lundi 20 novembre 2017

L'institut F - chapitre 6

La stagiaire


Nadia était étudiante en seconde année d’école de commerce. L’année ou le stage en entreprise est obligatoire, mais si difficile à trouver. Volontaire et entreprenante, la jeune fille n’a donc pas hésité à adresser force courriers et CV à des centaines d’entreprises parisiennes, privilégiant les toutes petites entreprises. Elle savait, d’expérience, que dans une PME on participait à toutes les tâches alors que le risque était grand d’être préposée à la machine à café dans les couloirs d’un mastodonte du CAC 40.

C’est ainsi qu’elle fut convoquée un beau matin à l’Institut F, dans le XVIIème. Arrondissement de Paris. Elle n’avait aucune idée de l’activité de cet établissement mais elle était si contente d’avoir enfin une piste positive que c’est avec entrain qu’elle décida d’honorer ce rendez-vous avec Caroline et Marie.
Les deux directrices de l’Institut cherchaient justement quelqu’un pour les aider. Le créneau sur lequel elles s’étaient lancées était manifestement porteur. Beaucoup de mamans en proie à des difficultés avec leurs grands ados, beaucoup d’épouses souhaitant fesser leur mari sans oser sauter le pas. Les rendez-vous s’enchaiînaient et il était temps de passer à la vitesse supérieure. Le CV de Nadia tombait donc à pic.

Malgré son enthousiasme et son optimisme permanent, Nadia fut singulièrement décontenancée par la lecture de la plaquette de présentation de l’Institut F qu’on lui avait remise à l’entrée en attendant de la recevoir. F comme fessée… Voilà qui la troublait. Elle craignait d’être tombée dans un bouge malsain, dans un établissement aux contours licencieux, sulfureux et pour tout dire aux activités clairement identifiées à caractère sexuelles. Les questions se bousculaient dans sa tête et elle hésita à prendre ses jambes – fort jolies au demeurant – à son cou.
L’arrivée, dans la salle d’attente de Marie et de Caroline stoppa net cette éventualité. L’aspect à la fois strict et élégant des deux jeunes directrices, l’ambiance sobre des lieux commença à la rassurer. Les explications très précises des deux directrices achevèrent de la convaincre : Nous administrons des punitions à la demande de parents ou de conjoints qui nous délègue, l’espace d’un instant, leur fonction d’autorité pour régler un problème comportemental ponctuel. La charte de notre maison est très précise et les limites clairement définies. D’ailleurs, dans ce quartier, une activité malsaine serait immédiatement contestée. Or nous croulons sous les rendez-vous. Autant dire, avec un peu d’humour, que nous fessons à tour de bras.

Nadia restait perplexe sur le contour de son job. Enfant, elle se souvenait très vaguement d’avoir reçu quelques fessées, mais sans plus. Et depuis la fessée se limitaient à quelques claques reçues ou données dans un cadre plutôt ludiques et excitantes. Jamais pour punir. Elle ne voyait pas bien ce qu’elle pourrait apporter.

Rassurez-vous. Caroline et moi allons consacrer l’essentiel de notre temps à notre clientèle, à fesser et à fouetter ceux qu’on nous amène pour les remettre dans le droit chemin. Mais avoir une assistante va nous simplifier la tâche. Il y a l’accueil pendant nos rendez-vous, l’explication des prestations, la facturation. Evidemment, il importe que vous connaissiez bien nos prestations puisque vous serez à l’accueil. Vous pourrez donc, selon les cas, assister à certaines de nos séances pour vous faire une idée. Nadia avait vu juste : dans une PME on était en général « multi taches ». Elle accepta le job, qui commençait le jour même.

Nadia était naturellement curieuse. Elle venant de passer plusieurs heures à l’accueil, guidant vers la salle d’attente des mères de familles accompagnées de grands enfants ou de maris à la mine contrite. Elle venait de raccompagner un jeune homme aux yeux pleins de larmes et une jeune fille dont la démarche hésitante laissait imaginer un postérieur douloureux. Elle aurait bien aimé en savoir plus sur ce qui se passait derrière les lourdes portes capitonnées. L’occasion se présenta assez vite, dès ce premier jour.

En fin d’après-midi un jeune homme prénommé Jérôme se présenta avec sa mère. Manifestement des habitués de l’Institut. Il semblait très tendu et elle avait l’air furieux. Elle voulait un rendez-vous immédiat pour régler un problème urgent. Jérôme venait d’avoir été surpris à la sortie d’un commerce avec un objet dans sa poche… Un vol ! Nadia put rendre compte à Marie et à Caroline qui terminaient toutes les deux un rendez-vous.

Marie pris la direction des opérations. Jérôme, je crois que, dans un tel contexte, et puisque les corrections précédentes n’ont pas suffisamment porté leurs fruits, nous allons devoir passer à un stade supérieur. Vous allez être très sévèrement puni, par Caroline, par votre maman et pour finir par moi.  Vous serez puni devant tout le monde, y compris devant Nadia, notre nouvelle collaboratrice.

Jérôme n’en menait pas large. Et l’idée d’être ainsi puni et humilié devant une jolie jeune fille d’à peu près son âge ajoutait à l’embarras. Mais il ne voyait pas comment s’en sortir autrement qu’en faisant profil bas : oui Madame

Prenant place au centre de la pièce prévue pour les punitions, Marie pris la direction des opérations. S’adressant à la maman de Jérôme : Madame, je pense que c’est à vous, d’abord, d’administrer une bonne fessée à votre fils. Installez-vous sur cette chaise et surtout n’ayez aucune compassion pour ce voleur. Elle avait utilisé à dessein ce terme, approprié pour la circonstance, pour mettre d’emblée le curseur le plus haut possible.
Manifestement la mère de Jérôme avait progressé en quelques semaines. D’un simple signe de la main, elle intima à Jérôme de baisser son pantalon, puis de prendre la position adaptée en travers de genoux. Jérôme, impressionné par l’ambiance et par tous ces regards posés sur lui n’envisageant même pas la moindre contestation. Jamais on ne l’avait vu aussi docile. Trois ou quatre claques sur le caleçon, puis il se retrouva très vite cul nu. La main de sa mère était manifestement devenue efficace, leste. La force était décuplée par la rage d’avoir un fils qui se comportait aussi mal. La punition fut longue et intense. Les fesses mais aussi la parie haute des cuisses devinrent vite uniformément rouges.  Les coups tombaient à toute vitesse, ne laissant pas à Jérôme le temps de chercher à les éviter. Caroline, intérieurement, se disait qu’elle pourrait presque embaucher cette nouvelle fesseuse si adroite !

Lorsque l’orage fut passé, Jérôme fut prié de se relever et de se placer au centre de la pièce. Il sentait le regard incrédule de Nadia sur lui. Nadia en effet stupéfaite, presque gênée devant ce grand garçon nu, le sexe pendant et les fesses cramoisies devant elle. Marie repris la direction de la séance.  Placez-vous en appui sur le cheval d’arçon, le dos bien cambré. Nous allons maintenant passer aux choses sérieuses. Nadia, voulez-vous donner à Caroline le gros martinet avec le manche rouge, s’il vous plaît. Nadia sursauta, surprise de cette mise à contribution, certes modeste mais qui l’impliquait pour la première fois. Elle prit l’objet désigné avec crainte, comme si elle craignait pour ses propres fesses. Les lanières étaient fines et probablement cinglantes. Marie se saisit du martinet et dès le premier coup Jérôme eu l’impression que la douleur, que la morsure se répandait à travers tout son corps. Cette fois encore le rythme de la fessée était rapide et à chaque fois que Jérôme tentait un pas de côté, les lanières lui cinglaient les cuisses encore plus douloureusement. Sur ses fesses déjà rougies par la fessée administrée par sa mère, l’effet était dévastateur. Il se mit à pleurer, à supplier… En vain. Nadia instinctivement s’était reculée pour observer. Elle était partagée entre la pitié pour ce pauvre garçon et l’approbation de la punition au regard de la faute commise. Un vol. Et elle avait compris, autant que Jérôme, que la correction n’était pas terminée.

En effet, Marie demanda alors à Nadia de lui donner la canne en rotin. Elle avait l’air terrible ! Elle l’était, au regard des longues traces qu’elle dessinait sur le postérieur pourtant déjà très marqué de Jérôme.  Ce dernier avait à peine eu le temps de souffler et de passer ses mains sur son derrière brulant : Vous allez recevoir 20 coups de canne. Vous allez les compter et après chaque coup prononcer la phrase suivante : je suis un sale petit voleur. Je promets de ne plus recommencer. Et je vous déconseille de ne pas vous tromper. Au milieu des pleurs, chacun cru distinguer un vague  oui madame.

Recevoir 20 coups de canne est en soit une punition sévère. Recevoir la canne après les deux sérieuses fessées déjà administrées est une véritable correction. Mais Marie avait décidé de marquer le coup, tant à cause de la récidive que pour tenir compte de la gravité de la faute. Elle pensait qu’après une telle séance, Jérôme n’aurait vraiment plus envie de prendre le risque de revenir. Aussi, elle administra les 20 coups avec sévérité malgré la couleur déjà impressionnante des fesses du jeune homme. Chaque coup de canne laissait une trace qui serait manifestement durable, et durablement douloureuse.  A chaque coup, Jérôme hurlait mais prenait soin de réciter fidèlement la phrase imposée. Au vingtième coup, son corps tendu se relâcha d’un seul coup et il se retrouva par terre, pleurant à chaude larme.

Nadia, voulez-vous faire relever ce garnement et le conduire au coin s’il vous plaît. Puis vous allez prendre la règle en bois sur le bureau et vous placer derrière lui. Au premier relâchement, au premier mouvement, vous lui claquez sévèrement les fesses avec la règle. Nadia marqua un mouvement de gêne et dit à mi-voix : Mais, Madame, je ne peux pas… » Nadia, ne discutez pas, s’il vous plaît.

Nadia priait pour que Jérôme ne bouge pas. Elle ne s’imaginait pas alourdir la peine et fesser un peu plus ce derrière déjà très marqué et qu’elle devenait si douloureux. Par bonheur Jérôme était vaincu et ne fit pas un geste pendant le quart d’heure de pénitence imposé, à l’issue duquel, toujours cul nu, il eut à s’excuser auprès de sa mère et à promettre de ne jamais recommencer. Après quoi, il eut le droit de quitter les lieux.


Nadia venait de découvrir la réalité de l’activité de son employeur. Au fond d’elle-même, elle en approuvait le principe, même si elle savait qu’elle aurait du mal à y participer vraiment concrètement. Mais au moment de fermer boutique, Caroline, d’une voix ferme et bienveillante lui dit : Merci Nadia. Nous sommes contentes de vous avoir comme assistante. Mais sachez que, devant une personne qui doit être puni il ne faut jamais montrer la moindre faiblesse au sein de notre équipe. Si vous deviez refuser ainsi d’administrer une fessée alors que nous vous le demandons, sans doute serions-nous obligé de vous fesser à votre tour pour parfaire votre formation… 

Pour lire ce qui s'est passé auparavant

Le  premier épisode : chapitre 1 
L'épisode précédent : chapitre 5

Pour la suite ... chapitre 7

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2 commentaires:

  1. J'apprécie beaucoup ce raffinement, tant dans l'écriture du récit que dans l'atmosphère dégagée par l'Institut F.
    Bravo!

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  2. Quelle est l'adresse exacte de l'institut F
    son tel
    J'aimerais m'y présenter pour recevoir une sévère correction;
    Je suis endurant et accepte les marques durables de paddle martinet et surtout la canne

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