vendredi 30 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 16

 La matinée était passée à une vitesse extraordinaire. La menuisière avait montré à Yann comment régler la machine et il avait découpé des pièces de bois qui étaient destinées à la fabrication d’une table. Il fallut modifier régulièrement les largeurs de coupe et Yann se trompa à deux reprises, produisant des pièces qui n’étaient pas utilisables. Sa patronne le gronda, mais, au grand soulagement de Yann, elle s’en tint là. Yann dut recommencer les pièces défectueuses et il n’y eut pas d’autres conséquences.

jeudi 29 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 15

 La menuisière passa son bras autour du buste de Yann et elle fit pression sur son dos. Yann sentit les muscles de sa patronne se nouer et il dut se courber. Il ne chercha pas à résister à la pression qui le plaçait sous le bras de la menuisière et le plaquait contre son flanc. Il aurait peut-être pu le faire, mais il n’en était pas certain et il n’était pas en état d’essayer. Tout allait bien trop vite pour lui. La menuisière le souleva légèrement pour l’éloigner un peu d’elle. Elle le fit sans effort apparent.

mercredi 28 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 14

 Plus personne ne s’intéressait à Yann. Il lui semblait qu’il était là depuis… il en savait plus estimer depuis combien de temps il était au coin. Au début, il avait prêté l’oreille à la conversation entre la menuisière et les sœurs Johanson.

Tous les détails de son séjour avaient été réglés en quelques phrases, sans qu’il ait eu son avis à donner : le loyer qu’il aurait à payer, mais également l’heure à laquelle il devrait se rendre à la menuiserie le matin, les questions de propreté et d’hygiène corporelle que les trois femmes s’étaient réparties, les points d’attention qu’elles partageraient comme la politesse, le langage utilisé ou le respect dû aux grandes personnes, mais également tout ce qui concernait le contrôle du travail qu’il devait fournir pour passer ses examens théoriques.

mardi 27 avril 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 22

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LA PUNITION DE BETTINA ET GERALDINE. 1ère partie

Walter et Bettina étaient arrivés chez Margaret en fin d'après-midi. La punition commune avec Géraldine pour régler , une bonne fois pour toute, l'histoire de la fessée administrée à Andrew, était prévue depuis le samedi précédent. La maîtresse de maison les fit aussitôt entrer dans le salon. Sur la table basse, à côté de l'Aberlour douze ans et des verres à Whisky, martinet, battoir en cuir, tube de Dolpic et bâtons de gingembre, bien en vue, annonçaient une soirée cuisante et inventive.

– «  Ne perdons pas de temps, dit Margaret  en approchant la chaise à fessée et un tabouret pour le même usage. Bettina, Géraldine, vous savez pourquoi vous allez être punies ensembles... »

lundi 26 avril 2021

Les rebelles - chapitre 57

Dans les lycées, les jeunes professeurs peuvent être tentés par des rapprochements avec les élèves de type amitié, voire plus, ce qui peuvent déraper et mener à des situations proscrites par les règlements intérieurs.

Notre professeure d’informatique appliqué, Sandrine P., trente et un ans, est une femme assez libre et joviale avec ses élèves. A contrario de ses collègues de Ste CROIX, elle n’hésite pas à faire copain-copain avec ses étudiants. D’ailleurs on peut la voir discuter de tout autre chose que d’enseignement lors des intercours ou bien venir avec nous pour prendre une boisson à la cafète de l’établissement.

dimanche 25 avril 2021

Mémoires d'un garnement de jadis - 162ème tableau

 "Après l'incident du devoir d'Economie, je brillais une fois de plus par mon devoir raté d'Espagnol. Et vous imaginez bien la suite..."

samedi 24 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 13

 Mademoiselle Solveig était inquiète. C’était elle qui avait proposé à la menuisière de prendre son apprenti en pension. C’était prendre le risque de déconstruire le fragile équilibre qui s’était mis en place depuis que la boulangère était venue leur demander de prendre en charge la discipline de Louison et de François.

Il y avait eu quelques jours de turbulence au début, nécessitant un recours régulier à la fessée dont certaines avaient laissé des marques sur les fesses pendant plusieurs jours. Olga et elle avaient dû être très vigilantes aux désobéissances de leurs deux pupilles afin de leur montrer que tout écart serait sanctionné.

vendredi 23 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 12

 Quand le gant de toilette passa sur ses seins, Louison fut étonnée de ne rien ressentir de particulier. Le geste de Mademoiselle Solveig n’était pas une caresse. La seule chose qui intéressait la logeuse, c’était la propreté de la jeune femme. Il fallait la rendre propre comme un sou neuf. Elle s’y employait avec le sérieux et l’efficacité dont elle faisait preuve en toute chose.

Quand la main descendit sur le ventre, Louison se tendit. C’était le moment redouté. Mademoiselle Solveig la fit pivoter et lui passant le gant sur le dos, elle l’enduisit de savon. Tout cela était fait avec fermeté, mais également avec douceur Mademoiselle Solveig passa aux fesses sans modifier ses façons de faire. Ce fut après avoir remis Louison face à elle que les choses se gâtèrent.

jeudi 22 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 11

 Il n’avait pas fallu plus d’une demi-heure pour que François soit prêt à partir au travail, de sorte qu’il était en avance. Le boulanger l’en félicita. François se mit au travail. Il ne cessait de ressasser dans sa tête ce qui lui était arrivé depuis la veille.

Il n’arrivait pas à savoir ce qu’il en pensait réellement. C’était étrange. Tellement décalé et embarrassant, mais fait si naturellement qu’il ne savait plus si c’était lui qui avait tort de s’inquiéter d’avoir trouvé, en ses logeuses, deux personnes aussi intrusives dans son intimité ou deux figures maternelles qui prenaient soin de lui… dans tous les sens du terme et en toutes circonstances.

 

mercredi 21 avril 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 21

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LA VISITE INATTENDUE DE TANTE ASTRID.

A plat ventre sur son lit , Sébastien attendait avec résignation que l’effet de la fessée reçue s’atténue. Il s’était bien gardé de remonter son slip qui n’aurait fait que maintenir et aggraver la cuisson de ses fesses dont l’armoire à glace lui renvoyait l’image de deux gros ballons rouges ...écarlates plutôt . Il se serait bien mis en pyjamamais il n’osait pas. Il avait évité le martinet et se félicitait d’avoir calculé le temps de son retour de façon à ce qu’il précède de peu celui de ma mère.

lundi 19 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 10

 François et Louison avaient été presque trois quart d’heure au coin plutôt qu’une demi-heure comme annoncé quand Solveig leva ses yeux du livre dans lequel elle était plongée depuis un bon moment.

« Dis-moi, Olga, ne serait-il pas temps de mettre ces deux enfants au lit ? »

Enfants ? Au lit ? Mais il n’était pas plus de vingt-et-une heure quinze, peut-être un peu plus, mais pas beaucoup. Louison faillit se retourner pour protester, mais elle se rappela à temps où elle était. Elle avait prévu une soirée avec des copines. Elles devaient se retrouver vers vingt-deux heures chez l’une d’elles.

dimanche 18 avril 2021

Mémoires d'un garnement de jadis - 161ème tableau

 " Maman envisageait de m'envoyer en leçons privées chez deux demoiselles, professeurs en retraites qui  habitaient un petit pavillon rue Baronne De Gurssé. On les disait très sévères avec les mauvais élèves...".

samedi 17 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 9

 Les deux sœurs Johanson se regardèrent. Elles avaient enfin obtenu une confession à peu près complète, pensaient-elles, qui leur donnait une bonne idée des mesures disciplinaires dont leurs deux pensionnaires avaient l’habitude.

Cela n’avait pas été sans mal et elles comprenaient la réticence qu’avaient ces deux jeunes adultes à confesser comment ils étaient punis par leur patronne. A la boulangerie, ils étaient considérés comme des enfants et tout écart se traduisait pas une fessée.

vendredi 16 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 8

 Louison sursautait à chaque fois que retentissait la petite sonnerie qui indiquait qu’un client venait de franchir le pas de la porte de la boulangerie. Sans s’en rendre compte, elle tétanisait tous ces muscles, mais elle ne bougeait pas de la position que sa patronne lui avait ordonné de tenir.

Elle ne pouvait pas percevoir toutes les réactions des personnes qui la découvrait, debout au coin, la culotte baissée et le jupe relevée. Il devait y avoir des réactions de surprise, voire même de recul et la boulangère dut rassurer quelques personnes.

jeudi 15 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 7

 « Qui t’a donné l’autorisation de partir ? »

François sursauta et se retourna précipitamment. Il avait été surpris et son plan de départ en catimini venait d’être éventé.

« Mais je croyais que c’était fini. J’ai tout fait.

– Et tu crois que je vais te laisser partir aussi tôt ? Ce serait une punition bien légère. Je crois plutôt que tu essayais de filer à l’anglaise. »

mercredi 14 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 6

 Les deux mains de la boulangère saisirent la culotte de François de chaque côté de ses hanches et d’un mouvement sans précipitation, elle la descendit jusqu’en bas des cuisses. Une rapide sensation de fraîcheur. François sentit les regards converger vers son pénis et ses testicules. C’était encore un spectacle peu commun pour les trois spectateurs. François craignait qu’il ne devint banal. Son sexe commença à se durcir et à se dresser. La honte d’être déculotté en public et d’être vu dans une situation intime furent trop fortes. Il plaça ses mains devant son sexe.

Une claque sur les fesses sanctionna ce geste déplacé.

mardi 13 avril 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 20

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LE BILLET DE FESSEE

Dans le car qui le ramenait, Sébastien avait du mal à faire bonne figure. Assis près de Rodolphe, il s’était tourné vers la fenêtre pour ne pas s’appuyer totalement sur son fessier en pleine cuisson.  Il venait de passer une rude journée,  durant laquelle il avait dû assumer l’oubli, peu excusable, d’un devoir à faire, et surtout affronter l'implacable sévérité des fessées de madame Defraisses . Autant il culpabilisait de n’avoir pas fait ce devoir, autant il ressentait comme une injustice, la manière abusive dont la vicieuse créature  avait détourné le sens de son propos, sans lui laisser la possibilité de s'expliquer. Tout cela pour trouver prétexte à lui flanquer une bonne fessée

lundi 12 avril 2021

Les rebelles - chapitre 56

Le Lundi matin qui suit notre chevauchée fantastique et la très sévère fouettée qui s’en est suivie, nous retournons aux services techniques de notre Mairie, puisque notre premier stage n’est pas encore terminé.

En arrivant, Loïc L., notre tuteur de stage, voit bien que notre entente n’est pas au top :

« Alors, les filles ! Ça va pas, ce matin ? Vous avez l’air toutes chagrinées et vous avez une drôle de démarche, que se passe-t-il ? »

dimanche 11 avril 2021

Mémoires d'un garnement de jadis - 160ème tableau

 " Rodolphe avait ramené le devoir d'Economie à Gérome qui devait le faire signer par sa chère Maman. Tante Térèze en profita pour  administrer un petit recadrage à  son "neveu préféré". Ah les bonnes Tantines ! C'est toujours un plaisir de se faire claquer la lune sur leurs doux genoux de mamans strictes ! "

samedi 10 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 5

 Quand la boulangère était venue la chercher, Louison s’était écroulée en larmes dans ses bras.

« Allons, n’en fait pas une affaire d’état. Après tout, ce n’est qu’une jeune femme qui a été punie comme elle le méritait. Pas de quoi en faire une montagne ! »

vendredi 9 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 4

 « Puisque tu ne sais pas obéir quand on ne t’a pas sous les yeux, tu vas aller au coin, mais chez moi. »

Les larmes coulaient encore sur les jours de Louison. Ses fesses avaient été copieusement meurtries par sa patronne. Elle s’était juré qu’elle retiendrait la leçon. Elle suivit la boulangère qui la conduisait par le bras vers la sortie de la boulangerie.

« Mais, Madame, où va-t-on ? Je ne peux pas aller dehors comme ça ! On va voir ma culotte ! »

jeudi 8 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 3

 Les deux baguettes en bois, souples, fines mais pas trop, attendaient sur la table. François et Louison avaient cueilli chacun la sienne, puis ils étaient retournés au coin. La boulangère n’avait plus de doute sur l’attention que les deux sœurs porteraient désormais à ses deux employés.

Elles avaient demandé quelques conseils à leur amie, puis elles avaient décrété qu’elles sauraient se débrouiller pour la prochaine fessée, celle qui, le soir-même, devait punir le mensonge de la fin d’après-midi.

mercredi 7 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 2

 « Une seconde, emmenons avec nous nos deux punis, je préfère les avoir sous les yeux. Et puis, nous aurons peut-être besoin d’eux sous la main. Vous vous chargez de celle-ci ? Je passe prendre François. »

Solveig semblait ennuyée pour exécuter les consignes de la Boulangère.

« Comment je fais… je euh… elle se reculotte ?

mardi 6 avril 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 19

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LE RITUEL DES FESSEES A L'ESTRADE ;

Rodolphe, pouvait bien se vanter de l'endurance de sa solide paire de fesses, celles de Sébastien, régulièrement entretenues par sa mère et surtout sa sœur, Géraldine, l'étaient largement autant, avec de volumineuses rondeurs tout aussi performantes. Elles emplissaient avec bonheur, la large main de  Madame Defraisses, qui ne manquait jamais d'arguments pédagogique pour justifier les tournées de fessées qu’elles distribuaient généreusement sur tous les postérieurs de la classes.  A chaque début d'année, elle avait d'ailleurs un regard très sélectif sur le volume et la fermeté des fessiers de ses étudiants, qui devaient attester de leur capacité à suivre un enseignement basé sur une pratique intense de la fessée.

lundi 5 avril 2021

Les rebelles - chapitre 55

 Avec le retour du beau temps sur ma région, mes amies et moi décidons d’aller faire du cheval. Nous connaissons un centre hippique dont une des monitrices, Lise P., vingt-cinq ans, vit dans notre quartier et est une bonne copine d’Ekaterina. Elles pratiquent toutes les deux de la course à pied dans un club ( l’UAF ).

Ekaterina contacte Lise P. et toutes les deux conviennent d’un Samedi matin pour une promenade équestre. Ekaterina, Iourievna, Olga et moi ayant déjà pratiqué l’équitation, Lise P. nous envoie les formulaires pour l’assurance et les modalités de cette balade.

dimanche 4 avril 2021

Mémoires d'un garnement de jadis - 159ème tableau

 " Madame DeFraisses notre nouvelle pro...fesseuse... d'économie n'était pas économe de fessées ! Et nous trois, les Pieds-Nickelés de la Flemme, n'allions pas tardé à comptabiliser les points !"

vendredi 2 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 1

 A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de magasin du supermarché local, a emboité le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre.

Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, est devenu une situation commune.

Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire… pour leur plus grand bien et de quelques-unes de celles qui ont accepté de prendre en mains leur éducation.

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La boulangère tenait ses deux jeunes employés par le coude. Elle les forçait à marcher devant elle, ce qu’ils faisaient, mais avec toute la réticence possible.

« Mais Madame, je vous assure que tout est… enfin que c’est rangé... assez bien. »

La boulangère avait noté l’hésitation.

jeudi 1 avril 2021

Le journal d'Olga - chapitre 43 - 1ère partie

 On était toutes les deux dans notre chambre, Iourievna et moi, en train de mettre nos fiches à jour.

« Ça nous en fait pas mal, hein, finalement.

Tu parles que ça en faisait pas mal ! Une bonne trentaine. Au bas mot. Huit sur les profs. Leurs petites manies. Leur façon d’expliquer. De s’habiller. S’ils étaient craquants ou pas. Plein d’autres trucs aussi.