Edouard et Maxime
en souffrance
Gladys n'avait pas trouvé de place
de stationnement à proximité du salon de coiffure. Ils durent marcher quelques
minutes avant de revenir à la voiture. Edouard trottinait piteusement à côté
d'elle. Il avait du mal à suivre le pas alerte de sa femme qui claquait
allègrement du talon aiguille sur le trottoir sans se préoccuper de lui le
moins du monde. Ses fesses, gonflées par les récentes fessée, lui cuisaient
atrocement dans son slip, devenu trop étroit pour les contenir entièrement.
Elles débordaient des élastiques et tendaient le fond de son pantalon. Leur
frottement l'une contre l'autre au rythme soutenu de la marche, en attisait la
cuisson et rendait sa progression difficile. Il était obligé d'avancer le
bassin en avant, tortillant exagérément des hanches pour essayer d'atténuer la
douleur. Ce qui le rendait aussi ridicule que pathétique.
Sourire aux lèvres, Gladys s'amusait
beaucoup à le voir avancer de cette manière et surtout d'être la seule à en
connaître la cause. Personne ne pouvait se douter, en effet, que la curieuse
démarche de l'homme à côté d'elle était la conséquence d'une récente séance de
fessées et qu'il emplissait son pantalon d'une paire de fesses aussi rouges et
cuisantes que les braises d'un barbecue.
« Alors mon chéri, tu as passé une
bonne journée ? Plaisante Gladys en accélérant l'allure. Je crois que tes
fesses ne sont pas prêtes d'oublier leur passage au salon de
coiffure ! »
Pas de réponse.
«... ces dames s'en sont tellement
bien occupé... Je suis certaine que tu as déjà envie d'y retourner. »
Edouard, tout essoufflé, est trop
concentré sur les efforts à fournir, à la fois pour marcher au même rythme que
sa femme et ménager son postérieur en feu.
Autant dire qu'il n'a pas vraiment la tête à goûter la
plaisanterie. A la maison ça serait
immédiatement la fessée pour insolence.
Gladys insiste avec désinvolture.
– « Et bien Edouard... On
boude ? Quelque chose t’a contrarié ? Tu n'es pas content de ta coupe
de cheveux ? Elle éclate de rire. Sa poitrine rebondit. Ou alors... Laisse-moi
deviner... Tes fesses sont encore en train de cuire ! »
Elle régla le prix du stationnement
à l'horodateur, monta dans la voiture et pris d'autorité le volant. Elle ne
supportait pas se faire conduire, surtout par un homme, et à fortiori le
sien. Il s'assit avec précaution côté
passager sans pouvoir réprimer une grimace au moment de poser délicatement son
derrière, hyper-sensible, sur le siège.
Gladys ironisa aussitôt en mettant
le contact.
– « Et bien Edouard, tu m'as l'air
bien emprunté, tu ne peux pas t'asseoir correctement ! »
Il regarda sa femme d'un air
résigné.
– « Mais chérie, j'ai les fesses en
feu ! ? Tu le sais très bien ! »
Elle fronça aussitôt les sourcils.
Il lui sembla percevoir dans le ton de la réponse comme un infime semblant de
protestation. Selon le tarif en vigueur, c'était normalement la fessée sur le
champ. A défaut de pouvoir la lui administrer dans la voiture, elle estima que
ce serait plus confortable au salon une fois rentrés. Mais en attendant... pas
question de laisser passer ça.
– « Baisse ton pantalon, et assieds-toi
direct sur le cuir. Il a chauffé toute la journée au soleil. Tu vas comprendre
ce que c'est d'avoir le feu aux fesses ! »
– Oh Gladys, s'il te plaît !
– Ça suffit, je ne veux pas
t'entendre ! On va régler ça tout à l'heure à la maison ! »
La durée du trajet avec les
embouteillages parut une éternité au malheureux qui regretta amèrement que sa
tendre épouse n'ait pas opté pour les sièges en velours. Plus adaptés à l'état
de son un arrière train.
Il comprit vite pourquoi elle
s'était garée à deux cents mètres de la maison quand, lui ayant interdit de se
reculotter, elle lui ordonna de faire le trajet en tenant son pantalon baissé.
Deux femmes se retournèrent en s'exclamant joyeusement sur son passage à la vue
de ses grosses fesses rouges débordant dans son slip. Le quartier était habité
par une certain nombre de maîtresses femmes, ferventes adeptes de la fessée
comme méthode de discipline conjugale.
Elles trouvaient donc cela tout à fait naturel et plutôt réjouissant, de
croiser dans la rue, un homme marchant devant sa femme, le pantalon baissé, le
derrière à l'air, manifestement rougi d'une récente fessée.
De la fenêtre du rez-de-chaussée de
sa maison, sur le trottoir d'en face, Edwige, eu la même réaction en voyant
arriver le couple. Le pouce en l'air, en signe d'approbation, elle salua
joyeusement Gladys en agitant l'autre main en direction du postérieur rouge
d'Edouard. Celui-ci, couvert de honte,
faisait des efforts désespérés pour traverser le bout de jardin et atteindre la
porte d'entrée le plus rapidement possible. Gravir un escalier de cinq marches,
le pantalon sur les jambes, est à peu près aussi aisé que déculotter une paire
de fesses avec des gants de boxe.
Il sursaute, horrifié, lorsque
l'exubérante voisine, ouvre sa fenêtre et se penche dehors, la poitrine
triomphante débordant des balconnets.
– « Bravo Gladys ! S'exclame-t-elle d'une voix forte. Tu as dû
lui en mettre encore une bonne pour qu'il ait les fesses aussi rouges !
On reconnaît là ton coup de main !»
– Et bien non … perdu !
Pour cette fois ce n'est pas moi ! » Répond Gladys, debout sur le
trottoir devant sa maison, jouant avec sa clé de voiture dans sa main. Les deux
femmes partent dans un grand éclat de rire.
– « Pourtant, j'aurais cru !... C'est qui
alors ? Je suis curieuse hein !
– Pas du tout, c'est même bon à
savoir. C'est Béatrice, du salon de coiffure.
– Ah bon ! Je ne savais pas
qu'elle fessait... et aussi bien ! Il a encore fait le malin pour s'en
prendre une aussi sévère »
Edouard sentait que la conversation risquait
de durer un moment et qu'il allait rester dehors, les fesses à l'air, au vu et
au su de tout le monde. Il n'osait pas remonter son pantalon sans autorisation.
Gladys ne se serait pas gênée pour le déculotter complètement et lui flanquer
une fessée en direct, sur le trottoir, devant tout le monde. Ça n'aurait
d'ailleurs pas été la première fois. Elle poursuit à voix bien haute, pour
qu'elle porte jusqu'à Edwige accoudée sur la barre d'appui de sa fenêtre.
– « Monsieur s'est permis de
mettre la main aux fesses de Catherine, son employée... Alors tu penses, elles
ne l'ont pas raté... Et elles ont bien fait. Trois fessées elles lui ont
mises ! Et voilà le résultat... Beau travail non ? Comme je leur ai
dit, je n'aurais pas fait mieux ! ».
Edwige toujours aussi démonstrative,
rit bruyamment.
– « Excellent, ça leur fait du
bien ! Il faudra que je leur envoie Stéphen. Il est nécessaire de temps en
temps, de faire fesser ces messieurs par d'autres mains que les nôtres pour
éviter qu'ils s'habituent.
Gladys acquiesce en amorçant
un demi-tour vers sa maison.
– Oh que oui ! En attendant je
vais rentrer, j'ai encore quelques comptes à régler avec mon chéri. Il est
temps que je reprenne la main !
– Moi aussi, il faut que
j'y retourne, le mien attend au coin sa deuxième fessée. Le grossier personnage
n'a pas arrêté de jurer toute la journée. Alors... Il faut sévir ! »
Gladys entrait la clé dans la
serrure de sa porte, lorsque le claquement sec d'une fessée, accompagnée
d'éclats de voix et de supplications, commencèrent à résonner jusque dans la
rue, à travers la fenêtre restée ouverte, de la voisine. Edwige, avait repris
son activité éducative et tenait à ce que cela s'entende. Portée par une nature
très démonstrative, elle aimait faire savoir quand elle corrigeait son mari. A
juger de la qualité de brillance des claques ce ne pouvait être qu'une fessée
déculottée, administrée avec sa fermeté habituelle. Edwige fessait toujours
très fort.
– « Ne crois pas une seconde
que tu vas t'en tirer comme ça mon ami ! »
Dit Gladys en se débarrassant de son
sac et de son manteau dans le vestibule. Elle laissait libre cours à une colère
jusque-là plus ou moins contenue.
– « Mais... mais chérie qu’est-ce
que... Tente timidement Edouard... J'ai déjà eu...
– Enlève ta veste et prépare
tes fesses !
– J'ai... J'ai déjà eu
trois...trois fessées
– Et alors, qu'est-ce que tu veux que ça me
fasse ! Qu'est-ce que c'est trois malheureuses fessées ? Un derrière
un peu rouge tout au plus !!»
Elle le saisit par l'oreille et, le
conduit jusqu'au salon. Il avance, pantalon aux chevilles, plié en deux pour
essayer d'atténuer la douleur de la torsion. Le tabouret à fessée est là, à sa
place, prêt à les accueillir pour une nouvelle séance. Elle s'y assied sans
lâcher le malheureux qu'elle force à s'allonger sur ses cuisses dans le même
mouvement. Par la force de l'habitude il plaque ses mains en appui sur le sol.
Et le sermon commence pendant qu'elle le déculotte.
– « Tu ne croyais tout de même pas que j’allais laisser passer ça !
Tripoter les fesses d’une employée de Béatrice… Tu n’as pas honte ? Sans
compter que je passe pour qui aux yeux de mes amies quand mon mari se comporte
de cette manière ? Hein ? Je
vais te montrer ce qu’il en coûte de me manquer de respect ! »
– « Mais, Gladys... J'ai déjà
été puni...
– Je me fiche royalement des
fessées que tu as reçues, maintenant c'est à moi que tu as à
faire, et c'est moi qui les donne.
– Je t'en prie...
S'il te plaît... J'ai encore les fesses en feu ! »
Il supplie comme un
gamin devant une épouse inflexible qui prend un malin plaisir à lui mettre la
pression avant de lui flanquer sa raclée.
– Tant mieux ! Celle-là n'en sera que plus cuisante. Et je te
garantis que tu vas la sentir passer ! »
Joignant le geste à la parole elle
déclenche alors une formidable fessée qui lui arrache aussitôt des hurlements
de douleur. Ses fesses ne sont pas remises de la triple correction du salon de
coiffure qui les a rendues extrêmement sensibles, mais aussi parfaitement
souples. Elles claquent si bien et si fort que le bruit se répand dans toute la
maison, attirant aussitôt la curiosité de Patricia qui ne les avait pas entendu
rentrer. Le claquement d’une fessée l'excite autant que celui de l'élastique
d'un slip sur une cuisse au déculottage. Elle apparaît souriante dans
l'encadrement de la porte.
– « Ah enfin, ça fait plaisir !
Ça fait longtemps qu’on n’avait pas entendu claquer ses fesses à celui-là !
– Depuis ce matin seulement,
et tu aurais été chez Béatrice cet après-midi tu les aurais entendus trois
fois !
Répond
Gladys en lui nourrissant le derrière de puissantes claquées, administrées
alternativement sur chaque fesse. Elles rebondissent en rythme. D'un joli rouge
encore présent des récentes fessées au salon, elles passent rapidement à un
écarlate du meilleur effet. Gladys claque si dur qu’Edouard est obligé de
s'accrocher aux pieds de la chaise pour tenir la position sous les rafales. Il
s'égosille bruyamment en arrosant le carrelage de ses larmes. C'est sa
cinquième fessée de la journée, de trois mains différentes, et celle de Gladys
n'est certainement pas la moins cuisante.
La fessée méritée, est terriblement
sévère. Furieusement claqué, l'arrogant postérieur rebondit en cadence sur les
larges cuisses de l'épouse en colère qui tape de plus en plus fort. Sans doute
une des meilleures fessées qu'elle lui ait administrées. Patricia, fidèle
admiratrice, apprécie l'impressionnante force de frappe de sa mère et piaffe
d'envie de participer.
– « Et bien maman, je ne sais pas ce
qu'il a encore fait, mais tu es en train de lui en mettre une sévère !
Euhhh, s'il te plaît, est ce que je pourrais, moi aussi, lui ... »
Elle n'a pas le temps de terminer sa
phrase. Gladys sait très bien ce qu'elle va dire, Tout en continuant à fesser
au même rythme elle lui coupe la parole.
– « Non ma chérie pas maintenant.
Pour le moment c'est une affaire personnelle entre lui et moi. Par contre une
bonne fessée après dîner finirait agréablement la journée en l'envoyant au lit
les fesses bien rouges. Je te laisserai
la lui administrer... pas besoin de motif particulier, c'est de la fessée
d'entretien. »
– Oui maman, merci ! »
Edouard rugit sous les claques qui
lui transforment les fesses en feu continu. Gladys insiste encore un moment
pour bien lui marquer le derrière. Elle veut une cuisson en profondeur pour
obtenir un beau rouge éclatant durablement réparti sur toute la surface. Comme
toutes les fessées qu'elle lui administre, elle tient à ce qu'il s'en souvienne
pour qu'elles lui servent de leçon. D'une dernière rafale claquée à toute volée
elle met fin à la terrible déculottée.
– « Voilà, monsieur est servi !
Il a eu sa fessée, maintenant il peut aller se mettre au coin pour réfléchir
aux conséquences de ses actes ! »
Elle le pousse en dehors de ses
genoux. Il s'écroule au sol en gémissant, le slip en travers des cuisses,
brisé, vaincu. La correction a été efficace.
Patricia, bonne joueuse, et toujours
un peu flatteuse, félicite sa mère.
– « Bravo maman, magistrale
fessée ! Tu t'es encore surpassée. Je me demande bien ce qu'il a encore
fait pour mériter une aussi belle raclée.
– Je te dirai ça tout à l'heure ma
chérie. En attendant il faut que je téléphone à Béatrice pour lui dire que j'ai
réglé le problème de mon côté. Monsieur a eu son compte. »
Maxime en pénitence sous le bureau
de sa mère, cuvait ses deux fessées. La dernière au martinet s'était révélée la
plus douloureuse. Ses fesses, déjà bien rougies sous la première fessée à la
main, étaient maintenant marquées sur toute la surface, de l'empreinte plus
foncée des lanières. Béatrice avait la main ferme sur le martinet et savait comment
s'y prendre pour bien lui en faire profiter le derrière. La tête coincée entre
ses cuisses pendant toute la durée de la fessée, le pauvre garçon souffrait
aussi des joues, soumises au frottement continu de ses bas nylon. Elle en
accentuait consciencieusement le contact par un mouvement d'avant en arrière,
au rythme des coups de martinet. Elles étaient maintenant rouges et brûlantes
et lui cuisaient presque autant que ses fesses.
Béatrice, pragmatique, lui avait donné un
livret du code de la route à revoir.
– « Tu relis bien les chapitres que
je t'ai demandé de réviser. Notamment ceux sur les limitations de vitesse. Je t'interroge dans un quart d'heure. Et gare
à tes fesses si tu fais encore des erreurs. Ça sera une fessée par faute... Tu
sais à quoi t'attendre ! »
Les "mises au coin" après
les fessées étaient donc un temps passé sous le bureau de sa mère... à ses
pieds. Elle lui donnait une leçon à apprendre par cœur qu'il devait ensuite lui
réciter sous la menace d’une nouvelle fessée. Confiné dans cet espace exigu, le
malheureux avait d'autant plus de mal à se concentrer, qu'il était au plus près
de ses talons aiguilles et de ses jambes qu'elle croisait et décroisait,
faisant ainsi crisser le nylon de ses bas !
Apprendre une leçon ou réviser un
code de la route dans ces conditions, relevait de la performance et il n'en menait
pas large lorsqu'elle le fit sortir de dessous son bureau pour l'interroger.
– « Alors, j'espère que tu es prêt,
sinon... »
Elle parlait comme si la fessée lui
semblait inévitable et qu'elle la souhaitait presque pour le plaisir de lui
claquer encore le derrière.
Debout à côté d'elle, les mains
derrière le dos, comme un écolier bien sage, il répond correctement aux
questions. Mais la dernière, sur la limite de vitesse en agglomération, lui est
fatale.
– « J'en étais sûre ! Tu ne
retiens qu'à moitié ! Et le pire c'est que c'est ça qui t'as valu ta
contravention ! S'exclame Béatrice en jetant le livret sur son bureau.
Alors qu'est-ce J'ai dit... Une faute... ? »
Elle cache à peine sa satisfaction
d'avoir à appliquer la sentence. Maxime blêmit.
– « Une... Une fessée maman !
– C'est bien ! Au moins tu auras
retenu ça. Aller, on retourne au tabouret, je vais te la mettre à la main
! Je veux sentir chauffer tes fesses. Mais avant remonte ton slip, je
tiens à te déculotter moi-même.
–
Oh maman s'il te plaît... je ne me suis trompé qu'une fois ! Une
seule fois ! »
Béatrice est inflexible.
– « J'ai dit, une faute, une
fessée ! Inutile de discuter, aucune fessée n'est négociable. Tu le sais
très bien d'ailleurs et je t'en mettrais bien une deuxième pour avoir essayé.
Aller, on perd du temps là !! »
Le tenant fermement par la manche de
son Tee-shirt, elle le mène d'autorité au tabouret à fessée où elle s'assied.
Elle retrousse sa jupe sur ses hanches et l'allonge une nouvelle fois en
travers de ses cuisses. Sachant ce qu'il risque s'il montre la moindre
hésitation à obéir, il s'y installe de lui-même en creusant les reins pour bien
lui présenter ses fesses. Elle la dressé à se soumettre aux fessées en y
participant.
Après les joues, c'est son ventre qui frotte
sur ses bas nylon, et son sexe sur ses jarretelles. Le mollet ferme, cambré sur
ses talons aiguille, elle le fait sauter sur ses genoux pour ajuster sa
position. Elle s'apprête à le déculotter lorsque la sonnerie de son portable
retentit sur son bureau. En fait de sonnerie, c'est le claquement d'une fessée
qu'elle a enregistré et qu'elle commente sans complexe, à chaque fois que
l'occasion se présente, pour vanter l'efficacité de sa méthode d'éducation.
– « Ce n'est pas possible ! Je
déteste être interrompue quand je fesse ! Relève-toi et vas me chercher
mon portable !
– Oui maman, j'y vais !
– C'est ça, dépêche-toi ! Et ne te fais
pas d'illusion, tes fesses ne perdent rien pour attendre. »
.
Maxime fait rapidement l'aller et
retour et, après avoir rapporté le portable à sa mère, se remet docilement en
place, le derrière en batterie sur ses genoux. Le téléphone dans une main, elle
reprend de l'autre l'élastique de son slip.
.
– « Ah c'est toi Gladys ! Dit-elle
en commençant à le déculotter. Comment vas-tu depuis tout à l'heure ? ...
Tu es bien rentrée ? »
Tout en parlant, elle achève le
déculottage d'une seule main en faisant claquer le slip au milieu des
cuisses.
– « Tu lui en as remis une !
Normal... Tu lui devais bien ça ! Je te comprends, bien sûr... c'était
aussi offensant pour toi ! »
Les mains à plat par terre, le slip
en travers des cuisses, maxime attend sa fessée pendant que sa mère poursuit
tranquillement sa conversation en lui caressant et tapotant nonchalamment le
derrière qu'elle vient de déculotter avec dextérité.
– « Oui... tout à fait d'accord. Toi
aussi...carte blanche sur les fesses de Maxime... oui... en toutes occasions...
Là, je suis justement en train de le corriger …Oh, une stupide histoire de
contravention... Oui ... Merci... bonnes fessées à toi aussi ! »
Elle pose son portable sur le petit
guéridon à côté d'elle et, repositionne le derrière en attente pour l'avoir
bien en main. Il porte encore les traces des fessées précédentes et surtout des
lanières du martinet, en rouge carmin sur rouge vermillon. Elle en fait la remarque, à sa manière, avec
un humour féroce.
– « Finalement cette nouvelle fessée
tombe bien. Je vais pouvoir effacer ces vilaines marques sous un rouge encore
plus foncé et te faire un beau derrière bien reluisant sur toute sa
surface ! »
La belle femme a beau être grande consommatrice de lingerie fine, elle ne
fait pas dans la dentelle en matière de correction. Puissante et cuisante, la
fessée démarre en trombe dans un claquement retentissant. Maxime est incapable de retenir ses larmes et
donne aussitôt de la voix sans pour autant émouvoir sa mère, bien au contraire.
– « Oh tu peux crier et pleurer tant
que tu veux mon chéri, je vais faire durer ta fessée aussi longtemps qu'il
faudra pour qu'on ne voit plus aucune trace de martinet. Et tu vois, tes fesses,
c'est comme un diesel, il faut qu'elles montent en température pour bien
claquer ! Un vrai plaisir, à déguster
sans modération ! "
Les dents serrées pour bien
concentrer son énergie, Béatrice s'en donne à cœur joie et fesse à pleine main,
en variant les trajectoires pour bien cuire toute la surface disponible. Elle fesse fort, avec beaucoup d'élan et
distribue les claques en rafales qui crépitent en cadence d'une fesse à l'autre.
Cette troisième fessée, administrée sur un postérieur généreusement comblé lors
de la séance précédente, semble à Maxime encore plus sévère que les autres. Il
se répand en une plainte continue, entrecoupée de supplications.
– « Maman, s'il te plaît ... A...
Arrête... trois fessées ... ça... ça cuit trop fort ! »
– «. Au contraire, c'est une
excellente méthode pour uniformiser la couleur de tes fesses. Et la cuisson est
encore meilleure.
– Ah non maman ... pitié !
Tu ne peux pas savoir comme ça fait mal !
– La fessée, mon garçon... On a
inventé la fessée pour faire mal... très mal ! »
Et d'appuyer encore les claques pour
argumenter son propos. Maxime se lâche complètement en hurlant sa douleur.
A partir d'un certain niveau de
cuisson, les corrections devenaient difficile à supporter, mais l'inflexible
maman ne tenait jamais compte de ses gémissements, bien au contraire. Elle
allait toujours jusqu'au bout de la raclée annoncée, et lui remettait
systématiquement une fessée lorsqu’il avait l'outrecuidance de se
plaindre.
– « Allons mon cher, Il faut tenir,
le derrière relevé, bien fendu ! Il reste encore quelques traces de lanière sur
la raie des fesses, plus difficile à atteindre à la main. »
La magistrale fessée se termine en
véritable calvaire pour le malheureux qui s'effondre aux pieds de sa mère après
une insupportable salve d'honneur sur un fessier à la limite de l'implosion.
Béatrice, triomphante, insensible à
la fournaise qui irradie ses fesses, le regarde en se frottant les mains. L'air
détaché, hautaine, elle croise lentement les jambes en s'appliquant à faire
crisser ses bas nylon sur ses cuisses encore découvertes. La maîtresse femme
est en effet parfaitement consciente de son pouvoir de séduction, dont elle use
à volonté pour mieux lui faire accepter sa redoutable discipline.
– « Je t'en ai encore mis une bonne,
ça fait du bien n'est-ce pas ! Tes fesses sont à jour, jusqu'à la
prochaine déculottée. Voilà ce que ça coûte à la maison, une amende pour excès
de vitesses et deux points de retrait sur un permis. J'espère que tu vas t'en
souvenir ! »
Elle se lève, sans se préoccuper de
lui, le laissant par terre, en larmes, les fesses fumantes. Claquant des hauts
talons elle retourne à son bureau et, d'un index autoritaire pointé vers le dessous,
l'y renvoie en pénitence.
– « Il te reste une question de code à revoir.
Je t'interroge dans dix minutes. »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 9
Il y a une suite, le chapitre 11
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 9
Il y a une suite, le chapitre 11
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerBen dites donc... Ed' et Max' passent un sale quart d'heure avec ces Dames. Eh oui :"Tant la cruche va à l'eau qu'à la fin elle se brise" .
Leurs mauvais penchants prennent le pas sur la raison. Pourtant vu la sanction promise, ils devraient faire un effort.
Maxime a l'excuse de la fougue de sa jeunesse mais Edouard, en homme mûr, devrait modérer ses coupables maladresses. Non ?
En tout cas, texte très riche et dessins au top. Un régal.
Rires. Peter.
Bonjour Peter... Re !
RépondreSupprimerJ'avais fait un petite réponse mais je ne sais pas ce qu'il s'est passé... pas parue! Je n'ai pas du cliquer, ou raté quelque chose ... sais pas. En tous cas, Ravi de vous régaler.
Je ne sais pas non plus si les penchants sont mauvais, mais ils ne penchent pas du bon côté! Alors forcément, madame sévit... et joint l'utile à l'agréable, avec sévérité et plaisir. Une fessée vaut mieux que deux tu l'auras!
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerJe n'ai aucun commentaire en attente. Je ne sais pas, non plus, ce qui s'est passé avec votre commentaire perdu. A priori, pas arrivé chez moi.
Au plaisir de vous lire,
JLG
Bonjour chers amis,
SupprimerRassurez-vous : la semaine dernière , j'ai rencontré le même petit problème en validant mon commentaire sur un récit du Blog.
Parfois, la technologie joue à l'Arlésienne.
Bon WE. Peter'.