La pause de midi
La
première matinée de travail s’était bien déroulée, j’avais fait le maximum pour
que les ouvrières puissent avancer dans la cueillette sans avoir à attendre un
panier vide. J’étais plutôt soulagé et fier de moi, à 9h30, la pause avait eu
lieu et c’est à ce moment que j’avais pu aller déverser les fleurs de lavande
dans le hangar.
La
chaleur s’était installée progressivement dans la matinée, il était maintenant
près de 11h30, tout comme moi les ouvrières transpiraient fortement. Comme
j’étais nu sous ma combinaison les gouttes de sueur perlaient de mon dos jusqu’à
mes chaussettes.
Anna sonna la fin du travail du matin et elle désigna du doigt
deux points de douche situés entre le hangar et la ferme, les ouvrières s’y
rendirent pendant que je retournais décharger les fleurs de lavande pour
pouvoir redémarrer l’après-midi à vide. En me dirigeant vers la ferme pour
aller me doucher dans ma chambre je repassais devant le point de douche
extérieur utilisé par les ouvrières. Certaines se rhabillaient déjà, les
dernières se rinçaient nues, à mon passage certaines d’entre elles se mirent à couvrir
leur poitrine d’un bras et leur sexe avec l’autre. Je tournais la tête, honteux
d’avoir posé les yeux sur elles et de m’être fait remarquer. Anna lança :
« Stoppez
cet excès de pudeur mesdames, je peux parier ici devant vous que Maxime aura
l’occasion de voir vos fesses fréquemment tout comme cela sera votre cas
concernant celles de notre jeune homme. »
Les
deux dernières ouvrières se séchaient et se rhabillaient. Je restais planté là
à regarder à l’horizon.
« Viens
ici Maxime ! Tu dois également te doucher, si tu penses que tu pourras
passer à table dans cet état, poussiéreux et transpirant tu te trompes. »
J’avançais
péniblement vers les douches, la plupart des ouvrières se moquèrent de ma
présence et de ma douche à venir, elles quittèrent la zone et se dirigèrent à
l’intérieur de la salle de pause qui leur était réservée. Seule Louise restait
là, elle traînait, encore en sous-vêtement, séchant délicatement un pied puis
l’autre.
« Ote
cette combinaison Maxime, je n’ai pas de temps à perdre avec toi, nous
souhaitons tous passer à table. Dépêche-toi !
- Je
souhaiterais utiliser ma douche s’il vous plaît Anna.
- Sûrement
pas, tu salirais tout sur ton passage et Nathalie te flanquerait une fessée sur
le champ, tu t’en souviendrais je te l’assure. Ote cette combinaison tout de
suite ! Sinon c’est ici que tu recevras une correction, tu m’entends ? »
Louise
émit un son moqueur, dos à la scène elle ne pouvait cacher son sourire malgré
tout. Malgré mes péripéties de ce matin pendant notre café, je n’arrivais pas à
surmonter ma pudeur, d’autant plus à l’extérieur, des ouvrières auraient pu
passer, Anna et Louise assistaient déjà à la scène, je peinais à me dévoiler
complètement nu devant elles. Anna m’impressionnait par sa beauté et son
autorité, j’étais complètement figé.
« Tu
l’auras voulu, cette fois-ci je ne laisserai pas passer cette désobéissance.
Viens ici ! Et baisse moi cette combinaison ! »
Assistant
une nouvelle fois à ma stupeur et mon immobilisme, Anna se rua vers moi.
« Non
Anna s’il vous plaît je suis bien trop grand pour être traité de la sorte,
devoir me doucher nu devant vous, être fessé parce que je souhaite un peu
d’intimité, ce n’est pas normal, je ne peux pas me soumettre à tout ça !
- Tu
n’es qu’un petit garçon qui a besoin d’être recadré. Penses-tu que je ne suis
pas au courant de tes difficultés. Je sais bien pourquoi tes parents t’envoient
ici, tu es arrogant, tu ne sais pas ce qu’est une vie d’adulte responsable. Je
peux te dire que tu vas recevoir la fessée plus que quiconque ici si tu
continues sur cette voie ! »
Anna
attrapa la fermeture éclair de ma combinaison et la fît glisser jusqu’au bas du
dos, elle empoigna des deux mains le tissu au-dessus de mes épaules et la
combinaison se retrouva en quelques secondes à mes genoux. Je gisais nu,
bêtement, combinaison abaissée, debout à quelques mètres des douches. Mon sexe
était à moitié en érection à cause de la scène de douche des ouvrières à
laquelle je venais d’assister. Anna se mit à côté de moi et me ceintura la
taille à l’aide de son bras gauche.
« Non
Anna je t’ai dit que je n’étais pas une personne à qui on faisait subir ce
genre de correction !
- Si
tu ne te laisses pas faire je serai dans l’obligation de te la donner de force,
crois-moi mon garçon, j’en ai maté des plus costauds que toi ! J’en
profiterai ce soir pour doubler ta punition suite à ta résistance. Ici les
jeunes gens doivent accepter leurs fautes et se soumettre à la fessée de leur
plein gré sinon ils ont droit à des fessées encore plus nombreuses et plus
cuisantes ! »
Anna
appuya fortement sur mon dos, mon corps faisait un angle droit. Je ne pouvais
pas me déplacer à cause de la combinaison qui encerclait mes jambes. Mon bras
gauche ne m’était d’aucune aide, il était bloqué derrière le dos d’Anna. Avec
mon bras droit j’essayais donc de remonter ma combinaison mais en vain, le pied
gauche d’Anna écrasait une partie du tissu sur le sol.
C’est
à ce moment que je sentis la première claque sur mon postérieur, le son était
vite étouffé par le chant des cigales et par la nature environnante. La
deuxième claque s’abattit sur mon autre fesse, c’était fait, Anna
m’administrait la fessée complètement nu, j’avais l’impression que la
transpiration sur mes fesses accentuait le contact de la main d’Anna sur ma
peau. Les tapes sur mes fesses s’enchainaient, quatre, cinq, six, sept… je
perdis le compte alors que la douleur envahissait mon derrière.
Je
fixais le sol aux pieds de Louise et je la vis se retourner pour assister au
spectacle dégradant que je donnais. Elle se déplaça rapidement pour se mettre à
quelques mètres derrière moi, j’imagine que c’était pour avoir une vue parfaite
sur le postérieur qu’Anna martyrisait. La douleur était de plus en plus
présente sur mes fesses, mais à ce moment c’est encore la honte d’être fessé
qui me torturait le plus. Anna fit une courte pose pour évaluer la couleur de
mon postérieur et l’élasticité de ma peau. Sa main glissait doucement du haut
de mes cuisses au sommet de mes fesses. J’aurais pu percevoir ces caresses
comme une délicate attention, comme un acte tendre et érotique mais il en était
rien.
« C’est
bien que Louise assiste à ta fessée finalement, cela rendra ta punition encore
plus marquante ! Etre fessé, les fesses rougies bien exposées à des
témoins rend la correction encore plus efficace ! Je sens que tu te
souviendras de celle-ci mon cher Maxime.
- …
- Il
est temps que tu comprennes que tu es ici pour apprendre et obéir pour devenir
un adulte, tant que tu feras ta forte tête tu seras fessée, nous n’avons pas
l’habitude de recevoir de jeunes hommes ici mais ce n’est pas ce qui nous
arrêtera.
- … »
La
fessée continuait, je sentais mon derrière chauffer sérieusement, des larmes se
formaient puis coulaient sur mes joues. Je posai ma main droite au milieu de
mes fesses pour retrouver un peu de dignité, pour protéger mon derrière
douloureux et le cacher quelque peu du regard pesant de Louise. Je devinais le
regard de la jeune femme sur mon anatomie, la douleur atteinte lors de la
fessée qui me fut administrée hier par Marthe fut vite égalée puis dépassée.
Anna m’attrapa le bras sans effort alors que sa main droite continuait à
cingler mes fesses redécouvertes.
« Si
tu oses un jour interposer à nouveau ta main, je t’assure que tu le
regretteras, Louise ici présente sait bien ce qu’il en coûte aussi, c’est une
deuxième fessée avec le martinet qui s’en suivrait immédiatement ! As-tu
bien compris Maxime ? Je ne le répèterai plus !
Louise,
interpellée émis une plainte :
« Pourquoi
lui fais-tu grâce du martinet puisqu’il s’est protégé de sa main ? Ce
n’est pas juste, tu n’es pas aussi indulgente avec nous Anna !
- Ne
t’inquiète pas, le pauvre n’a pas fini d’être fessé, si j’en crois ce que j’ai
entendu sur lui, il y aura du travail pour faire de ce garçon indiscipliné un
adulte responsable. Je l’ai prévenu une fois, maintenant il connait la règle et
saura de lui-même qu’il mérite le martinet s’il désobéit. »
Les
deux femmes argumentaient et échangeaient des commentaires sur les règles de la
fessée qui étaient appliquées ici à la ferme, je les entendais parler de mes
fesses, des zones encore blanches qui persistaient sur ma peau, Anna s’empressa
de les faire virer au rouge.
« Ohhh lâchait Louise, son cul devient de
plus en plus rouge, c’est une fessée magistrale à laquelle il a droit !»
Les
claques continuaient à se succéder sur mon postérieur, j’arrivais difficilement
à me concentrer, à rester immobile, je ne sentais plus la peau de mes fesses,
juste une boule de chaleur et de douleur qui irradiait mon derrière, cela me picotait
jusqu’en haut des cuisses. Je songeais à Louise qui assistait tranquillement à
mon désarroi, à cette situation des plus humiliantes pour un homme, être soumis
cul nu, fessé par une femme soit disant plus faible. Anna avait su me soumettre
par son autorité, son charisme et sa fougue. Je regrettais de ne pas m’être
jeté sous la douche dès qu’elle me l’avait demandé, je ne me ferai plus avoir à
l’avenir, je m’en faisais la promesse !
La
fessée cessa et je restais dans cette position, sous le choc, honteux,
j’attendais les ordres d’Anna bêtement, je ne voulais plus faire un geste ou
quoi que ce soit qu’elle ne m’ait pas ordonné. Anna me senti perdu, sans un mot
elle se chargea alors de me redresser, elle s’agenouilla et retira complètement
ma combinaison en faisant passer une jambe puis l’autre. Malgré la douleur, les
picotements sévères sur mes fesses, j’eus à nouveau un début d’érection lorsque,
la tête située à une quelques centimètres de moi, je sentis le souffle d’Anna
sur mon sexe. Anna me mit une claque sur le fesse et je m’empressai d’aller me
rafraîchir sous la douche.
Louise
et Anna restaient là, elles assistaient à ma toilette, je sentais leur regard
sur mes fesses et mon anatomie. J’avais l’impression d’être devenu un petit
garçon que l’on peut mettre à nu, que l’on peut punir et déshabiller sans se
soucier de ses états d’âme et de sa pudeur.
« N’oublie
pas de bien nettoyer entre les orteils, sous les aisselles et entre les fesses,
je ne tiens pas à disposer d’un postérieur qui manque d’hygiène lorsque que je
te déculotterai à nouveau pour te donner une bonne correction. Je demanderai
d’ailleurs à Nathalie de surveiller tous les aspects de ta toilette de près.
Ici nous ne supportons pas les jeunes hommes qui ne prennent pas soin de leur
hygiène. »
Louise
esquissait un sourire, je ressentais une telle humiliation, mon statut ne
cessait de se rapprocher de celui d’un jeune garçon, soumis aux pratiques les
plus infantilisantes. La fessée cul nu, reçue en public qui plus est, la
surveillance de la toilette, sans aucune intimité, le contrôle de l’ordre de ma
chambre… Que pourraient encore inventer ces femmes pour continuer à me
transformer en un garçon soumis et piétiner ma virilité ?
Anna
me tendit une serviette sèche ainsi qu’une nouvelle combinaison, elle restait
présente pour je ne sais quelle raison, je n’étais pas un enfant, je savais
encore me débrouiller seul pour cela. Alors que j’étais sec, prêt à enfiler mon
vêtement propre, Anna me pris par les hanches et me fit tourner d’un quart de
tour sur moi-même, je me laissais faire sans broncher, je ne voulais pas
risquer une nouvelle fessée, j’avais eu ma dose à l’instant. Elle inspecta à
nouveau mes fesses, et de près. Ses doigts palpaient doucement les zones
meurtries ce qui me fis émettre une plainte que je tentais de retenir comme je
le pouvais.
« Ça
va, dit-elle, il ne faudra pas surveiller la guérison de trop près, tu viendras
tout de même me voir tout à l’heure après le travail Maxime.
- En
fin d’après-midi ? Mais...
- Oui !
Je jetterais un œil, je ne voudrais pas que ton cul soit inapte à recevoir
d’autres fessées dès le premier jour. J’ai bien peur pour toi qu’elles soient
très fréquentes d’ici à ce que tu prennes un peu de plomb dans la tête. »
Rouge
de honte, les yeux dans le vague, je l’enfilais rapidement ma combinaison de
travail propre et nous rejoignîmes tout le monde pour déjeuner.
Il y a une suite, le chapitre 6
Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1
Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 4
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Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK
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