samedi 30 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 8

La routine s’installa dans mon activité à St Marie. Les rituels bien en place constituaient des repères dans le temps qui rythmaient la vie quotidienne. Il fallait être prêt pour le petit déjeuner à sept heures trente. Je me levais donc à sept heures, mais quand je n’avais pas cours d’éducation physique avec Sœur Gabrielle, il m’arrivait fréquemment de m’accorder un quart d’heure de plus au lit. C’était alors un jour sans douche.

jeudi 28 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 9

9 – Le retour des parents
J’avais été confié à la famille H pour environ 6 mois. Mes parents revenaient en France pour une longue période et peut-être même définitivement. J’allais donc retrouver ma famille.
J’avais été heureux dans cette famille d’adoption, joyeuse, enjouée. Moi qui n’avais par des frères et sœurs, j’avais découvert les plaisirs de partager mes loisirs plus fréquemment. J’avais aussi découvert un autre mode d’éducation auquel je n’étais pas habitué. Ici, la fessée était la base de l’éducation et elle tombait vite et sans appel. Une fessée, au sens large car les corrections données avec le martinet, la canne ou la cravache faisaient partie du vocable « fessée » était systématiquement donné cul nu et si le contexte s’y prêtait, devant des tiers. Et ce quel que soit l’âge du fautif.

mardi 26 septembre 2017

Tea time

"Non Antoine, je vous remercie, mais je ne crois pas que Monsieur va prendre un thé cet après-midi. Il est n'est pas ... disponible. Il me semble qu'il a d'autre préoccupations plus immédiates.
Il est actuellement plongé dans un temps d'intense réflexion qui risque de durer bien au-delà de l'heure à laquelle il est encore raisonnable de prendre le thé. Je finis tout de suite et vous pourrez desservir.

samedi 23 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 7

Sœur Gabrielle me laissa dans la position dans laquelle elle m’avait fessé. J’avais compris qu’il était préférable d’obéir. Je ne bougeais pas, bien qu’en plus de mes fesses brûlantes, je commençais à avoir mal aux abdominaux qui peinaient à supporter d’être plié sur le genou de Sœur Gabrielle, tout mon poids reposant sur mon ventre.
Sœur Gabrielle se pencha et fit descendre mon short et ma culotte jusque sur mes chaussures. Elle leur fit passer l’obstacle et elle me les ôta. Alors, elle me releva et me fit asseoir sur le banc. Elle s’accroupit, défit mes lacets, m’enleva mes chaussettes. Je lui facilitais le geste en levant mes bras pour qu’elle puisse passer mon polo par-dessus ma tête. Elle me releva et, en me faisant pivoter devant elle, elle m’examina sous toutes les coutures. Elle fit une moue désapprobatrice.
« Décidément, cette douche est bien nécessaire. »
Une claque sur les fesses que j’accompagnais d’un petit cri, et je filais vers la douche, Sœur Gabrielle sur mes talons.

jeudi 21 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 8

8 – Une nuit agitée

Depuis ce week-end un peu agité, nous avions repris une vie normale. L’absence du Colonel ne changea rien. Même si ses fessées étaient facilement plus sévères que celle de Marie-Ange, il était évident qu’elle avait la main suffisamment leste pour se faire respecter et pour développer une autorité pour que l’ensemble de la maisonnée file doux. Les semaines qui suivirent se passèrent sans anicroches pour nous. Une ou deux remontrances peut-être mais rien de plus. Pas la moindre fessée, même pour le derrière de Denis, traditionnellement le plus turbulent.

mardi 19 septembre 2017

Une douce soirée

"Enfin un peu de calme ! Je vais pouvoir récupérer de ma journée qui a été éprouvante. Une tasse de thé, mon émission de télévision préférée et une bonne heure devant moi pendant laquelle je peux rester assise dans le canapé. Quel bonheur !

C'est le premier soir depuis longtemps où tu ne te plains pas de tout ce qui t'est arrivé depuis le matin. Et pour une fois, ce n'est pas toi qui a choisi la chaîne de télévision que nous regardons. J'aurais dû prendre des mesures drastiques depuis bien longtemps.

samedi 16 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 6

Je suivis le groupe d’élève vers le cours suivant. Ils se dirigèrent vers le gymnase qui avait été construit de l’autre côté de la grande pelouse qui occupait le centre de l’établissement. Comme Sœur Marie-Madeleine ne l’avait annoncé, nous continuions notre matinée par un cours d’éducation physique. Nous fumes rejoints par une autre classe de terminale. Alors, garçons et filles se séparent. Le cours d’éducation physique n’est pas mixte, contrairement à tous les autres.

jeudi 14 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres Chapitre 7

8 – L’autorité paternelle

Plus de deux semaines s’étaient écoulé depuis mon insolence à l’école et la soirée difficile que j’avais passée, avec une correction mémorable. Depuis, la vie avait repris son cours de manière parfaitement harmonieuse. Personne n’avait reçu la moindre fessée. Le lecteur pourrait en effet croire que la fessée rythmait la vie de la famille alors qu’en fait il n’en était rien. La fessée, au sens large, était un moyen de maintenir l’ordre et la discipline dans une famille nombreuse. Mais elle n’était érigée en mode de fonctionnement. Rien de tyrannique dans cette vie-là !

mardi 12 septembre 2017

Recherche dame pour bénévolat à forte utilité sociale

Madame,
Vous avez entre vingt-cinq et soixante-dix ans. Vous êtes en bonne santé et vous vous sentez capable d'assumer une activité régulière qui peut demander un peu d'exercice physique ?
Vous cherchez à vous investir bénévolement dans une activité d'intérêt général permettant, localement, de contribuer au bon fonctionnement de notre société ?
Vous avez un certain goût pour donner une éducation traditionnelle stricte aux personnes qui n'en ont pas bénéficié auparavant ?
Vous vous sentez en capacité de représenter, pour des personnes qui en ont manqué, une figure maternelle sévère mais juste ?

samedi 9 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 5

Je me dépêchais, le lendemain matin, de me rendre au bureau de la directrice afin de négocier ma présence dans une classe de terminale. La directrice n’était pas là, mais sa secrétaire, Sœur Marie Madeleine, répondit obligeamment à ma demande.
–« Sœur Marie Joseph, la directrice m’a laissé des consignes afin que je vous facilite l’accès aux classes. Vous dites, une terminale … voyons ce que nous pouvons vous trouver … voilà, je crois que cela ira. Je vous propose une terminale scientifique. C’est Sœur Thérèse qui les a pendant les deux premières heures pour les matières littéraires. Elle enseigne non seulement le français, mais également l’anglais, l’histoire et la géographie. Je ne suis pas certaine qu’elle vous accueillera les bras ouverts, mais je pense qu’elle vous laissera accéder à sa classe. En troisième heure, c’est Sœur Gabrielle pour l’éducation physique. Là, je suis sûre que cela ne posera pas de problème.

vendredi 8 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 6

6 – Dans le salon

Marie-Ange avait retrouvé instantanément cette incroyable douceur qui la caractérisait et qui faisait mon admiration. Elle passa doucement sa main sur mes fesses pour m’aider à calmer la douleur. Sa main me fit un bien fou. Puis de sa jolie voix qui savait pourtant prononcer des choses si difficile à entendre, elle dit
« Nous n’allons pas laisser nos amis, là à l’entrée de la cuisine. Tu vas venir te mettre au coin dans le salon. Je pourrai de surveiller pendant que tu te calmes et que tu réfléchis clairement aux conséquences de ton insolence à l’école. Que tu réfléchisses à la manière dont tu vas formuler tes excuses auprès de ton professeur. Car tu comprends bien que cela est indispensable »

mercredi 6 septembre 2017

Recette pour une bonne fessée

Recette pour donner une bonne fessée (elle a été utilisée, entre autres, par Madame Tolbois dans le chapitre vingt-quatre de "chambre chez l'habitante"). Précisons qu'elle est valable pour une droitière. Si vous êtes gauchère, positionnez simplement le puni sur l'autre cuisse.
Cette recette est évidemment utilisable quel que soit le genre de votre, puni. Selon son habillement, il sera nécessaire de s'adapter. Le port d'une jupe ou d'une robe amènera à la relever largement dans le dos, alors qu'il sera nécessaire de baisser un pantalon en dessous des genoux. Quel que soit le sexe de votre puni, vous lui baisserez la culotte.

dimanche 3 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 4

Lorsque j’arrivais à la porte de la salle dans laquelle se déroule le cours suivant. Celle-ci était déjà close. Le cours avait commencé. J’étais en retard. Comme un flash, il me revint à la mémoire ce que Sœur Dominique avait promis aux deux jeunes filles au cas où elles se mettraient dans une telle situation : « Sœur Françoise serait obligée de vous fesser. » Je sens monter une angoisse que je n’arrive pas à contrôler.

vendredi 1 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 5

5- A l’école
Mes parents avaient trouvé une place pour moi dans une école privée assez stricte. Mais mes bons résultats scolaires m’avaient mis à l’abri de réprimandes, heures de colle et autres sanctions classiques infligées dans ces établissements. Au regard de la loi, les châtiments corporels n’y avaient plus leur place depuis longtemps, mais beaucoup d’entre nous savions qu’un petit mot sur le « carnet de correspondance » pouvait falloir – de retour à la maison – une punition cul nu. Certains de mes camarades n’avaient d’ailleurs pu cacher les stigmates de coups de fouet lors des passages au vestiaire avant les séances de piscine.