Jeudi
C’est l’heure d’aller chercher Michel et
Bertrand. Benoit accompagne Tatie.
Tous les quatre retournent à la maison et,
comme d’habitude, Tatie leur enlève leurs chaussures et emmène ses deux garçons
aux toilettes.
Rien de particulier pendant le déjeuner, à part
une gifle pour Bertrand pour avoir fait tomber son couteau (qu’il n’utilise pas
!) et une pour Benoit pour avoir pris son verre sans s’être essuyé la bouche.
Petite récréation. Bertrand discute avec Benoit
et lui raconte l’humiliation qu’il endure au lycée à cause de sa tenue.
Avant le début des cours ce matin, lui et un
autre des garçons en culottes courtes se sont approchés d’un groupe de leurs
camarades de classe et se sont vus refoulés:
« - Non, c’est pas pour les petits. C’est
une conversation de grands. Allez jouer aux billes »
Rires du groupe. Un autre élève surenchérit:
« Il y a un groupe de sixièmes qui jouent
à chat perché. Vous devriez les rejoindre. On ira vous chercher à la reprise
des cours »
Nouveaux rires. Les deux garçons, rouges de
honte, s’éloignent les larmes aux yeux. Ils ont tous les deux 14 ans et les
élèves qui se moquent d’eux ne sont pas plus vieux.
Nouveau passage aux toilettes pour Bertrand et
Michel, laçage des chaussures et départ pour le lycée. Benoit est conduit chez
la voisine.
« Je vous le laisse 20 minutes. Benoit,
dis bonjour et sois sage. »
Benoit a pris son recueil de fables et il en a
une à apprendre.
Au retour de Tatie,
« Le petit a été sage ?
- Très sage comme toujours
- Benoit, tu as appris ta leçon ?
- Oui Tatie
- Dis au revoir à madame Voisin
- Au revoir madame, merci madame »
Et madame Voisin donne un bisou à ce grand
garçon en culottes courtes et blouse d’écolier.
A la maison, séance pipi obligatoire. Benoit
maintenant se laisse faire, mais il a toujours honte.
Il doit remettre son « tablier »
puisque son professeur doit venir, et il révise la fable que Tatie lui a
demandé d’apprendre.
A 14 heures, on sonne. Tatie va ouvrir.
Mademoiselle Paget n’est pas un professeur,
mais en fait une institutrice à la retraite. Habillée assez strictement,
coiffée d’un chignon, l’air sévère.
A son école, elle avait la réputation d’avoir
de très bons résultats et d’être très stricte. Plus d’un élève, même en CM2,
avait reçu des coups de règle sur les mains et passé la récréation au piquet.
Elle n’avait jamais enseigné à des enfants de
plus de douze ans. Elle était informée de l’âge et des besoins de Benoit.
« Bonjour madame, je suis mademoiselle Paget
- Bonjour mademoiselle, nous vous attendions.
- Benoit, tu dis bonjour
- Bonjour madame
- Non, Benoit, il faut m’appeler mademoiselle,
je ne suis pas mariée. »
« Voilà donc ce grand garçon à qui je
vais faire la classe. Il a quel âge ?
- Benoit a 18 ans
- Je vois que vous lui faites porter une
blouse; vous avez tout à fait raison. C’est une habitude qui se perd un peu,
mais qui est nécessaire pour ne pas salir ses vêtements. On sait comment se
comportent les enfants.
J’ai plutôt enseigné à des élèves plus jeunes,
mais ce n’est pas un problème»
Les deux femmes s’assoient, Benoit doit rester
debout, mains dans le dos.
« - Bien. Montrez-moi les résultats des
tests de l’autre jour s’il vous plait.
Ah, je vois qu’il y a en effet des
insuffisances dans plusieurs matières. N’est-ce pas Benoit ?-
- Oui mademoiselle
- Bien. Nous allons remédier à cela.
Qu’est-ce que je vois ? Des fautes dans les
tables de multiplication ? A ton âge ? Récite la table de 7 je te prie »
Benoit rougit et ânonne la table de 7, puis
celle de 9.
« - Bien, je vois que tu peux apprendre
quand tu veux. Je ne supporte pas les enfants paresseux.
- Ne vous inquiétez pas, mademoiselle, depuis
qu’il est ici, j’ai repris en main son éducation et je vérifierai moi-même
qu’il sait ses leçons.
- Des problèmes en grammaire et orthographe
apparemment. Histoire et géographie c’est un peu mieux, mais ça doit encore
s’améliorer.
Par contre, comme vous le savez, je ne peux pas
lui enseigner l’anglais.
- Pas de problème. Je suis en contact avec des
répétiteurs potentiels.
- Bien. Je voudrais maintenant discuter de son
programme avec vous. Il n’a pas besoin être là.
- Benoit, tu peux aller jouer, nous
t’appellerons tout à l’heure »
Benoit
s’éclipse, fâché de ne pas être autorisé à discuter de son programme d’études.
L’institutrice et Tatie discutent ensuite des
matières à étudier et des horaires.
« - Je dois vous dire que lorsqu’un élève
a mal travaillé, ne sait pas ses leçons, n’a pas rendu un devoir en temps, j’ai
l’habitude de le punir. Et je fais un mot à faire signer par les parents.
Compte tenu que les cours ont lieu chez vous, il n’y a pas besoin de ce mot.
Vous serez immédiatement au courant.
- Quelles sont les punitions que vous infligez
?
- Il y a bien sûr des devoirs supplémentaires,
des lignes à copier. J’aime aussi donner quelques coups de règle sur les mains,
ou parfois sur les cuisses quand l’enfant est habillé court. Aurais-je votre
approbation ?
- Cela ne me pose aucun problème; Pour votre
information, Benoit ne porte que des culottes courtes et quand il désobéit, je
lui donne une fessée.
- Parfait. C’est une punition très efficace
mais qui est réservée aux parents.
Puisque nous sommes d’accord, il est temps
d’expliquer à votre garçon ce que nous avons décidé
- Vous avez raison. Benoit, viens immédiatement
mon chéri »
Benoit arrive et se remet en position debout
devant la table.
« - Jeune homme….
- Ne l’appelez pas jeune homme, ça le fait
rougir. C’est encore un enfant.
- Soit. Mon garçon, je me suis mis d’accord
avec ta tante. Nous commencerons les
leçons lundi
Tu seras en cours de 8 h à 11h30 avec une
récréation au milieu.
- C’est pour le pipi Benoit
- L’après-midi, lundi, mercredi et vendredi,
cours de 13h30 à 16h30 avec récréation. Ensuite je te quitterai et tu auras des
devoirs et des leçons. Mardi après-midi sera réservé à des devoirs sous ma
surveillance. Comme tes cousins, tu n’auras pas cours le jeudi.
Je m’occuperai demain d’acheter les livres de
classe qu’il te faut. Comme fournitures dans l’immédiat, il lui faut cinq gros
cahiers, un stylo à encre, si possible un stylo quatre couleurs, une règle et
une carte de France en plastique. »
Cinq cahiers ? Une carte de France d’école
primaire ? C’est quoi ce délire pense Benoit. Et Tatie qui précise que la
récréation c’est pour aller aux toilettes, quelle humiliation devant son
nouveau professeur ! Devoirs et leçons, qu’est-ce que cela va être ? Benoit est
inquiet.
Mademoiselle Paget s’en va donc, satisfaite de
cet entretien. Comme elle est un peu sadique, pas violente, mais elle aime
humilier, elle se réjouit d’avoir à s’occuper d’un garçon de 18 ans
manifestement maintenu en enfance.
« - Benoit, je sors chercher les petits.
Viens chez madame Voisin. Emmène ton livre.
Nous irons acheter les fournitures demain
- Oui Tatie »
Mauvaise surprise, Martine est là et c’est elle
qui accueille Benoit.
« Maman n’est pas là, mais je vais le
garder.
- C’est très gentil de ta part, Martine
Benoit soit sage et obéis à Martine
- Oui Tatie
…..
- Toujours avec ta blouse ? Tu la portes tout
le temps ? J’ai vu que tes cousins en portent même en classe ?
- Moi pas tout le temps, seulement quand je
dois étudier et c’est uniquement à la maison
- Ta tante a pas l’air commode. Mais je ne
comprends pas, tu te salis quand tu apprends tes leçons ??
- Non, je ne me salis pas, mais Tatie veut que
je sois comme mes cousins.
- Et bien dis donc, ça doit pas être drôle tous
les jours. Pourquoi tu te laisses faire ? Tu as 18 ans, pas majeur mais adulte
en principe.
- J’ai pas le choix.
- Pourquoi ta tante te fait elle porter des
culottes courtes ? C’est aberrant à ton âge.
- C’est pour être comme mes cousins. Elle ne veut
surtout pas nous laisser grandir
- Tu as d’autres obligations ?
- Pas envie d’en parler »
Benoit n’ aucune envie de parler des fessées
(bien que Martine maintenant s’en doute), ni du coucher, de la toilette, etc.
Sa tante arrive à point nommé avec les garçons
« - Benoit, dis merci à Martine
- Merci Martine »
A la maison, mêmes habitudes. Chaussures
enlevées, Michel et Bertrand sont emmenés aux toilettes.
Goûter, puis devoirs en commençant par la
dictée journalière.
Benoit fait un effort pour se concentrer, mais
fait tout de même plusieurs fautes qui lui valent une paire de gifles et
l’envoi au coin après avoir recopié le texte deux fois.
Les blouses sont retirées (sauf pour Benoit
toujours au coin) et Bertrand et Michel peuvent aller jouer.
Benoit finit par les rejoindre.
18h30 c’est l’heure du déshabillage, du passage
aux WC, du bain où quelques claques sont distribuées pour faire obéir les
enfants et enfin pyjama.
Dîner sans histoire, jeux, Bonne nuit les
petits et la phrase fatidique :
« Les petits, pipi et au lit ».
Vendredi
Après le petit déjeuner, Tatie informe Benoit qu’elle l’emmène acheter
les fournitures une fois les garçons amenés au lycée.
En chemin,
« Tatie, pourquoi cinq cahiers ?
- Tu dois étudier plusieurs matières, c’est
pour cela
- Mais quelles matières ? On ne m’a même pas
dit. J’ai le droit de savoir.
- Tu as surtout le droit d’obéir sans poser de
questions. Ce que je fais, c’est pour ton bien. Après cette année scolaire, tu
seras mieux préparé pour le futur.
- Je pourrais aller en fac l’année prochaine
alors ?
- Nous verrons. Il faut déjà que tu travailles
bien »
Ils achètent sans difficulté les articles
demandés par son nouveau « professeur ». Benoit peut choisir la
couleur de ses cahiers.
Rentrés à la maison, Tatie demande à Benoit
d’écrire sur la première page de chaque cahier
Cahier de Benoit 18 ans
Bien entendu, Tatie lui a mis son
« tablier ».
Elle le lui retire plus tard pour aller
chercher les cousins.
Retour à la maison, passage aux toilettes pour
tous. Benoit ne se fait toujours pas à devoir être emmené faire pipi comme un
enfant de trois ans.
Déjeuner. Pas de problème. Pas de gifles ni de
claques.
Benoit se voir offrir le choix entre aller chez
la voisine ou l’accompagner quand elle emmène les plus jeunes au lycée.
Craignant les questions voire les moqueries de
Martine, il choisit de sortir avec Tatie.
Une fois les cousins en classe, elle l’emmène
faire des courses; elle cherche des vêtements pour elle. C’est surtout une promenade.
Les commerçants la questionnent sur ce grand garçon qui l’accompagne et la
félicite de la tenue de ce jeune homme timide mais bien élevé.
Benoit n’oublie pas de dire Bonjour monsieur
Bonjour madame, au revoir monsieur au revoir madame, Tatie lui ayant bien
précisé qu’un manque de politesse lui vaudrait immédiatement des claques.
Il est déjà mal à l’aise de montrer ses jambes
et cuisses nues, il n’a pas envie qu’en plus ses cuisses soient rouges !
Aujourd’hui comme il fait beau, elle l’a
habillé d’une chemisette, un petit pull bleu sans manche (vêtement de
Bertrand), d’une culotte courte grise et
de chaussettes bleues.
Il a nettement plus l’air d’un jeune garçon de
14 ans que d’un jeune étudiant. Et il le sait !
Par contre, quand quelqu’un demande à Tatie
quel âge a ce grand garçon et pourquoi il n’est pas en classe (serait-il malade
?), Tatie répond sans problème que Benoit a 18 ans et suit des cours à la
maison.
Et systématiquement, Benoit rougit un peu plus……
D ‘autant que pour quitter le magasin ou
s’éloigner des personnes avec qui elle papote sur le trottoir, elle prend
fermement Benoit par la main.
Retour à la maison où elle l’emmène faire pipi,
puis l’envoie jouer.
Nouveau départ pour aller chercher les deux
lycéens.
Séance pipi pour les deux plus jeunes et ,
comme ils ont en cette premières semaine peu de devoirs et qu’elle compte les
faire travailler samedi matin, elle enlève les « tabliers » et les
laisse jouer.
Rien de particulier ensuite. Tatie déshabille
un par un ses « petits », les fait asseoir chacun leur tour sur la
cuvette des WC, les essuie, les lave dans la baignoire , leur mets leurs
pyjamas.
Après le dîner, jeux, Bonne nuit les petits,
pipi et au lit juste après 20h. Le coucher à 20h30 n’est autorisé que le samedi
soir, sauf punitions.
Benoit se tourne et se retourne dans son lit.
Une semaine qu’il est là et le voilà traité comme un enfant de trois ans. Que peut-il
faire ? Que va t il lui arriver encore ?
Samedi
Rituel immuable du matin. Comme c’est samedi,
les enfants sont laissés au lit un peu plus longtemps (interdiction de se lever
sans permission) et « réveillés » vers 9 heures. Benoit qui voit
l’heure sur l’horloge du couloir calcule qu’ils ont été couchés pendant treize
heures. Et Tatie trouve parfaitement normal d’obliger des enfants à des nuits
de treize heures.
Donc pyjamas retirés, humiliant passage par les
WC (« pipi ou pipi caca, mon chéri ? ») et Benoit qui doit faire son
gros besoin reste un peu plus longtemps assis sur la cuvette.
« Tatie, j’ai fini
- Pousses encore, mon grand. Je ne veux pas de
tâches dans la culotte »
Pas toujours facile de se rappeler qu’on a 18
ans, surtout quand Tatie vient essuyer le gland puis, en courbant Benoit, lui
essuyer les fesses. Honte absolue.
Douche en commun, séchage, habillage. Le tout
fait par maman/Tatie avec quelques claques pour l’enfant qui se rebiffe ou
n’obéis pas assez vite.
Petit déjeuner, jeux pendant une demi-heure,
puis travail scolaire. Benoit n’ayant pas encore de devoirs décidés par son
professeur, doit recopier la dictée de la veille et copier trois fois les
tables de multiplication par 7, 8 et 9.
Il n’est pas très fier, Benoit, d’avoir ce
genre d’activités.
Jeux ensuite jusqu’au déjeuner. Un peu de
dispute entre les enfants.
Tatie leur demande ensuite de rester calme et
de prendre un livre.
A 14h30,
« - Les enfants, nous allons faire une
course. Venez faire pipi. »
Et puis elle leur met leurs chaussures et ils
sortent.
Ils croisent des garçons de la classe de
Bertrand, garçons en pantalon évidemment, qui lui demandent:
- Bertrand, et ton tablier ? »
Quelques rires et de l’étonnement quand ils
constatent que Bertrand est certes accompagné de sa mère et son petit frère,
mais aussi d’un garçon qui parait plus âgé, habillé comme les deux autres, et
qu’ils n’ont pas vu au lycée. Qui cela peut-il bien être ?
Tatie et les enfants poursuivent leur chemin
sans évidemment répondre.
Ils arrivent devant une porte où est indiqué
dermatologue.
Ils entrent, ne patientent pas trop longtemps
dans la salle d’attente (« les enfants, tenez-vous bien ») et sont
introduits auprès d’une femme à peu près de l’âge de Tatie.
« - Michel, tu t’assois là et tu ne bouges
plus.
Bertrand et Benoit, venez près de moi.
Docteur, comme convenu au téléphone, c’est pour
ces deux garçons
- Très bien, on va voir cela tout de
suite »
Bertrand se laisse déshabiller; il est
maintenant tout nu et doit monter sur une table recouverte d’une sorte de drap
en papier.
« - Voilà, docteur, pour lui ça doit être
assez simple. Son début de système pileux autour du sexe, un petit passage sur
les jambes et la lotion pour le visage. Ah, j’oubliais, il a déjà un peu de
poils sous les aisselles. Il faut s’en occuper aussi.
Bertrand, tu ne t’inquiètes pas, ça ne fait pas
mal.
- Elle va m’enlever mes poils ?
- Bertrand, on ne dit pas elle, on dit docteur.
Oui ce sera plus propre »
Bertrand
fait la moue et Benoit commence à paniquer. On va l’épiler aussi ? Lui qui
était fier d’avoir un début de poils aux jambes et des poils plus fournis
autour du sexe, et qui scrutait dès qu’il en avait l’occasion l’apparition
encore inexistante d’un début de barbe. Barbe veut dire adulte et plus de
culottes courtes et de fessées !
Pendant que la dermatologue s’occupe de
Bertrand, il faut le dire avec douceur, Tatie entreprend de déshabiller Benoit.
Et elle va claquer les cuisses de Michel qui
gigote trop.
Benoit très gêné met ses mains devant son sexe.
« - Benoit les mains dans le dos, ou alors
c’est sur la tête avec une fessée »
Le traitement de Bertrand ne prend pas beaucoup
de temps. Elle termine par une lotion qu’elle lui met sur le visage.
« - Bien, pour lui la lotion ce sera une
fois par mois. C’est suffisant. Et je n’ai pas besoin de le revoir avant un an.
- Bertrand, dis merci au docteur. Benoit c’est
ton tour »
Bertrand rejoint Michel et Benoit s’allonge sur
le lit, plein d’appréhension.
« - Tatie, pourquoi, c’est pas nécessaire.
- Ne dis pas de bêtises. C’est pour ton bien et
ce sera beaucoup plus propre »
La dermatologue attaque les jambes très peu
poilues de Benoit, le met sur le ventre pour continuer le travail, s’occupe
ensuite de son sexe, puis des aisselles, puis, à la demande de Tatie, à ses
bras pourtant presque imberbes.
A la fin, lui aussi a droit à la lotion mystère
sur le visage.
Ça n’a pas été douloureux, mais ça a pris
beaucoup p plus de temps que pour Bertrand.
« - Voilà, c’est fini pour lui. Vous me
l’amènerez d’ici un mois pour une visite de contrôle et peut être un deuxième
passage. Pour la lotion, ce sera une fois par semaine. Vous lui mettez le soir
et il la garde toute la nuit. »
Tatie qui a déjà rhabillé Bertrand habille
maintenant Benoit. Il regimbe un peu, mécontent de ce que l’on vient de lui
faire. Une claque sur chaque fesse le fait tenir tranquille.
A Suivre…
Voyons, voyons...
Si nous n'en sommes plus au premier chapitre, c'est qu'il y en a eu un autre avant. Mais où est-il ? Ah oui, le voilà : chapitre 3La suite ? Eh bien elle est annoncée
Bruno nous a écrit le chapitre 5.
Alors ? Vos impressions ?
Si je vous dis que Bruno les attend avec impatience, ça vous étonnera vraiment ? Vous pouvez également lui en faire part directement : Bruno
Bonjour,
RépondreSupprimerAucun commentaire. Dommage. Peut-être que ce chapitre ne vous a pas intéressé. J'espère que les suivants vous plairont davantage
Bruno