vendredi 30 décembre 2016

Villa des myosotis - chapitre 2 - formulaire

-          Bon, Passons aux formalités. Sœur Gabrielle, voulez-vous distribuer les formulaires ?
La religieuse déposa un feuillet devant chacun de nous que nous commençâmes à lire.
Je soussigné                                           , adulte sain de corps et d'esprit, déclare reconnaitre l'autorité légitime des religieuses durant mon séjour dans leur couvent. Je déclare donc accepter, à n'importe quel moment et en n'importe quel lieu, toute punition qu'elles estimeront nécessaire de m'infliger pour désobéissance, comportement inadéquat, travail ou résultats scolaires insuffisants ou pour tout autre motif laissé à l'appréciation de la ou les personnes dépositaires de l'autorité.

samedi 24 décembre 2016

Villa des myosotis - chapitre 1 - l'arrivée


J'y étais enfin : Villa des myosotis. Nom usurpé, pas l'ombre d'un myosotis en vue.
C'était une maison bourgeoise comme il y en avait tant dans les petites villes de provinces, dans un quartier un peu retiré du centre ville, sans être dans la banlieue. Cela sentait bon le début du XXème siècle, le calme, une vie tranquille.
Rien ne distinguait cette maison si ce n'est qu'elle était ceinte d'un mur suffisamment haut pour cacher la vue du jardin. Une haie d'arbres dépassait largement de cette clôture montrant le soin que les habitants avaient eu à se créer un espace d'intimité. Cette ceinture végétale entourait la propriété et il était patent que ce qui s'y déroulait se faisait sans que les voisins puissent en être les spectateurs. La façade donnant sur la rue. Les fenêtres étaient occultées par des rideaux qui ne laissaient rien entrevoir de son intérieur. Cela donnait une impression de renfermé, pas vraiment une prison, il y manquait les accessoires indispensables à cette fonction, mais plutôt une résidence dans laquelle il n'était pas aisé ni de pénétrer, ni de sortir sans autorisation. Cela avait un air strict, rigide, un peu suranné, une maison qui devait accentuer le caractère respectable de son propriétaire dans les années 50.
J'aurais pu hésiter longuement pour la différencier de ses voisines si je n'avais eu que sa description. Elle portait heureusement un numéro et une plaque discrète indiquant que, comme pour beaucoup de ses voisines, les propriétaires, il y a quelques années si on en juge par l'état de la plaque, avaient cru bon de lui donner un nom : Villa des Myosotis.

samedi 17 décembre 2016

Louisa et moi - chapitre 7

J'ai beaucoup hésité avant de vous conter ce qui suit. Toutefois, je me sens suffisamment protégé par l'anonymat pour me risquer à revivre, en pensée et à coucher sur le papier les moments dont le seul souvenir me fait encore rougir de honte. Tout a commencé dans des circonstances assez habituelles.

J'obtenais assez facilement l'autorisation de sortir le soir quand Louisa jugeait que mon comportement avait été satisfaisant durant la semaine. Elle y mettait, évidemment, des conditions strictes que je devais respecter à la lettre : seules les sorties du week-end était autorisées ; l'heure de mon retour était programmée ; les lieux où je passais la soirée devait être annoncés à l'avance ; l'alcool, comme le tabac m'étaient interdits. J'avais réussi à faire croire à mes amis que toutes ces contraintes faisaient partie d'une hygiène de vie que m'imposais de mon propre chef.

samedi 10 décembre 2016

Louisa et moi - chapitre 6

Les normes d'hygiène pratiquées par Louisa étaient très pointilleuses. Non seulement elle considérait qu'elle devait, elle même, les respecter, mais, de plus, elle se mit en tête de me les imposer. Sans que cela fût explicite, elle fit monter son niveau d'exigence à mon encontre.

La première fois qu'elle me fit comprendre que cette nouvelle règle entrait en vigueur, j'avais pris la liberté de m'installer à table avec des mains dont la propreté n'était pas irréprochable. Cela n'échappa pas à son regard exercé.
-       Montre-moi tes mains, Daniel !
Retrouvant des gestes de petit garçon, je tendis mes bras vers elle, offrant mes mains à son inspection, le dessus en premier, puis les retournant, les paumes ouvertes.
-       Veux-tu aller les laver tout de suite !
Je revins bientôt avec les mains aussi propres qu'il était possible. En marquant ainsi ma bonne volonté, j'espérais passer au travers des conséquences de mon oubli. C'était au début de ma co-habitation avec Louisa, je me faisais encore beaucoup d'illusion sur ma possibilité d'échapper aux effets prévisibles lorsque je manquais aux règles en vigueur à la maison.

Louisa et moi - chapitre 5

Pourtant, chacune des fessées reçues fut une véritable épreuve, chacune me laissait les fesses incandescentes, voire marquées pour un jour ou deux. Cependant, ce n'était pas la douleur qui représentait la partie la plus difficile du rituel que Louisa m'imposait. Etre exposé, les fesses nues, au piquet après avoir été corrigé était également un moment pénible à vivre, mais je crois que le moment le plus humiliant était le déculottage. Dès l'annonce du châtiment imminent, j'étais traversé de sentiments contradictoires. D'une part, me dénuder en présence d'une jeune fille à peine plus âgée que moi avait un caractère érotique évident. Cela aurait pu être un prélude à un rapport sexuel. L'excitation qui en résultait gonflait immanquablement ma verge alors que mon pantalon couvrait encore mon intimité. D'autre part, dès que j'avais été averti qu'une fessée allait m'être administrée, une boule me nouait le ventre en un mélange de peur, d'appréhension de la douleur à venir et d'humiliation à la perspective d'être puni comme un petit garçon. Cette situation calmait mes ardeurs, venant contrebalancer mon excitation.

Louisa et moi Chapitre 4

Dès mon réveil, après avoir dissipé les dernières brumes du sommeil, je constatais la différence entre les effets des deux fessées : celle qui m’avait été administrée à la main avant hier, et celle que j’avais reçue hier soir, appliquée avec le martinet. Contrairement à hier matin, ce n’était pas un simple picotement résiduel qui tirait la peau de mes fesses. Je pouvais, ce matin encore, sentir les traces que les lanières du martinet avaient laissées sur mon postérieur. La brûlure, sans être aussi accusée qu’hier soir, restait bien présente de telle sorte que je ne pus m’asseoir qu’avec précaution.
Je me dirigeais vers le miroir qui recouvrait l’une des portes de mon armoire. Baissant ma culotte de pyjama et me tordant le cou, je pus apercevoir mes fesses zébrées de traces rouges virant, pour certaines, au bleu. Depuis le bas de mon dos jusqu’au milieu des cuisses les effets du martinet se constataient du premier coup d’œil. Des sillons grossièrement parallèles jalonnaient la peau blanche que le soleil d’été avait épargnée. Passant ma main sur la peau de mes fesses, je pus sentir que, là où le martinet s’était abattu, la surface de mon postérieur était plus dure, comme légèrement creusée par la sévérité des coups des lanières de cuir.

Louisa et moi - chapitre 3

Elle se leva. Mes doigts se croisèrent sur le sommet de mon crâne et il aurait fallu au moins un tremblement de terre pour les désunir. Louisa pinça le lobe de mon oreille entre son pouce et son index et elle me conduisit le long du mur du séjour. Je n’eus pas besoin d’autres consignes pour coller mon nez contre la cloison et m’immobiliser dans la position requise par la suite de ma punition.
-       Et souviens-toi, je ne veux plus entendre parler de toi !

Louisa et moi - chapitre 2

Dans mon demi-sommeil, j’entendis la porte de ma chambre s’ouvrir, puis la lumière du plafonnier éclaira ma chambre, passant à travers mes paupières closes. Qui se permet de me réveiller ainsi, pensais-je dans les brumes de fin de sommeil ? Emergeant lentement, j’étais incapable de savoir où j’étais. Les odeurs et les bruits m’étaient étrangers. Afin d’éclaircir ce mystère, je me tournais pour m’allonger sur le dos.
L’élancement émanant de mes fesses clarifia instantanément mes idées. En une vague déferlante, je me rappelais la soirée d’hier. J’étais dans ma nouvelle chambre, chez Louisa. Le souvenir de la fessée déculottée que j’avais reçue hier était de nouveau présent à mon esprit. A cette pensée, je me réveillais tout à fait pour apercevoir Louisa, encore en pyjama, qui se tenait sur le seuil de ma chambre.

Louisa et moi - chapitre 1

Une jeune femme qui semblait avoir une petite dizaine d’années de plus que moi, m’avait ouvert la porte. Je venais de faire connaissance avec Louisa. Elle m’a invité à pénétrer dans la pièce et m’a proposé de m’asseoir. Tout de suite, elle a engagé la conversation, en en prenant résolument la direction. En quelques minutes, elle m’avait questionné sur ma famille, mes études, mes aspirations et sur ce qui m’amenait chez elle ce soir là. Ses questions se faisaient plus insistantes lorsque mes réponses ne lui semblaient pas assez précises. Une ou deux fois, j’eu l’impression qu’elle en était agacée. Elle fronçait alors ses sourcils et sa voix se faisait alors plus sèche. Cet interrogatoire ne me laissa pas le temps de reprendre mon souffle. Je lui confessais dans le détail les événements de ces dernières semaines qui expliquaient ma présence chez elle.

Interpellation à la gente féminine

Amies lectrices, amis lecteurs,
Dans les commentaires ou les courriels que je reçois, beaucoup de lecteurs regrettent que les annoncent que j’ai publiées ne soient que de la fiction. Mes interlocuteurs sont presque uniquement des messieurs d’âges variés. En fait, depuis presque dix mois que je tiens ce blog, je n’ai eu qu’une interlocutrice.
Certains de mes lecteurs ont semblé prendre ces annonces pour la réalité. J’ai dû les ramener à un triste constat : tout ceci n’est que fiction. Je tire peut-être des conclusions hâtives. Il ne faut pas écarter trop tôt l’idée qu’ils jouaient un jeu en essayant de le rendre plus réaliste encore, mais qu’ils savaient que ce je présentais comme des propositions n’était qu’invention. Les cours de fessée, les séjours éducatifs, les leçons d’orthographe, … tout cela n’a pas le moindre début de commencement.
Ce blog est consacré à la fessée éducative entre adultes, donnée par une main féminine.Vous aurez remarqué qu’ici il n’est pas question ni de rapports sexuels, ni de bondage et que les humiliations sont la conséquence inévitable des punitions mais qu’elles ne sont pas recherchées a priori. Enfin, le pardon est l’aboutissement de la correction, une fois la faute expiée.

St Marie - chapitre 7

Le silence qui régnait dans la pièce durant ces premiers instants ne fut troublé que par les déplacements de Madame Lambret. Lucille et moi cherchions à nous faire oublier. Je cherchais, cependant, à comprendre ce qui se passait dans mon dos. Bientôt la situation fut très claire. Madame Lambret après avoir pris place sur le canapé, avait mis en marche la télévision. Comme nous encadrions le poste, elle devait avoir une vision périphérique sur nos deux postérieurs. Il était patent que le moindre manquement aux consignes qui nous avaient été données ne passerait pas inaperçu.
L’horreur de ma situation m’apparu alors totalement. Jusqu’alors, je n’avais pas vraiment eu le temps de réfléchir à ce qui m’arrivait. Les événements s’étaient enchaînés trop vite pour que je puisse en absorber le contenu : saurai-je supporter ce contrôle total sur tous les aspects de ma vie, saurais-je me soumettre, sans m’insurger, aux fessées qui s’annonçaient régulières et douloureuses ?

St Marie - chapitre 6

Lucille me donna les consignes pour assurer un débarrassage dans les règles. Nous répartîmes les tâches ce qui ne nous prit que quelques minutes.
Je suivais Lucille pour regagner la salle à manger quand le souvenir de ce qui m’attendait revint à ma mémoire : ma fessée d’après repas. Un nœud se format de nouveau au creux de mon estomac. Je marquais un temps d’arrêt sur le seuil de la pièce, cherchant du regard une sortie honorable. Il fallut me rendre à l’évidence : il n’y avait pas d’alternative. Il me fallait subir mon sort et me soumettre à l’autorité de ma tutrice sans espérer de clémence excessive.

St Marie - chapitre 5

Ainsi placé, je n’eus plus que des informations très fragmentaires sur ce qui se passait derrière  moi. J’entendais ma tutrice vaquer à ses occupations et je ne réussissais à la situer que lorsqu’elle faisait un léger bruit en utilisait l’un des objets quotidiens. Au bout de quelques minutes, je l’entendis prendre place dans le canapé.
-          Voyons, quel est le numéro de téléphone de la tante de ce grand jeune homme si sage dans son coin ?
Il y eut quelques légers bruits que je ne parvins pas à identifier.
-          Ah, voila ! Très pratique ce carnet de correspondance, il y a tout ce qu’il faut.
Il y eut un bruit de téléphone.
-          Allo ? Madame Letourneur ?

St Marie - chapitre 4

J’hésitais encore une fois, mais il me fallait bien aller au bout. Madame Lambret m’attendait et j’avais déjà tardé, passant d’abord chez moi. Puis j’avais pris le temps de la réflexion, envisageant encore une fois de tout laisser tomber. J’avais dû me convaincre que le plus dur était passé après ce que j’avais subi dans le bureau de la directrice de Sainte Marie.
Malgré ma ferme résolution, les 5 pas qui séparaient la porte de mon appartement de celle de ma voisine m’avaient paru bien trop courts.
Mon carnet de correspondance à la main, j’appuyais brièvement sur la sonnette. Quelques secondes plus tard, Madame Lambret ouvrait la porte.

St Marie - chapitre 3

La conversation reprit derrière moi, mais je n’y prêtais plus attention. L’annonce de ma prochaine fessée occupait la totalité de mon esprit. J’étais incapable de penser à autre chose. Mon estomac était noué de peur en perspective de cette nouvelle punition. Je me sentais au bord des larmes que je refoulais à grand peine.
Ma station au piquet se prolongea. Je sentis, peu à peu, la cuisson de mes fesses diminuer sans toutefois disparaître complètement. Trois personnes entrèrent dans le bureau. Je pris bien garde de conserver ma pause le plus strictement possible. Il ne fut d’ailleurs pas du tout question de moi. Apparemment les personnes qui constataient, que je me tenais déculotté au piquet, les fesses certainement encore rouge, devaient trouver la situation tout à fait normale comme si j’étais un petit garçon. Et comme un petit garçon, acceptant ma punition, je restais le nez collé au mur, ma culotte baissée montrant que j’avais été puni d’une bonne fessée.

St Marie - chapitre 2

C’est à ce moment que j’ai commencé à réaliser ce qui m’arrivait : la fessée à laquelle j’avais été soumis et celles qui m’étaient promises dans cette école, la rigueur du châtiment que j’avais confirmée par mon comportement durant l’administration de la punition, l’abandon de toute pudeur en exposant mes fesses et mon sexe aux regards de la religieuse, l’obéissance enfin qui savait me contraindre à rester le nez contre le mur, la culotte baissée aussi longtemps que ma correctrice l’avait décidé. J’avais honte, honte d’avoir été traité comme un petit garçon, honte de m’être comporté comme un petit garçon, honte de me soumettre comme un petit garçon.

St Marie - chapitre 1

-          Ainsi donc, à 32 ans, vous voulez reprendre des études ?
Assis sur la chaise face à cette femme impressionnante derrière son bureau monumental, j’étais mal à l’aise dans cette situation inhabituelle.
La directrice de la vénérable institution Sainte Marie me dévisageait, visiblement sceptique.
-          Qu’est-ce qui peut bien amener un jeune homme de votre âge à vouloir passer son bac près de… elle consulta le dossier ouvert devant elle …de 15 ans après avoir cessé ses études, brusquement, sans raison apparente ?
Je repensais brièvement à ce jour où, sur un coup de tête, j’annonçais à mes parents que je ne passerai pas le bac, deux mois avant cette épreuve à laquelle, il est vrai, je ne me préparais pas vraiment comme il est habituellement d’usage dans l’année de terminale. Mes parents, plutôt laxistes depuis ma plus tendre enfance, avaient vainement tenté de me faire changer d’avis. Comme à leur habitude, ils n’avaient pas envisagé de faire jouer l’autorité qu’ils n’avaient de toute façon pas. Ma décision avait donc été sans appel.

Contrat de rapatriement domestique

Contrat de rapatriement domestique
Entre :
Nom :                                                                         Prénom :
Adresse :
Code postal                                                             Ville
ci-après nommé « la partie senior ».

Fabien - chapitre 19

Les deux filles me laissèrent récupérer au coin. Si j’en juge par la conversation que j’entendais, après les quelques minutes où elles se congratulèrent d’avoir si bien réussi leur coup, elles se désintéressèrent de moi. Elles étaient occupées dans un premier temps autour de l’ordinateur puis à d’autres activités que ma seule ouie n’arriva pas à identifier. Cela me convenait très bien.
L’après-midi passa ainsi.

- »Oh la la, il est temps que je rentre ! Je ne vais jamais arriver à faire tout ce que je dois achever avant de manger. Allons, Fabien, on y va ! »
Je me retournais, n’osant pas me reculotter sans en avoir reçu l’autorisation.
- »Tu l’emmènes comme ça, cul nu ? »

Réprimande 10

« Surprenant … surprenant qu’à cinquante-trois ans, vous éprouviez encore le besoin de voler des bonbons dans un magasin. Voyons voir … pour un préjudice de deux euros quarante-cinq ! Et de plus, vous êtes assez maladroit pour vous faire prendre. Je trouve que vous poussez la bêtise un peu loin.
Cela fait dix-huit ans que je suis substitut du procureur. Je dois avouer que c’est la première fois que je vois un homme en pleine maturité se comporter exactement comme un petit garçon. Dans votre tête, vous ne devez pas avoir plus de six ans d’âge mental !

Fabien - chapitre 18

- »Allons, debout, petit paresseux ! »
Je sentis que les draps de mon lit étaient rabattus sur mes pieds, puis une claque atterrit sur mes fesses. Pas bien forte, mais suffisamment pour qu’un petit cri m’échappe, mon postérieur, encore douloureux du traitement qu’il avait subi la veille me faisait réagir à la plus petite irritation.
Encore un peut somnolent, je levais la tête et commençais à protester.
- »Mais ça ne va pas, non, qui … »
Le reste de ma phrase resta en suspend. La fin de la soirée d’hier me revint en mémoire et mon œil à moitié ouvert me permit d’apercevoir Lucie qui se tenait debout à coté de mon lit. Elle qui, habituellement, restait souvent au lit une bonne partie de la matinée, avait trouvé la ressource pour être debout avant moi et venir me réveiller brusquement, assurée de sa nouvelle autorité sur moi.

Réprimande 7

- Entrez ! Ah, c’est vous, jeune homme. Approchez donc.
Je vous ai effectivement convoqué dans mon bureau pour aborder un problème qui commence à devenir récurrent. Votre cheffe de service s’en plaint et vos collègues commencent à penser que vous bénéficier d’un régime de faveur.
Malgré les nombreuses remarques qui vous ont été faites depuis votre embauche, vous persistez à arriver régulièrement en retard au travail. Parfois cinq minutes, souvent une dizaine et il n’est pas rare qu’on doive vous attendre presque d’une demi-heure. C’est avec une attitude indifférente, presque de l’insolence, que vous accueillez les remontrances qui vous ont alors été adressées. Cette méthode qui convient pour la plupart des adultes est sans effet sur vous.

Fabien - chapitre 17

Tante Maud et Lucie ne se quittèrent pas du début de l’après-midi. En fait, c’était plus exactement Lucie qui suivait tante Maud pas à pas. Ce simple fait aurait dû m’alerter. Durant tout le temps qu’elles consacrèrent au rangement, la conversation entre elles deux allait bon train. Je ne m’en inquiétais pas, attendant mon heure.
Le rangement achevé dans la cuisine, Lucie entraîna tante Maud vers la chambre où elles ne firent qu’un bref passage. Elles sortirent toutes les deux dans le jardin.
Il me fallait protéger mes arrières. Je les suivis à l’extérieur et je m’allongeais sous un arbre, non loin du lieu où elles se tenaient. L’emplacement avait le gros avantage de me permettre de me glisser subrepticement dans la maison sans que personne ne puisse m’apercevoir. Feignant de lire un livre, je patientais quelques instants avant de me lancer dans la deuxième phase de mon plan.

Dossier d’inscription – Autorisation à recourir aux châtiments corporels

Copier ce texte dans le corps du courriel (voir formulaire ci-dessous), puis remplissez-le avant de l’adresser à l’adresse internet du blog « une bonne fessée ». Attention, tout formulaire insuffisamment renseigné ne sera pas pris en compte. Ne pas oublier de remplir la fiche de renseignement (voir article contigu). Vous serez contacté, par courriel, dès que des places seront disponibles.

Dossier d'inscription

Copier ce texte dans le corps du courriel (voir formulaire ci-dessous), puis remplissez-le avant de l’adresser à l’adresse internet du blog « une bonne fessée ». Attention, tout formulaire insuffisamment renseigné ne sera pas pris en compte. Ne pas oublier de remplir l’autorisation de recourir aux châtiments corporels (voir article contigu). Vous serez contacté, par courriel, dès que des places seront disponibles.

Fabien - chapitre 16

Pour ma part, je n’avais pas oublié l’humiliation que Lucie m’avait fait subir en invitant Corinne à venir me contempler alors que j’expiais ma désobéissance au piquet. Elles s’étaient permis d’accompagner leurs sarcasmes de quelques fessées qui avaient fait plus de mal à mon ego qu’à mon postérieur. J’étais résolu de me venger avec éclat et je guettais l’occasion.
Il me semblait bien trop hasardeux de tenter de rendre moi-même la monnaie de sa pièce à ma cousine, bien que l’envie de la tenir sur mes genoux, la culotte baissée, me tenaillât au plus haut point. Je m’imaginais souvent lui rougir le derrière comme j’estimais qu’elle l’avait mérité. Il me semblait que j’arriverai à la mettre en position adéquate, quitte à utiliser ma force, bien supérieure à la sienne mais je ne doutais pas que Tante Maud n’apprécierait pas. Les conséquences de cette éventualité me faisaient frissonner d’épouvante, rien que d’y penser.

Réprimande 6

« Mais … je n’en crois pas mes yeux. Affalé sur le canapé, devant la télévision, une bouteille de bière à portée de main.
Par contre, si j’ai bien vu, le lavabo de la salle de bain est toujours bouché. Tu ne sais sans doute pas que sortir la trousse à outils du placard, ne suffit pas. Il faut se servir de ce qu’il y a dedans pour espérer réparer ce qui doit l’être. En passant ton temps devant la TV, tu ne risquais pas de te salir les mains. C’était beaucoup plus urgent que de prendre ta part de l’entretien de notre maison.
Ici, il y a deux sortes de grandes personnes : celle qui, après sa semaine de travail, s’occupe des courses, du ménage, de régler les factures, de faire la lessive et de ranger tes affaires que tu laisses traîner ; et celle qui se contente de jouer sur son ordinateur, de regarder le foot à la télé. Je dois même me battre pour que tu fasses ta toilette et que tu t’habilles à des heures décentes.

Fabien - chapitre 15

La fin des vacances de Noël me ramena chez Madame Leblanc. J’y retournais sans appréhension. Les fessées s’espacèrent, autant pour moi que pour mes compagnes. Je n’en reçus qu’exceptionnellement plus d’une par semaine. Mes difficultés d’anglais m’amenaient, par contre, régulièrement sur les genoux de Carole qui prenait son rôle très au sérieux. Alternant encouragements et punitions, elle me permit d’obtenir un niveau suffisant pour ne pas dépareiller sur mon livret scolaire. Je rejoignis, petit à petit, la tête de la classe, pour ne plus la quitter de toute l’année.

Il était de tradition que j’aille passer un mois des vacances d’été avec Tante Maud et ses filles dans une villa sur la côte d’azur qui lui était prêtée par une amie. J’y allais depuis que j’étais tout petit. J’y retrouvais des amis que je connaissais depuis de nombreuses années. Cette année encore, je m’y préparais avec un plaisir anticipé.
Dès les premiers jours, je compris qu’un changement durable était intervenu. Le laxisme notoire de Tante Maud envers ses enfants avait laissé place à une sévérité à laquelle celle de Maman ou de Madame Leblanc n’avait rein à envier. Le martinet était à portée de main et Tante Maud n’hésitait pas à s’en servir.

Réprimande 5

« Jeune homme, j’ai à vous parler. entrez donc dans le salon.
Notre voisine, Madame Berthou, s’est plainte de votre comportement. Elle m’a rapporté votre attitude grossière lorsqu’elle vous a reproché d’avoir jeté un papier par terre. Au lieu de le ramasser et de la prier de vous excuser, vous avez été non seulement insolent mais de plus vous avez usé de mots que je n’oserais pas répéter et qui étaient tout à fait inconvenants pour s’adresser à une dame de cet âge qui a, toute sa vie, veillé au bien être de notre communauté.
La dernière fois que cette dame vous avait fait une remarque, il y a quelques jours, vous vous étiez contenté d’ignorer sa demande en marquant ostensiblement votre mépris. Je constate que vous avez décidé, ce matin, de franchir une étape dans l’impolitesse. Je me demande bien quelle sera votre attitude lorsque, tout à fait justement, ma chère voisine vous fera remarquer votre prochaine turpitude.

Fabien - chapitre 14

- »Fabien, viens me voir, sil te plait. »
Je posais mon manteau tout humide du crachin qui tombait. Les dix minutes de marche que je venais d’effectuer depuis ma descente du bus avaient suffit pour que des fines gouttes de pluie ruisselantes laissent une trace humide sous le porte manteau.
Dans le séjour où m’attendait Maman, Tante Maud, sa petite sœur, me souriait gentiment. J’avais toujours eu un contact privilégié avec ma tante qui avait, un peu, joué le rôle de grande sœur, si pratique pour des confidences d’autant plus que comme je ne la voyais que de temps en temps, elle ne pouvait pas devenir envahissante. Elle acceptait, lorsque j’étais plus petit, d’être plus ma compagne de jeu qu’une adulte qui aurait pris soin de me faire sentir son autorité. J’avais bénéficié de sa patience même lorsque mes caprices la mettaient à rude épreuve. Nos relations étaient empruntes de familiarité qui passaient par des taquineries incessantes.

Réprimande 4

« Peux-tu m’expliquer ce que c’est que ce courrier ?
- …
- Oui, tu as bien vu, c’est encore un point de moins sur ton permis et une amende à payer. La troisième fois en moins d’un mois ! Trois fois pour vitesse excessive ! Cette fois-ci en agglomération ! Dès qu’il a un volant entre les mains, Monsieur se prend pour le roi de la route, et on se moque des règles à respecter. Elles ne sont plus pour toi. Peu importe les conséquences, tu crois que tu peux faire ce que tu veux.

Fabien - chapitre 13

Les vacances continuèrent ponctuées de fessées et de moment de tendresse comme je n’en avais plus connus avec Maman depuis que j'étais tout petit. Elle se tenait à sa décision, appliquant strictement mais de façon juste les corrections qui sanctionnaient mes irresponsabilités. Les repères étaient faciles à trouver pour moi, en quelque sorte, recevoir la fessée dépendait de moi. Je m’y soumettais comme la juste sanction de mes erreurs. Après coup, elle était toujours disponible pour discuter et m’expliquer ce qu’on pouvait attendre d’un adulte responsable. C’était des moments d’intimité que je n’aurais échangé pour rien au monde.
Quelles que soient les circonstances, je n’ai pas le souvenir qu’elle ait laissé passer un moment où mon comportement méritait d’être sanctionné, y compris quand les circonstances ne s’y prêtaient pas a priori. Ce fût le cas cinq ou six jours après mon retour à la maison.

Fabien - chapitre 12

Je me tenais devant Maman, la lettre à la main. Que disait-elle ? Comment Maman allait-elle réagir ? Je lui tendis le courrier et, les yeux foncés, elle se mit à lire. La lettre était longue, cela lui prit un petit moment.
Je ne savais pas exactement ce qu’il y avait dans la missive, mais je me doutais qu’il ne s’agissait pas de louanges.
Quelques jours plus tôt Madame Leblanc, m’avait donné une fessée quand elle avait lu mon bulletin scolaire.
- »Tes résultats sont très insuffisants, m’avait-elle dit. Il est urgent que tu travailles mieux à l’école. »
Si je comparais avec mes notes obtenues les années précédentes, à mon sens, c’était plutôt en progrès. Je n’avais plus de notes en dessous la moyenne que de temps en temps. Je commençais à n’être pas mauvais dans certaines matières. Madame Leblanc attendait un niveau de performance plus élevé, cela m’avait clairement été annoncé.

Réprimande 3

« Qu’est-ce que c’est que ce capharnaüm ? Des papiers traînant par terre, un lit qui n’a pas été fait au moins depuis le mois dernier, un carton de pizza sur le bureau, tes vêtements sales de la semaine dernière roulés en boule dans le coin de la pièce ! Et ces enveloppes vides sur la chaise, tu ne peux pas plutôt les mettre à la poubelle ? Qu’est-ce que c’est que ça ? Une culotte maculée sous le lit !
Cela fait plus de deux semaines que je te demande de ranger ta chambre. C’est maintenant une vraie porcherie ! Mais tu as l’air de t’en soucier comme de ta première chemise, c’est le cas de le dire.
J’ai accepté que tu reviennes vivre sous mon toit, mais il y avait des conditions. L’entretien de ta chambre en faisait partie. Quand as-tu passé un aspirateur dans cette pièce pour la dernière fois ? Je veux bien parier que depuis trois mois que tu es là, tu ne l’as pas fait une seule fois. Il est vrai que tu ne te soucies pas plus des autres règles de cette maison. J’ai l’impression que tu te crois à l’hôtel et que j’assume à moi toute seule la totalité du service.

Fabien - chapitre 11

Cette nouvelle façon de nous inciter à travailler eut des conséquences inattendues sur nos relations entre étudiants.
 Le lendemain, la barre fût fixée à huit. Elodie, la seule à être descendue au dessous de la note fatidique dut rester après le cours. Les notes s’améliorèrent en quelques jours. Madame Bruno nous expliqua que tous ceux qui, à l’avenir, auraient une note inférieure à dix seraient convoqués à la fin de l’heure, chacun savait maintenant ce que cela signifiait.
Il est vrai qu’il était facile d’obtenir la moyenne. Apprendre un tant soit peu ses leçons permettait de passer la barre. La fessée pour une mauvaise note aux interrogations quotidienne devenait plus rare. Cependant, de temps en temps, l’un de nous, obtenant une note trop basse, devait se présenter pour être puni dès la fin du cours. Il m’arrivait de passer juste à coté, mais je dépensais l’énergie nécessaire pour connaître suffisamment mon cours. Ce fût pourtant suite à l’une de ces interrogations que je reçus la fessée la plus cuisante de toutes celles qui me furent administrées à l’école.

Réprimande 2

« D’où viens-tu ? Sais-tu quelle heure il est ? Tu pensais, sans doute, qu’en rentrant à deux heures du matin, je me serais endormie et que pourrait passer inaperçu un retour aussi tardif ?
Je t’avais pourtant ordonné d’être rentré à vingt-deux heures tout au plus. Il n’est pas question que tu traînes dehors à des heures indues et le fait que tu aies trente-cinq ans n’y change rien. Tu penses, sans doute, que depuis que tu as un travail, tu peux te dispenser des règles qui ont court sous mon toit ? La fameuse indépendance à laquelle tu aspires tant !

Fabien - chapitre 10

Durant toute cette année, la qualité du travail que je pouvais fournir a été une préoccupation de beaucoup de personnes. L’école supérieure de commerce où j’étudiais faisait une sélection impitoyable. Ceux qui n’avaient pas d’assez bons résultats étaient écartés. Nombre de mes camarades en firent les frais. Appelés dans le bureau de la directrice de l’école, il leur était simplement expliqué qu’au vu de leurs notes, ils ne pouvaient continuer à suivre les cours. Du jour au lendemain, ils disparaissaient de l’école. Les deux premiers mois, nous vîmes ainsi fondre les effectifs.
Mes résultats des premières semaines furent médiocres. Les fessées que Madame Leblanc m’administrait, me permirent de me maintenir juste au niveau requis, puis d’intégrer le groupe de ceux qui tenaient la tête de la classe, dès les premières semaines après les vacances de Noël. Mes résultats d’anglais passant de médiocres à moyens grâce à la sévérité de Carole, je n’ai eu que très peu de soucis de niveau scolaire pendant la seconde partie de cette première année d’études à l’ESC.
Toutefois, l’année ne se passa pas sans difficultés. Elles se concentrèrent, dès le début de l’année, sur le cours d’économie que dispensait Madame Bruno.

Cherche institutrice pour cours rattrapage

Homme 51 ans, ayant des difficultés professionnelles liées au manque de maîtrise de l’orthographe et de la grammaire dans ses écrits, cherche institutrice acceptant de lui donner des cours de rattrapage : dictées, apprentissage des règles de grammaire, de syntaxe et d’orthographe, …
Compte tenu de son dilettantisme habituel, la méthode utilisée devra instaurer un cadre de travail strict comprenant des leçons à apprendre et des devoirs à faire à la maison dont la bonne exécution devra être contrôlée. Les fautes récurrentes devront faire l’objet de pensums à copier jusqu’à l’apprentissage parfait des règles.

Fabien - chapitre 9

Madame Leblanc tenait ses promesses. Tout en étant confortablement installés chez elle, nous étions fermement tenus en mains. La présence des cinq grands adolescents que nous étions, ne provoquait pas les scènes domestiques pénibles provoquées par les premières velléités d’indépendance. Une fois la faute identifiée, la sanction suivait : une bonne fessée. Elle respectait également l’engagement pris de nous faire passer une année studieuse. Nous profitions de son savoir faire en la matière. Enseignante, elle-même, elle savait nous aider dans le travail scolaire, nous apprenant à organiser notre travail, à persévérer face aux inévitables difficultés que nous rencontrions régulièrement.
Son exigence quant à la qualité de notre travail était très élevée. Elle surveillait attentivement nos résultats scolaires. Nous étions tenus de lui montrer toutes les notations obtenues, elle veillait à ce que nos devoirs fussent faits avec application et nos leçons apprises quotidiennement. Bien évidemment, tout relâchement dans ce domaine se traduisait par une fessée qui remettait le paresseux dans la voix du travail acharné.
C’était d’ailleurs le motif de punition le plus courant chez Madame Leblanc. Je n’y échappais pas.


Réprimande 1

« C’est très simple, me dit-elle, tant que nous cohabiterons, je serai responsable de toi. Tu devras m’obéir en toute chose et je ne tolérerai pas le plus petit écart. C’en est fini de tes insolences, de ta paresse, de tes caprices et de tes colères. Je ne les laisserai plus passer.
Je n’hésiterai pas à te punir à chaque fois que tu le mériteras. Bien que tu sois majeur, mon garçon, ce sera la fessée déculottée, puis je t’enverrai réfléchir au coin. Tu vas vite te rendre compte que tu n’es pas trop grand pour recevoir une bonne fessée et que c’est tout aussi efficace que pour les petits garçons.
Ne crois pas que la présence, d’autres personnes t’épargnera la fessée ni ne m’empêchera de te baisser la culotte. Sois bien certain que, quand ce sera nécessaire, le martinet saura te transformer en un petit garçon, les fesses toutes rouges, sanglotant sur mes genoux et regrettant la bêtise qu’il vient de commettre.
Viens ici ! » m’ordonna-t-elle.

Fabien - chapitre 8

Durant mon année passée chez Madame Leblanc, certaines exigences m’étaient particulièrement difficiles à tenir. Je n’avais pas été habitué, chez mes parents, à être attentif à tout ce qui importait dans ma résidence estudiantine. Madame Leblanc entreprit de rectifier mon éducation dans les plus brefs délais. Ces périodes d’apprentissages mirent mes fesses à contribution. Elle considérait qu’une chose dite une fois devait être intégrée dès ce moment. Toute nouvelle faute dans ce domaine, justifiait une punition.


Ouverture maison de correction

Institutrice récemment à la retraite ouvre maison de correction pour adultes, destinée à remettre dans le droit chemin homme ou femme (18 ans minimum). Apprentissage de l’obéissance, du respect dû à ses supérieurs, du travail bien fait, de la propreté, du rangement, du langage châtié, … Effets garantis après période d’essai obligatoire en séjour court pour effectuer un diagnostic de la situation, déterminer des préconisations et estimer les résultats atteignables. Service après-vente assuré, y compris à domicile, pour obtenir des comportements durables.

Fabien - chapitre 7

Ce qui me resta le plus difficile, tout au long de l’année, c’était quand une personne étrangère à notre cercle quasi familial, s’immisçait dans ces rites. Baisser la culotte pour donner la fessée était si naturel et si légitime pour Madame Leblanc qu’elle ne faisait pas attention à de tels détails. Les accrocs -ou plutôt les déchirures- à notre pudeur ne comptaient pas. J’en fus la victime et le témoin à plusieurs reprises.

Cours de fessée

Femme 50 ans, expérience solide dans le domaine avec hommes et femmes (conjoint, enfants, neveux et nièces, salarié(e)s, voisin(e)s, …) donne cours pour apprendre à donner la fessée : techniques de déculottage hommes et femmes, maîtrise des positions punitives, administration de fessée à main nue, usage d’instruments punitifs (règle, ceinture, martinet, …), utilisation des punitions accessoires (mise au coin, lignes à copier, …).
Cours collectifs six stagiaires maximum. Méthode active passant par des mises en situation fréquentes. Le stagiaire sera mis alternativement dans les rôles de punisseur et de puni afin de se rendre compte, sur lui-même, des effets corporels et psychologiques de la fessée donnée et reçue. Possibilité de dispense partielle si vous venez avec un puni personnel qui pourra être mutualisé.
Possibilité de cours particuliers à domicile sur demande. Disponibilité permanente d’un puni indispensable malgré les mises en situations alternées.
Durée du stage : cinq semaines consécutives
Tarifs et inscriptions à l’adresse ci-dessous :

Fabien - chapitre 6

En descendant le lendemain, je n’osais toujours pas regarder mes congénères en face. Madame Leblanc régla la question en quelques instants.
- »Fabien, viens me voir; »
Elle me courba sous son bras et me baissa le pantalon de pyjama.
- »Bon, fit-elle, je crois qu’il va encore falloir un peu de pommade sur ces fesses. Après déjeuner, je viendrai t’en mettre dans ta chambre. Tout le monde déjeune, maintenant ! » Elle me reculotta.

Pensionnat pour adultes

Congrégation religieuse des Sœurs de l’Immaculée Conception propose séjours de une à deux semaines  pour adultes, hommes et femmes, afin de les remettre à niveau dans les différentes matières scolaires : français (grammaire et orthographe), mathématique, langues étrangères (anglais, allemand et espagnol), histoire et géographie. Tous niveaux de départ acceptés.

Fabien - chapitre 5

En me réveillant, je me retournais pour me mettre sur le dos. Le cri que je poussais dut réveiller ceux qui dormaient dans les chambres contiguës à la mienne. Des larmes montèrent dans mes yeux. Je retombais sur le ventre et tentais de me masser les fesses. A peine avais-je touché ma peau, que je retirais mes mains. Puis, les posant plus délicatement sur mon postérieur, je massais tout doucement la peau.
Sous mes doigts, je sentais mon épiderme irrégulier, vallonné de petits monts où se concentraient l’urticant des orties et de longues vallées creusées par les lanières du martinet, au fond desquelles la peau était plus rigide. Madame Leblanc entra dans la chambre et alluma le plafonnier.

Recherche gouvernante

Pour obligation professionnelle obligeant à des absences fréquentes en soirée, femme recherche baby-sitter pour prendre en charge son mari (51 ans) et son fils (19 ans) : organisation du dîner, vérification si le travail et les devoirs ont été correctement faits, suivi de la toilette du soir, mise au lit et vérification des heures effectives de coucher.
Une surveillance attentive sera portée sur les comportements interdits (impolitesse, utilisation de gros mots, insolence, désobéissance, caprices ou colères) et les questions d’hygiène corporelle (lavage des oreilles, des fesses et entre les doigts de pied, propreté des sous-vêtements et en particulier des culottes, …).

Fabien - chapitre 4

Quand les copains de l’ESC avec qui je venais de sympathiser, me proposèrent d’aller prendre un pot à la sortie des cours, je m’empressais d’accepter. « Après une dure journée de labeur, pensais-je, se détendre est primordial. » Cela m’arrivait fréquemment les deux années précédentes lorsque j’étais au lycée.
Mes nouveaux amis avaient déjà eu le temps de repérer les bars intéressants qui proposaient une musique à la page et des bières de qualité, pas trop chères. Chacun se lança dans le récit de sa courte histoire qui l’avait conduit à l’Ecole Supérieure de Commerce, dans cette ville où la plupart d’entre nous étaient étrangers. Nous nous trouvâmes une foultitude de points communs : les groupes de musique que nous préférions, les sports que nous pratiquions, nos projets de vie, … Ce fût une fin d’après-midi très agréable, à la terrasse d’un café, en profitant des probables derniers rayons de soleil de l’automne. Chacun d’entre nous se fit un point d’honneur à offrir une tournée. Les six bières ingurgitées commençaient à obscurcir mon jugement. La proposition de repartir pour un deuxième tour me fit revenir aux réalités quotidiennes. 18h30 ! Cela faisait une heure et demi que nous devisions. J’étais très en retard !

Recherche fabricant martinets

Face à l’insuffisance des martinets prévus pour les enfants, hôtesse louant des chambres à des adultes, cherche fabricant de martinets susceptibles de punir efficacement ses locataires quand ils ont mérité une sévère fessée :
  • martinet comprenant 10 à 12 lanières
  • lanières souples en cuir plat ou rond de 5 millimètres, dont la longueur minimum sera de 50 à 60 centimètres,
  • manche en bois, tenant bien en main,
  • solidité à toute épreuve de la liaison entre le manche et les lanières exigée pour pouvoir utiliser le martinet à sa pleine puissance,
  • prévoir cordon pour suspension à un crochet,
  • prix raisonnable demandé,
  • commande de 10 exemplaires envisagée pour en disposer dans les différentes pièces de la maison.
Envoyer offre à l’adresse courriel ci-dessous. Références exigées. Toute offre sérieuse sera étudiée.

Fabien - chapitre 3

Lorsque j’ouvris un œil, le lendemain matin, il faisait à peine jour. Une sourde démangeaison persistante me fit porter mes mains à mes fesses. Sans être encore vraiment douloureuses, elles se rappelaient à mon bon souvenir. Cela produisait la même sensation qu’un lendemain de coup de soleil : le sentiment d’avoir la peau tendue, ayant perdu une bonne partie de sa souplesse.
La porte de la chambre s’ouvrit, la lumière fut allumée.
- »Allons, debout, c’est l’heure du petit déjeuner. Tu te lèves et tu viens déjeuner. C’est prêt. »
Je jugeais qu’il était plus prudent d’obtempérer.

Fabien - chapitre 2

Le lundi suivant, je sonnais à nouveau à la porte de la maison de Madame Leblanc
La fin de la semaine avait été difficile. J’avais employé toute mon énergie à tenter de convaincre ma mère de continuer à chercher une autre chambre à louer. J’avais essayé tous les prétextes sans aborder ouvertement ce qui constituait la raison unique de mes réticences : la menace d’une fessée. En mon for intérieur, j’étais bien persuadé que le péril était relatif. Recevoir une fessée à mon âge me semblait impossible. L’avoir entendu évoquer publiquement m’avait semblé humiliant, suffisamment pour que je cherche à éviter de croiser de nouveau la route de Madame Leblanc.

Cherche chambre pour grand garçon

Mère cherche chambre chez l’habitant pour son fils (20 ans) débutant une formation de deux ans à Rennes, ville éloignée de son domicile habituel :
  • loyer modéré,
  • comprenant, outre un lit pour dormir, un espace de travail (bureau) et de toilette (douche souhaitée), éventuellement dans des espaces partagés,
  • fourniture du repas du soir, et occasionnellement du midi.
  • facilités de blanchissage du linge demandées,
  • contribution possible aux tâches quotidiennes (ménage, vaisselle, entretien, …)
  • préférence propriétaire féminine d’âge mûr, habitant sur place, et acceptant d’endosser la responsabilité de mère de substitution,
  • supervision attentive appréciée : quantité et qualité de travail, horaire de coucher et de lever, fréquentations, tenue vestimentaire, propreté, hygiène corporelle et comportement d’ensemble,
  • délégation totale du droit et du devoir de punition autant que de besoin. Autorisation d’administrer la fessée, de préférence déculottée. Encouragement à utiliser des instruments punitifs (martinet, règle, ceinture, …) pour renforcer la sévérité des corrections si nécessaire. Punitions complémentaires à envisager (mise au coin, privation de sortie, …)
Toute proposition sera examinée attentivement. écrire adresse courriel ci-dessous


lundi 22 août 2016

Fabien - chapitre 1

Chapitre 1
A peine le bruit de la sonnette avait-il laissé place au silence de ce quartier résidentiel, que la porte s'ouvrit.
-"Bonjour Madame, dit ma mère, nous avons rendez-vous, à propos de la chambre à louer, c'est pour mon fils."
La poursuite de mes études m'obligeait, en effet, à émigrer vers la grande ville, là où se trouvait l'université qui allait m'accueillir après mon baccalauréat. A 17 ans, presque 18, ce n'était pas la première fois que je quittais le cocon familial, mais c'était ma première expérience de vie en autonomie pour aussi longtemps et aussi loin de mes proches.

Contrat pour une gouvernante

Convention de délégation d'autorité d'éducation à une gouvernante :
Je soussigné JLG prie Madame                 XXXXXXX d'assumer désormais le rôle et les prérogatives de gouvernante à mon égard.
Je lui reconnais la responsabilité de prendre, dès maintenant, toutes les décisions qu'elle jugera pertinentes concernant mon éducation. Dans tous les instants et en toutes circonstances, je lui devrai respect et obéissance. Je serai soumis, en tous lieux et tous instants, à toutes les règles qu'elle décidera de m'appliquer.