Afin d'éradiquer leurs désobéissances, négligences et comportements irresponsables, certains garçons et filles, surtout quand ils sont devenus grands, ont besoin de recevoir une sérieuse fessée déculottée. On n'est jamais trop âgé pour recevoir une bonne fessée quand elle est méritée et en tirer bénéfice. JLG
mercredi 24 mars 2021
Madame Caroni - chapitre 51
samedi 20 mars 2021
Madame Caroni - chapitre 50
samedi 13 mars 2021
Madame Caroni - chapitre 49
samedi 6 mars 2021
Madame Caroni - chapitre 48
samedi 27 février 2021
Madame Caroni - chapitre 47
mercredi 7 octobre 2020
Chroniques de confinement - chapitre 18
Le temps au coin s’éternisait. S’il en jugeait par les bruits qu’il entendait, Annette travaillait sur la table de la salle à manger. Elle avait ainsi, du moins Philippe le croyait-il, une vue en permanence sur ses fesses. Pas question de bouger. Il savait comment cela aurait fini.
Annette s’était installée sur la table de la salle à manger, la pièce où elle avait mis Philippe au coin. Elle l’avait ainsi dans son champ de vision, même quand elle écrivait. Durant un bon quart d’heure, Philippe ne bougea par d’un poil. Annette était satisfaite de son obéissance. Il mettait beaucoup de bonne volonté pour montrer sa soumission aux ordres de sa baby-sitter.
Chroniques de confinement - chapitre 17
Philippe était de retour au coin. Ses épaules étaient encore soulevées de temps en temps par un sanglot silencieux. Sous peine d’une nouvelle fessée, c’était Mademoiselle Annette qui avait exigé qu’il fasse silence, comme il était de bon aloi quand on était au coin.
Que ce soit pour retourner en pénitence ou pour étouffer ses sanglots, Philippe n’avait pas tergiversé. Il n’y avait plus le moindre doute, dans son esprit, que sa baby-sitter avait toute autorité pour décider quel devait être son comportement durant la fin de sa punition. Il n’y avait rien dans cette situation qui l’étonnait. Finir au coin après une fessée et s’y faire oublier étaient des préceptes banals chez sa belle-mère. Il en comprenait l’utilité.
mercredi 30 septembre 2020
Chroniques de confinement - chapitre 16
Philippe était de retour au coin. Ses épaules étaient encore soulevées de temps en temps par un sanglot silencieux. Sous peine d’une nouvelle fessée, c’était Mademoiselle Annette qui avait exigé qu’il fasse silence, comme il était de bon aloi quand on était au coin.
Que ce soit pour retourner en pénitence ou pour étouffer ses sanglots, Philippe n’avait pas tergiversé. Il n’y avait plus le moindre doute, dans son esprit, que sa baby-sitter avait toute autorité pour décider quel devait être son comportement durant la fin de sa punition. Il n’y avait rien dans cette situation qui l’étonnait. Finir au coin après une fessée et s’y faire oublier étaient des préceptes banals chez sa belle-mère. Il en comprenait l’utilité il en reconnaissait la pertinence.
mercredi 16 septembre 2020
Chroniques de confinement - chapitre 15
Mademoiselle Annette s’était assise sur le lit où elle attendait Philippe. Il n’y avait pas un long chemin à parcourir, mais il lui sembla trop court. Philippe avait les yeux fixés sur la règle que sa baby-sitter avait posée à côté d’elle. si elle était là, c’était pour servir, Philippe en était bien conscient et cela renforçait considérablement la sévérité des quelques minutes à venir.
« Allons, dépêche-toi ! Tu sais bien que tu l’as méritée ! »
mercredi 9 septembre 2020
Chroniques de confinement - chapitre 14
Mademoiselle Annette reprit la fessée en y mettant toute sa force. Elle voulait que cette correction restât à l’esprit de Philippe, comme la quintessence de ce qui lui arriverait s’il lui prenait l’envie de lui désobéir de nouveau. Il avait besoin de cette leçon. Les actes commis avaient des conséquences, il fallait que Philippe l’apprît. Pour cela la punition devait être mémorable.
Annette était vraiment furieuse, au-delà de ce qu’avait provoqué la désobéissance. Elle concevait qu’un garçon dont elle avait la responsabilité, même s’il était aussi âgé que Philippe, désobéît. Là n’était pas le nœud de ce qui l’avait mis autant en colère. Non, c’est parce qu’il n’acceptait pas qu’une jeune fille le déculottât et le fessât qu’elle s’était mise en rogne. Il avait très vite accepté l’autorité des femmes qui avaient l’âge d’être sa mère, mais pas celle d’Annette. Elle savait qu’il la considérait comme trop immature pour avoir barre sur lui.
mercredi 2 septembre 2020
Chroniques de confinement - chapitre 13
Philippe s’était bien gardé d’aller voir ce qui se passait. Il avait entendu le bruit des claques sur la peau nue et les cris d’Aurélie. Il était partagé entre l’incrédibilité face à une situation qui lui semblait irréaliste et l’angoisse de voir se concrétiser sous ses yeux la pire des réalités qu’il aurait pu imaginer.
Il ne lui avait pas été facile de se faire déculotter et fesser par sa belle-mère ou par Madame Bernadette. Mais, cela était arrivé de façon si naturelle qu’il ne trouvait toujours pas matière à s’en indigner quand il était placé face à une correction imminente. Il avait accepté cette tutelle assez facilement, ce qui, en prenant un peu de recul, ne cessait de l’étonner. L’une comme l’autre représentait une autorité maternelle incontestable qui exerçait, pour son bien, leur droit de punition en réaction à son comportement. Il avait dû convenir qu’il y avait, de ce côté-là, matière à faire.
mercredi 26 août 2020
Chroniques de confinement - chapitre 12
Les nouvelles du lundi scellèrent le sort d’Aurélie et de Philippe. Ils apprirent tous deux leur mise au chômage partiel et la diminution de leurs revenus qui allaient avec.
« Comment
allons-nous payer notre loyer et subvenir à nos besoins, se
dirent-ils ? »
Maman
Marianne avait la solution.
« Pas d’inquiétude ! Vous n’aurez pas de dépense à faire tant que vous vivrez ici. J’ai suffisamment de revenu pour subvenir à vos besoin. Il reste votre appartement à Paris. Cela, par contre, demande réflexion. »
vendredi 21 août 2020
La nouvelle baby-sitter
Et tu me disais que tu ne comprenais pas pourquoi ta Maman éprouve le besoin d'embaucher une baby-sitter pour te garder lorsqu'elle s'absente le soir ? Que c'était de l'argent gâché, qu'à vingt-quatre ans tu étais bien capable de rester seul une après-midi et une soirée.
J'ai bien vu ton étonnement quand tu as constaté que c'était moi qui étais chargée de cette tâche. Tu as protesté, jugeant que je ne pouvais accomplir ce travail correctement vu que j'avais le même âge que toi que nous avons été au lycée dans la même classe et que j'habite tout à côté.
samedi 11 juillet 2020
Fini la liberté - chapitre 9
vendredi 30 août 2019
Un difficile retour à la maison - chapitre 6
vendredi 23 août 2019
Un difficile retour à la maison - chapitre 5
lundi 29 juillet 2019
Une baby-sitter pour deux
lundi 8 juillet 2019
Un coucher bien difficile
lundi 27 mai 2019
Une baby-sitter compétente
Quand elle m'a demandé de venir te garder pendant son absence, je lui ai tout d'abord demandé si c'était vraiment utile. J'ai accédé à sa demande sans avoir été totalement convaincue et je dois avouer qu'elle avait fichtrement raison. Je m'en rends bien compte à présent.