Une baby-sitter compétente

Bien que ma sœur m'ait expliqué comment tu te comportais, j'avais un doute sur la nécessité d'une baby-sitter pour un grand garçon de vingt-cinq ans alors qu'elle ne se sera absente que quatre jours.
Quand elle m'a demandé de venir te garder pendant son absence, je lui ai tout d'abord demandé si c'était vraiment utile. J'ai accédé à sa demande sans avoir été totalement convaincue et je dois avouer qu'elle avait fichtrement raison. Je m'en rends bien compte à présent.

Depuis hier soir que je m'occupe de toi, j'ai sans doute eu tort de te considérer comme un adulte, d'agir comme si tu étais capable de te comporter comme un grand garçon responsable. Je t'ai sans doute un peu trop laissé la bride sur le cou. Apparemment, le laxisme n'est pas la bonne méthode avec toi.
Tu as essayé de profiter de ma gentillesse, en prenant des libertés avec les règles de vie que ma sœur avait instaurées. Jusqu'à quelle heure es-tu resté à pianoter sur ton téléphone hier soir ? J'ai eu la confirmation par ma sœur que cela t'était interdit, contrairement à ce que tu as prétendu. Tu peux être sûr que cela ne se reproduira pas. Ton téléphone sera confisqué chaque soir.
Tu n'as pas tardé à reprendre ce que ma sœur appelle tes détestables habitudes. As-tu fait ton lit ce matin ? Pour avoir une chambre présentable, j'ai dû m'en occuper. Combien de temps as-tu consacré à ta toilette ? Certainement pas assez pour avoir pris une douche. Et que font ces chaussures dans le milieu de ta chambre ? As-tu oublié qu'il y avait un placard dans l'entrée où on range ses chaussures et qu'on circule dans la maison en chausson ?
Et peux-tu m'expliquer comment se fait-il que j'ai reçu un coup de fil de ta professeure, me signalant qu'elle ne t'avaient pas vu en cours aujourd'hui ? J'ai pourtant eu l'impression que c'était là que tu te rendais quand tu es parti de la maison ce matin.
Cela fait beaucoup pour une seule journée, ne trouves-tu pas ? Je n'ai pas l'intention de laisser les choses déraper pendant que ma sœur est absente. Il est temps que je reprenne les choses en mains.

Ma sœur m'a informée de la façon dont elle te maintient dans le droit chemin. Elle m'a chaudement recommandé d'utiliser la même méthode. Quand elle m'en a parlé, d'abord je ne l'ai pas crue, mais il faut que je me rende à l'évidence. Si tu n'es pas fermement cadré, tu te crois tout permis. Tu vas vite comprendre qu'avec moi, les désobéissances n'ont pas cours.
Comme tu as pu l'expérimenter avec ma sœur, rien de tel qu'une bonne fessée déculottée pour expliquer aux grands garçons récalcitrants qu'ils ont intérêt à être sages et obéissants. Avec des fesses bien cuisantes, tu vas avoir bien plus envie de m'obéir !

Tu vas comprendre bien vite que je suis tout aussi exigeante que peut l'être ma sœur, peut-être un peu plus. C'en est terminé de tes désobéissances. Quand j'en aurai fini avec tes fesses, tu vas aller au coin. Je crois que tu sais ce que ça veut dire et comment il faut s'y tenir. Tu vas y rester jusqu'à l'heure du dîner. Nous verrons si à ce moment-là tu as pris de meilleures résolutions.
Puis nous aurons une discussion à propos de cette absence en cours aujourd'hui. Non seulement tu n'y as pas mis les pieds, mais en plus, quand je t'ai interrogé sur ta journée, quand tu es rentré, tu as eu le culot de me dire que tout s'était bien passé.
Je pense que pour ce mensonge éhonté tes fesses vont faire connaissance avec le dos de ma brosse. Je vais t'ôter l'envie de me raconter des histoires pour un bon moment. Tu vas apprendre que les petits menteurs, avec moi, ne sont pas à la fête.
Bien sûr, je vais nettoyer cette bouche pleine d'affabulation avec du savon. Tu n'auras la possibilité de la rincer que demain matin. Une nuit avec les fesses douloureuses et le goût du savon dans la bouche te feront réfléchir la prochaine fois que tu envisageras de me mentir.
J'ai autorisé ta professeure à te déculotter et à te fesser, dès demain, devant toute la classe. Faire l'école buissonnière n'est pas une option tant que tu logeras ici. Je suis certaine que ma sœur approuvera mes décisions. Avec cette fessée déculottée devant tous tes petits et tes petites camarades, je pense que plus d'un réfléchira avant de t'imiter.

Puisque que tu n'es pas capable de le faire toi-même, je vais te donner moi-même une douche avant de te mettre au lit, en remplacement de celle que tu n'as pas prise ce matin. Tu peux compter sur moi pour que tu en sortes totalement propre, y compris les petits coins que tu semblent souvent oublier.
Sens-tu cette odeur très désagréable qui provient de ton entrejambe ? Tu ne vas pas me faire croire que l'oubli de la douche de ce matin suffit à provoquer une telle pestilence. Quand je m'en serai occupé, tu sentiras la différence. Je vais avertir ma sœur que tes passages dans dans la salle de bain, aussi longs qu'ils soient, sont loin d'avoir l'efficacité nécessaire et qu'il faudra, désormais, t'assister de plus près dans ta toilette.

Tu devrais avoir honte, à ton âge, d'avoir encore besoin de quelqu'un pour te laver et pour te donner la fessée. Ne te méprends pas sur ce que je dis, Cela fait partie de mon travail de baby-sitter et je vais l'accomplir sans hésitation.

Il y a eu un premier épisode à cette histoire

Ce n'est pas la première fois qu'une dame est contrainte de donner une bonne fessée à ce jeune homme. Retrouvez la première fois racontée dans un précédent épisode

Grand merci à Franco !

Chez Franco, les jeunes gens ont intérêt à bien se tenir. Ces dames d'âge mûr ont la main leste.

Heureusement, on trouve encore des baby-sitters compétentes

             

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