Ce Dimanche pluvieux de printemps, Tante Mado invita une jeune professeure fraîchement arrivée au pensionnat Claquemiche. C'était naturellement pour ma terrrrible parente la belle occasion de faire connaissance et de narrer à cette jeune femme mes aventures trépidantes dans son école. Je devinais que l'ambiance de ce thé de 16 heures 30 n'allait pas être morose...
voilà qui me rappelle une fessée de fin de collège devant témoin !!!
RépondreSupprimerAlain,
RépondreSupprimerVous en dites trop peu ou plutôt vous nous mettez l'eau à la bouche. Peut-on en savoir un peu plus ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
revoir mes récits avec Geneviève mon cher !!!
RépondreSupprimerDésolé Alain,
SupprimerJe n'avais pas compris que c'était vous. Effectivement, nous avons déjà eu ce récit.
A ce propos, dites-moi, quand nous gratifiez-vous d'un nouveau récit ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerAh le principe des inversions proportionnelles !!?.( Si ça se trouve, je viens de l'inventer là, tout de suite !)
Le temps passé à chauffer les fesses de Gérôme est équivalent à celui que met le thé à refroidir... Plus ça chauffe d'un côté plus ça refroidit de l'autre!
Le pauvre garçon collectionne les fessées comme d'autres les timbres poste, au point de pouvoir comparer le confort des genoux et la force de frappe des nombreuses femmes sévères de son entourage. Gladys semble avoir rejoint le cercle des fesseuses mobilisées sur l'éducation difficile du garçon.
Qui plus est, il se fait confisquer son argent de poche... après la fessée. Déculottage, claquage, chantage, braquage ! Quelle famille!
On ne se lasse pas de ces gracieuses jupes plissées à carreaux retro et de ces sages corsages . Amis de la poésie et de la fessée déculottée... bonsoir!
JLG, avec à propos, saute sur l'occasion pour qu'Alain en dise un peu plus... Ne l'aurait-il pas déjà fait dans "Entretien avec Geneviève"... Si je ne m'abuse... Docteur (?)
Amicalement.
Ramina