jeudi 7 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Mercredi 6 septembre 2023

J’avais réussi à passer toute une journée, le mardi, sans recevoir la fessée. C’était exceptionnel et dû à des circonstances particulières que je ne vous détaillerais pas. Ce n’était pas que ma compagne n’ait pas eu deux ou trois bonnes raisons de me baisser la culotte, mais le contexte ne s’y prêtait pas. Il n’y eut donc pas de fessée, bien que ma compagne m’en ait promis une.

Nous n’étions pas encore levés quand ma compagne me rappela mon oubli et la promesse qu’elle m’avait faite. Je n’avais pas vraiment espoir de passer à travers, mais ce rappel concrétisait l’attente d’une punition que la compagne différa un peu. Différé, certes, mais pas oublié.

mardi 5 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 4 septembre 2023 – 15h10

Maman avait effectivement bien tiré les conclusions de notre conversation du matin. Je n’eus pas très longtemps à attendre pour qu’elle m’en donne la preuve. L’après-midi même, elle passait à l’acte, mettant en œuvre l'ensemble de la palette des punitions dont nous avions parlé. Cela me fit une très sérieuse correction.

J’avais fait très attention, dans le reste de la matinée, à ne pas lui fournir une autre raison de me donner la fessée. Elle s’était passée tranquillement, même si le thermomètre ne cessait de monter. C’est après le repas de midi que les choses se sont corsées pour moi.

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 4 septembre 2023 - 10h35

Tout est venu, me semble-t-il, d’une discussion que nous avons eue avec ma compagne avant de prendre notre petit déjeuner. Je devais aller chercher du pain et elle m’avait habillé en conséquence. Juste avant de partir, ma compagne me demanda :


« Tu n’as pas envie de faire pipi ? »

Cela fait partie de ses prérogatives de surveiller mes passages aux toilettes et je sais qu’une sévère correction m’attends si j’ai le malheur de salir ma culotte. Là, ce ne pouvait être le cas, ma compagne venait de me l’enfiler quelques minutes auparavant. Elle était dans la prévention. Elle tnait son rôle de Maman avec attention.

« Non, je n’ai pas envie. Je suis déjà allé aux toilettes ce matin.

– Oui, eh bien ce n’est pas grave tu vas y retourner maintenant. »

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 3 septembre 2023

Si l’on y réfléchit bien, les raisons de donner une cuisante fessée déculottée à un adulte sont nombreuses. Il faut, pour cela, qu’une personne ait une responsabilité éducative vis à vis de celui qui est ainsi puni. C’est la cas de ma compagne. Elle s’attache à ce que mon comportement soit conforme à ce que doit être celui d’un garçon bien élevé.


Cela la conduit à sanctionner tout comportement qu’elle juge inapproprié. Jusqu’à Maintenant, elle n’a rien trouvé de plus performant qu’une bonne fessée déculottée. L’important, me dit-elle souvent, c’est que je comprenne pourquoi je suis puni.

Cela amène ma compagne à une très grande exigence vis à vis de moi qui l’amène à me corriger quand j’en ai besoin. En ce moment, ma compagne est très disponible. Elle est donc très attentive à tous mes écarts. J’en ai fait l’expérience ce dimanche.

lundi 4 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 2 septembre 2023 – 19h20

Durant tout le trajet qui nous ramenait à la maison, je ne pouvait m’empêcher de penser à la fessée qui m’y attendait. J’étais plongé dans mes pensées et ma compagne aussi, de sorte que le voyage fut assez silencieux.

Ma compagne m’avait promis une très grosse fessée et celles que j’avais reçues sur la grève n’en atténueraient pas la rigueur. Je n’avais pas de doute sur le déculottage et sur la cuisson qui embraserait mes fesses. Cela était habituel quand ma compagne me fessait. Je ruminais, par contre, plusieurs questions : où ma compagne allait-elle me fesser, à l’intérieur, à l’extérieur ? Me mettrait-elle ensuite au coin ou au piquet ? Serait-ce à l’intérieur ou à l’extérieur ? Le temps le permettait. Renforcerait-elle la fessée en utilisant un instrument correctif ? La plupart d’entre eux n’étaient pas à la maison. Lesquels pourraient-elle utiliser ? Le dos de la brosse, une baguette cueillie dans un arbre, la ceinture, les orties (il y en avait plein autour de la maison) ?
Plus le temps passait, plus nous nous rapprochions du lieu et du moment de ma prochaine correction. La voiture nous y conduisait inexorablement.

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 2 septembre 2023 - 17h15

J’aime bien que ma compagne s’occupe de moi la journée durant. Elle me cajole et me câline, elle me caresse, elle m’habille et me déshabille, elle me donne la douche… et il y a toujours plein de bisous à plein de moments dans la journée. Ellle veille sur moi comme si j’étais son petit garçon et qu’elle était ma Maman. C’est très agréable. C’est notre mode de relation habituel, une relation filiale.

Bien sûr, en tant que Maman, elle est très exigeante avec moi. Elle fait très attention à ce que je sois un garçon bien élevé, obéissant, travailleur… tout ce que veut une Maman, normalement constituée, pour son garçon. C’est une éducation sévère, mais attentive. Bien que je sois un adulte, elle a accepté de s’en charger.

dimanche 3 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 1er septembre 2023 – 21h50

« Tu ne publies plus sur le blog le récit des fessées que je te donne ? »


Il est vrai que je n’avais pas écrit, et encore moins mis à disposition des lecteurs la description des deux corrections reçues ce vendredi 1er septembre.

« Tu veux que je les publies ?

– Bien sûr, cela fait partie de la punition. »

Ma compagne reprenait à son compte cette partie de la punition, consistant à faire savoir le plus largement possible quand je recevais une fessée.

« Je tiens à ce que tout le monde sache comment je maintiens la discipline dans notre maison. »

Voilà donc le deuxième exposé de la reprise des corrections que ma compagne m’a donné. Il y en aura certainement d’autres.

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 1er septembre 2023 - 9h05

Cela faisait plusieurs fois que ma compagne me menaçait d’une fessée. Il y avait eu, bien sûr, quelques claques sur les fesses, que ce soit sur le fond du pantalon et parfois même sur la peau nue, mais rien depuis longtemps qui s’apparentait à une réelle fessée, même si la cuisson avait souvent été effective quoique brève. Mais même trois ou quatre claques sèches sur les fesses nues, cela ne peut pas être considéré comme une vraie fessée. La dernière, si j’en crois ce qui est publié sur ce blog, datait de la mi-mai. Plus de trois mois. Mes plaintes, largement simulées et amplifiées alors que la cuisson sur mes fesses était minimes, avait plusieurs fois provoqué un commentaire désabusé.
« J’ai l’impression que tu as oublié ce qu’est une vraie fessée, m’avait-elle fait remarquer. Cela fait sans doute trop longtemps que tu n’en as pas reçu une ! »

Je me gardais bien de toute provocation à ces moments-là, sachant que j’étais alors très proche de recevoir une réelle fessée déculottée si j’en fournissais la moindre raison.