mercredi 30 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 30

 Jeudi 19 mars 2020 – 12 heures 33

Madame Bernadette les attendait sur le seuil de la porte.

« Alors, comment s’est passée ce premier jour d’école ? »

Aurélie et Philippe se regardèrent. Ce fut elle qui prit l’initiative de répondre.

« Bof, moyen ! »

Bernadette les regarda un peu mieux. Ils n’avaient pas l’air réjoui.

mardi 29 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 6

QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LES FESSES DE GERÖME EN GRANDE DIFFICULTE.

 Bien que ça lui vaille un nombre conséquent de fessées et déculottées en tous genres, Gérôme un peu paniqué, mentait encore effrontément. Il opérait un demi-tour stratégique, pour repartir, lorsqu'il sentit une poigne de fer le happer par le col de sa veste, brisant son élan en le ramenant brutalement en arrière, sur le paillasson. Le ton péremptoire, de la femme aux mains comme des battoirs, lui fit dresser les cheveux à l'intérieur de la tête. Ce qui relevait carrément du surnaturel.

– Et bien mon petit Gérôme, où vas-tu comme ça...Hein ? Tu ne vas pas tout de même pas partir maintenant, alors que tu viens juste d’arriver !

lundi 28 décembre 2020

Les rebelles - chapitre 46 - acte 3

 Le Samedi matin, dernier jour de sa semaine de nudité, Clairanne se présente à Ste CROIX. Elle y est reçue par Sœur Weronika :

« Bonjour Clairanne. Vous êtes à l’heure, c’est bien »

« Bonjour ma Sœur »

« Je vais vous emmener au réfectoire. J’ai eu des consignes de la part de Damian N. Lui et Marie-Rose M. passeront tout à l’heure pour l’inspection. Il faudra que tout soit propre. L’hygiène des lieux est primordiale »

samedi 26 décembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 36

J’ai obtempéré, de toute façon, je n’en pouvais plus et j’étais épuisé aussi bien physiquement que mentalement, tant les perspectives qui m’attendaient étaient affligeantes, je ne savais plus si je souhaitais revoir Justine, dans quelle condition serait-elle après m’avoir fessé comme un gosse sous l’impulsion de ma cousine ?

Pourrait-elle à nouveau me considérer comme son amoureux et j’avais très envie de faire l’amour avec elle, ou au contraire me mépriserait-elle, soit en me laissant tomber sèchement, soit en décidant de s’amuser encore un peu avec ce qui risquait de devenir son jouet ?

mercredi 23 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 29

 Jeudi 19 mars 2020 – 12 heures 30

« Mettez-vous en rang ! »

Les trois élèves se levèrent et ils s’alignèrent devant la maîtresse.

« Philippe, remets ta blouse correctement en place ! »

Les yeux de la maîtresse ne laissaient rien passer. Elle se livra à une rapide inspection de ses élèves. Il n’était pas question qu’elle rendît l’un de ses élèves dans un état de propreté ou une tenue approximative.

« Montre-moi vos mains ! »

mardi 22 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 5

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

ANDREW AUX PRISE AVEC GERALDINE, GEROME AVEC MARGARET.

 Andrew n'est pas au bout de ses peines. Sa fessée terminée, il doit rester à genoux, déculotté, le derrière en exposition,  largement déployé, vers l'assistance. Le temps, pour ces Dames, d'apprécier l'efficacité de la correction. L'intensité de la couleur et la qualité de cuisson des deux fesses sont les critères d'évaluation. Le niveau de satisfaction, très élevé, étant rarement atteint au premier service, malheur au propriétaire d'un fessier recalé. Il est, gracieusement invité à retourner s'allonger sur les genoux d'une des dames présentes, pour y recevoir une nouvelle fessée, dite, d'ajustement. Selon l'humeur du moment,  il fallait souvent plusieurs allers et retours et deux ou trois fessées supplémentaires pour satisfaire aux exigences disciplinaires des maîtresses femmes. Andrew, venant d'arriver, en fut informé, mais dispensé, à titre provisoire.

lundi 21 décembre 2020

Les rebelles - chapitre 46 - acte 2

 En levant la tête, malgré sa vision brouillée par les larmes, Clairanne voit Orlane F., qui n’a pas perdu de temps, dans les bras de son ex petit ami, Pierre G. Malgré la douleur, Clairanne ne peut s’empêcher de hurler :

« NON, PIERRE, TU PEUX PAS ME QUITTER ! PIERRE ! ! »

Insensible à la situation de son ex, Pierre G. embrasse Orlane F. pour prouver à Clairanne qu’elle n’est plus rien pour lui, tant elle l’a déçu.

dimanche 20 décembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 146ème tableau

 Cette année-là, Maman Térèze invita ses deux nièces de St-Flour, Anabelle et Brigitte. Elles étaient professeurs en Institut. Elles s'entendaient à merveille avec mes sœurs question disicipline.

samedi 19 décembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 35

J’ai passé une nuit abominable et c’est Lucie qui est venue me réveiller au petit matin, les parents de Corinne étaient venus la chercher dans la soirée, on ne rentrait tous les deux qu’à neuf heures et nous avions du temps devant nous, elle en a profité pour mettre définitivement les choses au clair, selon son expression.

- Tu vas aux toilettes, je te lave et ensuite on fera le point.

- Mais je peux me laver tout seul !

- Tu fais ce que je te dis, on ne va pas commencer.

jeudi 17 décembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 36

 Iourievna revenait de « là-bas »

« Encore ! Mais tu passes ta vie chez Susan maintenant, ma parole !

Elle a jeté son sac sur son lit.

‒ N’empêche que tu sais quoi ? Ben, elle l’a fait, Heather S. Elle a réclamé une réunion du conseil des mères. Même qu’elles se demandaient toutes pourquoi, vu qu’apparemment il ne s’était rien passé de spécial. Qu’elles n’avaient en tout cas entendu parler de rien.

mercredi 16 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 28

 Jeudi 19 mars 2020 – 11 heures 25

Annette observa les fesses qui, sous ses yeux tressautaient à chaque fois qu’elle y appliquait sa main. Il faut dire qu’elle ne ménageait pas sa peine. C’était la quiétude qui règnerait à l’avenir dans sa classe qui était en jeu.

Il fallait obtenir l’obéissance totale de Damien pour qu’il fasse les efforts nécessaires afin de retrouver son niveau scolaire passé, voire qu’il puisse le dépasser. Il ne semblait pas vouloir les faire de lui-même, c’était donc le travail de la maîtresse de l’y contraindre. La certitude de recevoir la fessée en cas de défaillance que ce soit pour un travail insuffisant ou un comportement inacceptable, lui permettraient de faire une partie du chemin. Les corrections données par la maîtresse feraient le reste.

mardi 15 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 4

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LES FESSES D' ANDREW A L'EPREUVE DU FEU ;

 Margaret, ne répond pas tout de suite. Elle s'arrête pour remettre à sa main, le postérieur qu'elle fait sauter sur ses genoux dans tous les sens, puis reprend la correction de plus belle. Cette fois ci Andrew ne peut s'empêcher de sangloter bruyamment en lançant des appels de détresse .

 – Please Madame... please... pas... pas si... si  hard la spanking ! … Euuh noooow... sory...la fessée !

 Margaret s'en moque et continue à fesser sans ralentir la cadence.

lundi 14 décembre 2020

Les rebelles - chapitre 46 - acte 1

 Le SIE ( Syndicat Indépendant Etudiants ), dont le rôle est d'améliorer la condition des élèves et étudiants, est en campagne contre certains établissements scolaires de notre région qui ont, dans leur règlement intérieur, inscrit le recours aux châtiment corporels, comme moyen de punition, dans les cas les plus graves. Bien qu’il y ait des films pour prouver que les punitions sont réalisées dans le plus stricte respect des lois, le syndicat est opposé, par principe, à ce moyen d’éducation.

Etudiante elle-même, Clairanne L. dirige le syndicat dans notre région. A plusieurs reprises, avec ses amies, toutes âgées d’une vingtaine d’années ( Alexia D., Orlane F., Marine R. et Cécile F. ), nous l’avons vu intervenir auprès de Fabienne D., notre proviseure, pour faire annuler des punitions et pour faire retirer les châtiments corporels des textes à Ste CROIX.

dimanche 13 décembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 145ème tableau

 Nous attendions l'arrivée de ce nouveau camarade venu d'Outre-Manche. Serait-il complice de nos farces ? Les mères poules huilaient déjà les lanières de leurs martinets en gloussant de curiosité. Comme Maman...

samedi 12 décembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 34

 Quand on m’a enfin délivré, Lucie m’a insulté.

- Regarde moi ça, petit salopard, il y a sali le martinet, tu vas aller me nettoyer ça illico, tu as de la chance que je ne te le fasse pas lécher, je savais que j’aurais dû te donner un lavement.

- Ne t’énerve pas Lucie, ce sera pour la prochaine fois, mais je pense que cela justifie une petite correction, comme ça Fabien pourra aller se coucher avec les fesses bien chaudes, il parait que c’est un excellent somnifère, je veux bien m’en charger.

jeudi 10 décembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 35 - acte 3

 Iourievna avait passé la fin de l’après-midi avec Susan. Chez Susan.

« Et elle, elle a trouvé que c’était amplement mérité ce qui leur était arrivé aux six filles d’Angleterre. Et aussi qu’on projette le film de leur punition devant toute l’école. Ce qu’elle regrette, par contre, c’est qu’on n’ait pas assez mis assez l’accent sur l’aspect religieux des choses. « Chez nous, dans une circonstance comme celle-là, on leur aurait fait lire des versets de la Bible à genoux et elles auraient dû publiquement regretter d’avoir mis leur salut éternel en péril. » Il y avait aussi sa mère, Heather S. avec nous, et ce qu’elle pense, elle, c’est que si les filles se sont aussi mal comportées il en va sans doute aussi très certainement de la responsabilité des parents. Qui ne montrent pas suffisamment l’exemple et qui ne sont pas punis quand ils l’ont, eux, mérité. Elle a demandé à faire partie du conseil des mères du coup et c’est un sujet sur lequel elle est bien décidée à attirer l’attention.

mercredi 9 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 27

 Jeudi 19 mars 2020 – 10 heures 55

Damien tourna vivement la tête pour se recentrer sur le travail qui lui avait été donné à faire.

« Bon sang, se dit-il, je n’ai quasiment pas avancé ! »

Il venait de voir où le conduisait de la distraction au lieu de faire son travail.

« Vite ! Je suis loin d’avoir fini, se dit-il ! Pourvu que la maîtresse ne vérifie pas tout de suite ce que j’ai fait ! »

mardi 8 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 3

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LE JEUNE HOMME AU PAIR

Géraldine a fini sa journée au magasin de sa tante. Rude journée en vérité mais elle est habituée. Astrid l'a prise à son service, parce que, d'une part, c'est sa nièce et qu'elle fait donc partie de l'entreprise familiale, d'autre part, et surtout, pour les dispositions exceptionnelles de son plantureux derrière à encaisser les fessées. L'idée étant de proposer aux clientes, des démonstrations de fessées au martinet pour en prouver l'efficacité et la qualité de fabrication. La tantine, qui ne manque pas d'humour ni de cynisme, a trouvé très amusant d'appeler ça, des ''Crash- test-fessées''. On ne se refait pas chez les Delaniaires.

lundi 7 décembre 2020

Les rebelles - chapitre 45

Dans notre ville, vit une petite communauté américaine, majoritairement de confession protestant baptiste. Ils appliquent les enseignements de la bible sans en dévier, ce qui leur fait prendre des orientations assez rigoureuses avec leur cadre de vie.

Le travail des gens de cette communauté américaine est tourné vers le consulat et ce qui en découle, ce qui donne un emploi bon nombre de personnes.

Susan S., la fille du vice-consul et élève à Ste CROIX nous raconte comment une de ses voisines américaines, Tilly B., est dans une sacrée galère avec une suspicion d’exhibitionnisme vis-à-vis de mineurs.

dimanche 6 décembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 144ème tableau

Maman fut une nouvelle fois convoquée par la Directrice adjointe de l'Ecole, Mam'e De la Pléiade. qui me reprocha ma conduite avec Moiselle Deslaniaires. Et le recadrage cuisant de sa main experte ne se fit pas attendre...

samedi 5 décembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 33

 Enfin, mon calvaire cessa, je ne sentais plus mes arrières, j'avais cependant échappé aux vaines supplications et au hoquet qui me prenait lorsqu'au bout de mes souffrances, je n'arrivais plus à hurler ma douleur.

– Eh bien voilà un fessier qui ne pourra pas se plaindre d'avoir été négligé, ça brûle hein mon Fabien.

Elle en profitait pour me masser mes fesses, déclenchant de nouveaux gémissements.

– Oui, ça brûle terriblement Lucie.

– Il te reste à me remercier de m'être si bien employée, je suis presque en nage.

vendredi 4 décembre 2020

Tapage nocturne ? Impolitesse ? La solution est évidente !

 Eh oui, ma chérie, je sais que la voisine est là ! C'est d'ailleurs à cause ce qu'elle vient de me dire que toi tu te retrouves là où tu es ! Eh bien non, je ne vois pas en quoi sa présence pourrait changer quoi que ce soit à la punition que tu as méritée. C'est exactement pour cela que je t'ai amenée chez elle.

Vois-tu, elle m'a expliqué, avec force de détails très convaincants, comment tu te comportes quand je ne suis pas là pour te surveiller. Il paraît que le week-end dernier, alors que tu étais seule à la maison, la musique était à fond jusqu'à quatre heures du matin ? Pire encore, ce ne serait pas la première fois ! Je comprends maintenant pourquoi tu aimais tant rester seule à la maison !

jeudi 3 décembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 35 - acte 2

 On était toutes les trois dans la cour, Elena, Iourievna et moi. On venait d’arriver.

Du plus loin qu’elle nous a aperçues, Mylène s’est précipitée à notre rencontre.

« Alors, les filles ? Alors ?

Elle avait une tête, mais une tête !

‒ T’as l’air crevée.

mercredi 2 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 26

 Jeudi 19 mars 2020 – 10 heures 40

On toqua à la porte de la salle de classe.

« Entrez, répondit la maîtresse ! »

Dans son coin, près du tableau, Philippe se raidit. Qui que ce soit qui entrait dans la pièce aurait une vue dégagée sur ses fesses dénudées. Après la fessée, il avait été envoyé au coin, sans possibilité de remonter sa culotte. Ses mains, croisées dans son dos maintenaient relevés l’arrière de sa blouse et les pans de sa chemise.

mardi 1 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 2

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

AVANT L'HEURE C'EST PAS L'HEURE, APRES L'HEURE C'EST LA FESSEE!

 Après ce court instant de réflexion, Géraldine se décida à entrer dans le magasin et d'affronter sa tante. Elle allait, évidemment, estimer que son retard inacceptable justifiait une sévère punition. Elle connaissait par cœur, l'intransigeance d'Astrid sur la ponctualité, et sa promptitude à sévir en cas de manquement à la règle ou pour n'importe quelle autre raison. Ce n'était donc pas la première fois qu'elle allait se prendre une fessée dès le matin et commencer sa journée le derrière cuisant au fond de son slip. Elle avait d'ailleurs commencé à préparer mentalement ses fesses en sortant de chez elle. 

lundi 30 novembre 2020

Les rebelles - chapitre 44

Ce matin, lors du petit déjeuner, Ekaterina a la tête des mauvais jours et c’est à peine si elle répond au bonjour de ses parents et de ses sœurs. Ils savent dans quel état elle doit être, en sachant qu’elle va être corrigée dans la journée. La peur doit la submerger bien que tout le monde tente de lui faire penser à autre chose.

Vêtue d’une robe, elle parait très chic, mais c’est sa responsable, Isabelle F., qui lui a demandé. De cette façon, elle pourra être troussée plus facilement. Isabelle F. lui a aussi demandé de venir sans sous-vêtement, ce qui renforcera la vexation et le sentiment de honte d’avoir désobéi aux ordres de la direction. En ces temps de confinement, le chiffre d’affaire est en chute libre, et si en plus, les responsables de vente se mettent à modifier les stratégies, c’est la pérennité de la société qui est mise en jeu.

dimanche 29 novembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 143ème tableau

 Maman avait appris l'arrivée prochaine d'un étudiant chez Mam'e Deslaniaires, la "cordonnière". Et les mots Canne et spanking résonnèrent à mes oreilles au souper. Et mes rêves firent le reste...

samedi 28 novembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 32

 Ce fut moins rude qu'avec la brosse, il n'empêche, dès que le martinet est venu mordre mes fesses, j'ai eu beaucoup de mal à me contenir, en plus en exigeant de me décalotter avait vu juste, le bout de mon pénis frottait sur son jean et me causait une souffrance supplémentaire. Toute honte bue et me trouvant pour cette fois sans spectateur de ma déchéance, je me laissais aller, les nouvelles perspectives affichées par ma cousine n'étaient guère réjouissantes, j'allais à nouveau passer complètement sous sa coupe et je redoutais le pire, en attendant de trouver une parade.

vendredi 27 novembre 2020

Toujours un cran plus sévère

 « J’ai l’impression que les fessées que je te donne n’ont pas d’effet durable, même quand elles sont très sévères. Sur le moment, bien sûr, tu as honte d’avoir la culotte baissée et d’être puni comme on le fait pour un petit garçon désobéissant. Ensuite, tu te tiens tranquille pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines, mais tu finis toujours par recommencer.

– J’ai compris, je te l’assure. Je ne recommencerai plus.

– Je sais ce que valent tes promesses. Non, tu espères toujours que tes frasques ne me viendront pas à l’oreille et que tu éviteras la punition que tu as méritée. Tu ne cesseras tes gestes déplacés que si tu es certain d’en être puni à chaque fois.

jeudi 26 novembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 35 - acte 1

 Elle était tout excitée, Margaux.

« Vous vous rappelez la fois où la directrice a renvoyé Adilson, Paul et Arnaud en classe en petite jupette bleue et chemisier blanc ?

Évidemment qu’on se rappelait ! Évidemment ! Du lundi précédent ça datait. On n’avait pas encore Alzheimer quand même !

mercredi 25 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 25

Jeudi 19 mars 2020 – 8 heures 50

 « Allez, filez tous les deux ! »

Maman Marianne leur montra la direction du doigt.

« Et ne soyez pas en retard, Mademoiselle Annette vous attend ! »

Être en retard, ce serait difficile. Ils n’avaient qu’une cinquantaine de mètres à faire, en contournant le bâtiment principal pour trouver la pièce située au rez-de-chaussée d’une dépendance. Maman Marianne avait demandé à Monsieur Antoine de la débarrasser, puis de l’aménager. C’est là qu’ils passeraient leur matinée désormais.

mardi 24 novembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 1

QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LA BONNE SURPRISE

 Géraldine marchait dans la rue d’un pas rapide et décidé. Contrairement à son habitude de prendre son temps à flâner une peu en ville après une journée passée à aider sa tante Astrid à sa boutique d'instruments de discipline, (voir saison 3) elle était impatiente d'arriver chez elle. Et elle avait une bonne raison pour ça.

Ce matin-là, Margaret, sa mère, lui avait annoncé, d'un ton enjoué, plein de sous-entendus, qu'une surprise... une bonne surprise, l'attendrait, lorsqu'elle rentrerait. Sans rien dévoiler, elle avait simplement ajouté qu'il s'agissait d'un événement susceptible d'apporter quelques changements notoires dans la vie à la maison.

lundi 23 novembre 2020

Les rebelles -chapitre 43 acte 2

« On dirait qu’elle prend du plaisir, Léa. Regarde son petit sourire ! Le même que lors de la flagellation d’Olga et de Théo » fais-je remarquer à mes amies.

« Moi, j’suis curieuse de voir la tête d’Alexia lorsque Léa va lui fesser son Thomas ? » dit Anaïs, une jeune fille de première.

« Ouais, il va s’en prendre trente, il va morfler, l’Thomas ! A coup sûr, ça va le faire gicler » complète, Clémentine, la copine d’Anaïs

dimanche 22 novembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 142ème tableau

 Maman avait informé Tantine de mes mauvaises notes en anglais  Elle m'envoya une semaine chez tante Sophie, sa sœur ainée. Tantine m'imposa un régime de trente fessées cul nu par jour sur ses genoux et sur ceux de mes belles cousines Bérénice et Isabelle, qui déjà se retroussaient les manches de leurs chemisiers ! Mazette !

samedi 21 novembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 31

 Lucie profite de mon immobilité pour me caresser les fesses, comme si elle voulait prendre toute la dimension de son œuvre punitive, frôlant une nouvelle fois mes balloches qui décidément l'intéressent de plus en plus.

« Celle-là, je crois qu'il s'en souviendra, il va avoir du mal à s'asseoir demain en cours et il n'a pas fini de se trémousser sur sa chaise, je sais ce que c'est, quant aux marques, il y en a pour quelques jours. Je pense même qu'il faudrait lui passer un peu de crème si on veut conserver ses fesses en état de marche, des fois que Madame Leblanc s'y intéresserait. Je m'en occuperai demain matin, tu couches ici ?

vendredi 20 novembre 2020

Encore un cran plus sévère

  « Allez, c’est l’heure de ta fessée ! Il est temps que tu comprennes que le harcèlement que tu te permets est loin d’un jeu. C’est une grosse bêtise ! Et je sais comment il faut punir les grands garçons qui se permettent de commettre les mêmes bêtises à répétition.

– Non Vanessa, s'il te plait, pas devant… devant Corinne.

– Ah non ?

– Tu ne peux pas me… me… me donner une fessée devant elle, j’aurai trop honte !

jeudi 19 novembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 34

 Kirsten m’a rattrapée sur le trottoir.

« Olga ! Oh, Olga ! Écoute, là ! Dis, toi, qu’es amie avec Léa…

Alors ça, j’en doutais de plus en plus, mais bon, ça la regardait pas.

‒ Oui ?

mercredi 18 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 24

 « Eh bien, mon garçon, qu’attends-tu ? C’est ton tour ! »

C’est par cette invite, accompagnée d’un geste explicite que Philippe fut prié de venir prendre place. Il vint se mettre à la portée de sa future correctrice. Il se retrouva aussitôt dans la position qu’Aurélie avait dû adopter quelques minutes auparavant. Elle n’avait rien de confortable. La cuisse de sa belle-mère, bien qu’un peu rembourrée, lui scia le ventre dès que ses pieds ne touchèrent plus le sol. Maman Marianne l’avait hissé à l’horizontal en passant son bras entre les jambes de son gendre, écartant au passage la verge et les testicules.

mardi 17 novembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - épisode 0

 La saga de CDAMF c'est un peu comme une Pizza quatre saisons, ou plus poétiquement une valse des quatre saisons... sauf qu'il en manquait une pour faire une année entière. La quatrième ne devrait plus tarder. Mais comment rafraîchir les mémoires avant de chauffer les derrières ? Le relecture des quatre vingt épisodes précédents serait aussi longue qu'une journée sans fessée pour ces Dames et tout aussi fastidieuse que de déculotter un mille pattes... Alors, pour s'y retrouver dans cet univers fantasmatique entièrement consacré au culte de la fessée, voici, dans l'ordre d'apparition, un croustillant inventaire de ces, pétulantes, ''Dames Aux Mains Fermes''.

lundi 16 novembre 2020

Les rebelles -chapitre 43 acte 1

Avec les récentes découvertes d’élèves qui possèdent et tiennent à jour des fiches sur d’autres élèves et sur les professeurs, Fabienne D. se montre intraitable. Elle convoque ces élèves au conseil de discipline, en pleine semaine de rentrée, rendue compliquée avec le confinement et les mesures qui doivent être prises pour assurer la sécurité du personnel.

Dans notre section de mastère, onze étudiants, se sentant coupables et démasqués, sont angoissés à l’idée de passer en conseil de discipline, car ils ont encore en tête les corrections exemplaires d’Andréa et moi, qui ont eu lieu il y a très peu de temps et ils se voient déjà tous attachés, nus, devant tout le monde, en train de se faire corriger par les deux religieuses de notre établissement, responsables de l’application de la discipline. Ce qui les effraie et ils s’en veulent de n’avoir pas fait plus attention.

dimanche 15 novembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 141ème tableau

 Maman remarqua que je n'étais pas indifférent au physique de "Tante" Gladys et de sa fille Patricia.  Elle craignait que se noue une idylle qui viendrait remettre en cause son autorité. Mazette !

samedi 14 novembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 30

 Elle avait bien changé en quelques semaines ma cousine, il semblait ne plus rien rester de l'adolescence irascible et capricieuse qui avait précédé la date où sa mère, encouragée par la mienne avait commencé à lui claquer les fesses.

Je doutais pour autant que la seule vertu des fessées successives ait pu à ce point modifier son mauvais caractère, j'étais certain que le feu couvait sous la cendre.

vendredi 13 novembre 2020

Un cran plus sévère

 « Qu’est-ce que j’apprends ? Tu as recommencé ?

– Mais non que…

– Ne me mens pas ! Karine qui est là à assisté à toute la scène. Elle était dans le bureau d’à côté. Là où elle était placée, tu ne pouvais pas la voir, mais elle a tout entendu.

jeudi 12 novembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 33 acte 2

 On était à table. Tous les quatre. Maman servait la soupe. Je lui ai tendu mon assiette.

« Tu t’en étais pas vantée de ça, hein, Olga !

J’ai haussé un sourcil.

‒ Je me suis pas vantée de quoi ?

‒ Que vous vous en étiez pris une bonne hier, Théo et toi…

mercredi 11 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 23

 « A ton tour, jeune fille ! »

Jeune fille ? Aurélie n’avait pas vraiment l’impression d’être tellement plus jeune que celle qui venait l’inviter à la rejoindre pour recevoir sa fessée. Oui, mais elle avait tout de même le droit de la corriger. Aucun doute sur cette question. Aurélie avança vers la policière. Elle ne le voulait pas, mais que faire d’autre ?

mardi 10 novembre 2020

lundi 9 novembre 2020

Les rebelles -chapitre 42 acte 3

Pendant que je suis en cours, via la messagerie de l’établissement, Madame la proviseure envoie des SMS à Maman pour l’informer :

·     Bonjour Madame E. Conformément à la décision prise lors du conseil de discipline, votre fille Elena a été corrigée ce midi. Après quelques soins et une douche, elle a pu rejoindre, nue, ses camarades pour les cours de l’après-midi. Pourriez-vous venir la chercher à Ste CROIX ce soir, car elle ne supportera pas d’être vêtue durant quelques jours ! Il serait souhaitable pour elle, qu’elle ne soit pas obligée de prendre le bus ce soir, entièrement nue, pour rentrer chez à son domicile. Cela dit, si vous le souhaitez, nous pouvons l’obliger à emprunter ce transport en commun. Sincères salutations.

dimanche 8 novembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 140ème tableau

 Pendant la nuit suivant notre après-midi romantique, avec Géraldine, je rêvais que j'étais en infraction routière et, convoqué  au poste, j'étais reçu avec Maman par une robuste représentante de l'ordre public qui entreprit "une cuisante remise à niveau" de mes connaissances !

samedi 7 novembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 29

 Elle envoie du lourd d'entrée, j'avais presque oublié qu'elle tapait aussi fort, elle bénéficie d'une technique innée, pas comme Corinne à qui on s'en souvient, elle avait été obligé de faire la leçon, sa main s'arrondit sur ta fesse et provoque d'entrée une vive douleur, c'est pas aussi raide, leur physique n'est pas comparable, que les fessées de Madame Leblanc ou de la mère Bruno, aux gabarits impressionnants, alors que ma cousine ne doit guère dépasser les 50 kilos toute mouillée, comme Justine d'ailleurs, mais il n'empêche, ça te massacre bien le fessier.

jeudi 5 novembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 33 acte 1

 Je n’avais plus de nouvelles d’Elena. Depuis près d’une semaine. Quand j’appelais, je tombais systématiquement sur sa messagerie. Ça commençait à m’inquiéter. Sérieusement. D’autant plus sérieusement que j’avais beau interroger les uns et les autres, personne, absolument personne, ne semblait avoir la moindre idée des raisons de ce silence.

Mais un matin, à la récréation de dix heures, Léa m’a fait signe de monter la rejoindre discrètement dans son bureau. Avec Théo, s’il voulait.

On s’est installés tous les trois.

mercredi 4 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 22

 « C’est vrai que tu vas t’en aller ? »

Philippe avait totalement oublié cette idée qu’il n’avait émise dans l’après-midi que pour donner l’impression qu’il pouvait encore avoir une influence sur la situation afin de sembler retrouver, aux yeux de sa compagne, un peu de sa fierté d’adulte.

« Euh… Oui… c’est vrai. »

Il ne pouvait pas se dédire. Aurélie avait profité d’un court moment où ils n’étaient pas sous le regard d’une grande personne. Ils étaient sortis du coin il y a peu et le départ de Madame Bernadette avait laissé un trou dans leur surveillance.

mardi 3 novembre 2020

Peterpanesque fantaisie

 Comme il n'y a pas de suite, pour l'instant, à la SFID, que diriez-vous d'une petite fantaisie de Peter Pan pour passer le temps ?  Solution la semaine prochaine

lundi 2 novembre 2020

Les rebelles -chapitre 42 acte 2

 « SLASHHH ! »

« Gnnnn ! »

« CLASHHH ! »

« GNNnn ! mmmmh ! »

Les deux premiers coups de martinets viennent de cingler les fesses d’Andréa A., la faisant grimacer et gémir. Les deux suivants sont pour les miennes.

dimanche 1 novembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 139ème tableau

 Pour les vacances d'Octobre, Maman s'absenta et je restais à la maison avec mes chères "grandes sœurs". Redoutables claqueuses de derches !  Les révisions débutèrent par les verbes irréguliers en anglais. Mazette !

samedi 31 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 28

 Chacun a repris ses occupations comme si de rien n'était, j'observais néanmoins que bien des regards s'attardaient sur les fesses rubicondes de la punie qui tancée et menacée par notre logeuse de se voir allouer "un petit complément", avait fait en sorte de mettre fin à ses pleurs, jugés trop bruyants.

Elle a eu de la chance, car on devait passer à table et sa punition n'a pas duré plus d'un quart d'heure, je me souvenais d'avoir passé plus de deux longues heures, voire davantage, le nez collé contre le mur du salon de la tante Maud.

« Viens ici jeune fille, tu gardes tes mains sur ta tête. »

vendredi 30 octobre 2020

Il ne manquait plus que Cyrielle

 « Il ne reste plus que toi ! Tu sais ce qui t’attend ? Comme les copines, il n’y a pas de raison !

– Mais vous n’avez pas le droit !

– Ah, oui ? Je n’ai pas le droit ? C’est ce qu’on va voir !

– Non vous ne pouvez pas, vous n’êtes pas ma mère !

jeudi 29 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 32 acte 2

 Elena m’a appelée, de là-bas, en Angleterre.

« Vous me manquez, si tu savais !

‒ Alors, raconte ! Comment ça se passe ?

‒ Oh, ça se passe…

‒ Ça a pas l’air d’être l’enthousiasme, dis donc !

mercredi 28 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 21

 Monsieur Antoine les conduisit, tenus chacun par une oreille, au pied du grand arbre qui bordait le jardin.

« Votre nez touche l’écorce, ordonna-t-il, et les mains sur la tête ! »

Aurélie ne mit pas assez d’empressement à se mettre en place ? Une claque sur les fesses l’y encouragea. Elle se plaça d’un côté et Philippe se hâta de prendre la sienne de l’autre. Le tronc était large, ils ne pouvaient plus se voir. Monsieur Antoine rectifia la position de la jupe d’Aurélie, afin que ses fesses encore bien rouges, soient visibles.

mardi 27 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 22 bis

 La rencontre

J’étais remonté de Lyon satisfait et heureux. Madame Leroy allait être contente de ce que j’allais lui raconté. J’avais défini une stratégie de diversification, j’avais identifié une entreprise cible et cette entreprise était prête à se marier avec nous.

Madame Séverine était charmante, son entreprise une pépite et en plus elle était fan des produits de la SFID. Bingo sur toute la ligne.

lundi 26 octobre 2020

Les rebelles -chapitre 42 acte 1

En sortant du bureau de la proviseure, Andreea A. et moi avons la tête des mauvais jours, car notre convocation au conseil de discipline est mauvais signe. Mais j’aurais dû m’en douter, car se battre est bien évidemment strictement interdit au sein de l’établissement, c’est même l’une des fautes des plus graves, pouvant aller jusqu’à l’exclusion définitive.

dimanche 25 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 138ème tableau

 Maman se réjouissait de l'arrivée prochaine de nouvelles "voisines à chignon". Elle pensait les inviter pour faire plus ample connaissance et leur présenter son grand "poussin chéri". Mazette !

samedi 24 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 27

 Je me relève comme je peux, j'ai juste le temps de m'essuyer les yeux, avant de poser mes mains sur ma tête et d'exhiber en passant devant Justine d'abord "mon attirail" comme disait la tante Maud en se moquant, je suis tellement effondré par ce qui vient de m'arriver, que mon sexe est au repos complet, un spaghetti quasi, puis mes fesses cramoisies, avant d'aller me placer face au mur dans une position qui m'est hélas habituelle.

Une heure, elle n'y va pas de main morte ma mother, encore heureux, qu'elle ne m'ait pas obligé à me mettre à genoux. Je suis au fond du trou, je ne pense plus à rien, Justine fera bien ce qu'elle voudra, de toutes façons, elle aurait été mise au courant un jour ou l'autre, tu penses bien que ma chipie de cousine n'y aurait pas manqué. Je songe avec horreur, qu’elle a toujours barre sur moi, avec la vidéo de mon abaissement total qu'elle a toujours en sa possession, il faudrait que je les récupère, mais ce serait inutile, elle a dû en faire des copies, au moins une en tout cas qu'elle aura confié à Corinne.

Je n'ai plus qu'à filer doux, faute de quoi, tous mes copains et mes copines profiteront du spectacle de mes fessées par les deux filles, plus les mises au piquet.

 

vendredi 23 octobre 2020

Il n'y a pas de raison, Gaétane également

 « Et toi, petite, Gaétane, petite demoiselle, Comme d’habitude, tu t’es laissé entraîner par les copines à faire les bêtises que les autres avaient inventées. Toujours aussi tête de linotte ! Tu as encore une fois oublié de réfléchir avant de suivre bêtement les copines dans leur désobéissance. Tu sais pourtant que Chloé ne loupe pas une bêtise quand il y en a une à faire. Et toi, comme d’habitude, tu fais comme elle !

– Oui Madame.

– Eh bien je vais t’aider à faire preuve d’un peu plus de jugeotte !

jeudi 22 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 32

 Et ça a enfin été le déconfinement.

« Oh, Théo ! Comment tu m’as manqué ! Si tu savais !

On s’était donné rendez-vous sur le chemin de l’école et, dans le petit square derrière la mairie, on a été dans les bras l’un de l’autre. On s’est pressés l’un contre l’autre. On s’est embrassés. On s’est caressés…

‒ Chuuut ! Arrête ! Arrête ! Parce que…

mercredi 21 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 20

 Maman Marianne s’activait pendant que Philippe était au coin. Il ne comprenait pas bien ce qu’elle faisait, mais il ne cessait de songer à la dernière déclaration de sa belle-mère. Ici, ce n’était pas sa chambre. Il voulait rester dans celle qu’il partageait avec Aurélie. Même s’ils n’étaient pas mariés, ils vivaient en couple depuis assez longtemps pour avoir le droit de dormir dans le même lit.

« Veux-tu te tenir tranquille, Philippe ! A moins que tu ne veuilles une autre fessée ? »

mardi 20 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 23

 La visite

Le  déjeuner  suivi cet apéritif cinglant servit par Gisèle dans la grande salle à manger de Madame Leroy. Nestor rejoignit lui, la cuisine

Madame Séverine très à l’aise dans cette ambiance qui lui plaisait,  put expliquer à ses hôtes tous les avantages des cages de chasteté de l’oiseau en cage. Et elle ne s’en priva pas. Elle estimait que tous les hommes devraient être encagés et que le monde serait meilleur. Tout un programme !

lundi 19 octobre 2020

Les rebelles -chapitre 41 acte 2

 L’annonce de la fessée de Makary D. fait l’effet d’une offense parmi les adultes. Ils s’aperçoivent qu’ils n’ont pas de statut particulier et que les punitions corporelles sont bien réelles. L’un des leurs va l’apprendre à ses dépens.

Mebrahtu A., le plus âgé des adultes va trouver Fabienne D. pour tenter de la faire changer d’avis. Pour Mebrahtu A., il n’est pas concevable qu’un adulte soit fessé comme un jeune.

dimanche 18 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 137ème tableau

 Maman fut convoquée chez Mère Marie-Tatiana, la directrice de l'école Sainte-Genviève. Après un bilan calamiteux, Maman, furieuse, m'administra devant ces irréprochables Servantes de la Providence, une fessée supposée des plus  sa-lu-taire !! Mon nouveau camarade Phil Hippe assista à ma déconvenue.

samedi 17 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 26

 Je suis retourné chez ma mère soulagé, j'avais encore trois semaines de vacances avant de réintégrer l'ECS et j'entendais bien en profiter après ces derniers jours de calvaire.

Je me suis efforcé de respecter à la lettre les consignes de ma mère et miracle, je ne me suis pas ramassé de fessée !

Elle était ravie de ma nouvelle attitude et se félicitait de ses méthodes et de celles de sa sœur, je me suis bien gardé de lui confier que durant la dernière semaine de mon séjour chez la tante Maud, je m'étais retrouvé sous les fourches caudines de ma jeune cousine, qui avait tout pouvoir sur moi y compris celui de m'infliger des châtiments corporels.

vendredi 16 octobre 2020

Une fessée devant les copines pour Chloé

 « Ah, vous voilà toutes les trois ! Où étiez-vous ? Vous pouvez dire qu’on vous a cherché ! Disparues depuis le début de l’après-midi, sans qu’aucune d’entre vous ne pense à avertir sa mère ! Nous étions toutes les trois inquiètes. Je peux savoir ce que vous avez fait pendant tout ce temps ?

– On est allé se promener. On en avait envie !

– Et où êtes-vous allées vous promener ? Je peux savoir ?

– Ben, je ne sais pas exactement… par là. Où on avait envie d’aller.

– Et tu penses que ça va me suffire comme réponse ?

jeudi 15 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 31 scène 2

 Iourievna était surexcitée.

« Ça y est, la vidéo du cousin de Ruxandra. Ça y est ! On l’a. Tu viens voir ?

Une quarantaine de gendarmes, hommes et femmes, formaient deux haies, très rapprochées, entre lesquelles les dix condamnés menottés, tout nus, ont dû se frayer un chemin à la queue leu leu. En tête, il y avait la banquière, Jessica S., qui regardait tout le monde d’un air de défi, avec un petit sourire méprisant juché au coin des lèvres.

mercredi 14 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 19

 La vie s’organisait en fonction du confinement. Il était maintenant officiellement en place. Maman Marianne avait prévenu Aurélie et Philippe.

« Je ne veux pas que vous mettiez un pied en dehors de ma propriété sans mon autorisation. Si je vous y prends… »

Oui, ils savaient. Il n’y avait aucune raison que leur mère et belle-mère soit laxiste sur ce sujet, elle ne l’était pas sur les autres.

mardi 13 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 22

 Le rachat

Suite à la réunion stratégique ou j’avais présenté à madame Leroy le projet cage de chasteté comme moyen de diversification pour la SFID, je m’attelais maintenant à trouver la bonne entreprise fabricant ce type de produit à racheter.

Madame Leroy m’avait mis la pression et je devais agir vite sous peine de la décevoir. Et la déception de Madame Leroy se payait de manière cinglante et douloureuse sur les fesses nues. J’avais déjà eu à moultes reprises l’occasion d’en faire l’expérience.

lundi 12 octobre 2020

Les rebelles -chapitre 41 acte 1

 En cette rentrée scolaire, nous accueillons à Ste CROIX des adultes, venus se perfectionner au métier de l’informatique. Les formations d’adultes sont financées par l’IFCIA ( Institut Formation Continue Informatique Adulte ) et comme l’IFCIA ne peut assurer tous les cours, Ste CROIX intègre des candidats adultes pour les mener jusqu’à un niveau diplômant ( BAC, BTS ou Mastères ).

dimanche 11 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 136ème tableau

 Au cours d'un échange interscolaire, j'eus la surprise de croiser Moiselle Tapefort (Pat' pour les intimes) dans le bureau de Madame Fessard, la nouvelle directrice de l'Institut Claquemiche...

samedi 10 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 25

 Enfin, cela cesse, Lucie a abandonné son instrument de torture et passe à présent sa main sur mon fessier tuméfié.

« Venez toucher les filles, je lui ai parfaitement cramé les fesses, je crois qu'il va s'en souvenir de celle-là. »

Tu parles qu’elles se font un plaisir d'obtempérer.

vendredi 9 octobre 2020

Dernier avertissement

«  Je t’ai prévenu que je ne laisserai pas passer la prochaine fois. Et toi, qu’est-ce que tu fais ? Tu saisis la première occasion pour recommencer.

– Mais je n’ai pas fait exprès.

– C’est une excuse un peu facile, tu ne trouves pas ? A chaque fois, soit ce n’est pas de ta faute, soit tu ne l’as pas fait exprès, ou encore c’est quelqu’un d’autre qui est responsable. Tu ne crois pas que ce genre de justification soit un peu éculée ?

– Mais, ma chérie, je…

– Tais-toi, je ne veux plus t’entendre ! Je suis fatiguée de tes jérémiades de grand garçon qui a oublié de grandir dans sa tête en même temps qu’il prenait de l’âge ! Puisque tu persistes dans tes comportement puéril, il faut que je te traite comme si tu étais encore un petit garçon. Je crois que c’est ce dont tu as besoin !

jeudi 8 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 31

 Maman a appelé d’en bas.

« Les filles ! Le facteur ! Des colis pour vous !

Pour nous ? On s’est précipitées. Qu’est-ce que ça pouvait bien être ?

Deux paquets. Identiques. Tout en longueur. Qu’on a tournés et retournés dans tous les sens. Ça venait d’une certaine société Delaniaires. Ce qui ne nous disait rien. Absolument rien. Ni à l’une ni à l’autre...

mercredi 7 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 18

 Le temps au coin s’éternisait. S’il en jugeait par les bruits qu’il entendait, Annette travaillait sur la table de la salle à manger. Elle avait ainsi, du moins Philippe le croyait-il, une vue en permanence sur ses fesses. Pas question de bouger. Il savait comment cela aurait fini.

Annette s’était installée sur la table de la salle à manger, la pièce où elle avait mis Philippe au coin. Elle l’avait ainsi dans son champ de vision, même quand elle écrivait. Durant un bon quart d’heure, Philippe ne bougea par d’un poil. Annette était satisfaite de son obéissance. Il mettait beaucoup de bonne volonté pour montrer sa soumission aux ordres de sa baby-sitter.

Chroniques de confinement - chapitre 17

 Philippe était de retour au coin. Ses épaules étaient encore soulevées de temps en temps par un sanglot silencieux. Sous peine d’une nouvelle fessée, c’était Mademoiselle Annette qui avait exigé qu’il fasse silence, comme il était de bon aloi quand on était au coin.

Que ce soit pour retourner en pénitence ou pour étouffer ses sanglots, Philippe n’avait pas tergiversé. Il n’y avait plus le moindre doute, dans son esprit, que sa baby-sitter avait toute autorité pour décider quel devait être son comportement durant la fin de sa punition. Il n’y avait rien dans cette situation qui l’étonnait. Finir au coin après une fessée et s’y faire oublier étaient des préceptes banals chez sa belle-mère. Il en comprenait l’utilité.

mardi 6 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 21

 La diversification

Quelques jours plus tard la deuxième réunion stratégique de la SFID commençait.

Madame Leroy en tant que Présidente avait ouvert la séance en réexpliquant la nécessité de trouver de nouvelles pistes pour la pérennité de l’entreprise. Comme annoncé lors de la précédente réunion, elle commença un tour de table pour connaître les idées des cadres la SFID qui composaient le comité de Direction.

lundi 5 octobre 2020

Emma apprend à gérer son budget

 « Dis-moi, Emma, qu’est-ce que c’est que ça ?

– Ça quoi ?

– Ne commence pas à être insolente ! Regarde plutôt ! Qu’est-ce que ça veut dire ?

– …

– J’attends une explication ! Comment de fait-il que ton compte soit à découvert ?

– Je… je… Je ne sais pas.

– Tu ne sais pas ? Et bien moi, j’en ai une idée. Qu’est-ce que c’est que cet achat de deux cent cinquante-trois € ?

dimanche 4 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 135ème tableau

 Cette nuit-là, je nageais en plein rêve ! Pensez donc : une après-midi romantique en compagnie de Géraldine, la fille de la "Cordonnière" de Synthol. Inespéré. Mais la fin se transforma en cauchemar : nos Cerbères de mères nous flanquèrent une raclée... romantique ! 

samedi 3 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 24

 Je prends beaucoup sur moi pour ne pas aggraver mes misères, si je me laissais aller, je lui enverrais, qu'elle avait raison de bien profiter de ma sujétion actuelle, car si les choses venaient à s'inverser, ce qu'à Dieu ne plaise, je serai me souvenir des turpitudes infligées. Je me retrouve donc dans la très humiliante position de repentance souhaitée.

« Tu demandes pardon et tu nous remercies de t'avoir corrigé. »

vendredi 2 octobre 2020

L’amie d’enfance de Joachim

 « C’est ta mère qui m’a appelée. Elle m’a demandé de passer te voir. Tu te doutes pourquoi ?

– Ben non, je n’vois pas. Que se passe-t-il ?

– Non, tu n’as rien remarqué ? Hier soir, tard dans la nuit, jusqu’au petit matin.

– Ah ! C’est pour ça ! Mais il s’est rien passé ! Qu’est-ce qu’on t’a raconté ? Des mensonges !

– Ce n’est pas l’avis des voisins. Ils disent qu’ils sont descendus te demander de baisser le son, mais cela n’a rien changé. Ils ont l’air tous d’accord. Pas seulement un ou deux, mais six. Six familles ! Prétends-tu qu’ils mentent tous ?

jeudi 1 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 30 scène 2

 « T’en as pas marre ?

Ça faisait deux jours. Deux jours qu’Iourievna se repassait en boucle, encore et encore, la vidéo des quatre stagiaires gendarmes sévèrement fessées, devant toute la brigade, à grands coups de palettes de punition.

‒ Hein ? T’en as pas marre ?

Elle n’a pas relevé la tête.

mercredi 30 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 16

 Philippe était de retour au coin. Ses épaules étaient encore soulevées de temps en temps par un sanglot silencieux. Sous peine d’une nouvelle fessée, c’était Mademoiselle Annette qui avait exigé qu’il fasse silence, comme il était de bon aloi quand on était au coin.

Que ce soit pour retourner en pénitence ou pour étouffer ses sanglots, Philippe n’avait pas tergiversé. Il n’y avait plus le moindre doute, dans son esprit, que sa baby-sitter avait toute autorité pour décider quel devait être son comportement durant la fin de sa punition. Il n’y avait rien dans cette situation qui l’étonnait. Finir au coin après une fessée et s’y faire oublier étaient des préceptes banals chez sa belle-mère. Il en comprenait l’utilité il en reconnaissait la pertinence.

mardi 29 septembre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 20

 Le brain storming

Depuis plusieurs mois le train-train de la SFID ronronnait quotidiennement. Les commandes arrivaient tous les jours au siège par les canaux  habituels : les commerciaux qui tous les jours transmettaient les commandes prisent directement à l’aide de leurs ordinateurs chacun sur leurs secteurs, les commandes qui arrivaient par le site internet, les commandes passées par les distributeurs de nos produits tels que les sexe shop et autres love center, les distributeurs internet qui possédaient de multiples sites ou se retrouvaient nos produits souvent avec des prix très différents d’un site à l’autre, et quelques clients qui ne devant pas savoir  que le monde dorénavant vivait et communiquais par internet, transmettaient toujours et encore leurs commandes par la poste , à l’aide d’une enveloppe et d’un timbre.

lundi 28 septembre 2020

Un très clair avertissement

 Cela ne peut pas continuer comme cela, Mademoiselle ! En moins d'une semaine de présence dans mon service, vous avez réussi à semer la zizanie parmi tous vos collègues. Il y a ceux qui vous courtisent, ceux qui ne vous supportent plus, ceux qui vous haïssent, ceux qui sont en admiration devant vous et ceux qui ne cessent de s'apostropher pour savoir si vous devez rester ou partir.

Il n'y a pas à dire, vous êtes une excellente administratrice de sites internet. De ce côté-là, votre compétence ne peut être mise en doute. Par contre vous avez un réel savoir-faire pour tendre les relations entre vos collègues et je dois avouer que je me passerai bien de cette compétence. Il est même étonnant que vous soyez arrivée à un tel degré de maîtrise dans ce domaine à l'âge de vingt-trois ans.

dimanche 27 septembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 134ème tableau

 Tante Gladys nous rendit une visite surprise. Elle avait échangé son tailleur moulant, coutumier, pour une tenue plus automnale, comme Maman. Mais son tempérament était resté entier, lui. Mazette !

samedi 26 septembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 23

 C'est Corinne qui s'y colle et m'ôte mon pyjama, comme si je n'étais pas capable de le faire moi-même, tandis que Lucie trafique avec le broc près de l'évier.

« Enlève-lui tout ma chérie, on le veut tout nu. »

Quand je me retrouve aussi dépouillé qu'au jour de ma naissance, on me fait mettre dans la même position que la veille, c'est â dire, accroupi, les coudes au sol et les fesses bien tendues, offrant la plus large vue de toute mon intimité dans la position des bêtes quand elles veulent marquer leur soumission.

« Cambre-toi davantage, offre bien ton trou à la canule, voilà qui est parfait, tu peux procéder Lucie. »

vendredi 25 septembre 2020

Une deuxième et sévère Maman

C'est à cette heure-ci que vous rentrez, Alexandre ? Je croyais pourtant ne vous avoir donné la permission de sortie que jusqu'à vingt-deux heures. N'ai-je pas été claire ? Me suis-je mal fait comprendre ? A moins que vous m'auriez délibérément désobéi ?

Depuis deux mois que je me suis mariée avec votre père, c'est la première fois où il s'absente pour plusieurs jours. Il m'a explicitement confié l'autorité sur vous, bien que vous ayez vingt-et-un ans. Je sais que cela vous déplaît : être placé sous l'autorité de votre belle-mère qui n'a pas dix ans de plus que vous.

jeudi 24 septembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 30

 Une heure. Plus d’une heure que j’essayais désespérément de l’appeler, Théo.

« Mais qu’est-ce qu’il fout ? Qu’est-ce qu’il fout ? Faut pas six mois pour recevoir une fessée quand même !

Iourievna a suggéré.

‒ Il est peut-être en train de baiser Léa…

‒ Ah, c’est malin !

mercredi 23 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 16

 Maman Marianne pénétra dans la chambre d’Aurélie et de Philippe, à sept heures vingt-cinq comme d’habitude et sans s’annoncer. Elle alla directement ouvrir les volets et laissa la fenêtre ouverte. En ce début du mois de mars il faisait encore un peu frisquet, surtout aussi tôt le matin, le soleil n’étant pas encore complètement levé. Je me glissais un peu plus loin sous la couette.

« Debout tous les deux ! Nous avons pas mal de chose à voir ce matin ! »

Elle attrapa la couette qu’elle rabattit au pied du lit. Philippe tenta, en vain de retenir cette protection qui le maintenait au chaud et Aurélie protesta et grommelant.

« J’ai dit debout ! »

Une claque atterrit sur les fesses de Philippe.

mardi 22 septembre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 19

 Fin de période d’essai

Le séminaire fini, les commerciaux repartis sur leur secteur, le siège de la SFID reprenait sa routine habituelle.

Le barnum abritant les réunions avait été démonté, j’avais retrouvé mon bureau et Aurélie en ligne de mire dans son cagibi vitré. Sa formation allait bientôt se terminer et j’allai pouvoir relâcher la pression que je mettais sur elle, pression que m’avait mise Madame Leroy à l’arrivée d’Aurélie.

lundi 21 septembre 2020

Une fessée bien méritée

 Eh oui, ma chérie, je sais ! Cela n'a rien d'une partie de plaisir pour toi, mais avoue que tu as amplement mérité ce qui t'arrive ! Oh, tu peux prendre ton petit air de petite fille repentante, ou plutôt ta moue de chien battu, mais c'est trop tard pour te pardonner sans t'avoir puni d'abord. Quand même, à vingt-quatre ans, tu devrais savoir ce que c'est que d'obéir à une règle que je t'ai fixée, non ? Est-ce si difficile ?

Quand je te dis que tu dois être rentrée à dix-huit heures trente, tu sais que c'est parce que tu as du travail à faire après les cours et que je tiens à ce que tu fasses correctement tes devoirs. Au lien de cela, Mademoiselle arrive, la bouche en cœur à dix-neuf heures quarante. La semaine dernière, j'ai accepté tes excuses, sans doute un peu trop tôt. Un bus en panne, mettons ! Tu as cru que tu pouvais prendre des libertés avec mes exigences. Eh bien, j'ai bien l'intention de te montrer que ce n'est pas possible.

dimanche 20 septembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 133ème tableau

 Une cousine de Maman vint nous rendre visite : Marie-Geneviève. Ancienne professeur en collège, elle rivalisait avec Maman par ses méthodes ô combien éprouvées. Le séjour allait s'avérer... épineux ! Mazette !

samedi 19 septembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 22

 Tante Maud a ricané quand elle m'a vu arriver avec mon short à ras des fesses.

– Approche toi Fabien, il me semble que tes cuisses ont pris des couleurs ou plutôt du relief.

Je me suis mis à sa portée et j'ai tourné mes fesses vers elle en me penchant un peu, elle a passé la main doucement sur mes cuisses meurtries.

– Ça ce sont des coups de martinet où je ne m'y connais pas, tu vas encore te faire remarquer si Lucie t'emmène en promenade, ça t'apprendra à t'attarder dans les toilettes mon chéri.

vendredi 18 septembre 2020

Une de perdue... une de retrouvée

Parce que c'est ça que tu appelles travailler ? Il me semblait pourtant, mon oncle, que ma tante t'avait ordonné de mettre de l'ordre dans tout le fouillis que tu as accumulé dans l’appentis. Il m'a semblé que tu devais avoir fini avant la fin de l'après-midi. Est-ce que je me trompe ?

Il y avait là de quoi t'occuper sans que tu prennes le temps de musarder en route ! Et sur quoi je tombe ? Sur un garçon qui, une demi-heure après avoir commencé, n'a pas bougé le moindre objet. Monsieur était tranquillement assis dans un coin à rêver. Désobéissance, paresse... Il y a là motif à punition, si je ne me trompe pas. N'est-ce pas ?

jeudi 17 septembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 29

 Iourievna a explosé.

« Tu vas me faire la gueule encore longtemps ?

‒ Je te fais pas la gueule…

‒  Ah, non ? Tu te vois pas ! Mais dis-le, si t’as quelque chose à dire ! Dis-le !

‒ C’est mon mec, Théo.

mercredi 16 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 15

Mademoiselle Annette s’était assise sur le lit où elle attendait Philippe. Il n’y avait pas un long chemin à parcourir, mais il lui sembla trop court. Philippe avait les yeux fixés sur la règle que sa baby-sitter avait posée à côté d’elle. si elle était là, c’était pour servir, Philippe en était bien conscient et cela renforçait considérablement la sévérité des quelques minutes à venir.

« Allons, dépêche-toi ! Tu sais bien que tu l’as méritée ! »

mardi 15 septembre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 18 bis

 Le séminaire

Aurélie avait poursuivi sa formation avec plus de sérieux après les évènements précédents.

Ma reprise en main suite aux conseils de Madame Leroy avait porté ses fruits. Désormais chaque semaine je m’appliquais à trouver un motif, parfois futile, parfois motivé pour punir Aurélie et la trainer en salle de correction pour y être fouettée. Elle s’appliquait pourtant mais je me faisais un malin plaisir à trouver la faille objet d’un  motif de correction. Et Aurélie les craignait ces corrections car je n’y allais pas de main morte et voulait la marquer psychologiquement  mais aussi physiquement avec des fesses bien striées qui plairaient  aux yeux de Madame Leroy.

dimanche 13 septembre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 132ème tableau

 La cloche de la rentrée avait sonné depuis une semaine déjà. Maman fut convoquée pour "remise à niveau nécessaire". A la lecture de mon dernier bulletin, elle encouragea les religieuses  à un recadrage "musclé"...

samedi 12 septembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 21

 Et effectivement la fin de mon séjour balnéaire fut très difficile.

J'avais fini ma journée de plage nu au piquet, les mains sur la tête, le plus immobile possible pour ne pas risquer une nouvelle fessée. J'avais été autorisé à me mettre en pyjama pour prendre mon repas et envoyé directement au lit celui-ci achevé, non sans que Lucie, me fasse approcher et me baisse mon pantalon, passant la main sur mon fessier où subsistaient, en longues rigoles douloureuses, les traces du martinet.

– Maman, crois-tu que je doive lui passer une crème apaisante ?

vendredi 11 septembre 2020

Quand le comportement à l'école laisse à désirer

 Mademoiselle, je vous ai acceptée dans ma classe sous l'aimable pression de Madame votre mère que j'ai le plaisir de connaitre depuis bien longtemps, bien que vous soyez bien plus âgée que mes autres élèves. A vingt-six ans, vous dénotez parmi vos camarades qui ont toutes autour de vingt ans !

Deux mois que vous êtes parmi nous, non seulement je ne peux pas dire que vous faites partie de la tête de la classe, vous rivalisez plutôt avec deux ou trois autres élèves pour occuper la dernière place, mais en plus vous vous permettez de perturber le bon déroulement du cours par vos singeries et vos ricanements.

jeudi 10 septembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 28 - acte 2

 Il était pas trop déçu, Théo ?

« Non, parce que t’étais venu pour me voir et, finalement, on n’a pas eu le moindre petit bout de temps à nous.

‒ Ça fait rien. Une autre fois…

J’ai pris mon petit ton câlin.

‒ Vendredi prochain ?

Il savait pas. C’était pas que ça le tentait pas, non. Bien au contraire.