mercredi 18 mars 2020

Benoit chez Tatie - chapitre 1

Une nouvelle série qui commence, écrite par un nouvel auteur. Nous allons passer quelques semaines avec Benoît et sa Tatie inflexible, sous la plume de Bruno.
N’oubliez pas de faire retour à Bruno de vos impressions, les commentaires, ça sert à ça.

1964
Enfin. Benoît venait d’avoir son bac. Sans gloire, mais enfin il était bachelier; A 18 ans, restait à définir son futur à court terme, avec maman, mais il était impatient de devenir un jeune homme, étudiant, et libre.
Sa mère l’avait longtemps infantilisé, même si récemment cela avait, heureusement, un peu changé.
Il avait dû par exemple être en culottes courtes jusqu’à la fin de la seconde; terriblement humiliant, mais sa mère ne voulait rien savoir quant à porter un pantalon « trop tôt ».
Sa dernière profonde humiliation avait eu lieu à 17 ans, quand sa mère lui avait imposé blazer et culotte courte pour assister à un mariage. A 17 ans ! Il était mort de honte et avait supplié qu’elle lui laisse mettre un pantalon. Sans succès.
Au contraire, elle l’avait fait mettre à la table des enfants. Il voyait les jeunes de son âge, et plus jeunes, discuter entre eux à la grande table… Il avait tellement honte que, à la question d’un enfant à sa table, il répondit avoir 13 ans et être en quatrième. Il n’allait tout de même pas avouer qu’il avait 17 ans et était en première.
Même avec cette réponse, le gamin (en pantalon) avait dit qu’il trouvait les parents de Benoit sévères…


Pour son futur proche, la difficulté était que ses parents partaient à l’étranger et que sa mère n’envisageait pas de le laisser vivre dans une chambre d’étudiant. Ce qu’il avait espéré ne se produirait pas; sa mère le trouvait beaucoup trop immature.

La solution vint de sa tante, en banlieue parisienne, qui se proposait de l’héberger. En fait elle avait dit « de le prendre en charge ». Elle avait deux garçons de 12 et 14 ans, Michel et Bertrand, qu’elle élevait très strictement.
Benoit les connaissait peu et ne les avait pas vu depuis cinq ou six ans.
 Il était également prévu que sa tante lui ferait immédiatement rencontrer une de ses amies, enseignante, pour déterminer les meilleures études pour Benoit.

Tout fut donc décidé et, après les adieux à ses parents, Benoit prit le train pour Paris.
A l’arrivée, il reconnut sa tante, accompagnée de deux garçons en chemisettes, shorts et sandales. Normal en ce début septembre.
Sa tante l’embrassa et, regardant son pantalon, lui dit qu’il devait avoir chaud dans cette tenue.
Métro et bus pour arriver à la maison. Voyage sans histoire, avec ses deux cousins timides et sages. Sauf une fois où le plus jeune, Michel, gigotait un peu trop et reçu une claque sur une cuisse.
 Arrivés à la maison, la tante demanda qui voulait faire pipi et puis emmena Benoit dans la chambre. Mauvaise surprise, il allait partager la chambre avec ses deux cousins. Il y avait bien une autre pièce, mais elle servait de salle de jeux.
Deuxième surprise, sa tante, en déballant ses affaires, parût déçue par ce qu’il avait emmené comme vêtements. Elle y trouva cependant un short qu’elle lui demanda de mettre immédiatement.
« - Mais Tatie, je préfère rester comme ça.
- Pas question, dépêches toi de te changer »
Ce qu’il fit en boudant, sous l’œil sévère de Tatie….

Réunis dans le salon, les deux cousins se mirent assis sur le tapis, devant le canapé où s’installait leur mère. Benoit se dirigea vers le canapé et fut immédiatement emmené à côté de ses deux cousins, à genoux assis sur les talons.

« Mes chéris, c’est donc une grande nouveauté. J’avais deux petits garçons, me voilà donc avec trois enfants. Je compte sur vous pour bien vous entendre, ne pas vous disputer et m’obéir. Sinon, gare. »
Benoit n’était pas particulièrement content d’être compté dans les enfants, mais la suite l’horrifia.

Vous dormez dans la même chambre donc bien entendu tout le monde au lit à la même heure. Benoit, ici l’heure du coucher est 20h30 pendant les vacances et les samedis, et 20h en semaine pendant l’année scolaire.
« - Mais Tatie, c’est beaucoup trop tôt. J’ai 18 ans, j’ai mon bac, je ne veux pas me coucher si tôt. Je ne suis plus un bébé «
Ce qui amena une paire de claques. Benoit, surpris, resta sans voix.
« - Tu dois apprendre qu’un enfant lève le doigt quand il veut parler et ne doit jamais interrompre une grande personne. Compris ? »
Benoit était rouge de honte, les larmes aux yeux.

« - Les enfants, vous pouvez aller jouer jusqu’à ce que je vous appelle. Les petits, vous pourrez expliquer les règles de la maison à votre cousin. Et ne vous disputez pas ».
Dans la salle de jeux, Benoit se plaignait d’avoir été giflé.
« - Ne te plains pas, tu aurais pu avoir une fessée !
- Non, pas à mon âge ?
 -Tu verras »

Vers 18h30, la tante arriva.
« - Tout le monde dans la chambre, c’est l’heure du bain »
Tatie entreprit de déshabille entièrement Michel, puis, à la surprise de Benoit, l’emmena aux toilettes, le fit asseoir, porte grande ouverte.
« - Pipi ou pipi caca, mon chéri ?
- Pipi caca maman. »
Tatie s’occupa ensuite de déshabiller Bertrand. Benoit fit le geste de se déshabiller, même s’il trouvait exagéré de le faire à cette heure-là.
« - Non, Benoit, c’est moi qui te déshabillerait 
- Tatie je peux le faire tout seul
- Tu attends et tu obéis »
Tatie s’occupa de nettoyer les fesses du petit Michel et l’emmena à la salle de bain et le fit entrer dans la baignoire.

« - Pas de bêtises, Michel »
 Ce fut au tour de Bertrand maintenant tout nu d’être assis aux toilettes avec la même question que pour son frère
« - Pipi seulement, maman
- Tu es bien sûr ?
- Oui maman »
De retour dans la chambre, Benoit dut se laisser déshabiller comme un enfant. A un geste pour déboutonner sa chemise, il reçut une claque. Au geste de baisser son slip, ce fut une claque sur une fesse.

Bertrand mis au bain à son tour, c’est un Benoit mort de honte qui fut assis sur la cuvette des WC.
« - Pipi ou pipi caca ?
- Pipi, tatie… »
Il eut l’humiliation supplémentaire de laisser Tatie lui essuyer la verge.

Dans la salle de bains, il rejoignit ses cousins dans une grande baignoire d’angle, confortable pour deux, un peu juste pour trois.
Tatie se mit à savonner le haut du corps de Michel, puis Bertrand, qui, habitués, se laissaient faire, puis Benoit qui eut un mouvement de recul …et une claque.
« - Ne me gênes pas pour te laver. Allez, mains sur la tête. Tout de suite »
« - Les petits, tout le monde debout. Benoit garde les mains sur la tête »
Et Tatie se mit à laver le bas du corps de ses trois petits garçons, Avec un Benoit rouge pivoine.

De retour dans la chambre, elle mit successivement à Michel puis Bertrand un pyjama court en éponge très enfantin.
Pour Benoit, elle fut obligée de lui mettre son propre pyjama (avec un pantalon).

« - Les enfants, à la cuisine »

Arrivés à la cuisine, Benoit allait s’asseoir quand ses cousins l’en empêchèrent.
« - Non, il faut attendre maman »

Tatie arriva et leur mis à chacun une grande serviette autour du cou. Benoit regimba et reçut de nouveau une claque. Ça commençait à faire beaucoup.
Et puis il réalisa une autre horreur : Ils avaient tous les trois des couverts de bébé, verres en plastique avec des dessins, fourchettes et couteaux en plastique et assiettes avec dessins d’animaux.
« - Tatie, je ne peux pas manger avec ces couverts. Je ne suis plus un bébé. J’ai 18 ans !
- Tu feras comme tes cousins
- Et puis je suis sûr que le couteau ne coupe pas.
- Je suis là pour vous aider
- Non je ne veux pas ! »
 Tatie s’assit sur une chaise; fit lever Benoit, l’allongea sur ses genoux avant qu’il ne réalise ce qui arrivait, fit glisser son pyjama et commença à le fesser
« - Tatie, non, je suis trop grand, c’est pas possible »
Tatie continua les claques sur ses fesses et ses cuisses, sous l’œil intéressé des cousins, jusqu’à ce que Benoit arrête de se débattre et se mette à pleurer. De douleur, de honte. Fessé cul nu à 18 ans….
Il fut réinstallé à table et, toujours sanglotant, mangea ce qui était préparé.
Tatie luit mis un mouchoir sous le nez et le fit se moucher, comme un gosse;
Puis elle essuya les bouches de ses trois petits garçons et leur retira leur serviette.
 « - Vous pouvez aller jouer mais soyez sages »
 De retour dans la salle de jeux, Benoit avait encore des sanglots.
« - Tu sais, nous ça nous arrive souvent. Tu as de la chance, tu aurais pu avoir le martinet !
- Le martinet ?
- Oui, tu l’as pas vu, il est pendu dans la cuisine » confirma Michel
Et Bertrand continua:
« - C’est pire parce que ça fait plus mal et en plus ça laisse des traces sur les cuisses et comme on est en culottes courtes, c’est pas drôle »

Un peu avant 20h,
« - Les enfants, en bas tout de suite »

Dans le salon, la télé était en marche et les cousins s’assirent docilement devant.
« - Benoit, avec tes cousins »
Et ce fut…. Bonne nuit les petits !
Une des rares émissions auxquelles ils avaient droit et en plus, c’était obligatoire !
Après l’émission, ils remontèrent dans la salle de jeux jusqu’à ce que Tatie arrive vers 20h20
« - Les petits, pipi et au lit »
L’un après l’autre passèrent aux toilettes avec Tatie qui tenait leur verge (sa réticence valut à Benoit une nouvelle claque sur une fesse) et furent mis au lit, embrassés, bordés.
Benoit risqua une ultime tentative:
« - Tatie, c’est trop tôt, j’ai pas sommeil
- Pas de discussion, mon chéri. Dodo maintenant »

Fin de sa première journée pleine de surprises dont aucune n’était agréable.  Il eut du mal à trouver le sommeil, en se remémorant ce qui s’était passé, sa nouvelle condition de petit garçon…. Et ses fesses qui lui faisaient encore mal.


Deuxième jour. Vendredi avant la rentrée des classes.
Le lendemain matin, Benoit a compris qu’il fallait rester silencieux et surtout ne pas se lever sans permission.
Les enfants n’avaient aucune possibilité de savoir l’heure qu’il était….
Tatie arriva enfin et commença ce qui était le rituel matinal.
Déshabillage par Tatie, accompagnement aux toilettes, douche commune dans la baignoire.
Et c’est Tatie qui savonne, et distribue quelques claques pour se faire obéir;
De retour nus dans la chambre, Les enfants sont l’un après l’autre habillés. Les cousins en chemisette, culotte courte, socquettes. Benoit avec ce qu’a trouvé Tatie dans sa valise, c’est à dire polo et son short de la veille;
Petit déjeuner à la cuisine. Tatie se moque quand Benoit réclame du café ou au moins un peu avec le lait.
« - Tu sauras que pour les enfants, c’est lait au petit déjeuner et chocolat le dimanche 
Les petits, nous avons des courses à faire. Qui a besoin de faire pipi ? Personne, alors sortons. Dépêchez-vous.
Bertrand et Michel, vous vous donnez la main comme d’habitude et Bertrand donne la main à maman s’il faut traverser. Benoit, tu restes à côté de moi. »

Quelques minutes de marche en centre-ville, Benoit pas très à l’aise d’être en short (en 1964, un ado normal ne voulait en mettre que pour le sport) et ils arrivent dans un petit magasin tenu par une dame d’âge mûr aidée d’une jeune fille probablement de l’âge de Benoit.
Apparemment ils étaient attendus.
« - Bonjour Madame, bonjour les enfants. Voici donc votre neveu. Un grand jeune homme…
- Non, grand garçon mais pas jeune homme « souris tatie
« - Les enfants, on dit bonjour.
- Bonjour madame, bonjour mademoiselle
- Bertrand et Michel, allez-vous asseoir et tenez-vous tranquille
- Benoit, restes avec moi
Enlèves ta culotte mon grand 
- Mais, pas ici ?
- Dépêches toi. Tu vas essayer des vêtements plus adaptés, donc il faut bien te déshabiller. Et je n’aime pas que tu discutes. »
Tatie s’approche de Benoit, lui retire elle-même son short et lui donne une claque sur une fesse. Le garçon est mort de honte d’être en slip, avec une claque, devant une fille de son âge qui le regarde avec un sourire moqueur. Lui reste debout sans bouger, tout rouge.
La commerçante commence à discuter avec Tatie et lui montre différents vêtements qu’elle a déjà préparés: sous-vêtements blancs bien sûr, chemises et chemisettes dont une horrible avec un col rond!
« - J’ai fait comme pour vos garçons, comme convenu
- C’est très bien
- Tatie je ne vais pas mettre une chemise comme ça. C’est pour une fille ou les bébés!
- Je t’ai déjà dit de ne pas interrompre les grandes personnes »
Une claque
« - Tes cousins ont la même et cela leur va très bien. Tu ne discutes pas. »
Puis sont proposés des pyjamas similaires à ceux des cousins, soit en éponge, soit avec des motifs enfantins, tous avec shorts bien sûr.
Chaussettes et socquettes suivent.
Puis Tatie lui fait enfiler une culotte courte grise.
« - Mais Tatie, je ne veux pas mettre de culottes courtes, je suis trop grand. J’ai le bac maintenant
- Il a déjà son bac, demande la jeune vendeuse ?
- Oui il vient de l’avoir, il a 18 ans et je ne veux pas de discussion, Benoit, sinon….
Tu t’habilleras comme tes cousins et la culotte courte est idéale pour un jeune garçon; N’est-ce pas madame ?
- Vous avez tout à fait raison, c’est moins courant qu’avant malheureusement.
- Benoit, tournes toi. Bon c’est la bonne taille. Essayons la bleue maintenant ».
Après une culotte gris foncé apparait quelque chose qui amène les larmes aux yeux de Benoit: Une culotte de flanelle pour les grandes occasions. Comme un petit garçon.
 Puis arrive le sommet de la honte: Une salopette courte bleu ciel avec bavette et bretelles.
« - Non, je ne suis plus un bébé. Je ne veux porter ça. Pas question
- Benoit, obéis, ça vaudra mieux
- Non, non, pas ça »
 Ni une ni deux, Tatie s’assoit, allonge un Benoit toujours en slip sur ses genoux, écarte le slip…
« - Non Tatie, non, pas ici? Je suis trop grand »
Sans répondre, Tatie commence à fesser le garçon qui gigote, proteste et finit par fondre en larmes. Une fessée cul nu devant une fille de son âge !
Il n’est plus rouge, ni pivoine, mais violet. Et en pleurs. Il n’ose regarder personne. Il est dans un brouillard.
Tatie le mouche comme un enfant et lui fait enfiler cette tenue effectivement un peu ridicule.
« -  Tes cousins ont la même culotte. Très pratique pour jouer et pour les vacances. Qu’en pensez-vous mademoiselle ? »
La jeune fille ne peut s’empêcher de pouffer
« - ça lui va très bien, sûrement très confortable »

Tatie lui remet une des culottes grises et la commerçante amène… des tabliers d’écolier. Benoit avait compris de ses cousins qu’ils étaient obligés de porter un tablier pour étudier à la maison et également, au grand chagrin d’un Bertrand de 14 ans, en classe tous les jours !
Mais Benoit ne pensait pas devoir être soumis à la même règle.
Il sanglote encore un peu et Tatie lui enfile un cardigan fermeture éclair bleu clair, puis une blouse bleu foncé avec boutonnage sur le côté et enfin, summum de l’horreur, un tablier à carreaux bleu et blanc à boutonnage dos.
« - Tes cousins ont les mêmes, comme ça vous serez pareils. Benoit, demandes poliment à la jeune fille de t’aider à enfiler ton tablier et à te boutonner. Allons !
- S’il vous plait, mademoiselle, voulez-vous m’aider à boutonner mon tablier
- Avec grand plaisir, mon garçon »
La vendeuse pouffe et Benoit a des sanglots dans la gorge.

Puis elle le lui retire et Benoit apprend qu’il va garder cette culotte grise, son short n’étant pour Tatie pas approprié.

« - Les enfants, on dit au revoir madame, au revoir mademoiselle
- Au revoir madame, au revoir mademoiselle
- Benoit tu dis au revoir et tu remercies mademoiselle de t’avoir aidé : Merci mademoiselle de m’avoir aidé à m’habiller »
Il s’exécute, puis
« - Benoit, demandes pardon à madame d’avoir été désobéissant dans son magasin, ce qui est impoli. »
Benoit s’exécute de nouveau et la petite famille s’en va.
La prochaine étape, c’est le coiffeur.
Les cousins ont une coupe disons juvénile avec frange devant et court derrière et sur les côtés. Benoit a une coupe courte avec raie sur le côté, imposée par sa mère.
C’est Michel qui passe en premier pour la coupe de rentrée. Le coiffeur l’installe sur une planche posée sur le siège, lui met une blouse et le coiffe.
Bertrand passe ensuite et lui aussi, malgré sa taille et ses 14 ans, doit s’asseoir sur la planche « des petits ».
Au tour de Benoit, qui attends docilement que le coiffeur enlève cette satanée planche. Au lieu de cela, il le soulève et l’installe sur la planche. A son âge ! Et alors que le siège peut se lever ou s’abaisser !
Rien à faire, et Tatie n’est pas loin et surveille.
Benoit tout rouge se laisse donc faire et le coiffeur lui arrange la même coiffure que ses cousins.
Avec cette coupe de cheveux, ses culottes courtes, Il peut difficilement passer pour un garçon de 18 ans ! Il est mort de honte en sortant de l’échoppe.

Le retour à la maison se passe sans histoire, sauf qu’en traversant une rue, Tatie prend de sa main gauche la main de Bertrand qui tient son frère, et de sa main droite agrippe fortement la main de Benoit. Au premier carrefour, Benoit se rebiffe et récolte une bonne claque sur une cuisse.
« Tu auras une fessé à la maison »
Et deux jeunes gens ont vu la claque et entendu la phrase. On entend quelques rires……

A la maison, c’est séance pipi pour tout le monde, fessée au martinet pour Benoit.
« Tu as été insupportable au magasin et tu n’obéis pas dans la rue. Tu l’as bien cherché »
Il fait ensuite la connaissance de ce qui suit une fessée: De longues minutes au coin, mains sur la tête.
Et il pleure comme un bébé.

Rien de particulier pour le reste de la journée. Déjeuner, jeux avec ses cousins, un feuilleton pour enfants à la télévision, puis le rituel habituel: WC, bain, pyjama, dîner, bonne nuit les petits, 20 minutes de lecture puisque le samedi les enfants ont généreusement droit à veiller jusqu’à 20h30.
Benoit se couche avec mal aux fesses, il ne connaissait pas le martinet, et se remémore la honte de la matinée.



Alors ? Vos impressions ?

Si je vous dis que Bruno les attend avec impatience, ça vous étonnera vraiment ? Vous pouvez également lui en faire part directement : Bruno

10 commentaires:

  1. Bonjour Bruno,

    Voilà une belle série qui met tout de suite dans l'ambiance.
    "La journée de Benoît". Description très réaliste et plausible. Le genre de situation qui a (aurait) pu nous arriver de vivre.
    Personnellement, j'imagine bien la mise en images. Encore une redoutable "Mère-poule", Tante... mais au juste quel est son prénom ?
    Une suite prometteuse, en tout cas. Une grande adepte de la fessée et du martinet visiblement. A suivre.
    Amicalement. Peter.

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  2. Amis de la poésie et du retour à la classe biberon... Bonjour.

    Bonjour Bruno...
    Bienvenu au pays de l'île aux enfants bacheliers de dix huit ans, et de bonne fessée les petits! Voilà un chapitre d'infantilisation mené le petit doigt sur l'élastique de la barboteuse... Tatie n'est pas Danièle, mais non moins redoutable. Benoit avec son bac + 0 est prié de revenir à la case départ en passant pas la boutique de vêtements pour enfant, il reçoit la tenue d'écolier des années 60...avec tablier boutonné dans le dos, et la fessée sur les genoux de tatie s'il n'est pas d'accord.
    Les cousins en short, babillent comme des zébulons, et semblent habitués au traitement rayon puérilité avec le martinet en tête de gondole.

    Le récit est tellement détaillé, et labellisé d"époque^" qu'il respire l'authentique... presque du vécu... par l'auteur. (?)
    On attend évidemment la suite du traitement infantilisant de Benoît comme Alice rapetissant au pays des merveilles... On n'est pas loin du Baby gros en éponge ou de la couche culotte.
    Cordialement
    Ramina

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  3. Bonjour
    Bravo j'ai 64A et j'ai connu cela la blouse nylon boutonnée coté ou dos les culottes courte à l'école et la fessée devant toute la classe ,les mises au coin culotte au cheville blouse déboutonnée pour celle au dos ou épinglé dans le dos
    Depuis je suis accros de ces tenues et de la fessée
    Donc j'ai hâte de lire la suite
    Bravo et merci pour c'est récits

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  4. Bonjour Bruno. Et bonjour à tous.

    Voyage dans le temps. Plus de cinquante ans en arrière avec une tante bien décidée à maintenir son neveu en enfance. De toutes les façons possibles et imaginables. Jusqu'à, sans doute, qu'il ait réalisé que c'était pour son bien. et qu'il se soumette de bonne grâce à son autorité.
    Amicalement.
    François

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  5. Quel beau texte ! Nous attendons la suite avec impatience

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  6. Merci pour ces commentaires positifs et sympathiques.
    J’espère que la suite vous plaira autant.
    Ramina,
    La barboteuse n’est pas prévue dans cette histoire... dans un autre récit, peut-être. Reste à savoir à quel âge vous envisagez le port de ce vêtement rapidement humiliant....

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  7. Bravo Bruno ! Vous nous tenez en haleine car j'ai lu l'intégrale de un à neuf d'une seule traite. On plaint Benoit qui semble un gentil garçon timide qui subit cette éducation stricte et infantilisante sans beaucoup se rebeller. Certes c'était dans les années "1960", une époque où la majorité légale était encore à 21 ans. On plaint aussi son cousin Bertrand qui à 15 ans en classe de seconde doit encore porter une blouse et n'arborer que des culottes courtes. J'ai porté des culottes courtes jusqu'à 16 ans aussi à la fin des années "1960-début 70"" mais je me lavais seul et n'avais pas besoin de donner la main pour traverser. je ne devais pas non plus demander la permission pour parler. A partir de 12 ans, je n'ai plus eu à porter de blouse Je ne recevais pas non plus de fessée déculottée mais j'avais encore droit au martinet sur les cuisses nues si mes résultats scolaires n'étaient pas satisfaisants ainsi que pour quelques incartades aux règles familiales. Mais c'était une éducation encore dans l'air du temps.

    Oliver Twist

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  8. Cela me rapelle dans les années 1970 lorsque la soeur de ma mere ,donc ma tante est venue chez nous avec sa fille donc ma cousine et a proposée à ma mere de passer les vaccances d'été chez elle dans la corrèze ,et ma mere était d'accord et elle m'a préparée ma valise avec mes affaires et n'a pas oubliée en autres d(y mettre ,2 blouses en nylon,mes culottes courtes et mes bretelles entre autre,mais en derriere j'ai enlevé mes blouses en nylon et mes bretelles car je les portais assez et je ne voulais pas en vaccances etre obligé encore de porter tout cet attirail de nouveau en vaccances !,,et meme à un moment donné ma mere a demandée à ma tante si Il fallait y joindre le martinet familial, à quoi ma tante a répondue " ah mais nous en avons un à la maison c'est celui qui me servait a fesser ma fille mais comme elle a maintenant 17 ans depuis un an je ne lui en donne plus mais Il fera l'affaire pour ton fils car il est dans un état neuf,,j'ai pensé mince alors meme en vaccances je ne vais pas etre sans martinet car j'avais presque 14 ans est ma mere s'en servait régulierement sur mes fesses et mon posterieur !Donc nous voila partis et est enfin aprés un long voyage nous sommes arrivés chez eux en corréze qui à premier coup d'oeil me semblait bien désertique par rapport à chez nous en ville ,!Ma cousine m'a montré ma chambre et ce qui devait arriver est arrivé au bout de 5 mn elle à dit à sa mere mais Il manque ses blouses et ses bretelles,,le pot au rose était découvert !Et la ma tante s'est exclamée mais pourtant j'ai vue ta mere les mettre dans la valise ,c'est donc toi qui les a enlevés ,et pourquoi tu ne veux pas les mettre,Mais je te dis tout de suite qu'avec moi ça ne prends pas,donc pour te punir babette ( le prénom de ma chere cousine !) va te passer une des siennes car une fois chez nous on est toujours en blouses,allez babette tu lui en prete une des tiennes de blouses et ma cousine pour m'humilier et par plaisir m'a passée une de ses blouse en nylon de couleur rose boutonée dos avec des fleurs sur le devant bref une vrai blouse feminine!et me l'a boutonée dos,ma tante satisfaite a dit ah comme ça il ne pourra pas l'enlever et elles se sont moquées de moi!!Quant aux bretelles manquants le lendemain ma cousine qui aimait apparament me faire passer pour un petit garçon est allée au commerce du village et m'a ramenée des bretelles larges style "grand pere et c'est meme elle qui m'a cousue les boutons à mes culottes courtes pour les y attacher puis me les a mises en prenant soin de bien les tendre bref j'étais revenu au meme point qu'avec ma mere !et apparament ça lui faisait plaisir de me faire passer pour un petit gamin,!de plus à chaque fois qu'on sortait babette disait à sa mere maman je prends le martinet pour le petit cousin,et sa mere répondait biensur babette et tu t'en occuperas lorsqu'il aura besoin d'une fessée et pendant ce mois de vaccances elle s'en ai bien occupée de moi point de vue blouses, bretelles et surtout le martinet j'en reçevais enore d'avantage qu'avec maman ah oui je m'en rapelle de ces vaccances dans la corréze !

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  9. Forts interressants tous ces récits de garçons et filles qui racontent leurs obligation de porter une blouse en nylon + les féssées au martinet données regulierement sur les fesses aussi !Il est vrai aussi que beaucoup de garçons meme adolescents portaient des bretelles que leurs meres aimaient aussi leur mettre !histoire que leurs culottes courtes soient toujours bien remontées pour que les lanieres du martinet atteignent bien nos popotins !En plus le notre de martinet était accroché sur un clou dans la cuisine à coté du frigo comme ça tout le monde pouvait le voir !et tout le monde pouvait voir que nos meres nous fessaient avec,en faite nous en plus que ces maudites lanieres en cuir nous faisaient mal ,de plus on était pas tellement fieres garçons et filles compris !De plus moi ma mere me l'a donnée jusqu'à 17 ans alors je connais !et meme devant tout le monde s'il y avait quelqu'un à la maison !En plus si pour ma mere j'avais dépassé les bornes pour ma mere,la ,c'était ma culotte et slip abaissés et j'étais fessé cul nu,ce qui faisait vraiment mal ,et ça ça arrivait aussi souvent !Et cette mode de fessée à tout de meme durée fort longtemps en France !meme lorsqu'on sortait aussi ce maudit martinet était du voyage,la preuve c'est qu'une fois étant de sortie une fois en voiture et assis derriere avec uns cousine de mon age vers 15 ans donc ,ons'est chamaillés moi et cette cousine et ma mere à dit d'arreter mais apparament ça n'a pas passé ,et je me rapelle que ma mere à dit à mon pere arrete toi sur le bord de la route et elle nous a fait descendre tous les deux et elle a remonté la jupe et la blouse à ma cousine et moi en un tour de main la mienne de blouse a été relevée puis avec ses mains expertes elle a détachée mes bretelles toujours bien tendues et ma culotte et slips sont tombés par terre et la tous les deux nous avons reçus une fessée mémorable avec le martinet qui était dans le sac de ma mere ,et comme ma mere était vraiment en colére nous l'avons sentis tous les deux !Je vous assure que c'est bien passé comme ça ,et que nos fesses ont été bien marquées longtemps! Ce qui n'était pas rare non plus c'était aussi de voir les garçons et les filles féssées en plein rus par leurs meres au martinet devant tout le monde si par malheur elle devait crier aprés nous !En vérité nous ne pouvons pas comparrer l'époque actuel avec ce qui se passait il y a seulement 40 ans en arriere mais c'était la mode!

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  10. En ayant lue le message ci-dessus ,daté du 20 janvier 2021,c'est bien comme ça que les choses se passaient car à cette époque moi aussi j'ai connue cela avec ma mere ,qui ne laissait rien passer! et meme le fait que je sois enfant uniquen ça ne changeait en rien l'attitude que ma mere avait envers moi,Souvent elle me disait ce n'est pas parceque tu es une fille unique que je vais te laisser tout faire ,d'aillieurs tu as Interet à m'écouter sinon les lanieres en cuir du Martinet carresseront tes fesseset,et je l'ai reçue,jusqu'à mes 16 ans;et aussi jusqu'à cet age je fus toujours habillée pareil par ma mere ,à savoir,jusqu'à mes 16 ans ma mere me faisait mettre des jupes en tergal grises plissées avec Larges bretelles boutonées,une blouse en nylon boutonée dos et le beret et pour partir soit à l'école ou sortir ,voir rester à la maison je devais etre habillée de cette façon ,meme le beret je devais le garder sur ma tete à la maison et gare si je ne respectais pas cette régle ,le Martinet entrait vite en action sur mes fesses avec ma mere! De plus meme s'il y avait du monde à la maison ,je reçevais une belle fouetée au Martinet par ma mere devant tout le monde: En plus à cette époque les autres personnes présentes encourageaient ma mere en disant !Oui vas y ça ne peux que lui faire que du bien une bonne fessée au Martinet! Car eux aussi comme à peu prés tout le monde ayant aussi des enfants employaient le Martinet! Comme une fois ma mere m'avait achetée une nouvelle jupe mais sans Bretelles et de ce ait ça ne lui convenait pas et elle est allé au magasin m'acheter une paire en elastique avec 4 énormes pinces en metal et moi ça ne me plaisait pas trop ,d'aillieurs une fois je susis meme allée au lyçée en ne mettant pas ces bretelles et ma mere l'a découvert car je les avais jetées audessus de ma garde robe ,et lorsque ma mere les à découvetrs ça l'a vraiment mise en colére et elle est venue ce jour la à ma rencontre à la sortie du lyçée ,avec son Martinet dans la poche de sa blouse et m'en a flanquée tout en marchant dans la rue ,je crois que ce jour la ,je me suis payée la honte de ma vie!,at je n'ai plus jamais essayée de partir sans mettre mes Bretelles et tout autre chose d'aillieurs ,mais à cette époque les choses allaient comme ça et personne ne trouvait à redire!
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