mercredi 27 février 2019

Recadrage en Provence - chapitre 7

Humilié par Nathalie

Arrivés dans sa chambre, Nathalie continuait de me tirer l’oreille pour m’emmener jusqu’au pied de son lit, je retenais toute manifestation de douleur et de rébellion, je ne pensais qu’à une chose ne pas me faire remarquer et éveiller la curiosité de Noémie et Louise.

mardi 26 février 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - Chapitre 13

Dans la cabine d'essayage.

 De toutes ces femmes autoritaires au caractère bien affirmé, Edwige était peut-être la plus radicale dans sa conception de la discipline conjugale et domestique. Son enthousiasme communicatif et sa bonne humeur permanente contrastaient avec la rigueur de tous les instants dont elle faisait preuve vis à vis de son mari qu'elle avait soumis depuis longtemps à son inflexible autorité.

lundi 25 février 2019

Suis-je assez claire ?

Je n'avais probablement pas été assez explicite jusqu'à maintenant. Soyons clair, je n'ai accepté de t'héberger que pour rendre service à ta mère qui était très inquiète de voir son petit dernier prendre son envol et s'éloigner hors de sa portée et de sa surveillance quotidienne. Elle avait raison de se faire du souci.
J'avais portant cru avoir mis les choses au point : c'est moi qui édicte les règles auxquelles tu es soumis en j'entends qu'elles soient scrupuleusement suivies à la lettre ! Avec ta mère, cela n'a pas posé de souci. Elle a accepté mes conditions sans en discuter aucune. Je crois même qu'elle était assez satisfaite de leur teneur.

dimanche 24 février 2019

Mémoire d'un garnement de jadis - 59ème tableau

Par bravade, je désobéissais à Maman et ma curiosité pour les "choses de la vie" l'emporta sur ma raison.
Par malchance, Maman qui montait à l'étage  me surprit en plein "exercice" et... vous connaissez la suite.

samedi 23 février 2019

Axel au supermarché chapitre 84


Les commentaires fusaient. Ils étaient plutôt ironiques. On parlait de moi comme d’un petit garçon pas sage : « un vilain garçon qui a pris une fessée », « dorénavant, je pense qu’il sera obéissant ». J’enfonçais mon nez dans l’angle de la pièce, mais cela ne m’empêchait pas d’entendre les avis des employés du magasin, qui s’amusaient de ma situation. Chacun s’arrêtait et y allait de sa petite moquerie. Il se formait des petits groupes, ce qui était favorable à l’escalade dans le contenu des propos.
« Dommage qu’on ne voit pas l’autre côté, remarqua une voix féminine que j’attribuais à une personne assez jeune.

vendredi 22 février 2019

Consultation es fessée - Noémie


Une nouvelle consultation par courriel auprès du Docteur Legendre. Noémie fait part d'un problème qui a dû arriver plus d'une fois. Je vous laisse le découvrir en lisant leurs échanges.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.


À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Lundi 21 janvier 2019 18:14:56
Objet: est-ce dans vos cordes ?

Docteur Legendre,
Je m’adresse à vous, faute d’avoir trouvé une autre personne avec qui discuter de mon problème.

jeudi 21 février 2019

Bis repetita non placent

Aïe, aïe, aïe, aïe... deux fois, pas tout à fait de suite, mais pas loin. Il y a de quoi se plaindre ! Notre ami Ramina a eut tout à fait raison d'émettre une protestation, dans des formes diplomatiques certes, mais une protestation tout de même.

mercredi 20 février 2019

Recadrage en Provence - chapitre 6

Faute grave 

L’après-midi se passa sans encombre pour moi et pour tout le monde, il faisait tellement chaud que nous étions tous abattus mais concentrés sur notre travail. Anna n’eue aucune plainte à émettre, quelques petites recommandations à l’une ou l’autre des ouvrières, à Noémie dont c’était la première cueillette mais rien qui méritait un recadrage ou une punition.

mardi 19 février 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - chapitre 12

Sur les cuisses de Madame de Blagnac.

 Maxime n’eut pas vraiment le temps de s’émouvoir à la vision des jarretelles de Madame de Blagnac. Elle semblait l'attendre d'une main ferme. Il aurait tout loisir d’apprécier le confort de ses belles cuisses gainées de nylon, à y séjourner en tortillant ses fesses au rythme d'une probable fessée qu‘elle allait lui administrer. Il s'y attendait et n'allait pas être déçu.

lundi 18 février 2019

Une continuité certaine

Tout cela nous ramène bien vingt ans en arrière quand tu venais passer des vacances chez moi. Quel âge avais-tu à l'époque ? Dix ? Douze ? Non, pas tant que cela la première fois. Tu ne devais pas avoir plus de huit ans. Tes parents aimaient bien t'envoyer chez moi, ta tante. Ils savaient que je ne me plierai pas à tes caprices.
La dernière fois tu en avais au moins vingt-trois. Je m'en souviens, c'est l'année où tu m'as "emprunté" ma voiture sans me le dire et que tu as eu un accident après une soirée arrosée. Je crois que tu dois encore te souvenir des conséquences à ton retour.

dimanche 17 février 2019

Mémoire d'un garnement de jadis - 58ème tableau

La directrice adjointe convoqua Maman pour faire le point du trimestre. Après discussion, le verdict tomba : un recadrage régulier de la main de madame Chinion.... pour stimuler mon goût du travail !!! Mazette !

samedi 16 février 2019

Axel au supermarché - chapitre 83


Tatie Nathalie nous conduisit directement dans le bureau de la directrice qui nous attendait.
« Voilà mes punis ! Bonjour Mesdames. »
Elle proposa à Jeanne et à Tatie Nathalie de prendre place sur les deux chaises prévues pour les visiteurs.
« Quant à vous deux, allez donc vous mettre face au mur, les mains sur la tête. »
Le ton de la journée était donné. Nous y serions sous le régime de la punition.

vendredi 15 février 2019

Recette pour une bonne fessée : punir à bon escient

Punir un adulte n’est pas un acte anodin. Une tutrice avisée en viendra à cette extrémité quand il s’agira de créer, dans l’esprit de son pupille qu’il soit de sexe masculin ou féminin, une relation durable entre un acte commis et les désagréments qui doivent en résulter pour celui qui s’est permis un écart répréhensible.

jeudi 14 février 2019

Vous avez dit Stanton ? Il y a une suite

Ce n'était que le hors-d'oeuvre pour nous mettre en appétit. Peter Pan nous a prévu une suite en guide de plat de résistance. Y aura-t-il un dessert ? Seul Peter Pan le sait.

mercredi 13 février 2019

Recadrage en Provence - Chapitre 5

La pause de midi

La première matinée de travail s’était bien déroulée, j’avais fait le maximum pour que les ouvrières puissent avancer dans la cueillette sans avoir à attendre un panier vide. J’étais plutôt soulagé et fier de moi, à 9h30, la pause avait eu lieu et c’est à ce moment que j’avais pu aller déverser les fleurs de lavande dans le hangar.
La chaleur s’était installée progressivement dans la matinée, il était maintenant près de 11h30, tout comme moi les ouvrières transpiraient fortement. Comme j’étais nu sous ma combinaison les gouttes de sueur perlaient de mon dos jusqu’à mes chaussettes.

mardi 12 février 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - chapitre 11

La boutique de Madame de Blagnac

Le derrière de Maxime, déjà bien soigné par la fessée au martinet, ne put échapper à une nouvelle correction. A genoux aux pieds de sa mère, le nez sur ses talons aiguille, il avait beaucoup de difficulté à fixer son attention sur les leçons de code à apprendre. Pour ne rien arranger ses fesses, bien que déculottées, lui cuisaient encore atrocement et l'empêchaient de se concentrer. Il n'était pas du tout prêt lorsque sa mère décida de l'interroger.

lundi 11 février 2019

Etre baby-sitter, ce n'est pas de tout repos.

Ce n'est pas souvent le cas, mais il y a quelques-uns, parmi les enfants dont je m’occupe, qui ont de grandes difficultés à comprendre. On pourrait s'attendre à ce que ce soit les plus âgés qui soient les plus raisonnables. Paradoxalement, il n'en est rien. Ce sont souvent eux avec qui je dois faire usage de mon autorité.
Tu sais, ma grande, j'ai l'habitude de faire du baby-sitting. Je dois avouer que tu es la plus grande de tous les gamins dont j'ai eu à m'occuper. Il est rare qu'on me demande de garder des enfants de ton âge. Quatorze, quinze ans, cela arrive parfois. C'est la première fois que je dois garder une jeune fille de vingt-quatre ans. Non pas que cela me dérange, avec toi, il faut s'y prendre comme avec un enfant de six ans. Ne t'inquiète pas, je sais faire !

dimanche 10 février 2019

Mémoire d'un garnement de jadis - 57ème tableau

Maman avait trouvé chez Madame Gladys une alliée de poids. Sa menace de m'envoyer chez elle à Pâques se précisait. Cette dames ne supportait aucune contradiction, ni hésitation. J'en avais les fesses qui s'empourpraient d'avance. Ça allait chauffeeeeeeeeer !

samedi 9 février 2019

Axel au supermarché - chapitre 82


Dans mon demi-sommeil, j’entendis, dans le couloir, les pas de Tatie Nathalie qui venait me réveiller. Je ne ressentais pas le confort habituel quand, le matin, on est encore niché au fond de son lit avant que les préoccupations de la journée ne chassent les derniers vestiges de la nuit. Je n’arrivais pas à identifier pourquoi.
Je faisais attention à ne pas me réveiller avant que Tatie Nathalie ne s’en charge. Elle s’y prenait tout en douceur : un bisou sur ce qui dépassait de la couette, une main qui passait dans les cheveux. J’ouvrais alors les yeux. Chaque matin, je me laissais aller, profitant de ce moment de tendresse où j’avais Tatie Nathalie pour moi tout seul pendant quelques instants.

vendredi 8 février 2019

Recette pour une bonne fessée : à plat ventre en travers des genoux


Placer le puni à plat ventre en travers de ses genoux... l'archétype de la fessée maternelle. Que de souvenirs cuisants pour bon nombre de garçons et de filles, mais également de réminiscences émues pour plus d'une correctrice !
Qui ne voit pas, lorsqu'il évoque la fessée, l'image d'une dame d'âge mûr maintenant sur ses genoux un garçon ou une fille plus jeune qu'elle dont elle a baissé la culotte et s'employant à lui faire regretter l'écart qui l'a conduit dans cette position infantilisante ?

jeudi 7 février 2019

Madame Anne Sophie... fessothérapie


Anne-Sophie, fesseuse hors pair ! Et même mieux   : fessothérapeuthe  !


Qu'on se le dise ! Anne-Sophie notre vaillante institutrice donneuse de bonnes fessées  continue de corriger ! A repris du service une fois gérée son installation en Normandie, suite à cette mutation qu'elle avait demandée.
Nous ne nous intéresserons pas plus son activité dans la fonction publique, si ce n'est de nous féliciter qu'ayant quitté l'air de Paris et des environs, l'agitation, les tensions sociales, la voici ouverte vers une nouvelle vie, vers une seconde jeunesse ; après avoir bien assumé, bien géré les choses tant qu’elle le pouvait, ayant compris et en toute sérénité et lucidité qu'il était temps de changer.

mercredi 6 février 2019

Recadrage en Provence - chapitre 4

Première journée de travail

Par chance le premier réveil et le petit déjeuner se passèrent sans encombre pour moi. Marta entra dans ma chambre pour me réveiller à mon chevet, je pris cette intrusion dans ma chambre pour éviter de réveiller les autres filles sur le palier.
Je fus envoyé à la douche et je retrouvai Marta pour boire un jus de fruit et quelques tranches de pain à la confiture. Finalement je n’étais pas mécontent de moi, j’étais bien éveillé et prêt à découvrir mon travail.

mardi 5 février 2019

Une colocation pleine de promesses

Voilà, au moins maintenant mes choses seront claires. Depuis le temps que je te le promettais, sans jamais aller au bout !  Combien de fois t'ai-je dit que vivre en colocation, cela suppose d'en respecter les règles ?
Que nous ayons le même âge et que nous soyons copines depuis l'école maternelle n'a rien à voir dans l'affaire. Puisqu'il faut que je prenne les choses en mains pour que tu apprennes à te comporter comme une jeune fille responsable, je veux bien le faire, mais à condition d'en avoir les moyens.

lundi 4 février 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - chapitre 10


Edouard et Maxime en souffrance

Gladys n'avait pas trouvé de place de stationnement à proximité du salon de coiffure. Ils durent marcher quelques minutes avant de revenir à la voiture. Edouard trottinait piteusement à côté d'elle. Il avait du mal à suivre le pas alerte de sa femme qui claquait allègrement du talon aiguille sur le trottoir sans se préoccuper de lui le moins du monde. Ses fesses, gonflées par les récentes fessée, lui cuisaient atrocement dans son slip, devenu trop étroit pour les contenir entièrement. Elles débordaient des élastiques et tendaient le fond de son pantalon. Leur frottement l'une contre l'autre au rythme soutenu de la marche, en attisait la cuisson et rendait sa progression difficile. Il était obligé d'avancer le bassin en avant, tortillant exagérément des hanches pour essayer d'atténuer la douleur. Ce qui le rendait aussi ridicule que pathétique.

dimanche 3 février 2019

Mémoire d'un garnement de jadis - 56ème tableau

Selon son humeur, Mamie Bernadette prenait parti pour l'un de nous en cas de remontrances.
D'ordinaire, elle me défendait. Mais cette fois, mon comportement l'avait amené à me recadrer elle-même. 
Comme beaucoup de dames d'un certain âge, Mamie appréciait les méthodes efficaces d'une autre époque...

samedi 2 février 2019

Axel au supermarché - chapitre 81


Le moment de quiétude fut de courte durée. Il ne fallut pas plus de quelques secondes avant que mes fesses fussent parcourues d’élancements qui les traversaient de part en part, renaissant un peu plus loin pour revenir de là où elles venaient. Les pics de souffrance suivaient les traces laissées par la palette et la ceinture, puis la brûlure la plus vive était supplantée par une autre un peu plus loin. Ce cycle semblait sans fin.
Je n’arrivais pas à retrouver ma respiration normale. Je ne pouvais retenir mes sanglots et mon nez encombré par tous ces pleurs, commença à couler. Il me fallait renifler pour éviter que la morve ne tombe sur ma chemise. Tout cela ne faisait pas de moi un puni bien silencieux, d’autant plus que Florence était aussi bruyante que moi.

vendredi 1 février 2019

Recette pour une bonne fessée - Gare aux endorphines


Dans nombre de récits que j’ai pu lire, il est parfois question de fessées qui durent plusieurs dizaines de minutes. C’est totalement surréaliste et parfaitement inutile.
C’est d’ailleurs une des difficultés rencontrées avec les fessées tarifées. Elles sont prévues pour une durée déterminées, sans tenir compte ni de ce qui les a motivées, ni de l’inutilité de les prolonger au-delà du raisonnable.