir de l'accueil.
"Où étais-tu, gronda-t-elle visiblement furieuse ? J'ai cru que tu étais perdu."
Il était inutile de chercher à me justifier. Je ne voyais d'ailleurs pas quoi dire qui aurait pu apaiser sa colère.
"Tu ne sais décidément pas obéir, même à une consigne aussi simple que de rester sur place !"
La femme qui tenait l'accueil du magasin nous regardait d'un air étonné. Elle le fut encore plus quand Madame Tolbois continua sa réprimande.
"Les quatre fessées que tu as reçues ce matin n'ont pas suffi. J'espère qu'une cinquième fera son effet."
Elle m'attrapa par le bras et me fit approcher d'elle. Je sus à ce moment-là que mon sort était scellé.
"Non, pardon, pas ici !"
"Je trouve, au contraire, répondit-elle, que c'est un excellent endroit pour ta prochaine fessée. Cela t'ôtera l'envie de baguenauder dans les magasins."
Tout alla alors très vite. Elle me fit passer sous son coude et son bras passé autour de ma taille m'obligea à me pencher, dégageant ainsi mes fesses. J'espérais un court instant qu'elle renoncerait à me déculotter puisque nous étions en public. Nous étions tout à côté de l'entrée du magasin et il y avait un va-et-vient continuel. Madame Tolbois se saisit de mon pantalon et le fit glisser jusqu'à mes genoux.
"Pardon, je ne le ferai plus, criais-je désespérément, non, pas la culotte !"
Ma supplique fut parfaitement synchronisée avec mon déculottage. La main de Madame Tolbois s'abattit sur mes fesses, en claquant suffisamment fort pour alerter tout le magasin. Mon cri ne fit que rajouter au bruit continu que faisait la fessée que je recevais. La forte envie que j'avais de me sortir de cette situation humiliante, fut rapidement réprimée. Alors que je tentais de me relever, sans interrompre la fessée, Madame Tolbois pesa sur mon dos m'obligeant à reprendre la position. Puis, raffermissant sa prise sous mon bassin, elle me souleva, en faisant décoller mes pieds du sol. Les claques que je reçus à ce moment-là furent des plus sévères. Faisant fi du public qui faisait maintenant cercle autour de nous, je me laissai aller à des pleurs que je ne pouvais plus retenir. Madame Tolbois suspendit l'administration de la fessée un court instant.
"Depuis quand, tonna-t-elle, essayes-tu de résister alors que j'ai résolu de te fesser ? Pour cette nouvelle désobéissance, tu auras le martinet dès que nous serons à la maison !"
Elle recommença à me fesser, toujours aussi vigoureusement. Elle m'avait laissé reposer mes pieds sur le sol, mais je la laissais m'administrer la correction dont elle avait décidé, persuadé qu'une nouvelle tentative pour me soustraire au châtiment serait tout autant vouée à l'échec que la première.
Elle poursuivit la fessée un bon moment après que j'avais abdiqué toute retenue. Mes pleurs et mes cris remplissaient maintenant le supermarché. Je me dandinais d'un pied sur l'autre au rythme des claques sur mes fesses. Toute mon attention était focalisée sur l'embrasement généralisé de mes fesses. Comme lors des autres sévères fessées que j'avais reçues, il n'y avait pas de place, dans mon esprit, pour autre chose, y compris la présence de nombreux témoins.
Dès que la fessée cessa, Madame Tolbois me redressa.
—Bon, fit-elle, voilà qui est parfait …"
Les commentaires allaient bon train tout autour de nous.
"Il a les fesses toutes rouges, disaient une voix enfantine dans mon dos.
—Regarde, Maman, il n'a pas de poils autour du zizi ! rajouta une autre.
—… J'espère que cette fessée t'apprendra à obéir … " continua Madame Tolbois.
Il n'y avait personne pour s'offusquer de voir un adulte exhibant publiquement ses fesses et ses organes génitaux. L'absence de pilosité, la rougeur de mes fesses et la réprimande que je subissais mettait du doute sur mon réel statut. Etait-ce vraiment un adulte qui avait reçu une fessée en public ?
D'un autre côté, montrer son autorité envers un enfant en lui donnant une fessée déculottée devant autant de spectateurs, aurait certainement attiré plus de protestations. L'ambigüité de ma situation – un adulte présentant beaucoup de caractéristiques et de comportements d'un enfant : son obéissance à la grande personne qui en avait la garde, ses fesses et son sexe glabre, sa soumission manifeste à la punition – donnait moins d'importance à l'indécence de ma tenue.
Les hommes qui étaient présents, restaient silencieux. Sans doute la situation leur donnait-elle à penser à ce qui aurait pu les placer dans la même situation que moi. En restant muets, certains préféraient certainement ne pas attirer l'attention de leur compagne sur les avantages que pourrait avoir un tel traitement pour résoudre des différents domestiques. En avoir eu la démonstration de visu, était déjà bien assez éloquent.
La gent féminine se répartissait en deux camps. La plupart ne disaient rien. Mais parmi celles-ci, un grand nombre semblait réfléchir fortement à ce qu'elles venaient de voir. Les regards qu'elles jetaient soit à leur progéniture, soit à leur compagnon, laissaient présager des moments difficiles pour bon nombre de ces derniers. Les autres approuvaient explicitement les actions de Madame Tolbois.
"Si un bon nombre de désobéissances se concluait pas une fessée, affirma l'une d'elles, nous aurions beaucoup moins de problèmes de délinquance !
– Bravo Madame ! s'exclama une autre. Vous avez tout à fait raison.
– As-tu bien vu ce qui va t'arriver la prochaine fois que tu me réponds ? menaça une Maman en s'adressant à la jeune fille qui se tenait à côté d'elle.
– Quelle bonne idée ! s'esclaffa une jeune femme en regardant le jeune homme qui l'accompagnait. Je crois que je vais retenir la méthode."
Le jeune homme à qui elle s'adressait rougit jusqu'aux oreilles et préféra baisser les yeux, faute de pouvoir soutenir les regards des personnes qui l'observaient avec un petit sourire en coin.
"… et n'oublie pas que tu vas avoir le martinet dès que nous serons arrivés à la maison ! reprit Madame Tolbois. Et tu finiras l'après-midi au coin."
J'étais habitué à ce que ce soit Madame Tolbois qui me reculotte après une fessée. En fait, je n'avais plus guère l'occasion de m'habiller tout seul. C'était à chaque fois Madame Tolbois qui s'en chargeait. Il n'y avait plus que lorsque j'étais au travail, où, échappant à la supervision de ma logeuse, j'avais encore l'occasion de me rhabiller. Je ressentis une nouvelle bouffée de honte quand Madame Tolbois remit ma culotte à sa place, puis remonta mon pantalon.
"Tu te tiens au charriot !" m'ordonna-t-elle.
Je m'empressais de poser ma main là où elle me l'indiquait.
"Finissons ces courses."

Des larmes embrumaient encore mes yeux et mes sanglots n'étaient pas complètement calmés. Je suivais Madame Tolbois qui poussait son chariot dans les allées. Ma main droite y était agrippée et je ne l'aurais ôtée de là pour rien au monde. Ma main gauche frottait mes yeux et essuyait les larmes qui coulaient encore. De temps en temps, je frottais mes fesses quand la cuisson qui se répandait par vagues, devenait trop douloureuse.
Je devais être le parfait tableau du garçon qui venait de recevoir la fessée. Il était tout à fait inutile de tenter de donner le change car nous étions le centre de l'attention. Nos déplacements étaient accompagnés de nombreux commentaires.
"Regarde, c'est lui le garçon qui a reçu la fessée.
– Comme il est sage maintenant. La fessée a été salutaire."
Il est très probable que la méthode de Madame Tolbois a fait école. La menace planait maintenant sur les fesses de nombreux garçons et filles. Beaucoup ne se gênaient plus pour en rendre la menace publique :
"Sois sage ou tu vas prendre la fessée comme le grand garçon là-bas.
– Tu vas reposer ça tout de suite où tu l'as pris, gronda une dame à un Monsieur qui devait avoir à peu près son âge, ou je te donne une fessée."

Certains de ces avertissements étaient accompagnés d'une claque sur les fesses du contrevenant qui signalaient d'un petit cri que le coup avait porté, mais je n'entendis aucun d'entre eux se rebeller contre ce traitement, quel que fût leur âge.

Premier épisode : chapitre 1
Episode précédent : chapitre 27
Episode suivant : chapitre 29

3 commentaires:

  1. Cette madame Tolbois est décidément irrésistible! Et quelle forte personnalité! Sévère et sans complexe, elle fesse n'importe où et dans n'importe quelle situation. Ses interventions en public chez la dentiste, devant ses amies et comme ici dans un magasin, créent des situations originales et cocasses, parfois même délirantes qui dédramatisent avec humour les punitions que subit le malheureux pensionnaire. Dommage que ce récit fort divertissant se soit arrêté là( même s'il est celui le plus fourni en chapitres)et que ces personnages hauts en couleur ont disparu. On aurait aimé les retrouver au quotidien, chez la coiffeuse, au salon de thé...etc Grand merci à l'auteur.

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    1. Bonjour,
      Il n'est pas exclu qu'il y ait une suite.
      Pour tout vous dire, mais vous ne le répéterez pas, il y a déjà quelques chapitres écrits. Mais cela ne constitue pas encore une partie cohérente. Elle n'est donc pas publiable. Cela viendra surement.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Oui, bonjour!
    Bonne nouvelle. Confidentielle bien entendu. D'après d'autres commentaires que j'ai pu lire, les fessées de madame Tolbois font un malheur auprès des lecteurs. Reste plus qu'a attendre le retour de l'impétueuse fesseuse!
    Dans l'attente de vous lire...
    R.

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