lundi 18 février 2019

Une continuité certaine

Tout cela nous ramène bien vingt ans en arrière quand tu venais passer des vacances chez moi. Quel âge avais-tu à l'époque ? Dix ? Douze ? Non, pas tant que cela la première fois. Tu ne devais pas avoir plus de huit ans. Tes parents aimaient bien t'envoyer chez moi, ta tante. Ils savaient que je ne me plierai pas à tes caprices.
La dernière fois tu en avais au moins vingt-trois. Je m'en souviens, c'est l'année où tu m'as "emprunté" ma voiture sans me le dire et que tu as eu un accident après une soirée arrosée. Je crois que tu dois encore te souvenir des conséquences à ton retour.

Voyons si je calcule bien... tu as eu vingt-sept ans cette année si je ne me trompe pas. Ce qu'il y a de bien avec toi, c'est que les choses ne changent pas. Moi j'ai vieilli, mais toi, pas vraiment. Tu as grandi, ça c'est sûr, mais dans ta tête tu es toujours un petit garçon.

Quand cesseras-tu de te comporter comme un petit garçon insolent, incapable de maîtriser ses impulsions aussi stupides soient-elles ? J'avais cru qu'avec l'âge tu serais devenu plus posé, plus réfléchi. Il n'en est rien !
Toute bêtise qui te passe par la tête est toujours bonne à faire, toute parole blessante qui te vient à l'esprit doit sortir et tant pis pour les conséquences. Peu importe ce que cela fait aux autres du moment où tu es satisfait de toi et que tu as réussi à attirer l'attention.

N'aies crainte ! Tu es au centre de l'attention générale. Je crois que pas une des spectatrice n'est prête d'oublier ce qui t'arrive aujourd'hui. Et j'espère bien qu'il en sera de même pour toi. Cette journée restera dans ton souvenir. J'espère qu'elle t'aidera à changer de comportement et si ce n'est pas le cas, je recommencerai aussi souvent que nécessaire.
Ce qui n'a pas changé non plus, c'est comment je puni les garçons qui ont besoin d'une bonne leçon. Leur âge m'est indifférent. Ce qui importe c'est qu'ils sachent sans aucun doute possible que ce qu'ils ont fait n'est pas admis tant que je serai là.

Je ne compte plus les fessées déculottées que je t'ai données, mais je ne pensais pas devoir t'en donner une aujourd'hui. Mais puisque tu en as besoin... ce serait dommage de t'en priver, tu ne trouves pas ?
C'est probablement moi qui t'ai donné la dernière que tu as reçue. Il y a presque quatre ans. Tu croyais sans doute que cela ne t'arriverait plus ? Je pense que c'est le contraire qui va se passer. Ce n'est pas par hasard que je t'ai placé là, juste sous les yeux de ta femme. Je compte bien qu'elle prenne le relais. A voir son air réjoui, je pense que je n'aurai pas trop de mal à l'en convaincre.

Fessée déculottée par tante

Je n'ai fait sa connaissance qu'hier et c'est bien dommage que je ne l'ai pas rencontrée plus tôt. J'ai l'impression que personne ne lui a expliqué comment il fallait faire pour que tu te tiennes tranquille. J'ai pourtant une solution très efficace. J'espère qu'elle ne tardera pas à y recourir.

Bien entendu que je me suis aperçu de la présence de ta belle-mère et de ta belle-sœur. Ce n'est pas parce que j'ai un peu plus de cinquante ans que je suis déjà sénile. Je ne vois pas ce que cela change. C'est bien en leur présence que tu t'es permis ces remarques déplacées et ces propos vulgaires, non ? Pourquoi voudrais-tu qu'elle n'assiste pas à la punition qui en découle ? Au contraire, je trouve cela très approprié.
Si tu te rappelles bien, je donne toujours la fessée dès qu'elle est méritée et là où a été commise la bêtise qui la justifie. Ainsi, elle est bien plus efficace que si on en diffère l’administration. Ce n'est pas la première fois que je te corrige en public.
Si c'est le fait d'être déculotté qui t'inquiète, il faut que tu sois rassuré. Ces dames ont déjà dû voir de près les fesses nues d'un grand garçon. Cela ne va ni les offusquer, ni leur ôter la vue.
J'espère bien qu'elles comprendront très vite que tu as souvent besoin d'une bonne fessée et qu'elle n'hésiteront pas à te baisser la culotte pour te corriger à chaque fois que tu te permettras des insolences en leur présence.

Pour aujourd'hui, tu vas finir l'après-midi au coin. Tu garderas ta culotte là où elle est pour le moment. Tu seras encore un petit moment au centre des conversations pendant quelques minutes, puis nous passeront à autre chose. Tu vas t'y faire oublier.
Te rappelles-tu ce qui arrive aux garçons qui ne se tiennent pas correctement quand ils sont au coin ? Si mes souvenirs sont bons tu as dû l'expérimenter deux ou trois fois. Je peux te le montrer une nouvelle fois, si tu as un trou de mémoire.



Grand merci à Nate à qui j'ai emprunté le dessin !

Avec Nate, plus d'un grand garçon a été fessé en public. Vous en trouverez quelques-uns sur le blog (Une logeuse attentive, une réplique conjugale, une fessée collective en famille, cela reste dans le cercle familial, de la lecture à la réalité. Il y en aura encore d'autres.

Espérons qu'il ne m'en voudra pas d'avoir un peu modifié son dessin en enlevant les paroles qui y figuraient. Elles n'étaient pas cohérente avec le récit que je vous propose.

Heureusement que certaines tantes ne s'en laissent pas compter

           Fessée déculottée sur les genoux de sa tante                                        courbé sous le bras


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4 commentaires:

  1. Bonjour JLG,

    Ah ah ah la tante !! Figure incontournable dans l'éducation des jeunes adultes.
    Nate et Franco font évoluer leurs infortunés adultes dans un monde exclusivement matriaracal.
    Maman faiblit ? Tantine agit !!! Tel Zorro, elle se transforme en "renarde rusée qui fait sa loi !".
    Evidement, avec Tantine, pas de caprices, ni chantages... Avec ses enfants, elle est rompue à ce genre d'exercices !
    Et sa main est redoutable ! Demandez à Gérome ce qu'il en pense !
    Rires. Peter.

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  2. Bonjour,
    Finalement, les tantes sont un peu comme les belles mère. Elles savent prendre le relai quand il le faut. Pas de scrupule à déculotter et fesser le neveu comme le gendre puisque c'est pour la bonne cause!
    Qui aime bien, fesse bien... Quelles belles preuve d'affection!
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,

    J'aime bien votre expression "qui aime bien, fesse bien". C'est exactement ce que disait ma mère: "qui aime bien châtie bien".
    Mer-ci Ma-man !!! (Rires. On s'amuse...).

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    1. Bonjour,
      Matriarcat aux méthodes disciplinaires implacables, administration des fessées déculottées au milieu de la famille... Nate est une source inépuisable de courts récits qui cadrent parfaitement avec la ligne éditoriale de ce blog.
      Il suffit alors de laisser un peu courir son imagination pour y mettre autour un contexte justifiant le recous à la fessée. C'est là où notre bonne tante entre en jeu.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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