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mercredi 24 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 51

« Allez, on va se coucher ! »
Marlène devait sortir du cocon que Judith avait tissé autour d’elle avec ses bras et ses caresses. Ce n’était pas agréable, mais Judith avait décidé. Il fallait obéir. Judith la prit par la main et elle la suivit jusque dans la chambre.
C’est Judith qui la déshabilla. Elle se fit gronder à propos du soutien-gorge qu’elle portait.
« Ce n’est pas du tout adapté à une petite fille. Je vais changer tout cela. »

samedi 20 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 50

Il était vingt heures dix. Madame Caroni fulminait.
« Les petits chameaux ! Ils vont me le payer ! »
Ni Véronique, ni Paul ne s’étaient présentés chez Madame Caroni pour y recevoir leur fessée, comme Madame Caroni le leur avait ordonné la veille. La première impulsion de Madame Caroni fut d’aller les chercher.
« Non, se dit-elle, leur punition doit être bien plus spectaculaire. Elle doit leur apprendre qu’on ne peut pas désobéir de la sorte. »
Elle réfléchit quelques minutes, puis elle décrocha son téléphone.

samedi 13 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 49

Arthur se tenait debout devant sa compagne. Lorsqu’elle l’avait autorisé à sortir du coin, il avait reçu l’ordre de venir se placer face à Bernadette. Il n’avait aucune tentative pour couvrir sa nudité. Bernadette n'avait pas donné son accord. Son tee-shirt et son sweat tombaient sur sa taille, mais ils ne couvraient que l’extrémité supérieure des fesses, laissant à l’air libre la plus grosse partie du postérieur d’Arthur et surtout son sexe qui pendait entre ses jambes.

samedi 6 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 48

Un calme certain régnait chez Madame Caroni. Ludovic avait été renvoyé chez lui après avoir eu l’autorisation de se reculotter. Sa faute devait être bégnine pour être resté aussi peu longtemps au coin. Les deux filles y attendaient le bon vouloir de leur tutrice et ce n’était pas l’arrivée de Lorena qui avait changé quoi que ce soit à leur punition.
Elles espéraient que Madame Caroni en avait fini avec leurs fesses pour ce soir. A chaque jour suffisait sa peine. La fessée de demain serait sans doute aussi rigoureuse que celle d’aujourd’hui, mais elle attendrait demain, ce qui était une relative bonne nouvelle.
« On va rester au coin, sans doute jusqu’au dîner. »
Oui, c’était assez probable.

samedi 27 février 2021

Madame Caroni - chapitre 47

Marlène n’était pas au coin depuis très longtemps, mais elle commençait à se demander combien de temps devrait-elle y demeurer. Elle avait bien compris qu’en aucun cas elle ne devait s’y manifester d’aucune manière, ni par des bruits, ni par des mouvements. Elle fut pourtant tentée quand elle entendit une personne entrer dans l’appartement. Le nouvel arrivant ne pouvait manquer de l’apercevoir, seulement son dos et ses fesses nues, ce qui était une maigre consolation.
Marlène resta finalement sans bouger. La voix de Caroline interpellant la personne entrante avait laissé cette tentation à l’état d’intention.
« Tu tombes bien, je commençais à penser que tu étais en retard. »

mercredi 7 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 18

 Le temps au coin s’éternisait. S’il en jugeait par les bruits qu’il entendait, Annette travaillait sur la table de la salle à manger. Elle avait ainsi, du moins Philippe le croyait-il, une vue en permanence sur ses fesses. Pas question de bouger. Il savait comment cela aurait fini.

Annette s’était installée sur la table de la salle à manger, la pièce où elle avait mis Philippe au coin. Elle l’avait ainsi dans son champ de vision, même quand elle écrivait. Durant un bon quart d’heure, Philippe ne bougea par d’un poil. Annette était satisfaite de son obéissance. Il mettait beaucoup de bonne volonté pour montrer sa soumission aux ordres de sa baby-sitter.

Chroniques de confinement - chapitre 17

 Philippe était de retour au coin. Ses épaules étaient encore soulevées de temps en temps par un sanglot silencieux. Sous peine d’une nouvelle fessée, c’était Mademoiselle Annette qui avait exigé qu’il fasse silence, comme il était de bon aloi quand on était au coin.

Que ce soit pour retourner en pénitence ou pour étouffer ses sanglots, Philippe n’avait pas tergiversé. Il n’y avait plus le moindre doute, dans son esprit, que sa baby-sitter avait toute autorité pour décider quel devait être son comportement durant la fin de sa punition. Il n’y avait rien dans cette situation qui l’étonnait. Finir au coin après une fessée et s’y faire oublier étaient des préceptes banals chez sa belle-mère. Il en comprenait l’utilité.

mercredi 30 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 16

 Philippe était de retour au coin. Ses épaules étaient encore soulevées de temps en temps par un sanglot silencieux. Sous peine d’une nouvelle fessée, c’était Mademoiselle Annette qui avait exigé qu’il fasse silence, comme il était de bon aloi quand on était au coin.

Que ce soit pour retourner en pénitence ou pour étouffer ses sanglots, Philippe n’avait pas tergiversé. Il n’y avait plus le moindre doute, dans son esprit, que sa baby-sitter avait toute autorité pour décider quel devait être son comportement durant la fin de sa punition. Il n’y avait rien dans cette situation qui l’étonnait. Finir au coin après une fessée et s’y faire oublier étaient des préceptes banals chez sa belle-mère. Il en comprenait l’utilité il en reconnaissait la pertinence.

mercredi 16 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 15

Mademoiselle Annette s’était assise sur le lit où elle attendait Philippe. Il n’y avait pas un long chemin à parcourir, mais il lui sembla trop court. Philippe avait les yeux fixés sur la règle que sa baby-sitter avait posée à côté d’elle. si elle était là, c’était pour servir, Philippe en était bien conscient et cela renforçait considérablement la sévérité des quelques minutes à venir.

« Allons, dépêche-toi ! Tu sais bien que tu l’as méritée ! »

mercredi 9 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 14

 Mademoiselle Annette reprit la fessée en y mettant toute sa force. Elle voulait que cette correction restât à l’esprit de Philippe, comme la quintessence de ce qui lui arriverait s’il lui prenait l’envie de lui désobéir de nouveau. Il avait besoin de cette leçon. Les actes commis avaient des conséquences, il fallait que Philippe l’apprît. Pour cela la punition devait être mémorable.

Annette était vraiment furieuse, au-delà de ce qu’avait provoqué la désobéissance. Elle concevait qu’un garçon dont elle avait la responsabilité, même s’il était aussi âgé que Philippe, désobéît. Là n’était pas le nœud de ce qui l’avait mis autant en colère. Non, c’est parce qu’il n’acceptait pas qu’une jeune fille le déculottât et le fessât qu’elle s’était mise en rogne. Il avait très vite accepté l’autorité des femmes qui avaient l’âge d’être sa mère, mais pas celle d’Annette. Elle savait qu’il la considérait comme trop immature pour avoir barre sur lui.

mercredi 2 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 13

 Philippe s’était bien gardé d’aller voir ce qui se passait. Il avait entendu le bruit des claques sur la peau nue et les cris d’Aurélie. Il était partagé entre l’incrédibilité face à une situation qui lui semblait irréaliste et l’angoisse de voir se concrétiser sous ses yeux la pire des réalités qu’il aurait pu imaginer.

Il ne lui avait pas été facile de se faire déculotter et fesser par sa belle-mère ou par Madame Bernadette. Mais, cela était arrivé de façon si naturelle qu’il ne trouvait toujours pas matière à s’en indigner quand il était placé face à une correction imminente. Il avait accepté cette tutelle assez facilement, ce qui, en prenant un peu de recul, ne cessait de l’étonner. L’une comme l’autre représentait une autorité maternelle incontestable qui exerçait, pour son bien, leur droit de punition en réaction à son comportement. Il avait dû convenir qu’il y avait, de ce côté-là, matière à faire.

mercredi 26 août 2020

Chroniques de confinement - chapitre 12

 Les nouvelles du lundi scellèrent le sort d’Aurélie et de Philippe. Ils apprirent tous deux leur mise au chômage partiel et la diminution de leurs revenus qui allaient avec.

« Comment allons-nous payer notre loyer et subvenir à nos besoins, se dirent-ils ? »

Maman Marianne avait la solution.

« Pas d’inquiétude ! Vous n’aurez pas de dépense à faire tant que vous vivrez ici. J’ai suffisamment de revenu pour subvenir à vos besoin. Il reste votre appartement à Paris. Cela, par contre, demande réflexion. »

vendredi 21 août 2020

La nouvelle baby-sitter

 Et tu me disais que tu ne comprenais pas pourquoi ta Maman éprouve le besoin d'embaucher une baby-sitter pour te garder lorsqu'elle s'absente le soir ? Que c'était de l'argent gâché, qu'à vingt-quatre ans tu étais bien capable de rester seul une après-midi et une soirée.

J'ai bien vu ton étonnement quand tu as constaté que c'était moi qui étais chargée de cette tâche. Tu as protesté, jugeant que je ne pouvais accomplir ce travail correctement vu que j'avais le même âge que toi que nous avons été au lycée dans la même classe et que j'habite tout à côté.

samedi 11 juillet 2020

Fini la liberté - chapitre 9

Après avoir couché ses fils, Mrs Stewart est de retour dans le salon munie d’une badine.  Un instrument que Jérôme connait bien puisque que Tante Martine en possède une également. Elle la fait siffler une première fois dans l’air en demandant à Jérôme de se mettre en position : couché sur le ventre en appuis sur ses avant-bras, les fesses bien relevées.

vendredi 30 août 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 6

Depuis qu'il est placé sous la responsabilité de Léa, Julien est condamné à porter des couches culotte 24 heures sur 24. Elle le laisse toute la journée avec comme seul vêtement sa couche-culotte.
Après sa dure journée lors de la visite de Clémence, l'amie de sa baby-sitter, ses journées sont un peu plus calmes, même s’il doit faire beaucoup de ménage pendant que Léa se prélasse dans le canapé.

vendredi 23 août 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 5

La semaine s'est montrée beaucoup moins agitée pour Julien. Il a fait beaucoup d'efforts pour éviter d'être puni en réalisant parfaitement ses corvées et le travail scolaire que sa mère lui a concocté. Il n'a subi que quelques petites fessées quotidiennes pour des broutilles.
A l'arrivée de sa baby-sitter, en ce samedi matin, il est déjà tout propre. Sa maman lui a donné sa douche et l'a habillé. Madame Lafitte donne ses consignes à Léa et lui rappelle qu'elle est bien entendue autorisée à punir Julien si besoin.

lundi 29 juillet 2019

Une baby-sitter pour deux

Je sais que nous avons le même âge, nous avons été à l'école ensemble. Déjà à cette époque tu étais une petite peste arrogante. Je n'ai pas oublié. D'avoir vingt-cinq ans n'a rien arrangé. Tu crois toujours que tout t'est dû et que tu peux faire impunément ce que tu veux. J'avais pensé qu'en grandissant tu deviendrait plus raisonnable, mais il n'en est rien.
Bien sûr que je ne suis pas ta baby-sitter ! A ton âge, en principe, on n'en a plus besoin ! Si je suis là c'est pour m'occuper de ta petite sœur qui essaye de dormir dans la chambre à côté.
C'est d'ailleurs significatif que tu refuses de t'occuper d'elle et que ta Maman soit contrainte de m'embaucher, moi, pour faire un travail que tu pourrais faire. Il parait que tu n'as pas le temps de t'occuper des gamineries de ta sœur. A huit ans, c'est pourtant une petite fille adorable. Il serait normal que ce soit toi qui garde ta sœur quand ta maman doit s'absenter, mais j'ai l'impression que tu n'es pas assez responsable pour le faire et que ta Maman s'en est rendue compte.

lundi 8 juillet 2019

Un coucher bien difficile

Vois-tu, ma chérie, quand ta Maman m'a demandé de te garder, elle a été très ferme sur ce point. Tu dois être au lit à vingt-et-une heures. Elle m'a aussi prévenu que tu prétends qu'à vingt-six ans, c'est une heure trop précoce pour qu'une jeune fille de ton âge aille se coucher.
Ce n'est que la première fois que ta Maman m'engage comme baby-sitter. C'est l'annonce qu'elle a mise dans le hall qui m'a donné l'idée de proposer mes services. Comme j'habite deux étages au-dessus, je me suis dit que ce serait pratique, pour elle comme pour moi. L'annonce précisait qu'il s'agissait d'une jeune fille, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit une aussi grande demoiselle dont je doive m'occuper.

lundi 27 mai 2019

Une baby-sitter compétente

Bien que ma sœur m'ait expliqué comment tu te comportais, j'avais un doute sur la nécessité d'une baby-sitter pour un grand garçon de vingt-cinq ans alors qu'elle ne se sera absente que quatre jours.
Quand elle m'a demandé de venir te garder pendant son absence, je lui ai tout d'abord demandé si c'était vraiment utile. J'ai accédé à sa demande sans avoir été totalement convaincue et je dois avouer qu'elle avait fichtrement raison. Je m'en rends bien compte à présent.

lundi 8 avril 2019

Une baby-sitter consciencieuse

Je suis désolé, mon garçon, mais ta Maman a été très claire sur ce point. Je dois te mettre au lit à vingt-et-une heures au plus tard. Il était vingt heures trente quand je t'ai dit qu'il était temps de te préparer. Tu avais largement le temps de prendre ta douche et de te mettre en pyjama. Vingt minutes plus tard, tu n'as pas commencé. Je suis très déçue de ta désobéissance.
Comment ça, tu es trop grand pour m'obéir ? Ne crois-tu pas que si c'était le cas, ta maman n'aurait pas besoin de faire appel à une baby-sitter pour te garder quand elle doit sortir le soir ? Quel âge as-tu ? Vingt ans ? Il est vrai que ce n'est pas habituel qu'à ton âge ou doive encore engager quelqu'un pour te surveiller.