jeudi 10 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 6 juillet 2025 – 13 h 15

 Il ne faudrait pas croire que parce que Georges n’est plus là que je n’ai plus aucune fessée. Si ma compagne l’avait contacté, c’était pour qu’il apporte sa touche de punition à mon égard et non pour la remplacer. Son absence n’a pas empêché ma compagne de me punir.

Il ne faudrait pas, non plus, penser que je ne reçois la fessée que parce que je me promène les fesses nues et parce que je mange la bouche ouverte. Certes, c’est surtout pour l’un de ces deux motifs que j’ai été corrigé ces derniers temps, mais ma compagne n’oublie pas qu’il y a beaucoup d’autres choses qu’elle exige de ma part et quand je la déçois, la fessée n’est jamais loin.

mardi 8 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 17 h 10

« Ta mauvaise foi est vraiment insondable ! Quand tu me réponds insolemment comme tu viens de le faire alors que tu sais parfaitement que j’ai raison, j’ai l’impression d’avoir affaire à un petit garçon que je devrai punir. »

Au début de notre relation avec ma compagne, j’avais convenu avec elle qu’elle devait prendre en main mon éducation et s’efforcer d’éradiquer tous les petits défauts qui, l’âge aidant, faisaient maintenant partie de mon comportement. Nous avions échangé sur la difficulté qu’il y avait à modifier ses habitudes quand il s’agissait d’adultes. Ma compagne m’avait expliqué que, pour changer, je devais trouver bien plus d’inconvénients à continuer qu’à modifier mon comportement. J’ai acquiescé.

Elle a bien voulu me prendre en charge à condition de disposer de toutes les prérogatives d’une maman et en particulier du droit de me punir quand elle le jugeait nécessaire. Elle était partisane des méthodes traditionnelles qui avaient fait la preuve de leur efficacité.

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 55

J’avais bien sûr déjà reçu la fessée en présence d’autres personnes. A chaque fois, je savais qui elles étaient et pourquoi elles étaient là. Cette fois-ci c’était différent. Ma compagne ne m’avait pas mis au courant au préalable et j’ai découvert que le monsieur que je ne connaissais pas venait pour me donner la fessée quasiment au moment où je me suis trouvé placé sous son auorité. Ma compagne avait sans doute tout négocié sans moi.

J’avais déjà reçu la fessée par un homme, une personne en fait. Mais il venait, lui aussi, pour y revcevoir une fessée de la part de ma compagne. Cela donnait une situation trop compliquée pour être durable. D’ailleurs, elle n’a pas duré. La surprise de sa présence, la fessée déculottée reçue alors qu’il était là et que je ne m’y attendais pas et celles qu’il m’a donné par la suite, tout cela ne m’a pas laissé le temps d’absorber cette nouvelle donne.

lundi 7 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 45

Je me passerais volontiers de tenir ce blog. Je trouve vexant et très désagréable de devoir tenir au courant tous les lecteurs du blog, environ un millier chaque jour, des fessées que je reçois. Que je sois déculotté et fessé dans l’intimité familiale, c’est déjà difficile à admettre à mon âge, mais avec ma compagne, je n’ai pas le choix. Qu’en plus je doive en faire part, sans savoir qui sont les personnes qui le lisent, c’est vraiment extrêmement désagréable. Depuis avril 2023, je dois pourtant le faire, c’est une obligation que m’impose ma compagne pour utilement prolonger la punition.

Je me serais encore plus aisément passé de raconter les fessées que j’ai reçues ce samedi. C’est la première vraie fessée déculottée en public que je reçois et la suite est encore pire. Je savais que ma compagne avait cette hypothèse dans la tête, mais je pensais qu’elle n’arriverait jamais à la concrétiser. J’ai dû déchanter et reconnaître que tout adulte responsable peut me punir au vu de mon comportement. Il n’y a pas que ma compagne qui trouve certaines de mes habitudes détestables et infantiles. Je ne pensais pas que d’autres personnes envisageraient la fessée comme une solution adaptée à mon attitude. C’est pourtant ce qui s’est passé.

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 35

Il y avait une atmosphère étrange que je n’arrivais pas à définir. Ma compagne semblait attendre quelqu’un ou quelque chose, ce qui ne manquait pas de m’inquiéter. Elle insista sur ma tenue, exigeant que je porte un short alors qu’il n’était pas question que nous sortions. C’était inhabituel. J’aime bien les nouveautés, seulement quand je sais de quoi il s’agit.

Elle commença à s’impatienter vers 16 h 00. Il devenait de plus en plus évident qu’une personne allait venir. Je me posais plein de questions : qui était-ce ? Pourquoi ne m’en avait-elle pas parlé ? J’étais perplexe. Ma compagne n’avait pas l’habitude de faire autant de mystères.

dimanche 6 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 3 juillet 2025 – 9 h 15

J’aime bien quand nous prenons nos repas ensemble, avec ma compagne. Ce n’est pas tout le temps. Souvent, elle travaille et elle n’est pas là pour manger avec moi. C’est l’une des choses auxquelles on s’habitue vite : ne plus déjeuner seul. Je fais la cuisine pour elle, elle fait la cuisine pour moi.

Bien sûr, cela n’a pas que des avantages. Je dis souvent à ma compagne qu’il n’existe pas de situation qui n’ait que des avantages ou que des inconvénients. Parfois les uns prennent le pas sur les autres, mais les autres sont toujours présents. Pour moi, dans ces situations, l’inconvénient, c’est que ma compagne surveille comment je me comporte pendant le repas. Et il n’est pas rare qu’elle doive me déculotter et me fesser en plein repas, quand je mange la bouche ouverte, par exemple.

Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 2 juillet 2025 – 12 h 25

Je savais que ma compagne allait bientôt être de retour, mais c’était plus fort que moi. J’étais persuadé que je pouvais l’entendre quand elle arriverait et que j’avais le temps de me rhabiller correctement avant qu’elle ne puisse constater que j’avais recommencé à rester sans culotte dans la maison.

Compte tenu de la chaleur, c’était bien plus confortable d’être habillé aussi légèrement et puis je voulais me prouver que j’avais encore une marge de décision malgré ce que ma compagne avait décrété. Ce n’était pas que je considérais sa disposition comme déraisonnable. Considérer que, à mon âge, je ne devais pas me conduire comme un petit garçon, est tout à fait pertinent. Non, mais il fallait que je me prouve à moi-même que je pouvais prendre des initiatives que j’avais décidé seul.

samedi 5 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 1ᵉʳ juillet 2025 – 9 h 25

Je crois que cette fois, ça y est. Ma compagne a décidé réellement d’éradiquer, chez moi, l’habitude de manger la bouche ouverte. Elle m'en avait longuement parlé, elle m’avait menacé, mais elle n’était que peu passée à l’acte ou alors de façon si discontinue que je pouvais difficilement renoncer à cette manie.

Il y a encore peu de temps, je faisais exprès de manger la bouche ouverte. Ma compagne, parfois et pas toujours, m’en faisait la remarque et cela s’arrêtait là. Après avoir abordé le sujet avec elle, j’ai convenu que c’était très désagréable pour les personnes qui mangeaient en face de moi et que je devais absolument changer ma façon de faire sur ce point. Elle a résolu qu’elle serait maintenant intraitable. Cela a pris quelques temps, mais je pense qu’elle met maintenant ses actes en accord avec ses dires. Ce sont mes fesses qui en font les frais.

vendredi 4 juillet 2025

Un témoignage d'Arno

Comme j'ai déjà eu l'occasion de vous l'écrire à de nombreuses reprises, je partage sincèrement votre conception et votre approche de l'éducation d'un adulte ayant besoin d'un bon recadrage.
Et j'ai terriblement besoin de cette éducation ferme, sévère et juste.
J'ai récemment rencontré celui que j'appelle Tonton, je ne vais pas m'appesantir sur le comment, c'est sans intérêt.
En-tout-cas Tonton a accepté de me recevoir pour parfaire mon comportement et mon éducation.

Voici donc mon témoignage :

jeudi 3 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 1ᵉʳ juillet 2025 – 9 h 10

Je suis admiratif de la patience et de la persévérance de ma compagne. Je crois qu’en acceptant la responsabilité de rectifier dans mon comportement ce qui n’avait pas été acquis de façon satisfaisante durant les soixante premières années de ma vie, elle a endossé un rôle difficile. J’ai contracté, durant toute ma vie, des habitudes dont j’ai énormément de mal à me défaire. Je sais que quand ma compagne exige que je modifie mes manières d’être et de faire, c’est qu’elle veut que je m’améliore. Elle ne perd pas sa constance, même si de temps en temps elle laisse passer des attitudes problématiques.

Ce que j’admire le plus, c’est comment elle n’hésite pas à remettre sur le métier quelque chose sur laquelle elle est pourtant intervenue très souvent. Elle recommence, sans cesse, oserais-je dire, aussi souvent que je retombe dans les mêmes travers. Ce qui s’est passé ce mardi matin en est un bon exemple et je pense qu’elle devra y revenir encore plusieurs fois.