Le
cours de biologie allait bientôt toucher à sa fin, Christelle était pressée
qu’il se termine vite.
Les
copies de la dernière évaluation avaient été rendues. Elle avait eu une bonne
note, 14 sur 20.
C’était
une bonne note, malgré cela elle était mal à l’aise car elle avait triché en
s’inspirant allègrement sur la copie de sa voisine. N’ayant pas assez révisé sa
leçon elle avait été dans l’incapacité de répondre à de nombreuses questions.
Redoublant
sa deuxième année de BTS, elle se devait de faire mieux que l’année précédente.
Elle avait pris soin de fuir le regard de la prof, craignant que son méfait se
voie sur son visage déjà qu’elle se sentait rouge comme une pivoine en
permanence.
Au
moment où le cours finissait et où tout le monde rangeait ses affaires et
Christelle commençait à se détendre. Tout à coup le cœur de Christelle s’arrêta
de battre quand elle entendit :
« Christelle
voudrait tu m’accompagner à mon bureau, j’ai à te parler ».
La peur
l’envahit, c’était sûr, elle avait été démasquée. Elle en était sûre il ne
pouvait s’agir que de cela.
Elles
rentrèrent dans bureau, Claire, la professeure, referma la porte derrière elle.
« Assied toi Christelle, je vois à ta
mine déconfite que tu sais de quoi nous allons parler.
– Oui, répondit l’étudiante.
– Ne tournons pas autour du pot, comment
as-tu pu faire ça ?!
– Je, je ne sais pas….euh…
– Ne fait pas l’enfant coupa-t-elle
sèchement, assume un peu tes actes !
– Je ne voulais pas avoir de mauvaise note
vous comprenez ?
– Oui je comprends très bien qu’en tant
que redoublante tu te dois d’avoir de bonnes notes aux contrôles des cours que
tu as eu deux fois et qui devraient être su.
– Euh….
– Seulement voilà, tu n’as toujours pas
compris que ce redoublement est une chance qui t’es offerte de pouvoir finir
ton diplôme. As-tu une petite idée de ce que j’ai pu faire pour que l’équipe
pédagogique t’accepte une nouvelle année ? je me suis battue pour toi, et
toi ? que fais-tu pour me remercier ? tu ne révises pas tes cours et
triche aux contrôles comme une petite fille !!
– Je sais claire, je suis désolée.
– Pas autant que moi ! tu sais j’ai
beaucoup d’affection pour toi, je me sens responsable de ta réussite, un peu
comme tu mère l’aurait fait, mais j’ai n’ai pas en face de moi une jeune femme
de 20 ans mais une petite fille. Alors maintenant que fait-on ? qu’elle
attitude dois-je avoir ? celle de ta professeure ou celle d’une
maman ? celle du prof impliquerait que je doive te sanctionner d’un
avertissement, prévenir ta mère et ton employeur car malgré que tu sois en
alternance, ce qui se passe à l’école regarde autant tes parents que ton patron.
Christelle, tète basse ne savait plus où
se mettre tellement qu’elle avait honte. S’il vous plaît dit-elle d’une petite
voix, n’en dite rien à mère et mon patron ce serait terrible. Donc si je laisse
de côté le coté prof reste celui de la mère. Et que crois-tu qu’une maman
devrait faire ?
– Euh….me punir ?
– Exactement ma chérie, te punir, et
comment crois-tu que je devrais te punir ? »
Christelle
restait silencieuse, commençant à réaliser ce qui était en train de se mettre
en place.
« Comment sont punies les petites
filles qui triche à l’école ? je crois que tu le sais, n’est-ce pas ma
chérie.
– Oui je crois
– Alors dis-moi !
– Une …..une …. »
Christelle n’arrivait pas à prononcer les
mots
« Je vais t’aider, les petites filles
qui trichent reçoivent une fessée, une fessée déculottée. »
Les
mots étaient dits. Ils résonnaient dans la tête de la jeune femme,
tourbillonnants.
« Qu’en penses-tu ? Ne crois-tu
pas que tu la mérites ?
– Oui , je pense que oui murmura-t-elle.
– Bien, c’est donc décidé, tu recevras une
fessée déculottée pour ta bêtise, mais pas maintenant. Le bâtiment est encore
plein de profs et d’élèves, et comme je tiens à toi je t’accorde la discrétion
sur ton châtiment, tu viendras toi-même réclamer ta fessée ce soir, en fin de
journée, quand tout le monde sera parti. Allez, file en cours ma chérie, à tout
à l’heure. »
C’est
la tête bouillonnante que Christelle rejoignit ses camarades et suivi du mieux
qu’elle put le cours de math. A la pause de midi elle voulut s’isoler et
réfléchir à ce qui allait lui arriver.
Elle
alla aux toilettes, les plus éloignées, où elle ne serait pas dérangée. Elle
rentra dans une cabine et s’assit.
«
Mon dieu, j’ai 20 ans et je vais recevoir une fessée comme une
gamine quelle honte !! » Mais elle pensait que tout vaudrait
mieux que sa bêtise soit diffusée à d’autres personnes. Tout en réfléchissant,
elle se leva, défit la ceinture de son jean et fis glisser vers le bas
entraînant par la même occasion sa culotte. Une fois assise,elle fit pipi et
toujours pensive, elle réalisa soudain que son intimité serait exposée ainsi
que sa culotte. Prise d’anxiété elle prit le tissu du fond de sa culotte et
regarda si le tissu n’était pas trop taché. Bien qu’il soit normal que les
femmes secrètent des fluides elle ne voulait pas que le fond de sa culotte en
soit trop imprégné.
Rassurée
elle réajusta son sous-vêtement et son jean.
A 18
heures, quand tous les élèves et la plupart des profs étaient partis,
Christelle se présenta à la porte du bureau de Claire.
Toc,
Toc, Toc
« Entrez !
– Bonsoir Claire. »
Christelle
pénétra dans le bureau, referma derrière elle la porte.
« Bien ma
chérie, nous y voilà. Pour quelles raisons tu te trouves devant moi.
– Je suis là parce-que j’ai triché.
– C’est très grave ça Christelle !
– Oui
– Quelle est la punition des petites
tricheuses ? »
Christelle
restait immobile, silencieuse. Incapable de prononcer ces mots qui la faisaient
frémir.
« Allons
Christelle, soit un peu responsable, assume les actes et dis-moi ce que mérite
les tricheuses. »
Vaincue,
baissant la tête, honteuse, elle finit par dire :
« Une fessée déculottée.
– Parfaitement ! et tu vas la
recevoir immédiatement. Approche ma chérie, allons ne fait pas cette tête, tu
sais que tu l’as méritée. Sois digne et brave. Voilà. Mets tes mains sur la
tête. »
Christelle
se tenait devant Claire, les mains sur la tête, elle avait pris soin de nouer
ses cheveux en chignon.
« Nous y voilà ! »
Claire
saisi la boucle de la ceinture du jean de Christelle, elle l’ouvrit et
entreprit de défaire un par un les boutons pression. L’ouverture grandissait de
plus en plus, dévoilant peu à peu le petit liseré de dentelle qui décorait le
haut de la culotte de Christelle.
Claire
sentait toute l’émotion de sa jeune élève. Elle pouvait la sentir frémir.
Bientôt, elle serait dans une position encore plus embarrassante.
Elle
baissa délicatement le jean, de l’étudiante, jusqu’aux chevilles. Christelle se
tenait maintenant devant sa professeure, mains sur la tête en petite culotte.
Une culotte de coton blanc, de taille haute et assez épaisse très juvénile.
Claire la guida vers le côté de ses genoux, et accompagna Christelle dans la
position allongée en travers de ses genoux.
La
position de son élève ravissait secrètement Claire qui avait une vue directe
sur les fesses et sa petite culotte. Elle commença par masser doucement ce
postérieur qui remplissait cette petite culotte, bientôt elle prendrait le
chemin des chevilles dévoilant ainsi de jolies fesses qui allaient bientôt
rougir. Vint la première claque. Puis la suivante, et encore et encore, les
claques pleuvaient.
De son
coté, Christelle, avait senti la douceur de caresses, et avait poussé un petit
cri de surprise à la première claque. Mais à présent, que les claques
s’abattaient avec force sur ses fesses, et elle ne retenait plus ses cris de
douleur. Ses fesses lui chauffaient, lui brûlaient. Tout le bas de son corps
irradiant de chaleur. Le contraste était marquant entre la blancheur de sa
culotte et le rouge de ses fesses.
Bien
malgré elle des larmes coulait sur ses joues, plus de honte que de douleur.
Elle battait des jambes.
« Bien ma chérie, ta leçon commence à
rentrer, mais nous n’avons pas fini pour autant. »
Claire
réfléchi, comment devait-elle lui baisser la culotte, car c’est bien une fessée
déculottée qui avait été promise. Devait-elle la faire lever et lui baisser la
culotte debout, mains sur la tête ou la lui baisser allongée sur ses
genoux ? Christelle avait vraiment besoin d’un bonne leçon.
« Lève-toi ma chérie et reprends ton
souffle. Voilà, ça va mieux ? Bien, nous allons passer à la deuxième
étape. »
A ces
mots, claire se leva, prit les bras de l’étudiante et les guida jusqu’à ce qu'elles
se croisent sur sa tête puis elle s’accroupi devant le bassin de Christelle.
Elle
posa ses deux mains sur les hanches de Christelle et glissa ses deux pouces
sous l’élastique de sa culotte.
Par
réflexe, Christelle plaqua ses mains sur celle de Claire pour stopper son
geste.
« Non s’il vous plait, pas la
culotte !
– C’est pourtant ce que tu mérites
Christelle, une fessée déculottée.
– C’est affreux j’ai trop honte.
– Je comprends ta gêne ma chérie, exposer
son intimité est très embarrassant pour ta pudeur de jeune femme mais tu dois
vraiment comprendre la gravité de ta faute ; et je pense que rien que le
souvenir de ta nudité offerte au regard de ta prof, que ce soit, ta toison
pubienne, tes lèvres vaginales, ton clitoris, bientôt ton vagin et ton anus
sera amplement suffisant pour calmer toute nouvelle volonté de triche.
Chaque
mot, chaque partie de son anatomie cité la faisait frémir. Une excitation
sexuelle irrépressible électrisa sa vulve, ses mamelons et ses tétons
durcissaient, ses lèvres gonflèrent, son clitoris forma une bille dure et ultrasensible.
En l’espace d’une seconde un flot de cyprine se répandit au fond de sa culotte,
tapissant d’expression de plaisir visqueux la bande de coton.
Claire,
toujours accroupie en face de l’entrejambe de la tricheuse, fit glisser peu à peu la
large culotte vers le bas. Le tissu se retourna et ne resta plus que l’étroite
bande de coton collé à la vulve. Claire tira vers le bas, la paroi visqueuse
s’étira entraînant avec elle de longs filets de mouille. Elle entraîna le sous
vêtement et le jean jusqu’aux chevilles.
Elle
avait devant elle, une adorable toison brune qui dégageait des effluves
envoûtantes. Elle reconnue, le parfum fleuri du savon qu’elle avait utilisé ce
matin pour sa toilette intime, ensuite vint le piquant fumet de l’urine, et la
suave flagrance de sexe excité. Elle ferma les yeux et inspira à pleins
poumons.
A
regret elle se releva. Ses yeux plongèrent dans ceux de Christelle. Elle y lu,
le désir, le vice, la soumission. Claire reprit sa place sur la chaise et
Christelle se rallongea d’elle-même, elle se plaça très en avant, les bras
touchaient le sol et ses fesses étaient maintenant à plat sur les genoux de
claire au lieu d’être habituellement plus bas pendantes sur le côté.
Par
cette position non conventionnelle Christelle offrait la partie la plus intime
de son intimité.
Claire
reprit les claques, fortes, très fortes ce qui provoqua des ruades de
Christelle. Ses jambes bougeaient si fort que son jean se libéra d’une jambe.
Libérés, ses jambes gesticulaient dans tous les sens. Son sexe aussi libre,
s’ouvrait.
Voilà
ma chérie c’est fini. J’espère que tu as compris.
« Oui, je ne recommencerais plus.
Promis.
– Je te crois ma chérie, je te crois,
rhabille-toi maintenant. Tiens, prends ce mouchoir et mouche-toi. »
D’un
geste affectueux, claire essuya les larmes aux coins des yeux de biche de sa
protégée.
Elle
approcha son visage de celui de Christelle, s’arrêta et fini par lui faire une
bise sur le front.
« Rentre
dans ta chambre, repose-toi une demi-heure et va rejoindre les autres.
– Oui claire. »
Christelle
rouvrit les yeux au bout d’une heure de sieste. Sa main était restée dans sa
culotte, là où elle s’était procuré un plaisir intense. Elle se leva, se
recoiffa.
Christelle
rejoignit ses copines s’excusant de son absence prétextant le besoin de se
reposer.
Aucune
de ses copines ne pouvait s’imaginer qu’elle avait joui d’avoir reçu une fessée
déculottée.
Et maintenant ?
Pas mal pour un premier essai, non ? Il n'est pas prévu de suite à ce récit, mais Wendy devrait peut-être se décider à en écrire d'autres ? Qu'en pensez-vous ?
Faites-le-lui savoir, les commentaires c'est fait pour ça.
Si vous voulez la joindre directement, adressez moi le courriel, je transmettrai.
Bonjour, Wendy. et bonjour à tous.
RépondreSupprimerQue voilà une fessée délicieusement amenée. On prend son temps. On commence par faire honte avec des mots. On oblige a reconnaître que oui, elle est méritée, cette fessée. Amplement. Et on la diffère. Plus tard. Que la future punie ait tout le temps d'appréhender. De ruminer l'humiliation de devoir être punie comme une gamine. Et puis vient la fessée proprement dite qui n'est pas si désagréable que ça, tout compte fait. Les mots donnent envie. La honte, aussi mortifiante soit-elle, peut devenir voluptueuse. Et le plaisir s'ensuivre.
Alors oui, Wendy, je crois que JLG a raison. Vous tenez là, avec Christelle, un personnage qui, maintenant qu'elle y a goûté, peut vouloir se mettre en situation de renouveler encore et encore l'expérience. Avec Anne. Ou avec d'autres. "Aucune de ses copines ne pouvait s'imaginer qu'elle avait joui d'avoir reçu une fessée déculottée" écrivez-vous. À moins que, dans la chambre voisine...
Amicalement.
François
Bonjour et merci pour vos encouragements, il est vrai que Christelle a vécu une expérience marquante qui, visiblement, l'a plus que troublée.
SupprimerIl est a noter que Claire non plus a plus qu'apprécier deculotter sa jeune élève. Son affection ne date pas d'hier..j'ai donc matière à écriture..
Bonjour Wendy,
RépondreSupprimerPour un premier texte, c'est un coup maître. Un texte comme je les aime, sans faux-semblant et autre vague sous-entendu. Tout est limpide et "claire".
Christelle aura à coeur de prouver à Claire qu'elle a eu raison de lui faire confiance et que cette tricherie était une exception, mais aura t-elle les capacités, le courage et le sérieux pour ne plus avoir besoin de tricher ?
To be continue...
Amitiés.
Elena.
Bravo !!
RépondreSupprimerLe deculottage est un morceau d'anthologie. Très troublant, recit punitif et sensuel à la fois. Coup d'essai, coup de maître !
Très joli récit, très suggestif, il y a certainement un peu de vécu, même si les fantasmes sont toujours présents dans nos récits. Continuez Wendy.
RépondreSupprimerSylvie
Merci Sylvie pour vos encouragements, cela fait toujours plaisir
SupprimerMerci Elena, en effet nous espérons tous que le message est passé et que dorénavant Christelle va prendre son travail au sérieux.
RépondreSupprimerAmitiés