samedi 30 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 50


« Ah, Cathy, je vous ai fait appeler car j’aimerai que vous me rendiez un service.
– Bien sûr, ma Sœur ! Que puis-je faire pour vous ? »
C’était une voix jeune, sans doute celle d’une élève des grandes classes. Je ne la reconnaissais pas.
« Pouvez-vous conduire ce grand garçon jusqu’au bureau de Sœur Gabrielle ? 
– Ce n’est pas bien difficile, je devrai y arriver. Ce n’est pas la première fois que j’accompagne un puni au bureau de Sœur Gabrielle.
– C’est vrai. Vous faites cela très bien.
– Je vous remercie ma Sœur.
– Comme les autres fois, si ce garçon vous donne le moindre mal, je vous autorise à le fesser. D’habitude, il s’agit d’élèves plus jeunes, mais j’espère que son âge ne vous retiendra pas de sévir, si nécessaire.

vendredi 29 juin 2018

Les consultations es fessées – Gaëtan B.


Quand un bref échange téléphonique clarifie les choses et permet de repartir sur des bases saines.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, ...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

Lundi 25 juin 2018 - 09h17

 « Allô, Docteur ?
– Le Docteur Jeanine Legendre au téléphone. Que puis-je pour vous, Monsieur ?

jeudi 28 juin 2018

Coaching privé directif pour adultes


Bonjour, 


J'ai découvert votre site récemment et le lis avec grand intérêt. Partisan des punitions d'adultes correspondant à des fautes ou défauts réels, ce que je pratique dans le cadre du ce que j'appelle le "coaching privé directif" avec des adultes parfaitement serieux(ses) dans la conduite de leur vie mais peinant dans la réalisation de tel ou tel objectif, je vous propose le texte suivant pour votre rubrique "les débats en cours". Il évoque ma philosophie de la fessée punitive pour adulte. 

Cordialement, 

Dominique 

PS : vous pouvez si vous le souhaitez publier mon prénom et mon adresse courriel 

Chambre chez l'habitante - chapitre 38


Cela faisait trois jours que Magali avait reçu la dernière fessée de la série qui avait été provoquée par un gobelet de café renversé sur le clavier de son ordinateur. Cette correction m’avait impressionné et je n’étais pas le seul. Magali était devenue attentive à son travail au point que la directrice lui en avait fait compliment. Même Catherine et Béatrice s’étaient plongées dans le travail, oubliant de me menacer d’une fessée à la moindre occasion. Il est vrai que la présence continue de Madame Colas n’avait pas donné d’occasion à Catherine d’exercer son autorité sur nous deux.
Le différend entre Catherine et Magali n’était toujours pas réglé. Nous savions tous que c’était Catherine qui avait volontairement provoqué l’incident qui s’était conclu par cette correction si impressionnante. Cela ne pouvait pas en rester là.

mercredi 27 juin 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 5


Chapitre 5 : Une matinée à rebondissements

Le slip toujours baissé en travers de ses cuisses, comme son pantalon autour des  chevilles, Robin suivit sa sœur en trébuchant. Il eut du mal à monter les escaliers et faillit tomber plusieurs fois. Même si son allure était ridicule, il préférait malgré tout rester déculotté. Ses fesses lui cuisaient tellement qu’il aurait eu trop de mal à supporter le frottement de son slip sur sa peau incandescente. Dans ce cas-là, mieux valait rester les fesses à l’air.
Patricia redescendit dans le salon une demie heure plus tard les mains luisantes d‘huile de massage.
« C’est fait maman ! Il va dormir comme un bébé. On devrait retrouver une belle paire de fesses en pleine forme demain.

mardi 26 juin 2018

Ce qu'il en coûte ... de n'en faire qu'à sa tête

Il y a quelques mois, en discutant avec une très bonne vieille copine Monique nos souvenirs de lycée, elle me raconta tout à la fois en riant et rougissant l'aventure qu’elle vécut lorsque nous étions en Première et dont elle n’était pas fière pour me l’avoir tue pendant quelques dizaines d'années.
Quand nous étions tous deux au lycée, moi comme externe, mais en pension chez Geneviève, une amie de mes parents, elle-même professeur dans cet établissement et Monique comme interne, les tenues et comportements des élèves étaient strictement codifiés. Notre directrice ne tolérait pas le moindre écart vestimentaire ou comportemental qui était immédiatement et sévèrement sanctionné. Monique en fit un jour la cuisante expérience.

lundi 25 juin 2018

Une visite chez Tante Kassandra


Après une première visite chez Madame Kassandra marquante à tout point de vue, j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour une bonne correction.
J’avais déjà testé la sévérité et l’expertise de cette disciplinarian connue des habitués du monde de la fessée. Je savais qu’elle pouvait me fesser encore plus fort et me faire ressentir une plus grande honte. Je me sentais en parfaite confiance. Il fut décidé d’un scénario ou elle jouerait ma tante et moi son neveu au comportement inacceptable. J’avais toute confiance en elle car elle m'avait bien puni et je connaissais bien ses cuisses pour y avoir fait quelques allers-retours.

dimanche 24 juin 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 26ème tableau

La menace du Pensionnat des Soeurs se précisait. Mais à punitions égales, je préférais rester chez les vieilles demoiselles Claquemiche. Seulement cela exigerait de moi des efforts considérables de travail et d'obéissance au règlement de l'Ecole. Des jours de labeur en perspective, en somme. Mais qu'allait donc décider Maman ? J'en tremblais d'avance.

samedi 23 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 49


Le soulagement provoqué par l’onguent passé sur mes fesses ne dura pas. La cuisson originelle revint assez vite et je désespérais, me préparant à une fin de journée compliquée. Puis, Sœur Marie Madeleine m’ayant laissé assez longtemps au coin, je sentis la douleur s’atténuer pour être ramenée à ce que pouvait provoquer un sérieux coup de soleil. J’avais repris espoir en comprenant que Sœur Marie Madeleine m’avait mis au coin, le temps de laisser la pommade faire un effet durable.
« Axel, il est temps de retourner à votre rédaction. »

vendredi 22 juin 2018

Consultations es fessées - Madame L


Cette semaine, prenons connaissance d’une consultation montrant comment il peut être utile de bénéficier d’un regard extérieur pour comprendre les situations que l’on peut vivre au quotidien.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, ...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

Mercredi 13 juin 2018 - 11h02

« Allô, Docteur ?
– Le Docteur Jeanine Legendre au téléphone. Que puis-je pour vous, Madame ?

jeudi 21 juin 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 37


Magali ne fut pas envoyée au coin. Par contre, la prochaine fessée lui fut annoncée pour la fin de la matinée et Madame Colas précisa que son déjeuner serait inconfortable. Un clavier de remplacement fut sorti d’un placard et elle dut reprendre le travail sur le champ, avec toute la difficulté qu’elle eut, pendant un bon moment, à tenir une position assise. Elle était concentrée sur son travail mais elle ne cessait, sans s’en rendre compte, de changer de position, passant d’une fesse à l’autre sans jamais trouver de position de repos.
Il était midi tapante quand Madame Colas vint chercher Magali par l’oreille et lui fit faire le tour du bureau, pour revenir là où avait eu lieu la première fessée. Cela faisait plusieurs minutes que Magali jetait des regards inquiets en direction de Madame Colas. Elle portait régulièrement sa main à ses fesses, comme pour en éprouver la cuisson.

mercredi 20 juin 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 4


Chapitre 4 : A table, il faut finir son assiette.

Il y avait bien quatre couverts à table pour le dîner mais seulement trois personnes. Edouard n’était toujours pas rentré et son cas s’aggravait au fur et à mesure que les minutes passaient. Ce n’était plus du retard mais de l’absence caractérisée. Autant de désinvolture et d’irrespect allait lui valoir la correction de rigueur, que Gladys n’allait pas manquer de lui administrer dès sa réapparition.
Sûre de sa position dominante et de son autorité, elle savait maîtriser ses réactions en ne laissant paraître aucun signe d’irritation. Elle attendait patiemment le moment venu de la punition pour laisser exploser toute l’énergie accumulée à retenir sa colère montante. L’incorrigible époux, pourtant au fait des règles de la discipline conjugale, lui procurait, une nouvelle fois, un excellent motif de lui flanquer une bonne déculottée.

mardi 19 juin 2018

Ce qu'il en coûte de ne pas s'appliquer ... une fessée

Au milieu des années 2000, j’ai fait la connaissance d’une complice pour jeux de fessées : Sandrine, la quarantaine, professeur de langues dans un lycée rennais, grande amatrice et je devais le découvrir plus tard, grande consommatrice de fessées ; après une longue correspondance via Internet, nous avons convenu, une rencontre pour mieux faire connaissance et discuter, avant de nous retrouver une soirée pour nous adonner à notre passion commune.

lundi 18 juin 2018

Difficile apprentissage

Résumons : Mademoiselle Julie t'a demandé de défaire sa valise et de ranger ses vêtements dans l'armoire de sa chambre et tu as refusé. Comme elle insistait, tu es devenue vulgaire en portant des jugements sur le désordre qui règne dans sa chambre. Quel mot as-tu utilisé ? "Bordel" si je ne me trompe ?
Tu as même prétendu que tu n'étais pas payée pour passer derrière les "pimbêches qui ne savaient pas ranger leurs affaires et qui se prennent pour qui elles ne sont pas." Ce sont bien tes propres paroles, n'est-ce pas ?

Quand elle t'a informée qu'elle me reporterait cet incident, tu as répondu vertement. Il semblerait que tu penses que comme je t'aime bien et que je te considérais presque comme ma fille, je ne te renverrai pas. C'est tout à fait exact.

dimanche 17 juin 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 25ème tableau

Maman Térèze mit son bel ensemble de Printemps pour recevoir notre nouvelle voisine ce jeudi-là.
Tout devait être parfait. Elle hésita pour me faire porter kilt ou bermuda à bretelles.
Puis, à seize heures tapantes, la sonnerie retentit dans le vestibule...

samedi 16 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 48


Sœur Marie Madeleine me laissa au coin tant que des sanglots silencieux mais irrépressibles me soulevaient la poitrine. Ceux-ci s’espacèrent, puis disparurent. Sœur Marie Madeleine me rappela alors.
« Axel, il est temps de vous mettre au travail. Venez ici que je vous explique ce que vous avez à faire. »
Je ne m’étais pas fait d’illusion. Ma punition n’était pas finie. Il était prévu qu’elle dure toute la journée.
« Vous Allez vous asseoir sur cette table, dans le coin de mon bureau. Vous avez une rédaction à faire dont l’énoncé est : « imiter une signature, une erreur que je ne referai plus jamais. » Elle doit faire six pages minimum. Je vous conseille d’être attentif à l’orthographe. Je le corrigerai et gare à vos fesses s’il y a trop de fautes. »

vendredi 15 juin 2018

Consultations es fessées - Bérénice

Il s'agit ici de retranscription de consultations données par téléphone par le Docteur Jeanine Legendre, spécialiste comportementaliste, diplômée es fessologie.
En effet, l'ouverture d'une ligne "SOS urgence fessée" s'est imposée devant la recrudescence des questions qui se posent alors que de nombreux adultes reçoivent de plus en plus souvent cette punition, de la part des personnes qui ont accepté de prendre la responsabilité de leur éducation. Cette ligne est ouverte autant aux personnes désireuses de donner la fessée en guise de punition, qu’à ceux qui la reçoivent.
Ces retranscription ont pour objet de faire comprendre, à un large public, comment la fessée, quand elle est judicieusement donnée, peut aider à résoudre bon nombre de situations délicates.
Les questions ou les commentaires peuvent être adressées, par l'intermédiaire du formulaire ci-dessous, à l'équipe pluridisciplinaire qui répondra à vos sollicitations.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, ...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

Samedi 9 juin 2018 - 15h48

« Allô, Docteur ?

jeudi 14 juin 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 36


Dès le lendemain, Catherine fit une nouvelle tentative pour soumettre Magali. Alors que ni la directrice, ni Madame Colas n’étaient présentes, elle prétexta un papier jeté à côté de la poubelle pour annoncer à Magali qu’elle avait mérité une fessée.
« Viens-ici que je te punisse !
– Tu peux toujours courir, il n’en est pas question !
– Magali, c’est mon dernier avertissement. Si tu n’obéis pas sur le champ, je te renvoie sur les genoux de Madame Colas, mais pour une fessée comme tu n’en as encore jamais reçue.
– Essaye seulement et je raconte ce que tu fais à Daniel !
– Tu ferais mieux de t’assurer avant qu’il confirmera tes dires. J’ai ordonné à Daniel de se taire, il le fera. N’est-ce pas Daniel ? »

mercredi 13 juin 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 3


Chapitre 3 – Le respect cela s'apprend,


Gladys était en proie à une colère froide, encore à peu près maîtrisée, mais qu’elle n’allait pas manquer de laisser exploser sur les fesses de son fils, décidément incorrigible. Une seule fessée ne suffisait pas, un deuxième service s'imposait comme une évidence.
 La prestation de Patricia s‘était pourtant révélée convaincante. La belle rougeur veloutée, bien répartie sur toute la surface des fesses de Robin témoignait de la qualité de la fessée qu’elle venait de lui administrer. Pas de marque disgracieuse, aucune trace de doigt. Elle l‘avait fessé avec fermeté et dextérité, d’une main souple, bien enveloppante qui lui avait transformé le derrière en un magnifique brasero incandescent. La raie sombre qui séparait les deux fesses en rendait, par contraste, la couleur encore plus éclatante.

mardi 12 juin 2018

Ce qu'il en coûte de mentir à sa femme, fessée conjugale


Quand nous nous sommes connus, puis étions sortis avant de nous fiancer, puis de nous marier, ma femme Sylvie m'avait toujours prévenu qu'elle n'aimait pas les menteurs et aussi qu'en cas de mensonge de ma part elle saurait se venger ... Et bien, figurez-vous qu'une seule et unique fois, elle tint parole .

A l’époque, nous habitions à Nancy et, pour nécessité professionnelle, je me rendis en voiture à Paris la veille du week-end de Pâques. Ce déplacement n’étant l’affaire que d’une bonne demi-journée, Sylvie me fit promettre de lui téléphoner dans la soirée sur la route du retour.

lundi 11 juin 2018

Comportement inadéquat, fessée immédiate

Je ne sais pas ce que vous croyez, vous autres les jeunes gens. A peine avez-vous passé vos dix-huit ans, vous pensez que tout vous est permis ! Tout ce que vos parents vous ont appris, est oublié instantanément.
Je te connais depuis que tu es tout petit. Je t'ai vu, si j'ose dire, dans le ventre de ta mère et depuis à chaque fois que tu es venu chez le docteur. C'est l'avantage d'être secrétaire médicale depuis si longtemps, je te connais bien. Tu as toujours, enfin presque, été un amour de petit garçon, sauf depuis ces deux dernières années.

dimanche 10 juin 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 24ème tableau

Cette nuit-là, mon sommeil fut agité. Je repensais aux menaces de Maman au vu du dernier bulletin du mois.
Elle ne semblait pas plaisanter le moins du monde. A la rentrée d'Octobre, elle m'enverrait chez les Religieuses de la Divine Connaissance. Leur réputation de sévérité m'angoissait déjà.... Je lui promis de changer.

samedi 9 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 47


Mon entrée dans la salle où nous prenions notre petit-déjeuner, fut remarquée. Mon histoire de signature imitée avait fait le tour de l’établissement et il n’était personne, ni professeur ni élève, pour me plaindre.
Ma chemise descendait jusqu’en haut de mes cuisses. Elle cachait donc mes fesses. Mais ma tenue, laissant nues mes jambes jusqu’à mes chaussettes, n’en était que plus suggestive. Elle indiquait clairement que j’avais été sévèrement fessé et que la punition n’était pas encore achevée. Sur ce point, tout le monde faisait confiance à Sœur Gabrielle.

jeudi 7 juin 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 35


Cet épisode ne changea pas vraiment l’atmosphère au bureau. Madame Colas dirigeait son petit monde d’une main de fer sous le haut patronage un peu distant de Madame Raveneau. Magali et moi étions fessés au moindre prétexte. La honte, l’humiliation, la douleur étaient notre lot quotidien. Les fessées de l’un rappelaient à l’autre que son tour viendrait prochainement. Y compris quand ni l’un ni l’autre n’était puni, le risque de recevoir une fessée planant en permanence sur nos têtes suffisait pour nous placer dans un statut de personne mineure.

mercredi 6 juin 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 2


Chapitre 2 : Un retard lourd de conséquences

« Non mais Robin, tu as vu l’heure ? Tu viens d’où, s’emporte immédiatement Gladys, la poitrine gonflée de colère qui n‘avait pourtant pas besoin de ça pour s‘émanciper de son décolleté ? »
Comme d’habitude, elle en rajoute un peu, histoire d’aggraver la situation et justifier la sévérité de la correction dont elle a l’intention de lui gratifier le derrière.
«  Ta sœur et moi, on en étaient même à se demander si tu avais l’intention de rentrer, ironise-t-elle ! »
– Mais...mais  maman, j’étais avec Axel. On discutait et …et … je n’ai pas fait attention à l’heure...j’ai raté mon bus !

mardi 5 juin 2018

Ce qu'il en coûte de regarder sous les jupes des dames, une déculottée

Geneviève avait pris l'habitude me faire porter à l'une de ses collègues, Madame B... des copies qu'elle venait de corriger, chaque fois que j'avais du temps libre. La première fois que cela s'était produit, j'étais arrivé en avance et avais dû attendre cette collègue dans la cage de l'escalier conduisant à son appartement. A son arrivée, l'escaliers étant trop étroit, je l'y avais donc suivie et en levant les yeux, tout en étant surpris, avais pu bénéficier d'une vue plongeante sous les jupes de la dame âgée d'une trentaine d'années.

lundi 4 juin 2018

Premier RdV, première fessée

J'ai déjeuné avec ta mère mardi dernier. Je la trouve charmante. Nous avons beaucoup de points en commun. Tu as de la chance d'avoir une Maman aussi attentionnée, aussi préoccupée de ce que tu vas devenir. 
Nous avons longuement échangé. Je crois qu'elle voulait savoir qui j'étais vraiment avant d'autoriser à ce que notre relation aille plus loin. J'ai eu le droit à un véritable interrogatoire, dans un premier temps. Je crois que je lui ai beaucoup plu. Elle m'a dit qu'elle t'autoriserai à sortir avec moi et elle m'a prodigué plein de bons conseils te concernant.

dimanche 3 juin 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 23ème tableau

Je revenais chez nous pour la fin de la semaine. Content de retrouver des visages familiers.
A mon insu, mon cousin Phil m'avait subtilisé un magazine  "pour les petits vicieux", comme Maman disait, pour le lire en cachette.

samedi 2 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 46


J’avais encore les yeux remplis de larmes quand Sœur Gabrielle m’installa au coin. Elle m’avait conduit près de mon lit et je me laissais guider par le bras sans vraiment voir mon chemin ni prendre conscience qu’elle me faisait circuler, culotte baissée, au milieu de mes camarades.
Elle veilla à ce que je me positionne selon ses désirs.
« A genoux, fit-elle »
Je n’avais plus de volonté propre, sauf à exécuter le plus attentivement possible ses ordres.
« Le nez bien au fond et les bras croisés dans le dos. »
Elle me laissa là, à genoux au coin, relevant ma chemise pour laisser voir mes fesses dont la couleur et les marques devaient ôter toute envie à mes camarades de goûter un jour à leur tour à la lanière de Sœur Gabrielle.