mercredi 31 janvier 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 6ème épisode

Reprenons nos habitudes du mercredi ! Gérome n'a décidément pas de chance avec les femmes qu'il côtoie. A moins qu'il n'en ait que trop.

mardi 30 janvier 2018

Rencontre avec une vraie fesseuse sur Paris

Les visites de lecteurs de ce blog, chez Madame Anne Sophie, continuent. Pierre nous fait part de son expérience, un peu différente de celles de ses prédécesseurs.

Travaillant sur la fessée du point de vue pédagogique dans la première moitié du 20ème siècle,j'ai donc fait des  recherche sur Internet en prenant comme mots clés : fessée et fesseuse sur Paris .

 Après avoir analysé toutes les réponses, j'élimine tout les réponses de sites BDSM et je trouve le site de Josip une annonce très claire et précise :
"Anne-Sophie institutrice de 48 ans corrige les vilains garnements par de bonnes fessées.

Elle reçoit à Paris dans le 18ème.

Prendre contact par SMS en y laissant votre prénom et âge au ..........."

lundi 29 janvier 2018

SFID, la salle de correction - chapitre 6

Je m’étais installé depuis 1 mois chez Céline, très content de quitter Madame Leroy et son fauteuil à fessées ou j’étais passé plus d’une fois. Ma période d’essai était terminée et j’avais été augmenté à 3000 euros brut mensuel. Madame Leroy m’avait reçu dans son bureau pour me faire part de sa satisfaction et de mon embauche définitive au sein de la SFID.
Elle me fit remarquer que ce n’était pas évident pour tout le monde et qu’il lui arrivait de prolonger la période d’essai en cas de doute. Et que dans ces cas-là la sanction équivalait à une faute grave et donc à la fessée correspondante.

samedi 27 janvier 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 27

Sœur Gabrielle prit les choses en main comme je m’y attendais. Elle ne consulta nos carnets de correspondance que pour la forme. Il était évident qu’elle avait été mise au courant de nos deux situations, celle de Nathan et la mienne. Il est vrai, en ce qui concerne Nathan, qu’elle pouvait difficilement l’ignorer compte tenu de sa tenue inhabituelle.
La toilette du soir se déroula sans encombre en ce qui me concerne, si on excepte la difficulté que j’avais encore à être totalement nu dans le dortoir devant Sœur Gabrielle et mes camarades. Pour Nathan, ce fut un peu plus compliqué.

vendredi 26 janvier 2018

Mémoires d'un garnement de jadis - 5ème épisode

Le dessin du mercredi, cette semaine, ce sera le ... vendredi ! S'y retrouve qui peut.
Certainement pas Gérome qui se retrouve, comme chaque semaine, en mauvaise posture.

jeudi 25 janvier 2018

Christine - chapitre 15

Quel moment épouvantable  je venais de passer ! Habituellement, aller chez la coiffeuse est synonyme d’instant de douceur et de confort. Mais chez Madame Durand où ma belle-mère m’avait pris rendez-vous, rien ne s’était déroulé comme cela, bien au contraire. La coiffeuse avait voulu affirmer son autorité, j’avais répondu et j’en avais récolté une magistrale fessée déculottée et donnée à la brosse à cheveux. Je n’avais pu me retenir de pleurer toute ma douleur en présence de Madame Durand la coiffeuse, de Charline sa jeune employée en job d’été et de ma belle-mère.

À présent ma belle-mère s’était mise en tête de me faire voir par un médecin pour les tous petits problèmes d’incontinence que j’avais eus voici deux jours. En fait de problèmes d’incontinence, je n’avais pu me retenir lorsque j’étais au coin après un fessée et j’avais lâché quelques gouttes seulement, rien de comparable à une pathologie avérée. Mais ma belle-mère avait pris cela trop au sérieux et plus rien ne pourrait la faire reculer.

mercredi 24 janvier 2018

SFID, l'invitation - chapitre 4 bis

Il manquait un épisode qui s'intercale entre le chapitre 4 et le 5. Je l'ai donc appelé 4bis. il prendra donc la place du dessin du mercredi que nous retrouverons la semaine prochaine.
Toutes mes excuses pour cette inversion.

Le mardi matin comme convenu je retrouvais Madame Simone dans son bureau au rez-de-chaussée du bâtiment de pierre de la SFID. Elle m’impressionnait toujours autant par son physique de femme forte et sur d’elle. Elle trônait derrière son bureau m’examinant comme un suspect avant son interrogatoire. Elle avait son catalogue ouvert devant elle et elle commença à passer en revue les instruments de discipline qu’elle fabriquait ici.
« Alors Monsieur T me dit ‘elle avec son accent alsacien qu’elle avait assez prononcé, nous allons voir si vous avez bien travaillé hier sur le catalogue.

lundi 22 janvier 2018

SFID, le dimanche - chapitre 5

Je me réveillais dimanche matin vers 9h et j’émergeais doucement de ma nuit et surtout de ma soirée d’hier qui me laissait un profond sentiment de bonheur. J’avais réussi à séduire Céline et cette séduction était réciproque. Nous allions vivre ensemble. J’attendais ce moment inconsciemment depuis que j’avais fait sa connaissance et il arrivait enfin au bout de quelques semaines. J’allais être pris en main par une femme qui m’aimait et qui allait m’aider à vivre mieux. J’accepterai son cadre parce que je l’aimais et ses sanctions seraient toujours justifiées parce que c’est elle qui savait ce qui était bon pour moi. Mon corps et mon cœur vibraient pour Céline ma maîtresse désormais dans tous les sens du terme.

samedi 20 janvier 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 26

Mon niveau d’attention pendant les cours avait nettement augmenté. Je ne perdais plus une miette de ce que disaient les professeures. Je crois que rien de ce qui se passait en dehors des cours n’aurait pu distraire mon attention du sujet dont il était question dans la classe. Je découvrais ainsi de nombreux sujets passionnants qui m’avaient échappés durant mon passage dans ma première terminale. Dès les premières leçons, je renouais le fil assez vite avec ce que j’avais étudié, quelques années plus tôt.

jeudi 18 janvier 2018

Christine - chapitre 14

Cette troisième journée de cours de vacances à Ste-Marie se déroula sans encombre. J’avais bien assimilé les leçons cuisantes des deux journées précédentes et en avais tiré profit. De fait je n’avais pas été punie. En outre, j’avais eu le nez creux en pensant à éviter toute fantaisie sur moi-même. J’avais pris soin d’effacer les traces de vernis sur mes ongles des mains comme ceux des pieds.

Ma camarade Magali n’avait pas eu cette malice, oubliant que toute coquetterie superflue n’était jamais bien vue à Ste-Marie. Elle avait encore le vernis à ongles rouge vif qu’elle s’était passé la veille chez moi. Si cela soulignait sa féminité, ça n’allait pas l’aidait pour suivre ses cours de vacances. Magali s’était fait prendre par la patrouille, en la personne de la Sœur portière, sitôt son entrée à l’école.

La sanction, bien qu’immédiate, avait été tempérée. Si pareille fantaisie était proscrite à Ste-Marie, nous étions en période de cours de vacances et les Sœurs affichaient une certaine souplesse. De plus, cela faisait deux jours que les religieuses avaient bien posé leurs jalons, qu’elles avaient marqué leur territoire.

mercredi 17 janvier 2018

lundi 15 janvier 2018

SFID chez Mme Leroy - chapitre 4

Je n’avais pas vu la journée passer. Après la correction à mon arrivée qui m’avait procurée de fortes émotions et évidemment d’avoir les fesses douloureuses, les choses s’étaient enchainées.
Madame Leroy m’avait présenté à l’ensemble du personnel comme le nouveau responsable web-marketing. J’avais vu dans les yeux de beaucoup une interrogation car cela ne voulait rien dire pour eux. Ce métier n’existait pas il y a 20 ans. Certains n’était peut-être même jamais allés sur voir sur internet dans ce coin de la Sologne, somme toute encore très rurale et campagnard et ou l’ordinateur n’était pas un objet vitale loin de là.

samedi 13 janvier 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 25

Sept heures du matin. La lumière fut allumée brusquement.
« Allez, les paresseux, debout ! Il y a école ce matin ! »
J’ai mis un petit moment à comprendre où j’étais. Mes fesses encore douloureuses me ramenèrent à la réalité. Comme dans un film accéléré, je revoyais les événements de la veille. J’arrivais à peine à compter les fessées reçues. Il y en avait eu une quatrième, comme promis, juste avant de me coucher.

mercredi 10 janvier 2018

Christine - chapitre 13

Le ciel me serait tombé sur la tête, je ne m’en serais pas plus mal portée. L’humiliation que je venais de subir chez moi en présence de ma camarade Magali était la pire jamais vécue. Pourtant, cette parenthèse n’avait duré que quelques minutes, à peine un quart d’heure montre en main. Mais l’intensité du moment avait été très élevée. Comme pour mieux laisser son empreinte, ma belle-mère, auteur de cet intermède s’en était allée aussi soudainement qu’elle était arrivée.

Lorsque je parle d’intermède, c’est essentiellement en repensant aux instants précédents qui avaient été heureux et idylliques à vivre. En compagnie de Magali, après nos cours de vacances du matin à Ste-Marie, nous nous étions accordées une après-midi détente chez moi, dans mon appartement. Débutées par un repas léger, ces quelques heures s’étaient poursuivies par une sieste réparatrice, une bonne douche, un parcours soins et beauté et de nombreux sujets de discussion, bref, un super moment entre filles.

Tout ceci jusqu’à l’irruption de ma belle-mère venant jouer en trouble-fête son rôle de tutrice. Son passage avait été aussi fulgurant que sévère. Informée comme par magie de mes déboires matinaux à l’école, ma belle-mère avait pris quelques dizaines de minutes sur son emploi du temps pour faire le détour par mon appartement et répliquer la sanction inscrite sur ma carte de correspondance.

Mémoire d'un garnement de jadis - 3ème épisode

Des attentions de Maman Thérèse dont notre jeune héros se serait bien passé. Il s'agit, vu le kilt, très probablement de Maman Thérèse Mc Donald et nous sommes en Ecosse.

lundi 8 janvier 2018

SFID, le contrat et le premier jour - chapitre 3

Quittant les ateliers du rez-de-chaussée nous reprîmes le grand escalier pour monter au deuxième étage. C’était une succession de bureaux tous vitrés sur le couloir à l’exception de quelques-uns. On pouvait donc voir les gens travailler sur leurs ordinateurs ou le nez plongé dans des dossiers.
Au milieu du couloir Madame Leroy rentra sans hésiter dans un bureau à la porte fermée. Je la suivi dans une pièce où se trouvait une petite brunette, la trentaine comme moi, les cheveux bouclés avec un dossier ouvert devant elle. Je reconnus immédiatement mon curriculum vitae avec ma photo.

samedi 6 janvier 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 24

Une nouveauté qui devrait devenir une habitude : Peter Pan a pris son plus beau crayon pour illustrer le récit. Dites-nous ce que vous en pensez. JLG.

La sonnerie annonça la fin du dernier cours.
« Encore quelques instants, songeais-je, et je serai sorti de la classe sans avoir reçu une autre fessée. »
Le déplacement vers la porte se fit dans le plus grand ordre dès que nous en reçûmes l’autorisation de Mademoiselle Wilson, notre professeure d’anglais. Je soufflais intérieurement de soulagement quand je passais la porte. J’en étais resté aux deux fessées du matin.
Certains de mes camarades rentraient chez eux. Les internes se dirigèrent vers leur salle d’étude. C’était le moment que j’attendais. Je pouvais enfin retrouver un peu d’intimité, seul dans ma chambre, sans être sous une surveillance constante. Je pouvais m’y relâcher un peu.

jeudi 4 janvier 2018

Christine - chapitre 12

Nous roulions en direction de mon domicile, Magali et moi. Je venais de récupérer ma voiture laissée au parking près de Ste-Marie la veille au matin. Après cette deuxième journée de cours de vacances, j’avais invité ma camarade à venir passer l’après-midi en ma compagnie. Nous avions un peu plus sympathisé toutes les deux et c’est tout naturellement que je lui avais fait cette proposition.

Cette deuxième matinée avait été, pour moi, relativement plus calme que la première. D’une part en raison d’une certaine habitude qui s’était instaurée et d’autre part grâce à mes efforts de discipline. Contrairement à la veille je n’avais été que fessée symboliquement et surtout, j’y avais fait face en adulte. Loin de repousser cette sanction, je l’avais trouvée justifiée et je l’avais acceptée sans broncher ni me plaindre.

mercredi 3 janvier 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 2ème épisode

Ce deuxième épisode nous emmène en Ecosse où, de tradition, l'utilisation est hautement recommandée.Se risquer à plaisanter avec la directrice ne peut avoir qu'une conséquence : une bonne fessée.

mardi 2 janvier 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 23

Un épisode supplémentaire pour fêter cette nouvelle année. N'en prenez pas l'habitude, cela ne continuera pas. JLG.

« Bonjour Sœur Marie Madeleine.
– Bonjour Axel, que voulez-vous ?
– Sœur Thérèse demande que Sœur Marie Joseph me fasse un carnet de correspondance.
– Un carnet de correspondance ! Se pourrait-il, mon garçon que vous ayez été puni ? »
Je rougis et je baissais les yeux.
« Oui, ma Sœur.
– Sœur Thérèse a raison. Vous avez donc besoin d’un carnet à votre nom. Je vais voir si Sœur Marie Joseph est disponible. »

lundi 1 janvier 2018

SFID, le test - chapitre 2

Transpercé par son regard et dans un état second je me levais alors, et au lieu de prendre la fuite ce qu’aurait fait tout individu normalement constitué, je me déshabillais dans ce bureau, j’enlevais ma cravate, ma chemise, mon pantalon que je pliais soigneusement sur la chaise. Puis je me dirigeais vers le pupitre, rouge de honte et d’angoisse.
Madame Leroy avait ouvert un grand tiroir intégré dans le mur à côté du pupitre ou je découvrais une partie de l’assortiment de la SFID aperçu dans le catalogue.