mercredi 10 janvier 2018

Christine - chapitre 13

Le ciel me serait tombé sur la tête, je ne m’en serais pas plus mal portée. L’humiliation que je venais de subir chez moi en présence de ma camarade Magali était la pire jamais vécue. Pourtant, cette parenthèse n’avait duré que quelques minutes, à peine un quart d’heure montre en main. Mais l’intensité du moment avait été très élevée. Comme pour mieux laisser son empreinte, ma belle-mère, auteur de cet intermède s’en était allée aussi soudainement qu’elle était arrivée.

Lorsque je parle d’intermède, c’est essentiellement en repensant aux instants précédents qui avaient été heureux et idylliques à vivre. En compagnie de Magali, après nos cours de vacances du matin à Ste-Marie, nous nous étions accordées une après-midi détente chez moi, dans mon appartement. Débutées par un repas léger, ces quelques heures s’étaient poursuivies par une sieste réparatrice, une bonne douche, un parcours soins et beauté et de nombreux sujets de discussion, bref, un super moment entre filles.

Tout ceci jusqu’à l’irruption de ma belle-mère venant jouer en trouble-fête son rôle de tutrice. Son passage avait été aussi fulgurant que sévère. Informée comme par magie de mes déboires matinaux à l’école, ma belle-mère avait pris quelques dizaines de minutes sur son emploi du temps pour faire le détour par mon appartement et répliquer la sanction inscrite sur ma carte de correspondance.


La fessée avait été intense. La main puissante de ma belle-mère avait claqué à m’en faire cuire la peau fragile de mon derrière. Les coups soutenus donnés à l’aide de la spatule en bois, autant sur mes fesses que sur mes cuisses, avaient brisé les dernières barrières de ma dignité. Si jusqu’à présent toutes les sanctions que j’avais reçues s’étaient circonscrites à un cercle restreint d’initiées, cette dernière punition s’était déroulée en présence de Magali.

En évoquant le terme d’initiées, je ne pense pas à quelque ésotérisme maçonnique convenu. Non, je pense plutôt à celles qui depuis ma rentrée à Ste-Marie ont été protagonistes ou témoins de mes fessées. Je leur devais, à toutes, le respect vis-à-vis de leurs fonctions. Sœur Marie-Hortense la Préfète de discipline, Sœur Marie-Joseph la directrice, la Sœur portière, Sœur Marie-Véronique ma professeure de sciences, Sœur Thérèse ma professeure de lettres, Mlle Mathilde ma professeure de mathématiques, ma belle-mère et la vendeuse des Galeries, toutes ces femmes ont vu ou su que j’avais été fessée, certaines y ont participé activement. Mais toutes avaient une raison légitime et donc un devoir de réserve convenu.

Jusqu’ici j’avais eu l’impression que j’étais, sinon épargnée, du moins protégée. Aucune punition ne m’avait été infligée en public ou en présence de personnes non averties. Là, on venait de franchir un pas que je n’aurais jamais imaginé. D’un coup d’un seul j’avais reçu la fessée devant une camarade de classe, plus jeune que moi et tout cela chez moi ; et c’est ma belle-mère qui venait de briser ce non-dit.

Le fait que ma belle-mère prenne le commandement chez moi m’avait déstabilisée. Je n’avais pas su quoi lui répondre lorsqu’elle fit son entrée, ni m’opposer à ses intentions. De fait mon appartement, ma bulle, venait de voler en éclat et je n’avais rien fait pour empêcher cela. Pire encore, cela avait eu lieu devant témoin. Témoin avec qui je devais à présent me débrouiller toute seule une fois la tornade repartie.

Sans soupçonner ma belle-mère d’avoir voulu amplifier son effet en quittant les lieux sitôt sa fessée donnée, je trouvais la suite bien difficile à gérer.

J’étais au coin, les bras croisés derrière le dos. Ma belle-mère m’avait confiée aux bons soins de ma camarade mais avant de disparaître lui avait fait un sermon disant qu’elle n’aimait pas son comportement. Cela avait eu pour effet de troubler Magali qui s’attela à sa tâche de surveillance avec sérieux et application. Comme si à tout moment ma belle-mère pouvait revenir, Magali n’eut aucun geste d’indulgence et me fit observer ma pénitence contre le mur durant une bonne vingtaine de minutes.

– Christine, me dit presque timidement Magali, c’est bon… Le temps est passé.

Immobile au coin, j’avais presque tout oublié. J’étais comme hors du temps et des lieux. Peu à peu mes larmes s’étaient séchées, mes sanglots s’étaient tus.  Les paroles de Magali me ramenèrent subitement à la réalité. Immédiatement la douleur aux fesses et aux cuisses se refit lancinante. Je m’aperçus aussi que depuis la fessée j’étais toujours nue, ce qui en rajoutait à ma position humiliante d’infériorité.

Je me tournai, je vis Magali tout aussi gênée que moi par la situation. Comme une petite fille perdue je me précipitai dans ses bras à la recherche d’une consolation et recommençais à pleurer.

– J’ai eu mal, je ne voulais pas, prononçais-je entre deux sanglots. J’ai honte, je n’ai pas fait exprès…

Magali dut sentir que j’étais aussi vexée moralement que meurtrie dans ma chair. Elle se contenta de me serrer fort dans ses bras sans dire un seul mot, m’embrassant de temps en temps. Au bout de longues minutes je réussis à retrouver mon calme.

– Bon ! Voyons les dégâts, hasarda Magali. Déjà, faut te refaire une beauté, ton maquillage a coulé.

Instinctivement je me tournai vers le miroir du salon. L’image que j’y vis de moi n’avait pas fière allure, heureusement ce n’était pas là le travail le plus délicat à accomplir pour lui rendre quelque gracieuse humanité.

– Tourne-toi, m’ordonna Magali, que je vois l’état de tes fesses.

J’obéis à ma camarade et me tournai.

– Oh ! Quel chantier ! s’exclama Magali.

Elle avait raison. Mes fesses et mes cuisses étaient cramoisies comme si ma belle-mère en s’y acharnant dessus avec la spatule avait voulu les tanner telle une vulgaire peau de cuir. Prenant conscience de mon état et malgré la chaleur du mois d’août, je me mis à trembler, presque à grelotter.

Magali prit la décision d’aller à la salle de bain et d’en revenir avec le tube de crème à l’aloé vera.

– Allonge-toi sur le canapé, me dit Magali, je vais te tartiner les cuisses et les fesses. Tu verras, ça va t’apaiser le feu.

Méthodiquement elle m’étala la crème tout en douceur, la faisant pénétrer au plus profond de mes meurtrissures. Loin de me juger, de demander des explications, Magali que je pensais naïve et tête-en-l’air prenait les choses en main avec tact et délicatesse. Au moins je n’avais pas à me justifier, le temps venu à cela viendrait bien assez tôt. Si Magali devait me juger, pour le moment ce n’était que physiquement parlant, ma nudité s’étalant sous ses yeux autant que la crème dont elle m’enduisait les fesses et les cuisses.

Le bien-être et la fraîcheur procurés firent effet assez rapidement. Je retrouvais calme et maîtrise de moi. J’étais à nouveau connectée, capable de raisonner et de réfléchir. Je trouvais le temps à nouveau linéaire et non pas comme élastique, tantôt long, tantôt court.

– Voilà, ça y est, m’annonça Magali. Par contre, tu risques d’avoir du mal à t’asseoir correctement… Ou alors, que sur de gros coussins bien rembourrés…

– Merci Magali, tu es un amour, lui répondis-je en me relevant.

C’est vrai que ça me tirait un peu, surtout sur les cuisses. Mais c’était le premier mouvement qui était le plus difficile à mettre en route. Et puis, impossible de procéder autrement, il me fallait faire face. Comme une enfant qu’on vient de consoler, j’enlaçais Magali l’étreignant presque en abandonnant ma tête dans ses bras.

Une seule chose cependant, j’avais oublié que j’étais toujours nue et sans protection aucune. Je m’en aperçus lorsque je me remis debout. Instinctivement et par pudeur je mis mon bras gauche à l’horizontale devant ma poitrine et ma main droite en protection devant mon pubis. C’est Magali qui me fit la remarque sur ce geste aussi inutile que désuet.

– Tu sais, tu n’as plus besoin de rien cacher… J’ai tout vu tantôt !

C’est à cet instant que je pris conscience combien mon intimité avait dû être lamentablement exposée durant ma fessée. Nous étions entre filles, heureusement ces considérations étaient atténuées. Mais cela ouvrait un autre aspect qui y était lié, le jugement de ma camarade sur mon comportement. Car ma conduite avant, durant et après la fessée était d’une manière ou d’une autre conditionnée par l’image que j’avais donnée de moi et de mon corps ; une adulte de 36 ans en train d’être punie n’envoie pas la même expression qu’une gamine dans cette situation.

– Oui je sais Magali, répondis-je. Tu diras rien j’espère… J’ai trop honte…

– Honte de quoi ? dit naïvement Magali. C’est le règlement… Après, les manières de ta belle-mère ne me regardent pas… Mais à mon avis, elle y est allée un peu fort… Surtout avec ce qu’elle a fait de ton string !

Ma camarade, sans employer les mots pour bien l’exprimer, avait sans doute trouvé ma belle-mère par trop zélée. Pour elle sans doute la réplique à la maison d’une fessée à Ste-Marie ne devait être que symbolique, surtout sur une femme qui avait pratiquement l’âge de sa mère. En plus Magali venait de me remettre en mémoire un aspect que mon esprit avait totalement zappé des évènements, et non des moindres, la découpe aux ciseaux par ma belle-mère du string que je portais.

L’image me revint en mémoire, brute, violente, insoutenable. En plus de s’en être prise à moi en des sanctions corporelles justifiées car légitimées par son rôle de tutrice, ma belle-mère m’avait dégradée s’en prenant à mon intégrité féminine. Le seul fait qu’elle lacérât mon string montrait qu’elle niait mon statut de femme apte à porter de la lingerie d’adulte.

C’était peut-être aussi cela qu’inconsciemment je voulais que Magali oubliât. Je lui demandais de ne rien répéter comme une petite fille qui avait voulu jouer à la grande, qu’on avait grondée, qui avait pleuré et qui ne voulait pas que cela fût divulgué.

Mais tout de même, cette histoire de grande fille que j’étais était bien réelle. J’avais 36 ans, ce string je ne l’avais pas volé à une grande personne pour me la jouer. Il m’appartenait, il m’avait même été offert par mon mari pour fêter notre dernier anniversaire de mariage, donc en connaissance de cause afin de mettre en valeur le corps de la femme mariée que j’étais.

Et qui plus est, tout cela venait de se passer chez moi et sous les yeux de Magali. C’était comme si ma belle-mère avait violé mon refuge pour y décider ce que j’avais le droit d’y porter.

« Où donc serais-je désormais en sécurité maintenant ? »

Telle était la question que j’allais me poser les jours à venir quand, seule à la maison, je m’accorderais des instants intimes.

« Est-ce que ma belle-mère ne va pas surgir d’on ne sait où pour me remettre à ma place ? »

En général, on ne vit ces situations que dans les cauchemars. On se réveille assez rapidement et après quelques instants de flottement, tout rentre dans l’ordre. Mais là, le cauchemar était bien réel, je le vivais pleinement bien malgré moi.

Mes larmes qui s’étaient taries recommencèrent à embuer mes yeux. Je sanglotais intérieurement sur mon triste sort, me sentant comme dans une impasse où il allait m’être très difficile de me dégager. Heureusement et une fois encore ce fut Magali qui me tira de ce bien mauvais pas. Elle lisait ma détresse et y fit face tout simplement, sans dire un mot de trop.

– Viens, me chuchota-t-elle.

Elle me prit tendrement la tête dans ses mains où je pus épancher les quelques larmes qui me restaient. Avec une infinie douceur elle m’emmena vers la salle de bain où elle entreprit de me redonner visage humain et dignité.

Il commençait à se faire tard et je proposais à ma camarade de la raccompagner chez elle, ce qu’elle refusa invoquant à juste titre la douceur de cette journée du mois d’août. Elle rentrerait tranquillement chez elle prenant pour cela les transports en commun. Magali voulait surtout ne pas me déranger après la terrible fessée que je venais de subir. Elle avait réussi à me calmer, tant physiquement que moralement, et ne souhaitait pas que se brisât cet équilibre précaire qu’elle venait de réussir à me rendre.

C’est seulement vêtue d’un long T-shirt que je la remerciais. J’avais encore tellement mal aux fesses et aux cuisses que le moindre contact avec une culotte était insoutenable, et le port ou la vision d’un string m’étaient psychologiquement impensables. Un sursaut de lucidité me fit la mettre en garde contre une éventuelle fessée de sa maman en relation avec sa carte de correspondance.

– Oh tu sais, ma mère est cool sur ce plan la, me glissa-t-elle juste avant de prendre congé. Elle n’a pas encore bien saisi l’importance que ta belle-mère a de la chose.

« Quelle chance elle a ! » me dis-je intérieurement tout comme une petite fille jalouse la poupée plus belle de sa copine.

J’avais compris les motivations et les attentes de Magali à mon égard. En dehors de Ste-Marie, je restais pour elle une personne de l’âge de sa mère, mais en mode « école » notre relation était tout autre et différente. C’était l’irruption de ma belle-mère et l’épisode de la fessée qui s’en suivit qui m’en avaient fait prendre pleinement conscience. Le premier moment de stupeur passé, Magali ne m’avait pas jugée. Même chez moi elle m’avait considérée comme une de ses camarades de classe à Ste-Marie puisque le contexte s’y prêtait. J’allais d’ailleurs m’apercevoir qu’il en serait de même tout au long de mon année scolaire à Ste-Marie.

Si la curiosité de la découverte la première fois attirait quelque peu l’intérêt, à partir de la seconde fois ce n’était plus qu’une habitude et, comme tout ce qui relève de l’ordinaire, on n’y prête plus guère d’attention ; seuls les changements suscitent alors préoccupation. Ma camarade avait pu découvrir mes seins, mes fesses et mon sexe épilé, choses acquises dorénavant pour elle.

Magali partie, je pus me reposer et mettre de l’ordre dans mes cours de la journée et préparer ceux du lendemain. Cela me permettait d’oublier la venue en trombe de ma belle-mère. Seule la douleur encore persistante de mon postérieur me rappelait combien cette fessée avait été vive.

Une question cependant me hantait. Depuis la veille, comment se faisait-il que ma belle-mère fût à chaque fois au courant de mes écarts de conduite à Ste-Marie. Et même, à bien y réfléchir, elle savait déjà pour mon inscription alors que je rentrais à peine de mon entrevue avec la directrice. Un semblant de réponse commença à s’esquisser. Je me souvins que ma belle-mère m’avait dit que Sœur Marie-Joseph venait de lui téléphoner. Quelles étaient donc les relations qui liaient ma belle-mère et la directrice de Ste-Marie ? C’est là un mystère que je n’allais pas tarder à découvrir…

La fin de cette deuxième journée n’en fut pas pour autant aussi sereine. D’abord ce fut ma belle-mère qui m’appela. Comme si de rien n’était et sans faire la moindre allusion à la fessée magistrale qu’elle m’avait administré quelques heures auparavant, elle m’informa que pour le lendemain elle m’avait pris rendez-vous chez sa coiffeuse et chez la doctoresse ; deux belles perspectives !

Il me fallut également affronter mon mari au téléphone. D’ordinaire, échanger avec lui est toujours un plaisir. Mais ce soir-là, ça allait être presque une corvée de lui résumer la seconde partie de ma journée. Si la veille j’avais pu éluder en lui disant que j’étais chez sa mère, donc automatiquement sous sa coupe, là il ne m’était plus possible de tergiverser, d’autant que je me méfiais de ce que ma belle-mère avait pu lui raconter dans mon dos.

Je ne voulais pas non plus passer sous silence la venue de Magali chez nous. Avec mon mari nous partageons tout et nous nous disons tout. En conséquence, avoir invité ma camarade n’était pas un secret mais cela induisait de fait qu’elle avait été témoin de tout ce que j’allais lui déballer sur la punition que m’avait infligé ma belle-mère.

Bien sûr je me suis attachée à minimiser au maximum  les faits. Mais mon mari avait été élève à Ste-Marie, il n’était pas idiot et savait en conséquence que toute sanction reçue à l’école se devait d’être répétée à la maison. Il savait également qu’en son absence c’est sa mère qui avait fonction de tutrice. Et enfin il savait comment sa mère répliquait sur lui-même ces fameuses punitions. Donc il m’était bien inutile de biaiser en lui faisant croire à une clémence inattendue de ma belle-mère.

C’est d’ailleurs mon mari qui m’interrogea à ce sujet, me devançant :

– Ça va ? Tu as pu supporter ? Je pense que ma mère a été raisonnable… Tu n’as plus 15 ans…

Pour être raisonnable, sa mère l’avait été mais en toute logique et proportion avec la faute commise. Je dus avouer à mon mari que ma belle-mère y avait été un peu fort, ce qui m’avait marqué les fesses et les cuisses. Mais il était à l’autre bout de la France et ne pouvait trop s’imaginer l’intensité des claques et coups que j’avais subis, peut-être même croyait-il que sa mère y avait été symboliquement par-dessus ma jupe sans même me déculotter.

Une autre chose que j’appris ce jour-là, c’est que durant cette année scolaire à venir à Ste-Marie, j’allais être livrée à moi-même ne pouvant compter sur le soutien de personne d’autre ; et cela autant pour les cours que pour le reste dont faisait partie la discipline.

Cet interlude téléphonique avec mon mari puis les enfants me redonna heureusement du courage pour la fin de cette journée mais me laissa également songeuse quant à mon avenir d’élève à Ste-Marie. Je m’y étais inscrite en toute connaissance de cause certes, mais j’étais loin de penser que ma vie basculerait aussi radicalement. Si j’avais assimilé que les sanctions pouvaient être de mise, jamais je n’aurais pensé que leur intensité serait aussi sévères ni que ma belle-mère prendrait autant son rôle au sérieux.

Ce soir-là, seule, m’apitoyant sur l’état encore brûlant de mes fesses, je me suis longuement interrogée sur la nécessité de poursuivre l’effort commencé depuis deux jours à l’école. Je pouvais encore tout abandonner mais ce constat d’échec serait quelque chose de peut-être pire que d’avoir été fessée par ma belle-mère devant ma camarade Magali ; qu’en penseraient mon mari, mes enfants…


Après tout, le bac c’est pour toujours que je l’obtiendrais alors que les fessées, c’est comme leurs traces, elles ne durent qu’un instant sur l’échelle de la vie. Quelque chose en moi s’était peut-être cassé mais je perçus rapidement que j’avais plutôt basculé dans une ère nouvelle en devenant élève à Ste-Marie. Je pris la résolution de continuer l’expérience en femme que j’étais. 

Pour suivre le fil de ce récit

Lire ou relire le premier épisode : introduction
et l'épisode précédent : chapitre 12
La suite, c'est le chapitre 14

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2 commentaires:

  1. Que cela va être dur d'attendre jeudi prochain

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    1. Et pourtant c'est là le principe de tout feuilleton hebdomadaire que de publier un épisode chaque semaine...
      Votre patience sera récompensée!
      Jeancla

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