Affichage des articles dont le libellé est St Marie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est St Marie. Afficher tous les articles

samedi 30 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 50


« Ah, Cathy, je vous ai fait appeler car j’aimerai que vous me rendiez un service.
– Bien sûr, ma Sœur ! Que puis-je faire pour vous ? »
C’était une voix jeune, sans doute celle d’une élève des grandes classes. Je ne la reconnaissais pas.
« Pouvez-vous conduire ce grand garçon jusqu’au bureau de Sœur Gabrielle ? 
– Ce n’est pas bien difficile, je devrai y arriver. Ce n’est pas la première fois que j’accompagne un puni au bureau de Sœur Gabrielle.
– C’est vrai. Vous faites cela très bien.
– Je vous remercie ma Sœur.
– Comme les autres fois, si ce garçon vous donne le moindre mal, je vous autorise à le fesser. D’habitude, il s’agit d’élèves plus jeunes, mais j’espère que son âge ne vous retiendra pas de sévir, si nécessaire.

samedi 23 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 49


Le soulagement provoqué par l’onguent passé sur mes fesses ne dura pas. La cuisson originelle revint assez vite et je désespérais, me préparant à une fin de journée compliquée. Puis, Sœur Marie Madeleine m’ayant laissé assez longtemps au coin, je sentis la douleur s’atténuer pour être ramenée à ce que pouvait provoquer un sérieux coup de soleil. J’avais repris espoir en comprenant que Sœur Marie Madeleine m’avait mis au coin, le temps de laisser la pommade faire un effet durable.
« Axel, il est temps de retourner à votre rédaction. »

samedi 16 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 48


Sœur Marie Madeleine me laissa au coin tant que des sanglots silencieux mais irrépressibles me soulevaient la poitrine. Ceux-ci s’espacèrent, puis disparurent. Sœur Marie Madeleine me rappela alors.
« Axel, il est temps de vous mettre au travail. Venez ici que je vous explique ce que vous avez à faire. »
Je ne m’étais pas fait d’illusion. Ma punition n’était pas finie. Il était prévu qu’elle dure toute la journée.
« Vous Allez vous asseoir sur cette table, dans le coin de mon bureau. Vous avez une rédaction à faire dont l’énoncé est : « imiter une signature, une erreur que je ne referai plus jamais. » Elle doit faire six pages minimum. Je vous conseille d’être attentif à l’orthographe. Je le corrigerai et gare à vos fesses s’il y a trop de fautes. »

samedi 9 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 47


Mon entrée dans la salle où nous prenions notre petit-déjeuner, fut remarquée. Mon histoire de signature imitée avait fait le tour de l’établissement et il n’était personne, ni professeur ni élève, pour me plaindre.
Ma chemise descendait jusqu’en haut de mes cuisses. Elle cachait donc mes fesses. Mais ma tenue, laissant nues mes jambes jusqu’à mes chaussettes, n’en était que plus suggestive. Elle indiquait clairement que j’avais été sévèrement fessé et que la punition n’était pas encore achevée. Sur ce point, tout le monde faisait confiance à Sœur Gabrielle.

samedi 2 juin 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 46


J’avais encore les yeux remplis de larmes quand Sœur Gabrielle m’installa au coin. Elle m’avait conduit près de mon lit et je me laissais guider par le bras sans vraiment voir mon chemin ni prendre conscience qu’elle me faisait circuler, culotte baissée, au milieu de mes camarades.
Elle veilla à ce que je me positionne selon ses désirs.
« A genoux, fit-elle »
Je n’avais plus de volonté propre, sauf à exécuter le plus attentivement possible ses ordres.
« Le nez bien au fond et les bras croisés dans le dos. »
Elle me laissa là, à genoux au coin, relevant ma chemise pour laisser voir mes fesses dont la couleur et les marques devaient ôter toute envie à mes camarades de goûter un jour à leur tour à la lanière de Sœur Gabrielle.

mercredi 30 mai 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 1


Ramina s'y est mis ! Voici le premier épisode d'une série qui s'annonce prometteuse alliant texte et dessin du même auteur. Ce premier épisode positionne les personnages que nous retrouverons hebdomadairement selon le bon vieux principe du feuilleton.
Je pense que Ramina attend impatiemment vos retours et comme il n'est pas avare de commentaires sur les écrits et les dessins des autres... à votre clavier, donc ! JLG.

LE CUISANT WEEK-END DE ROBIN EN FAMILLE.


Chapitre 1 : Une bonne discipline domestique


Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portière pour sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout sur le trottoir, le temps de dire au revoir à son amie restée à l’intérieur pour se faire reconduire chez elle.
« Ma chérie je te laisse, on se voit samedi pour le dîner, comme prévu !
– Entendu. A Samedi... Je n‘amène rien de particulier, demande Edwige après une chaleureuse embrassade. »
–  Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais bien, il y a tout ce qu’il faut à la maison ! A moins que tu ne préfères utiliser tes instruments habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie pas t’amener ton mari, évidemment ! »

samedi 26 mai 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 45


La sonnerie qui réglait la vie à St Marie annonça la fin des cours. Le ballet dans le bureau de la secrétaire devint incessant. Des élèves et des professeurs entraient et sortaient pour régler la myriade de sujets qui passait entre les mains de Sœur Marie Madeleine.
Nul ne faisait de commentaire sur ma présence au coin, exposant à chacun mes fesses nues qui si j’en croyais la cuisson qui les embrasait encore, devaient être encore bien rougies. Cette indifférence montrait combien il était normal de me trouver là, moi ou un autre élève. C’était presque plus humiliant que d’entendre des commentaires étonnés.

samedi 19 mai 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 44


Les Sœurs reprirent leur activité sans plus se soucier de nous. Je les entendais échanger sur des sujets dont je ne saisissais pas le sens. Sœur Marie Madeleine vint apporter des courriers que Sœur Marie Joseph, signa. Ce n’était pas les deux punis occupant deux coins de la pièce qui gênaient en quoi que ce soit le cours normal des activités de St Marie.
Même si ma semi-nudité en public me pesait, c’était devenu une situation courante pour moi. En général, c’était le sentiment d’être vraiment puni et la honte qui dominaient. Cela faisait partie de la punition qui atteignait un de ses buts principaux : me faire comprendre que j’avais eu un comportement irresponsable qui avait appelé à me considérer et à me traiter comme un enfant. Au coin, j’avais tout le temps d’y penser sans être distrait par ce qui se déroulait autour de moi, tant les perceptions de ce qui m’entourait étaient restreintes.
Cet après-midi-là, je ne pouvais penser à autre chose qu’à la lanière de Sœur Gabrielle qui m’avait été promise. Je ne pouvais rien faire pour l’éviter et je m’attendais à une grande sévérité de la part de la religieuse. Je ressassais, en boucle dans ma tête les souvenirs de la fessée avec cet instrument que Benoit avait reçue. J’avais une boule dans ma gorge qui rendait difficile mes déglutitions.

samedi 5 mai 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 42


La date de présentation du rapport d’étude fut fixée au jeudi après-midi qui précédait les vacances de Noël. L’ensemble du Conseil d’Administration fut convoqué et plusieurs des professeurs disponibles y furent invités.
La professeure Girard me laissa le soin de l’exposé après qu’elle eût fait une brève introduction. Après avoir mis en évidence l’excellence des résultats obtenus et surtout les progressions remarquables que faisaient les élèves qui arrivaient en échec scolaire, je montrais l’efficacité des méthodes en vigueur. J’explicitais comment la fessée y tenait une place de choix.
Il avait été convenu que le développement de l’argumentaire serait entrecoupé d’illustration en contant des situations réelles. Sans citer de nom, je décrivais les circonstances ayant amené à corriger un élève et je détaillais le déroulement de la punition et ses conséquences sur son obéissance ou son travail scolaire.

samedi 28 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 41


Si mes résultats en mathématiques s’améliorèrent, ils ne furent jamais transcendants. Exceptionnellement au-dessus de la moyenne, la plupart du temps juste en dessous et de temps en temps très mauvais. Cela me valait autant de fessées et Sœur Marie Véronique ne m’en épargna pas une.
Elle estimait qu’en travaillant, je pouvais encore faire des progrès. J’étais donc collé chaque week-end pendant lequel je passais mon temps entre la classe de Sœur Marie Véronique pour faire des mathématiques et celle de Sœur Marie-Odette qui supervisait l’écriture du rapport d’étude.

jeudi 26 avril 2018

Christine - chapitre 27


Il était bientôt l’heure de la messe. Nous étions dimanche matin et cette matinée était à peine entamée que j’en avais fait de cuisants frais. Pour m’être adonnée à l’onanisme, je venais d’être punie d’une bien cruelle façon et c’était la directrice de Ste-Marie, Sœur Marie-Joseph qui avait pris personnellement les choses en main.

Tout avait pourtant bien commencé la veille au soir. Dans notre dortoir, avec toutes les filles, nous profitions de cette fin de consigne. L’une de nous lança l’idée d’un concours de masturbation lorsque nous serions au lit. Rien de bien méchant, ce n’était là que la suite logique de discussions animées au sein d’un groupe de filles jeunes pour la plupart. Personne, ni Mlle Mathilde ni même moi n’émit le moindre refus partant du principe que sous les draps, chacune aurait son libre-arbitre de faire ou de ne pas faire...

samedi 21 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 40


Je m’installais dans la routine de St Marie. J’y trouvais ma place de plus en plus facilement et, dès la deuxième semaine, les règles de vie de l’établissement me semblèrent familières comme si je les vivais depuis de longs mois.
Il était aisé de s’abandonner à l’autorité des religieuses. Elles régissaient tous les moments quelle qu’en soit la nature. Il suffisait de leur obéir. La vie y était finalement assez simple. Les actes de la vie quotidienne se répétaient invariablement et vous saviez toujours ce qui allait suivre. Il y avait peu de surprise. C’était les contenus des cours qui constituaient la seule nouveauté de chaque jour.
Tout était organisé pour que notre énergie soit canalisée sur le travail scolaire. Nous n’avions quasiment pas de décision à prendre et certainement pas pour des choses importantes. Nos avis et nos opinions n’étaient pas sollicités et il aurait été malvenu que nous en fassions part.

jeudi 19 avril 2018

Christine - chapitre 26


Enfin ma retenue se terminait et avec elle ce week-end de consigne à Ste-Marie. Encore une petite nuit à tenir le coup et le fait d’assister à la messe du dimanche ne serait qu’une simple formalité. Le plus éprouvant était derrière moi, au sens propre comme au sens figuré, car mon derrière avait été durablement marqué en ce samedi. En une seule journée j’avais été fessée trois fois dont une fessée magistrale. Mais c’était la fessée donnée par Mlle Mathilde, notre surveillante de retenue, qui m’avait laissé les traces les plus durables. Pour cela la jeune professeure avait d’abord été réprimandée par Sœur Marie-Joseph dans son bureau, puis obligée de partager notre ordinaire jusqu’au lendemain et enfin fessée en réplique au sortir des douches.

Autant dire tout de suite que ce samedi avait été agité et plein de rebondissements. Magali avait également fait les frais de cette journée. En sport le matin elle avait reçu un violent coup de ballon sur son sein gauche. La douleur l’avait terrassée et avait écrasé sa glande mammaire lui provoquant une sérieuse ecchymose bleutée. Pour cela et pour mes coups reçus le docteur Wagner avait prescrit un traitement à base de crèmes apaisantes.

samedi 14 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 39


S’il est un moment de solitude, c’est celui qu’on passe au coin. Passés les premiers temps où, parce qu’on y montre ses fesses nues, on a l’impression d’être à la convergence de toutes les attentions, on se rend très vite compte que la vie suit son cours sans s’occuper des punis qui cachent leur honte en dissimulant leur visage dans l’un des angles de la pièce.
La suite de l’après-midi dans la classe de Sœur Marie-Odette le montra encore une fois. La religieuse nous oublia et Justine eut bien d’autres sujets de préoccupation que les deux punis dans leur coin.
« Justine, vous devez avoir fini de recopier les règles de grammaire.
– Presque ma Sœur.
– Montrez voir. »

jeudi 12 avril 2018

Christine - chapitre 25


Nous faisions un beau tableau au piquet, Magali et moi, après notre fessée magistrale reçue au réfectoire devant tout le monde. Toute le monde et plus même puisque le docteur Wagner, la pédiatre attachée à Ste-Marie, était également présente. Magali, les mains sur la tête, avait sa culotte de nylon rose baissée aux genoux et sa chemise était roulée sous sa poitrine. Elle présentait à tous une paire de fesses uniformément rosies par les coups de ceinture.

Je me tenais debout à ses côtés, les mains également sur la tête et la chemise remontée sous mes seins. Seule différence souhaitée par la directrice, je ne portais plus ma culotte qu’elle m’avait retirée avant de m’administrer la fessée magistrale. Mes fesses étaient un peu plus marquées que celles de ma camarade, cela était en partie dû à la sauvage sanction que Mlle Mathilde avait cru bon me donner.

samedi 31 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 36


Je sentis que l’on s’asseyait sur mon lit. Le jour perlait à peine à travers les volets encore clos. Les yeux encore fermés dans mon demi-sommeil, à je ne sais quel détail, un parfum imperceptible sans doute, je sus que c’était Sœur Gabrielle qui venait de prendre place. Sans lever la tête de mon oreiller, je calais mon visage contre sa cuisse, enfouissant mon nez dans le creux qu’elle avait ménagé en s’asseyant. Ma joue était caressée par le tissu de sa robe.
Sa main se glissa sous mes draps. Elle alla chercher le bas de mon pyjama qu’elle remonta en me caressant le dos. Elle prolongea son geste, prenant le temps de parcourir mes reins, de remonter jusqu’à mes épaules. Puis, elle se fraya un chemin sous l’élastique de la culotte de mon pyjama et, doucement, elle explora toute la surface de mes fesses, éprouvant l’élasticité de ma peau entre son pouce et son index, là où subsistaient encore des zones douloureuses. Je réagissais à chaque fois par un petit gémissement sans bouger de ma position, détendu sous sa main.

samedi 24 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 35


Les colles du week-end étaient vraiment l’occasion de changer toutes nos habitudes. Sœur Gabrielle emmena les grands, filles et garçons, avec elle. Nous fîmes le tour des dortoirs dans lesquels dormaient habituellement chacun de nous.« Vous prendrez vos affaires de toilette et le change nécessaire pour deux jours. »
Muni d’un petit baluchon, SœurGabrielle nous conduisit à l’étage où dormaient les Sœurs. Ces lieux-là nous étaient interdits durant la semaine. Au bout du couloir où  chaque religieuse avait une chambre, il y avait un dortoir dans lequel nous rejoignîmes les élèves du collège qui y étaient déjà installés.
« Vous avez des draps dans cette panière pour faire votre lit. Installez votre change dans le placard et portez votre trousse de toilette dans la salle d’eau. »

jeudi 22 mars 2018

Christine - chapitre 23


Christine  – Chapitre 23


J’avais mal. C’était la première fois que j’avais aussi mal après avoir reçu une fessée. Certes une fessée était faite aussi pour faire mal, mais là, Mlle Mathilde avait dépassé les limites. Elle s’était acharnée sur moi plus qu’elle ne m’avait punie. J’avais ressenti dans ses gestes et dans ses yeux plus de hargne que de raison.

Tout avait commencé par un banal jet de boulette en papier de la part de Magali, je m’étais prise au jeu et je lui avais renvoyé cette boulette. Mlle Mathilde qui nous surveillait en étude de retenue s’était aperçu de cet échange de papier entre Magali et moi. Mais comme notre surveillante de retenue était en premier lieu concernée par la teneur de cette boulette, elle s’était bornée à en minimiser les suites. Tout cela n’aurait eu d’autre conséquence qu’un simple rappel à l’ordre si Sœur Marie-Hortense n’avait intercepté la boulette et ne s’était mêlée des suites à donner.

Elle avait exigé de Mlle Mathilde une ferme reprise en main des deux élèves incriminées que nous étions Magali et moi. Le résultat en avait été une fessée, d’abord donnée à Magali, puis une autre à moi. Si Mlle Mathilde avait corrigé ma camarade du bout des doigts, j’avais ensuite fait les frais d’une trop grande confiance en moi. Pensant avoir la main sur Mlle Mathilde, je l’avais narguée et presque toisée. Ce qui n’aurait dû être qu’une simple fessée s’était rapidement transformé en avalanche de coups plus méchants les uns que les autres. Mlle Mathilde ne me sanctionnait plus, elle prenait sa revanche assouvissant sa vengeance.

samedi 17 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 34


Les habitudes étaient immuables à St Marie. Cela faisait partie des principes pédagogiques que les Sœurs avaient mis au point : la routine de la vie quotidienne concentrait l’énergie des élèves sur le travail scolaire, disait Sœur Marie Joseph qui me l’avait expliqué quelques jours après mon arrivée. Le résultat était là. J’en faisais la douloureuse expérience depuis le début de la semaine.
J’eus la surprise, pour le dîner, d’être conduit dans une pièce bien plus petite que celle dans laquelle nous nous étions restaurés jusqu’à maintenant. Là, était dressée une table avec six couverts de chaque côté et un à chaque bout. Les élèves, visiblement au courant de cette particularité, prirent place sans hésiter de chaque côté de la table. Je m’installais sur le dernier tabouret inoccupé.

jeudi 15 mars 2018

Christine - chapitre 22


C’était Mlle Mathilde qui nous attendait en salle d’études. Tout notre groupe allait y passer le restant de la matinée pour y purger une partie de nos heures de retenue. Habituellement Mlle Mathilde était professeure de mathématiques de la section collège mais en période de cours de vacances, et surtout pour un week-end de retenue, toutes les cartes étaient rebattues. Mlle Mathilde n’était pas une religieuse mais une jeune professeure laïque d’environ 25 ans, de plus je la connaissais déjà puisque c’était elle qui m’enseignait les mathématiques depuis ma rentrée en cours de vacances.

 Nous n’étions que le samedi matin, il était à peine 10h passées, pourtant cette matinée était déjà bien entamée. Au petit déjeuner j’avais reçu ma première fessée publique au martinet de la main de Sœur Marie-Hortense et la mise au piquet automatique et réglementaire. Les deux heures de sport qui avaient suivi m’avaient heureusement permis de passer presque sans transition à autre chose mais la fin de la séance avait été marquée par la blessure sans gravité de Magali qui avait reçu un ballon sur son sein gauche. Cela m’avait été au moins profitable quelque part, en l’accompagnant se faire soigner chez la Sœur portière, j’en avais oublié un peu plus mes émotions matinales. Pour avoir été l’auteur bien involontaire de cet envoi de ballon malencontreux, Nicolas avait été fessé par Sœur Gabrielle qui encadrait notre séance de sport.