Et la troisième ? Elle aussi !

Je te remercie pour ton grand discours sur les droits de l'Homme. C'était très bien, magnifique, dit avec beaucoup d'éloquence... et un peu d'arrogance, peut-être ?
Vois-tu, c'est le problème avec les jeunes filles comme toi. Il suffit qu'elles passent quelques mois à l'université pour croire qu'elles détiennent la vérité et qu'elles vont l'expliquer à tout le monde, y compris les grandes personnes qui les entourent. Cela mène vite au mépris pour les autres. Je crois que tu y es.
Vois-tu, les fessées que j'ai données hier et aujourd'hui à ma fille et à ton amie, n'ont rien à voir avec un l'abus d'autorité. C'est là où tu te trompes. Au contraire, c'est un grand service que je leur ai rendu. Elles ont cru que leurs vingt-trois ans leur donnait tous les droits et qu'elles pouvaient décider toute seule de ce qu'elles avaient le droit de faire et de ce qu'elles pouvaient imposer aux autres. Il était temps que je m'en occupe !

Dans tous les droits que tu as exposés, tu en a oublié deux. le premier, c'est le droit de recevoir la fessée quand on en a besoin. C'est très important ! Et le deuxième, c'est le droit pour les grandes personnes de donner une fessées aux enfants qui l'ont méritée, particulièrement aux plus grands et aux plus grandes qui se croient exempts de toute obligation vis à vis des autres.

Examinons ce qui s'est passé ce matin.  As-tu débarrassé la table du petit-déjeuner ? Je t'ai pourtant expliqué que, selon les nouvelles règles que je vous ai imposée ce matin, c'était à toit de le faire. As-tu rangé ta chambre, comme je te l'ai demandé ? Comment se fait-il que tu te sois mêlée de ce qui ne te regardait pas quand j'ai donné la fessée à ta copine ?

Et ensuite, tu prétends me faire la leçon sur ce que j'ai le droit ou non de faire ! Depuis quand une demoiselle de vingt-quatre ans peut-elle se permettre autant d'insolence ? Tes parents ne t'ont-ils pas le respect que tu dois aux grandes personnes ?

Je suis certaine que tu vas l'apprendre rapidement. Vois-tu j'ai été chercher ma brosse. Elle est prête à expliquer à tes fesses comment il convient de se comporter pour une petite fille. J'espère que tes fesses le sont aussi.

Une bonne fessée, c'est ce qu'il te faut. Elle te sera très utile comme elle l'a été pour ma fille et ton amie. Je te conseille de me laisser te corriger. Si je dois t'y contraindre, tu en seras punie.
Commençons par te baisser la culotte. Tu as besoin de comprendre que tu n'es qu'une petite fille qui a trop vite grandi, sans savoir qu'elle est sa place. Une matinée sans culotte va t'aider à comprendre qu'il ne faut pas se prendre pour une grande personne avant de savoir en assumer les responsabilités.

Bon, voilà, une bonne chose de faite, n'est-ce pas ? Je crois que cette fessée va te permettre de changer de comportement. Tu as bien compris que je n'hésiterai pas à recommencer aussi souvent que ce sera nécessaire.
De toute façon, tu en auras une autre en début d'après-midi. Je n'ai pas du tout apprécié de devoir te coucher sur mes genoux de force et que tu aies refusé que je te déculotte. C'était pourtant absolument nécessaire. Je t'avais prévenue, au cas où tu résisterais, que tu aurais une autre fessée. Je te l'avais promise, tu dois donc l'avoir.
il a fallu que je t'enlève la jupe et que je t’ôte complètement la culotte. Tu m'y as obligée. Tu vas donc rester toute la journée les fesses à l'air. Avec ton attitude, c'est toi qui l'a choisi.

File donc au coin ! C'est là que tu vas passer une bonne partie de la matinée, juste à côté de ton amie. J'espère que je ne vais plus entendre parler de toi pendant tout ce temps. Je laisse la brosse à portée de main. Si nécessaire, elle pourrait resservir.
Enlève tes mains de tes fesses ! Je tiens à ce que tu ressentes les effets de la fessée la plus longtemps possible. Pas question de chercher à les faire disparaître.

Tu auras le temps de réfléchir à la façon dont tu viendras me demander pardon. J'espère que ce sera sincère. Autrement, tes fesses pourraient t'en cuire !

Pour tout comprendre, il faut lire les épisodes précédents

     

Grand merci à Roger Benson !

Ce qui est pratique, avec Roger Benson, c'est qu'il y a une certaine constance dans ses dessins. Il est donc possible de raconter une histoire avec une certaine continuité.

Quand l'insolence est punie

             

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