jeudi 22 février 2018

Christine - chapitre 19

Il était 19h30 ce vendredi soir, je me trouvais en compagnie de mes camarades au réfectoire de Ste-Marie. Nous y étions toutes et tous consignés pour le week-end afin d’y effectuer nos heures de retenue. C’était l’heure du repas du soir qui se différenciait de celui du midi par l’absence du verre de lait obligatoire et du fruit au dessert remplacé par un biscuit. Après le repas nous fûmes invités à rejoindre notre dortoir où nous avions quartier libre.

En période de vacances les garçons étant installés dans un dortoir normalement dévolu aux filles pour de pures raisons pratiques, nous devions partager les mêmes sanitaires. À ceci près naturellement que nous ne ferions que nous y croiser. Si à Ste-Marie filles et garçons assistaient aux fessées déculottées des uns et des autres sans distinction de sexe, l’intimité était préservée pour tout le reste mais paradoxalement c’était une religieuse qui encadrait les garçons à l’internat.


Sœur Gabrielle arriva au pas de charge dans les sanitaires suivie de son groupe de garçons. Après les avoir envoyés sous la douche avec les recommandations d’usage, elle se planta devant les lavabos. Notre dortoir était mitoyen des sanitaires et nous pouvions tout entendre. Ce qui dans les circonstances commença à émoustiller les plus jeunes d’entre nous. Je reconnais que savoir des garçons nus, juste à côté ne laissait aucune des filles indifférentes et, encouragée par Magali, je n’étais pas loin de partager ce sentiment.

Il était devenu un fait que Magali avait un faible pour Nicolas et que Laura trouvait Nathan plutôt craquant. Toutes les deux épiloguaient et péroraient sur ces prétendues idylles avec des élus de leurs cœurs qui s’ignoraient. Au moins cela me distrayait et me sortait de ma solitude. Magali était fière de vanter les mérites de Nicolas, notamment ses belles petites fesses. Laura se vengea en lui précisant que si nous connaissions déjà le verso de Nicolas, nous connaissions aussi le recto qui était moins flatteur. J’intervins en rappelant que mon expérience m’avait toujours dicté la méfiance en la matière, une petite queue se révélant parfois plus que vigoureuse en action.

Notre dortoir était devenu un véritable chaudron de filles parlant sexe avec une volubilité beaucoup plus crue que chez les garçons. Chacune y allant de ses expériences et de son vécu, je faisais presque figure de doyenne sinon de cadre. Sans dévoiler des pans de l’intimité de mon couple, je donnais quelques indications sur mes préférences et habitudes.

Ces échanges plutôt grivois avaient installé une certaine euphorie dans notre chambrée jusqu’à ce que Sœur Thérèse y mette fin en revenant. Nous ne pouvions décemment plus discuter de sujets aussi égrillards en présence d’une religieuse. En plus, cela nous aurait certainement valu réprimande. Notre maîtresse de dortoir venait nous indiquer que ça allait bientôt être notre tour d’aller aux douches. Elle nous invita à nous y préparer afin de perdre le moins de temps possible.

– Jeunes filles, dit Sœur Thérèse, rassemblez vos affaires de toilette. Ne prenez que le strict nécessaire.

Pour Sœur Thérèse, le strict nécessaire correspondait à se munir d’une serviette, d’un gant de toilette, d’un shampoing et d’un savon. Cela était suffisant pour se doucher correctement, inutile de s’embarrasser de gel, lotion ou autres produits trop élaborés.

– Vous vous mettrez en culotte et sitôt les sanitaires libérés par les garçons, vous vous rendrez en silence à la douche, compléta Sœur Thérèse.

Si pour les fessées les élèves avaient le bas exposés à la vue de tout le monde, là c’était le contraire. La maîtresse de dortoir nous imposait le seul port de la culotte et d’être seins nus. Je ne trouvais pas cela extrêmement gênant mais cette obligation posait question : « Être déculottée pour recevoir une fessée est logique, devoir baguenauder en culotte dans un couloir pour se rendre à la douche l’est moins ».

Par ailleurs, c’était la toute première fois à Ste-Marie que je devais dévoiler une partie de mon intimité en public devant mes camarades. Au fond de moi, je m’étais imaginé que je pourrais aller aux sanitaires toute habillée, et qu’une fois dans mon box je pourrais m’y dévêtir et faire ma toilette en toute intimité. C’était là un vœu pieux qui ne prenait pas en considération la configuration des sanitaires de l’internat de Ste-Marie, chose que je n’allais pas tarder à découvrir.

– Allons, allons jeunes filles ! dit Sœur Thérèse. On se presse !

Nous étions pratiquement toutes en culotte au garde-à-vous devant nos lits respectifs. Sœur Thérèse ouvrit la porte du dortoir et fit un pas dehors pour savoir où en étaient les garçons. Juste en face, devant les sanitaires, Sœur Gabrielle en terminait avec son inspection des derniers garçons à sortir de la douche. Le spectacle qui s’offrait à nous était quelque peu intrusif mais pas du tout intentionnel ; à Ste-Marie, les religieuses avaient des habitudes et faisaient peu de cas des règles élémentaires de la discrétion.

Sœur Gabrielle libérait tout juste Nathan qui, avant de rejoindre son dortoir, leva les yeux dans notre direction. Si nous pouvions le voir remettre sa serviette autour de la taille, en retour lui aussi pouvait également nous voir en petite tenue.

Le dernier garçon à passer sous les yeux inquisiteurs de Sœur Gabrielle était Nicolas. Il fut l’objet d’une attention toute particulière. Sa maîtresse de dortoir lui inspecta tous les replis de ses pavillons d’oreilles, regarda entre ses doigts de pieds et poussa même son zèle à vérifier la propreté de la raie des fesses de notre camarade et même à lui décalotter le pénis.

Je me dis intérieurement que les garçons, quels que fussent leur âge, étaient vraiment tous les mêmes, question hygiène corporelle, on ne pouvait leur faire confiance. J’usais encore du même procédé avec mon fils Tommy et me désespérais parfois qu’il ne fût déjà grand pour se prendre lui-même en main. À en juger Sœur Gabrielle avec son groupe, j’avais encore de boulot avec mon fils, bien plus jeune que ces post-adolescents.

Je pensais aussi à Magali qui, comme nous toutes, venait de découvrir quelques détails supplémentaires de l’anatomie de son « Roméo ». Cela nous promettait de bien bons éléments de conversation et allait, à n’en pas douter, abreuver le sujet principal de notre soirée.

– Sœur Thérèse, dit Sœur Gabrielle, les sanitaires sont à vous.

– Merci Sœur Gabrielle, répondit Sœur Thérèse. Jeunes filles, à la douche !

Suivant mes camarades je pénétrais dans les sanitaires et eus la désagréable surprise de constater que les douches n’étaient pas individuelles mais communes. J’étais déjà seins nus parmi les autres filles, voilà que maintenant il allait falloir me dévêtir sous tous les regards ; à ceci près que nous étions toutes soumises au même régime. Ce qui me préoccupait le plus je crois, ce n’était pas tant de devoir être nue mais plutôt de prendre ma douche devant les autres.

Du haut de mes 36 ans, cela faisait très longtemps que j’avais passé l’âge des dortoirs et encore plus des lieux d’hygiène publics. Faire ma toilette, prendre un bain ou me glisser sous la douche était devenu quelque chose d’intime pour la femme mûre et la maman que j’étais. Des cabines de douches individuelles avec de simples cloisons, même sans porte comme dans les clubs de sport, m’auraient semblé beaucoup plus adaptées.

 – Vous posez vos serviettes sur les bancs, précisa Sœur Thérèse, vous ôtez vos culottes et vous filez sous l’eau !

Les ordres de notre maîtresse de dortoir ne souffraient d’aucune contestation, nulle fille ne se serait risquée à lui désobéir. Tout comme mes camarades je laissai ma serviette et retirai ma culotte. Je remarquais qu’avec Laura j’étais la seule du groupe à présenter un pubis imberbe, les autres arborant une pilosité plus ou moins taillée. Sans faire sensation, je constatais un certain étonnement de quelques filles à me voir plus nue que nue. Peut-être pensaient-elle qu’une femme de mon âge se devait de garder une certaine retenue dans la pudeur.

Comme dans tout groupe, il y avait une différence entre chaque fille qui le composait. Nues, cette différence était encore plus frappante, autant dans la diversité des fesses, des toisons ou des poitrines que nous venions de nous découvrir.

Bien vite il régna une ambiance potache dans les douches. Les premiers instants de crispation s’étaient envolés et c’est en toute décontraction que nous faisions nous ablutions, poussant même l’audace jusqu’à nous savonner mutuellement le dos. C’est ainsi que j’aidais Magali qui, en retour, me rendit la pareille. Grisées par cet enthousiasme collectif le ton joyeux monta, nous nous éclaboussions à l’envie et avions même improvisé une partie de football à l’aide d’une savonnette. Bref, nous chahutions sans même nous en rendre vraiment compte.

Prise au jeu, je n’étais pas la dernière à participer à ces échanges ludiques. Mais immanquablement le bruit de cette agitation bon enfant ne tarda pas à attirer Sœur Thérèse. De dos et ne l’ayant pas vue arriver, je continuais à m’exprimer au sein de cette partie acharnée. D’un geste malencontreux j’éclaboussais la robe de la religieuse. Sa réaction fut instantanée, sa main s’abattit sur mes fesses mouillées en un claquement sonore sec.

Subitement le silence se fit. Plus aucune exclamation, plus aucun rire ne venait couvrir le ruissellement de l’eau dans la bonde des douches, seul l’écho de la claque que je venais de recevoir résonnait encore. Mon sang ne fit qu’un tour et je me figeai. « Aïe ! » fut à cet instant ma seule pensée. Un cri intérieur poussé, autant de douleur que de colère. Je venais de passer en une fraction de seconde d’un état d’euphorie collective à un état de stress intense. La montée d’adrénaline induite me rétrécit la vision, j’avais les jambes flageolantes, la gorge serrée et comme une boule au ventre.

– Eh bien ! , s’écria Sœur Thérèse, pas besoin de perdre du temps pour savoir qui est la meneuse de ce tohu-bohu !

Revenue de ma première stupeur, je restais immobile. Je voyais les autres filles en faire autant et lisais dans leurs yeux un certain effroi. Pour ma part je n’en menais pas large, tiraillée entre le sentiment d’avoir fauté et celui de penser que ce n’était pas si grave. Après tout, Sœur Thérèse avait mis fin à notre effervescence et, me désignant comme responsable en alliant prestement le geste à sa parole, elle avait en quelque sorte préservé son honneur en mettant à mal le mien.

Visiblement Sœur Thérèse ne l’entendait pas de cette oreille et n’avait pas la même conception des choses. Pour elle, tout débordement devait être réprimé et ses protagonistes, sanctionnés. En fait de protagonistes je semblais être la seule à ses yeux à devoir être blâmée, n’étais-je pas la seule à avoir éclaboussé sa robe ? En outre j’étais la première sur qui la religieuse était tombée en arrivant dans les douches et de plus j’étais « capitaine de dortoir », donc toute désignée s’il fallait arbitrairement choisir une responsable.

Mais Sœur Thérèse ne s’embarrassait pas de toutes ces considérations. Pour elle j’étais l’unique auteur de cette fronde aquatique et donc punissable. D’ailleurs elle m’avait déjà sermonnée en une claque réflexe. Une chose se précisait, j’allais pour la première fois à Ste-Marie être sanctionnée en public avec l’avantageuse pondération que ce public ne serait composé que de filles ; c’était là pour moi une bien maigre consolation.

– Alors comme ça on joue au football au lieu de se laver ! gronda Sœur Thérèse. On joue avec l’eau au lieu de se rincer ! Et pour couronner le tout, on m’éclabousse de sa bêtise !

Sœur Thérèse montait volontairement le ton, son prêche n’augurait rien de bon. Elle tournait intentionnellement autour du pot pour mieux faire éclater sa vérité.

– Christine, lâcha-t-elle, je vous ai désignée capitaine de dortoir, pas de l’équipe de water-polo !

Et maintenant telle une guêpe, elle allait piquer et sa piqûre serait, à n’en pas douter, dévastatrice.

Sœur Thérèse ne prit même pas la peine de m’installer dans quelque position que ce fût. Comme à la volée elle envoya sa main droite à la rencontre de mes fesses. Le bruit s’amplifia sur le carrelage, sec et aigu. Les claques se succédèrent, cadencées. Semblable à une marionnette, je dansais sur la pointe des pieds, avançant d’un pas à chaque coup reçu. Je devais donner une image bien ridicule, ainsi manipulée par la religieuse.

 – Le match est terminé, dit Sœur Thérèse. Et à défaut de carton rouge, ce sont vos fesses qui vont l’être.

La série de volées qu’elle venait de m’infliger n’était qu’un avant-goût. Sœur Thérèse souhaitait maintenant passer aux choses sérieuses concernant sa sanction. Elle m’attrapa par la taille et m’enserra sous son bras gauche. Peu lui importait si je n’étais pas encore séchée et si sa robe allait se mouiller un peu plus.

Tout semblait s’enchaîner, se passer vite et pourtant je percevais les choses au ralenti. À commencer par les sons qui m’arrivaient déformés, presque criards et métalliques. Ma vision était brouillée et pourtant aucune larme n’embuait mes yeux. C’était comme un tunnel qui s’ouvrait à ma vue, tout autour le reste était flou. Pourtant je sentais la présence de toutes mes camarades et surtout celle bien tangible de Sœur Thérèse.

Le bras gauche de la religieuse, tel un étau, continua à me serrer la taille et je me sentis comme soulevée. Instinctivement je tendis mes bras en avant afin de prendre appui sur le sol en cas de bascule totale, je n’étais plus maîtresse de mon équilibre. Ainsi bloqué, mon corps n’offrait plus aucune réaction ni amortissement aux futurs coups ; il allait me falloir les encaisser durement.

La foudre sembla se déclencher, c’était comme si le tonnerre s’abattait sur moi. Je sentis une violente décharge sur mes fesses, Sœur Thérèse me tannait le postérieur avec une force inouïe. Elle visait tantôt le haut, tantôt le bas, alternant fesse gauche et fesse droite. Toute la surface de mon derrière était la cible de l’assaut punitif de la religieuse.

Peut-être était-ce l’effet mouillé de ma peau, je ne sentis rien au début. Ce ne fut qu’à la troisième ou quatrième claque que la connexion nerveuse se fît. Une immense brûlure rayonnante s’installa, de plus en plus vive. C’était comme si mes fesses s’embrasaient malgré l’humidité des lieux, provoquant là une douleur physique insoutenable.

– Aïe ! Aïe ! Aïe !

Je n’arrêtais pas de crier sous les coups. Une modulation aiguë sortait de ma bouche, me déchirant les cordes vocales. J’avais mal et ne pouvant contenir ma douleur je l’hurlais en un brame désespéré.

Il me sembla un bref instant que le temps était suspendu, un peu comme dans un rêve où mille idées se bousculent sans liaison aucune. Je pensai tout d’abord à Christelle, elle qui tantôt m’avait parue si superbe dans sa détresse. Si au moins aujourd’hui je pouvais lui ressembler dans sa dignité.

Je pensai aussi à ma belle-mère. J’allais forcément avoir des comptes à lui rendre sur mon présent comportement. Il y a quelques jours encore ce n’était que ma belle-mère, aujourd’hui elle était ma tutrice par qui tout passait.

Je pensai enfin à mon mari et à mes enfants. Pour mon mari ce serait plus facile. Depuis notre mariage nous partagions tout, il pourrait donc comprendre mon comportement sans le juger. Par contre mes enfants, et en premier lieu mon fils, accepteraient mal que leur maman soit sanctionnée, punie et même fessée de la sorte. En général une maman c’est irréprochable, c’est une référence et la référence que je leur présentais c’était une élève indisciplinée qui chahutait sous la douche.

Mais je me dis qu’ils n’en sauraient rien. Pourquoi apprendraient-ils qu’une Sœur me tenait solidement sous son bras en me fessant de l’autre ; moi une maman de 36 ans et le tout sous les yeux de filles à peine sorties de l’adolescence. J’étais en plein cauchemar et pourtant ce cauchemar était bien réel.

Aussitôt des sanglots et des larmes firent place aux cris de douleur. Entrecoupés par des hoquets, mes pleurs devenaient de plus en plus abondants. Je ne trouvais que cela en défense des claques reçues. Je pleurais comme une petite fille parce que la fessée que je recevais me faisait mal ; et c’était d’ailleurs là l’effet recherché par Sœur Thérèse.

Une fessée doit toujours faire mal, ensuite elle doit faire réfléchir. À ce jour je ne savais toujours pas, de ces deux buts, celui qui était le plus désagréable. La suite allait m’en donner réponse. La fessée en elle-même fait crier et pleurer mais la douleur s’estompe. En revanche, la honte subie ne s’efface jamais complètement.

Une fois sa longue série de claques terminée, Sœur Thérèse me lâcha. Je pus en quelque sorte retoucher terre, pleurant toujours. Je fus contrainte de repasser sous la douche pour me rincer, cela balaya à peine mes larmes que de nouvelles les remplacèrent ; mes yeux piquaient, mon nez coulait. Je me dis que nue et dans l’adversité, on n’a pas d’âge ; je n’étais plus une femme ni une épouse ni une maman.

Ce fut les mains sur la tête que je dus m’approcher de notre maîtresse de dortoir. Comme Sœur Gabrielle pour les garçons, Sœur Thérèse souhaitait contrôler notre propreté et j’étais la première sur sa liste. Des doigts de pieds jusque derrière mes oreilles, aucune parcelle ne fut épargnée. Légèrement penchée en avant, mes fesses toujours endolories furent écartées et je sentis l’index de la religieuse en suivre la raie jusqu’à l’anus. Un pied en appui sur un tabouret je dus faire face à Sœur Gabrielle qui me malmena la vulve, s’assurant là de mon hygiène intime.

Cette inspection ne m’aida pas à retrouver ma sérénité. J’étais envoyée au coin dans le couloir devant les sanitaires, séchant lentement mes larmes. Toutes mes camarades passaient à leur tour entre les mains exploratrices de notre maîtresse de doroir, certaines des plus sensibles ou pudiques y récoltant une montée de larmes bien compréhensible.

Un constat, j’avais poursuivi ma dégringolade en progressant dans l’éventail des sanctions. Aujourd’hui j’avais été fessée en public sous les yeux de mes camarades. Mais le pire avait peut-être était évité, encore aucun garçon n’en avait été témoin ; pour moi l’honneur était sauf. Sauf que les garçons étaient à l’affût dans leur dortoir tout proche et lorsque les premières filles rejoignirent notre chambrée après contrôle de propreté je les entendis leur dire :

« C’est Christine qui pleure, elle a été fessée ».

Pour suivre le fil de ce récit


Lire ou relire le premier épisode : introduction
Et l'épisode précédent : chapitre 18
La suite, c'est la semaine prochaine, encore un peu de patience !

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8 commentaires:

  1. Excellent Episode , avec ce Match de football motif de fessée pour Christine très original , le retour au dortoir nue et fesses rouges doit être attendu par les garçons
    Vivement la suite

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    1. Merci pour vos encouragements.
      Quant à la suite de cette rencontre hautement sportive, je constate que vous attendez la troisième mi-temps avec impatience !
      Rendez-vous jeudi prochain.
      Jeancla

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    2. Il faudrait faire 2 épisodes par semaine LoL trop long d'attente

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    3. Désolé que pour un rythme hebdomadaire les semaines fassent 7 jours!!!
      Jeancla

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  2. Oh oui !!! Le 2e serait le dimanche matin !! Jérôme

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    1. Jérôme, n'oubliez pas que le dimanche matin on suit pieusement la messe à Ste-Marie.
      Et le principe d'un feuilleton hebdomadaire, c'est de ne paraître qu'une fois par semaine.
      Dura lex, sed lex...
      Jeancla

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  3. Demain nouvel épisode. Je suis cette aventure depuis son origine et j'ai déjà eu l'occasion de la commenter. Le dernier épisode m'inspire trois remarques :
    - Magali dit que la discipline lui fait du bien, mais dans l'un des premiers épisodes d'Axel elle prend une fessée pour un troisième retard. Il lui reste encore beaucoup de choses à apprendre, vivement que l'on apprenne comment et quand sa mère serrera la vis.
    - je descelle une petite injustice dans cette épisode, peut être corrigée dans le prochain : Christine est la seule punie comme leader, mais c'était bien une crise d'indiscipline de groupe. Réajustement au prochain épisode ?
    - Les questionnements de Christine sur ceux qu'elle déçoit et sur ce qu'elle va devoir assumer doit être dans de nombreuses têtes de Sainte-Marie. À quand une discussion entre élèves sur le thème "Moi mon père s'y prend comme ça", "Moi c'est ma mère et ça rigole pas". Le côté crainte de Christine mérite peut être de s'y arrêter au travers d'échanges plus détaillés.
    Ce ne sont que des remarques, j'espère un échange et de belles surprises demain.
    Bonne soirée !

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    1. Au moment où je vous réponds, ce nouvel épisode est paru.. et vous serez forcément déçu.
      Je tiens tout d'abord à vous remercier de votre fidélité au feuilleton depuis son début.
      Pour Magali, si elle dit tout et son contraire, c'est bien là son caractère. Elle n'arrive pas à se discipliner elle-même et si cet état de fait perdure, c'est que sa mère n'est pas assez impliquée. Mais ne comptez pas sur moi pour savoir comment cela se passe chez elles. Le récit est narré à travers le personnage de Christine. Pourquoi ne prendriez-vous pas la plume pour faire la même chose à travers Magali?
      Cette fameuse injustice est évoquée dans l'épisode 20, elle le sera encore, patience !
      Quant aux questionnements de Christine, ils sont nombreux et peut-être pas assez à votre goût. Désolé, je ne peux rédiger un récit à la carte !

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