Je
me réveillais dimanche matin vers 9h et j’émergeais doucement de ma nuit et
surtout de ma soirée d’hier qui me laissait un profond sentiment de bonheur.
J’avais réussi à séduire Céline et cette séduction était réciproque. Nous
allions vivre ensemble. J’attendais ce moment inconsciemment depuis que j’avais
fait sa connaissance et il arrivait enfin au bout de quelques semaines.
J’allais être pris en main par une femme qui m’aimait et qui allait m’aider à
vivre mieux. J’accepterai son cadre parce que je l’aimais et ses sanctions
seraient toujours justifiées parce que c’est elle qui savait ce qui était bon
pour moi. Mon corps et mon cœur vibraient pour Céline ma maîtresse désormais
dans tous les sens du terme.
Mais
en attendant revint à ma mémoire mon retour dans la maison de Madame Leroy.
Elle allait m’appeler à son retour de la messe vers 11 heures et il valait
mieux que je sois prêt. J’allais encore passer un sale quart d’heure pour
l’avoir réveiller à 1 heure du matin. Mais je devais assumer. J’étais tellement
bien avec Céline que je n’avais pas vu l’heure passée.
Je
me levais à regret, prenais ma douche, enfilais mon caleçon que je n’allais pas
tarder certainement à devoir baisser et passais mon pantalon.
Le
dimanche Gisèle la petite bonne était en congés et ne rentrait que le soir.
Pour midi elle préparait un plateau froid. Ce serait donc Madame Leroy qui me
corrigerait seule.
A
11 heures 10 j’entendis la porte de la maison s’ouvrir. C’était Madame Leroy
qui rentrait de la messe. Elle quitta son manteau puis cria dans le couloir en
rentrant dans sa chambre :
« Georges
je vous veux nu au garde-à-vous dans le salon dans 10 minutes.
Attendant anxieusement ce qui allait m’arriver dans ma
chambre. J’étais fixé.
Je
décidai de descendre immédiatement dans
le grand salon me préparer afin de ne pas énerver plus Madame Leroy.
Je
me déshabillai comme demandé et attendit debout au milieu de la pièce.
Quelques
minutes plus tard Madame Leroy fit son apparition en pantalon et botte
cavalière, sa chevelure blonde s’étalant sur un corsage brodé.
«
Je vois que mes consignes sont respectées. Il valait mieux pour vous jeune
homme.
Cela
fait très longtemps que l’on ne m’a pas réveillée la nuit. Vous allez me le
payer. Allongez-vous sur le fauteuil que vous avez déjà expérimenté. Soumis
j’allais m’allonger le ventre sur le
fauteuil à fessée que je connaissais déjà.
Elle
attacha les sangles de cuir pour m’immobiliser, régla le fauteuil à sa main
avec la télécommande.
Elle
me caressa les fesses et poussa une exclamation :
« Mais
vous avez été fessée récemment! Et à la main en plus ! On voit
distinctement les traces des doigts.
Elle
ne mit pas longtemps à comprendre.
« Je
crois savoir que vous étiez chez Céline hier. C’est donc elle qui vous a
fessée. Surement pour de bonnes raisons. Mais A LA MAIN. Ce n’est pas
possible ! Je m’en expliquerai avec elle dès demain, dit-elle, excédée. En
attendant nous allons réparer cela et faire parler les instruments de la SFID. »
Ce
faisant elle alla ouvrir son coffre en acajou pour en extraire plusieurs
instruments plus redoutable les uns que les autres.
Et
je reçu une belle correction au paddle puis à la tawse puis pour finir avec son
martinet fétiche à lanières tressés. Mes fesses brulaient et la fessée à la
main d’hier soir était bien douce et lointaine devant cette avalanche
d’instruments donnée avec rage et force par Madame Leroy.
Lorsqu’elle
m’eut libéré je regagnais ma chambre sans même me rhabiller pour me coucher sur
le ventre et attendre le refroidissement de mon arrière train qui était
durablement marqué. Les traces des doigts de Céline étaient noyées sous les
stries des lanières tressées.
J’en
profitais pour appeler Céline et lui raconter mon retour. Je sanglotais encore
au téléphone en lui disant :
« Tu
sais elle a vu que j’avais été fessée à la main et elle a compris que c’étais
toi.
A
ces mots je sentis Céline inquiète. Et elle avait raison de s’inquiéter.
Le
lundi matin Céline qui était au travail dans son bureau en train de vérifier et
mettre à jour le planning des congés
reçu un appel téléphonique interne. C’était Madame Leroy.
« Je
vous attends immédiatement dans mon bureau. Ne me faîtes pas attendre.
La
voix était sèche et sévère. Céline sentit une boule à l’estomac se former.
Pourquoi Madame Leroy la convoquait ’elle ce matin brutalement. Qu’avait ’elle
commit comme faute. Elle en avait une vague idée depuis la veille et en allait
avoir confirmation dans quelques minutes.
Elle
se leva, ferma son bureau à clef et descendis au premier étage chez Madame
Leroy.
Après
avoir frappé et être entré à l’injonction de la Présidente, elle alla saluer celle-ci
un peu paralysée d’appréhension.
Madame
Leroy le visage fermé l’invita à s’assoir.
« Céline,
j’avais confiance en vous, je vous estimais. Mais hier j’ai été extrêmement
déçu de ce que J’ai constaté. J’ai dû corriger Georges à la maison car il avait
enfreint la règle horaire de son retour nocturne. J’ai été réveillée en pleine
nuit et ce matin je l’ai corrigé pour cela. Mais j’ai vu que quelqu’un était
passé avant moi cette nuit pour fesser ce garçon qui l’avait surement mérité
car il a un grand besoin d’être dressé sur un plan domestique. Comme Georges
était chez vous hier soir j’en ai déduis que c’était vous qui lui aviez rougi
les fesses. Me confirmez-vous ?
–
Oui Madame, c’est moi dit timidement Céline, qui ait donné une fessée Georges samedi soir. »
La
voix de Madame Leroy se durcit encore quand elle dit :
« Que
vous fessiez Georges, vous aviez surement d’excellentes raisons pour cela et je
vous en félicite. Mais que vous l’ayez fait à la main c’est une trahison ! »
Et
elle accompagna ce mot d’un claquement de sa main à plat sur son bureau qui
résonna dans la pièce.
Céline
compris à ce moment que son intuition première lorsque Georges l’avait avertie
était la bonne. Elle n’avait pas employé d’instruments de la SFID pour donner
la fessée à Georges et Madame Leroy qui s’en était tout de suite aperçue, lui
en voulait pour cela. Elle n’avait pas voulu d’instrument car c’était une
première fessée de découverte entre eux dans le cadre de la discipline
domestique qu’elle voulait instaurer avec Georges. L’ambiance avait été plus
celle d’un rendez-vous amoureux qu’une séance de discipline. Et puis elle était
chez elle et pas à la SFID.
Erreur,
tragique erreur qui la rattrapait aujourd’hui. Evidemment si tout un chacun se mettait à fesser à la main ou le
monde allait ’il ? Et la SFID dont la devise était « la discipline
par les instruments depuis 1869 » était condamnée à jamais.
Madame
Leroy avait donc parfaitement raison d’être intransigeante sur ce point.
Elle
fondit alors en sanglot et c’est en hoquetant qu’elle répondit à Madame
Leroy :
« Pardon
Madame, pardon, je ne me suis pas rendu compte des conséquences, je suis navrée.
Je ne le referai plus jamais. Une fessée doit se donner aux instruments c’est
évident. Je suis navrée. Punissez-moi Madame. Punissez-moi sévèrement. Je le
mérite.
–
Je vais vous faire expier votre erreur jeune fille. Vous allez vraiment
comprendre l’utilité des instruments de discipline. Déshabillez-vous !
Votre trahison ne rentre dans aucun des motifs prévu par le règlement. Aussi
vous m’obligez à improviser. Et à faire rajouter dans les contrats que tous
salariés a obligation de donner la fessée avec instruments sous peine de faute
lourde que ce soit ici ou à domicile. »
Céline
se retrouva nue sanglé sur le pupitre et eu droit à 200 coups d’une dizaine
d’instruments différents. Elle pleura, cria mais encaissa en se disant que Madame
Leroy aurait pu la renvoyer sans autre forme de procès. Lorsque elle sortit du
bureau en robe légère, elle n’avait pas remis sa culotte tellement ses fesses
étaient en feu. Elle se rappellerait longtemps de son erreur d’appréciation.
Et
je ne connaîtrai plus dorénavant sur mes fesses que les instruments de la SFID
que ce soit ici ou à la maison de Céline.
Pour suivre le fil de ce récit
Des encouragements, des réactions, des appréciations ?
Vous pouvez rédiger un commentaire et le poster sur le site si vous souhaitez que la communauté des lecteurs en ait connaissance.
Vous pouvez, si vous le souhaitez, également joindre directement Georges T, par courriel à l'adresse suivante : dyoni.gt69@gmail.com
Bonjour,
RépondreSupprimerDis moi cher narrateur...Tu n'aurais pas sauté un chapitre ? J'ai beau revenir sur le précédent (n°4) je ne vois pas de nuit d'ivresse sur les fesses de Georges, avec Céline, pour justifier les traces de doigt d'une fessée à la main, provocant la colère de madame Leroy...
Cher Ramina,
SupprimerEffectivement, il manque un chapitre qui sera publié demain. Il s'appellera 4bis afin de retrouver l'ordre normal de lecture à défaut de pouvoir rectifier l'ordre de publication.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerLa lecture de ces deux derniers chapitres incite à une sérieuse réflexion sur les méthodes de fessées employées par ces délicieuses femmes à poigne!
En effet, quelle préférence entre les fessée déculottée à la main de Céline et les fessées musclées aux instruments de Madame Simone et Madame Leroy ? Cette question "brûlante" ne mérite t-elle pas un débat argumenté entre les lecteurs de ce passionnant et malicieux blog. Un dialogue contradictoire pourrait contribuer à en développer l'intérêt entre fervents adeptes des fessées déculottées à la main et chauds partisans des fessées déculottées aux instruments? Qu'en pensez vous cher JLG? Peut on considérer ce débat lancé?
+ J'ai déjà un peu exprimé mon point de vue sur cette question mais je suis prêt à le développer.
Cher Ramina,
SupprimerConsidérons que vous avez lancé la débat!
Peut-on commencer par un développement de votre point de vue ? Je me ferai un plaisir d'exposer le mie ensuite.
Quiconque le souhaitera, pourra s'insérer dans ces échanges.
J'attends donc, cher Ramina, votre contribution introductive.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Merci Cher JLG d'avoir accepté l'idée de ce débat qui, on l'espère intéressera les passionnés de ce blog. Chacun devrait pouvoir s'exprimer librement et élégamment sur le sujet. Les belle femmes autoritaires de vos récits fantasmatiques, si sévères et si efficaces pour rougir les fesses de ces messieurs méritent bien ce retour d' attention.
RépondreSupprimerOui...Il me semble qu'une fessée administrée d'une main bien ferme sur une paire de fesses déculottée tout aussi ferme, est sans doute plus attrayante, et procure davantage de sensations de part et d'autre qu'une fessée appliquée à l'aide d'un instrument. Qu'elle soit punitive, éducative, préventive, érotique ou d'entretien, la fessée à la main est physiquement plus naturelle et alimente un rapport direct, douloureux (évidement c'est le but !) mais aussi charnel, voir sensuel, entre deux parties du corps humain. Ce contact peau à peau n'existe pas avec un instrument de discipline plus brutal et insensible par nature, contrairement à la main qui fesse.
Ramina,
RépondreSupprimerAfin que le débat ne soit pas noyé dans l'ensemble des articles et commentaires du blog, j'ai ouvert une page dédiée aux échanges sur le recours aux instruments ou non.
Vous y trouverez mon argumentaire en réponse au votre.
Au plaisir de vous lire,
JLG.