vendredi 16 octobre 2020

Une fessée devant les copines pour Chloé

 « Ah, vous voilà toutes les trois ! Où étiez-vous ? Vous pouvez dire qu’on vous a cherché ! Disparues depuis le début de l’après-midi, sans qu’aucune d’entre vous ne pense à avertir sa mère ! Nous étions toutes les trois inquiètes. Je peux savoir ce que vous avez fait pendant tout ce temps ?

– On est allé se promener. On en avait envie !

– Et où êtes-vous allées vous promener ? Je peux savoir ?

– Ben, je ne sais pas exactement… par là. Où on avait envie d’aller.

– Et tu penses que ça va me suffire comme réponse ?

– Bof.

3 grandes filles qui ont fait une bêtise

– Recommence une seule fois à hausser des épaules et tu vas voir de quel bois je me chauffe. Vous allez me dire où vous êtes allées ! Tout de suite !

– Y’en a marre ! On est toutes les trois majeures. On fait ce qu’on veut ! On n’a pas à te dire où on était ! On est plus des petites filles !

– Ah oui ? Toi, ma fille, je ne sais pas qui t’a monté la tête sur ce sujet, mais je ne crois pas que cela corresponde à la réalité, et je vais te le montrer immédiatement !

%aùan se fâche

– Viens-ici !

– Non, Maman, attends !

– Attendre ? Et que veux-tu que j’attende ? Ma fille de dix-neuf ans se montre insolente et il faudrait que j’attende pour lui apprendre ce que c’est que le respect qu’elle doit à sa mère ? Non, non et non ! Au contraire, il est urgent de régler ça au plus vite !

– Je te demande pardon, Maman ! Pardon !

– Pardon ? Tu ne crois pas qu’il soit un peu tard pour demander pardon ? De quel droit te permets-tu de me répondre de la sorte ? Et de vagabonder sans que je sache où tu es ? Tant que je serai ta mère, non seulement je veux savoir où tu es, mais en plus quand tu vas dans un lieu inhabituel, tu m’en demandes la permission au préalable !

Mise en position pour la fessée

– Non, Maman, non ! Pas devant elles !

– Parce que tu crois qu’elles vont avoir un traitement différent du tien ? Je crois que la nature des échanges que j’ai eu avec leurs mères ne laisse aucun doute. Ces demoiselles peuvent préparer leur fesses. Elles seront d’une tout autre couleur ce soir.

– Maman, s'il te plait, pas ici !

– Tu me laisses faire ou je vais chercher le martinet ! C’est ce que tu veux ?

une fessée se prépare

– Oh non, Maman !

– Je ne sais pas ce que tu t’es imaginé, mais je n’envisage rien d’autre que de te punir de la même façon qu’habituellement. Tant pis pour la présence de tes copines. Ce sera la fessée déculottée ! Il n’y a que ça que tu comprennes !

– Pas ça, Maman, non !

–Tes copines n’étaient pas au courant ? Tu ne leur avais pas dit que ta Maman devait régulièrement te baisser la culotte et te fesser pour que tu sois sage et obéissante, bien que tu sois majeure ? Eh bien voilà, maintenant elles sont au courant !

Culotte baissée devant les copines

– Oh, mais ne crains rien. Quand je vous ai vu arriver j’ai téléphoné aux Mamans de ces deux demoiselles. Elles m’ont demandé de régler moi-même la situation tout de suite. Si tes deux copines voient maintenant tes fesses devenir toutes rouges, la réciproque c’est pour dans quelques minutes.

– Aïe, Maman, aïe !

– C’est vrai que jusqu’à aujourd’hui, je ne t’avais corrigée que lorsque nous étions seules. Il n’y a guère que ta grande sœur qui a eu l’occasion d’assister à plusieurs des fessées que je t’ai données. Comme il t’arrive d’assister aussi aux siennes, j’ai toujours considéré que c’était en privé, ou presque. Cela te rappelle que de ne plus habiter ici n’empêche pas la justice maternelle de passer.

c'est la fessée déculottée

– Bien qu’elle ait vingt-six ans et qu’elle vive dans son propre appartement, cela ne veut pas dire qu’elle n’a plus besoin de la surveillance attentive de sa Maman et des fessées qui vont avec. Cela te rappelle que je n’ai pas l’intention d’arrêter de te corriger quand tu seras indépendante, comme ta sœur. Et que tu sois majeure n’est bien indifférent. Au contraire !

– Maman, aïe… je ne le ferai plus, aïe… je te le, aïe… te le promets, aïe !

– Je sais ce que valent tes promesses. Quand je ne les renforce pas par une bonne fessée, tu les oublies aussitôt énoncées ! Quand tu as eu les fesses bien rougies, tu tiens tes engagements un peu plus longtemps, même si, avec le temps, tu refais les mêmes bêtises. Mais ne t’inquiète pas, je serai plus tenace que toi.

– Aïe, Maman, aïe… j’ai compris, aïe… Je vais être sage, aïe ! Ça fait trop mal, aïe !

– Chloé, je ne veux pas voir cette main à protéger tes fesses !

la fessée rougit les fesses

– Maman, aïe... ça fait mal, aïe !

– Oh, mais si je veux que tu cesses tes insolences et tes désobéissances, il faut bien que la fessée soit sévère. J’espère bien que ma main transforme tes fesses en une fournaise. Et je crois que je peux faire encore un peu mieux que ça. Je te promets que tu vas hésiter à recommencer ce que tu viens de faire ! La prochaine fois, je veux que tu te souviennes de ce que tu risques, si tu t’avises de refaire la même bêtise.

– Pardon Maman, aïe… aie… Je ne le ferai plus, aie… !

– Si seulement il suffisait d’une fessée pour que ce soit vrai. Oh, je ne dis pas que ça n’aide pas ! Bien sûr que si ! Pendant quelques semaines tu te tiens à carreau et tu évites de t’aventurer de nouveau sur le terrain qui t’a valu une correction, mais peu à peu, le souvenir de la cuisson de tes fesses doit s’estomper et tu recommences ou bien tu commets une bêtise presque semblable à la première. Je t'ai dit d'enlever ta main !

une cuisante fessée déculottée

– Aïe… aïe… aie… pardon, aïe !

– Bien, nous avançons. Encore un petit effort et je devrais avoir fait du bon travail, suffisamment pour que tu te souviennes, pendant quelques jours, ce qui arrive aux grandes filles qui se croient trop grandes pour demander l’autorisation avant d’aller se promener et qui, de plus, répondent insolemment à leur Maman. Quand dis-tu ? As-tu encore envie de recommencer de si tôt ?

– Non, aïe… Maman, non… aïe !

– Je t’ai connue avec une conversation plus fouillée ! Tu répètes toujours les mêmes choses ! « Non, Maman », « aie ! », « Pardon, Maman ». Serait-ce donc que la fessée atteint son but ?

une correction efficace

– Ah ! Maman ! Aïe !

– Tu ne réponds pas ? Je crois que vais donc continuer un peu. Tu as raison, il y a encore un endroit de tes fesses qui est un peu trop pâle.

les fesses rouges et cuisantes

Bon, je crois que pour cette fois, nous sommes au bout de cette fessée. Je crois que tu as eu ton compte…jusqu’à la prochaine fois. Puisque tes copines ont assisté à ta fessée déculottée, je pense que la façon dont je te punis va être connue de bien du monde. Je crois que je vais cesser de prendre des précautions pour que ces punitions restent au sein du cercle familial. Je crois que tu abuses de la situation, en pensant que je ne te punirais pas quand nous ne sommes pas à la maison.

– Je serai sage, Maman, je te le promets !

– J’en suis à peu près sûre. D’ailleurs, la prochaine fois que j’ai à te faire une remarque, quel que soit le lieu dans lequel nous nos trouverons, je te baisserai la culotte et je te fesserai.

– Oh non, Maman, mais…

– Il n’y a pas de « mais » qui tienne. Et puis, il est temps de m’occuper de tes copines !



Merci à...

... eh bien, à personne, je crois, à moins que ce ne soit au photographe qui a pris cette photo que les logiciels permettent de transformer en dessin. Pas mal, non ? Qu'en pensez-vous ? Faut-il continuer dans cette voie ?

En public quand c'est nécessaire

 Fessée devant la voisineUne fessée déculottée pour toutes les deux



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8 commentaires:

  1. C'est absolument génial. Belle histoire, étonnante mais passionnante, on s'y croirait. je ne sais aps s'il y a un fond de vérité dans cette histoire mais elle correspond à mon imagination. j'écris des romans sur ce thème dont "confinement rime avec redressement" vient de sortir, à peu près dans toutes els librairies en ligne , mais là, cela semble tellement réel Bravo

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  2. Aïe aïe aïe, quand maman se fâche !
    Très beau récit merci

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  3. Bonsoir JLG,

    Excellent récit. Maman va recadrer ces trois petites pimbêches. Bien fait pour elles ! On ne répond pas mal à sa mère. Elles n'ont que ce qu'elles méritent ! M'enfin ! (comme dirait ce grand fainéant patenté de Gaston).
    Le rendu semble plus net que celui de la nouvelle précédente. Non ?
    Amicalement. Peter Pan.

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  4. bonjours super l'histoire je ne sais pas si c'est vrais mais en i croyez je vois mon histoire ou les fessée était autorisé je revois ma mère me fessée cul nue devant mais copains et copines il faudrait une histoire comme ça avec dessin ou un homme et fessée devant les fille et une dame et fessée devant les garçons parce que dans les année 70 en était fessée devant tout le monde garçon et fille merci.

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    1. C'est vrai que dans les années 70 et même 80,les garçons étaient fessés devant les filles, et les filles devant les garçons. Pour les filles, leur pudeur était mise à rude épreuve,.Elles avaient la jupe relevée et la culotte baissée, et quand c'était terminé, elles allaient pour certaines, dans un coin de la pièce dos au mur, mains sur la tête, et la culotte était complètement baissée jusqu'aux chevilles, ce qui fait que la fente était visible de tout le monde.
      Milky

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    2. Bonjour,
      Je ne sais pas si "Milky" désigne une fille ou un garçon. Mais il me semble, qu'au-delà de 6 ou 7 ans, la pudeur des filles, certes, mais celle des garçons également était mise à rude épreuve lorsqu'ils recevaient la fessée déculottée qu'il y ait ou pas d'autres enfants, quel que soit leur sexe. Le centrage sur les filles est-il un effet de genre ?
      Il faut aussi préciser que lorsqu'il s'agit d'un adulte, le simple fait de lui baisser la culotte lui fait perdre toutes ses prérogatives d'adultes, y compris le droit à la pudeur, qu'il y ait ou pas d'autres personnes présentes et qu'elles soient du même sexe ou de sexe différent.

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  5. c est trs bien, cette petite insolente a bien mérité cette fessée déculottée

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  6. Bonne fèssè au fesse de la fille

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