A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée
d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il
convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de
magasin du supermarché local, a emboité le pas, l’usage de la fessée se répand
comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que
des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins
adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien
entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une
adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient
un spectacle commun.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont
retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et
celui de leur entourage.
Clara descendit du bus la peur au
ventre. Comment allait se passer sa confrontation avec sa belle-mère ?
Depuis qu’elle la connaissait, elle avait toujours été très impressionnée par
cette femme formidable. Une véritable tornade quand elle s’y mettait.
Madame Gorevski avait tout réussi
dans la vie. Le décès prématuré de son mari l’avait obligée à prendre la
direction de la petite entreprise d’import-export dans le bois. Elle en avait
fait, dix ans plus tard, un fleuron du secteur qui s’était spécialisé dans le
bois de luxe. Elle n’avait pas accumulé une fortune dépassant l’entendement,
mais les revenus de son activité la mettaient à l’abri de tout besoin jusqu’à
la fin de sa vie.
Cela ne s’était pas fait tout
seul. Elle avait la réputation, justifiée si on en croyait les bruits qui
circulaient, d’être intraitable en affaire. Tous les employés de sa firme
craignaient se jugements froids qui ne se traduisaient jamais en colère. Mais
c’était pire. Madame Gorevski ne laissait jamais passer de l’à-peu-près dans le
travail. Elle exigeait un investissement sans faille dans son travail qu’elle récompensait
sans hésitation, mais qu’elle sanctionnait sans état d’âme quand elle ne le
trouvait pas suffisant. Les employés jugés insuffisamment impliqués, se
retrouvaient sur la touche avant d’avoir pu comprendre ce qui leur arrivait.
Madame Gorevski avait géré sa
famille comme elle avait géré son entreprise. Elle exigeait une soumission
absolue à ses objectifs. Stanislav, son fils unique, y avait été soumis jusqu’à
sa majorité. Il avait fait preuve d’une autonomie étonnante en allant
travailler en dehors du giron familial. Cela n’avait pas été une réussite
fulgurante.
Stanislav occupait un poste de
commercial et il gagnait chichement sa vie. Sa mère ne cessait de le lui faire
remarquer. Quand Clara était arrivée dans sa vie, il y a presque dix ans, ça avait
été un amour passionné qui s’était joué de tous les obstacles. Madame Gorevski
n’avait ni approuvé ni désapprouvé ce choix de son fils, mais elle ne cessait
de pester contre le manque d’ambition du couple qu’ils formaient tous les
deux : lui un petit commercial et elle une vendeuse en grand surface.
Clara n’avait jamais réussi à
décrypter les relatons entre la mère et le fils. Elle savait que Stanislav
voyait sa mère régulièrement sans qu’elle en soit informée. Cela ne l’aurait
pas gênée si son mari n’en revenait pas le caractère assombri par les exigences
de sa mère. Stanislav avait plusieurs fois allusions aux méthodes radicales
qu’employait sa mère, dans son enfance, pour maintenir la discipline familiale.
Il n’était pas explicite sur celles qu’elle utilisait encore, malgré les trente
ans de son fils, pour lui faire savoir son désaccord. Clara se gardait bien de
lui demander trop d’éclaircissement. Stanislav était très attaché à sa mère,
même s’il semblait énormément craindre ses jugements.
Clara s’était toujours tenue à
distance prudente de cette femme avec laquelle elle ne pouvait rivaliser. Elle
ne sentait pas que Madame Gorevski désapprouvât le choix de son fils, non, ce
n’était pas cela. Madame Gorevski regrettait que Clara ne pousse pas son fils à
une plus grande ambition et qu’elle se contente, elle-même, de la petite
situation qu’elle avait. Quand le reproche lui en avait été fait, Clara ne
s’était pas rebellée contre cette intrusion dans sa vie privée, elle s’était
juste refermée et éloignée, réduisait au minimum les contacts avec sa terrible
belle-mère.
Clara se demandait, depuis
quelques mois, quelle serait la réaction de sa belle-mère quand celle-ci
découvrirait les difficultés financières du couple. Ils avaient acheté le petit
appartement dans lequel ils vivaient et les mensualités à rembourser
dépassaient leurs possibilités. Les dettes commençaient à s’accumuler mais
Stanislav avait toujours refusé de faire appel à sa mère.
« Tu ne te rends pas compte,
disait-il à Clara. Maman prendrait les choses en main et ce serait
terrible. »
Clara trouvait la formulation un
peu énigmatique, mais elle n’avait pas insisté. Les dettes n’en n’avaient pas
pour autant diminué.
Clara se demandait ce qu’elle
devait faire. Elle avait, dans son sac à main, le courrier de Madame André, la
responsable du magasin dans lequel elle travaillait. Comme elle en avait
l’habitude afin de s’épargner un travail monotone, elle avait prétendu avoir
fait le tri des fruits abîmés qu’il fallait ôter du rayon. En fait, elle avait
juste mis sur le dessus les pommes vendables et laissé au fond celles qu’elle
aurait dû enlever du rayon. Habituellement, sa cheffe de rayon n’y prenait pas
garde et c’était souvent une collègue qui devait se charger de ce travail
inintéressant.
Clara aurait dû se méfier. La
bruit courrait qu’une caissière avait reçu une fessée le matin même. Cela avait
amusé Clara. Elle n’aurait pas dû. Sa cheffe de rayon avait vérifié son travail
et elle avait découvert la supercherie. Saisissant Clara par le bras elle l’avait
emmenée dans le bureau de Madame André. Malgré ses protestations, Clara avait
dû suivre. Là elle avait appris avec stupeur le marché qui lui était mis dans
les mains : être licenciée sur le champ ou recevoir une fessée.
Clara ne pouvait se permettre de
perdre le maigre salaire que lui rapportait son travail. Elle avait choisi la
fessée. Alors qu’elle s’attendait à quelques claques assénées sur le fond de sa
jupe, mais Madame André avait exigé que la punition fût plus démonstrative.
Allongée en travers des genoux de sa cheffe de rayon, elle avait reçu une
sévère fessée déculottée qui l’avait laissée en larmes pendant les longues
minutes qu’elle avait passées au coin, dans le bureau de Madame André, jupe
relevée et culotte baissée. Le passage de nombreuses personnes dans le bureau
durant sa pénitence, n’avait pas justifié qu’elle retrouve une tenue plus
décente. Elle ne savait plus ni combien de personnes, ni qui avait pu la
contempler dans cette tenue.
Elle devait maintenant attendre
sa belle-mère qui s’était engagée à lui administrer une autre fessée selon le
principe : une fessée au travail, une fessée à la maison. Clara n’arrivait
pas à imaginer comment Madame Gorevski s’y prendrait ni comment elle réagirait.
Elle devait pourtant subir sa punition, faute de quoi la lettre ne serait pas
signée. Madame André avait été claire : revenir sans le courrier signé
signifiait recevoir le lendemain une fessée à chaque pause, puis une mise au
piquet.
Sa belle-mère ayant été mise au
courant, Clara ne pouvait plus reculer. Elle craignait que la fessée en
préparation n’ait rien de symbolique. Madame Gorevski faisait toujours les
choses à fond. Clara se doutait qu’elle ne ferait pas d’exception, surtout s’il
s’agissait de prendre l’ascendant sur sa belle-fille. Comment cela allait-il se
passer ?
Clara poussait la porte d’entrée
dans le hall de l’immeuble quand sa belle-mère se matérialisa derrière elle.
« Te voilà enfin ! Je
t’attendais. »
Clara sursauta. Elle n’eut pas le
temps de dire un seul mot que sa belle-mère lui prit l’oreille entre deux
doigts et le pinçon l’obligea à se courber légèrement tout en tendant le cou au
maximum pour soulager la douleur du côté de son oreille.
« Madame André m’a raconté
ton comportement au travail. C’est une honte. Je vais te faire passer l’envie
de mentir et je vais t’apprendre à être un peu plus travailleuse. »
Madame Gorevski se mit en route
et Clara dut suivre. Sa belle-mère ne lui lâcha pas l’oreille tout le temps que
l’ascenseur mit à arriver. Clara priait silencieusement pour ne croiser aucun
voisin. Comment expliquer qu’elle soit tenue par l’oreille par une femme d’âge
mûr qui la ramenait chez elle. Il ne pouvait s’agir que d’une punition,
traitement qui, en principe, n’était plus de son âge.
Sa belle-mère ne libéra son oreille
que pour lui donner une vigoureuse claque sur les fesses pour la faire entrer
dans l’ascenseur. Clara était soulagée. La fessée était inévitable, mais encore
quelques pas et elle se déroulerait sans qu’elle ait eu à croiser le regard
stupéfait de quelques voisins.
« Donne-moi ta
clé ! »
Ce n’était pas le moment de négocier.
Clara fouilla dans son sac et remit la clé dans la main tendue. Madame Gorevski
lui prit de nouveau l’oreille pour sortir de l’ascenseur et elle dut attendre
dans cette position que la porte de son appartement soit ouverte.
Sans dire un mot, sa belle-mère
lui ôta son manteau.
« Enlève tes
chaussures ! »
Madame Gorevski la prit par la
main et elle l’emmena jusqu’au canapé sur lequel elle s’assit. Elle glissa
alors ses mains sous la jupe de sa belle-fille. Clara recula. Elle n’avait pas
réfléchi, mais le contact des mains de sa belle-mère contre ses cuisses nues
avait provoqué cette réaction instinctive.
« Viens-ici tout de
suite ! Tu vas me laisser te déculotter. Dérobe-toi encore une fois et je
te promets que tu vas le regretter.
– Mais, … mais … »
Clara cherchait un argument pour
expliquer sa stupeur mais elle ne trouvait pas les mots.
« Mais quoi ? Quand je
te donnerai la fessée, je te déculotterai. Cela t’aidera à te sentir punie
comme une vilaine petite fille. Je ne te demanderai pas ton avis et tu ne feras
rien pour l’éviter. Ne rajoute pas une désobéissance à tout ce que tu as fait
aujourd’hui. »
Madame Gorevski attrapa la main
de Clara et elle la remit à sa place, debout entre ses jambes. Clara ferma les
yeux pendant que les mains de sa belle-mère fouillaient sous sa jupe pour
trouver l’élastique de sa culotte. C’était la première fois qu’elle avait un
contact aussi intime avec Madame Gorevski. Jusqu’à maintenant, elles avaient
maintenu une distance physique entre elles, à peine si elles se touchaient la
main. Il était impensable, jusqu’à maintenant, d’imaginer les mains de sa
belle-mère sur sa lingerie et encore moins touchant ses cuisses et ses fesses.
Clara le vivait comme une intrusion dans son intimité et c’en était bien une.
Madame Gorevski ne semblait pas
s’en émouvoir, tout à son rôle. Il s’agissait de punir sa belle-fille d’une
bonne fessée. Cela nécessitait de lui baisser la culotte. Il n’était pas
nécessaire d’en faire une affaire. C’était nécessaire, peu importait la pudeur
de sa belle-fille. Elle réagissait avec son pragmatisme habituel.
Elle trouva l’élastique de la
culotte. Ses deux mains firent glisser le sous-vêtement le long des cuisses. La
culotte, tendue entre les deux genoux, apparaissait juste sous l’ourlet de la
jupe. Madame Gorevski guida Clara en la tenant par le bras, pour la placer à sa
droite. Elle n’eut alors qu’à tirer un peu sur le bras de sa belle-fille pour
que celle-ci s’allonge à plat-ventre sur ses genoux. Elle lui releva la jupe,
bien haut au-dessus des reins, exposant les fesses nues.
« Enfin, se dit-elle, je
vais pouvoir sévir. Cela fait tellement longtemps que Clara a besoin d’une main
ferme pour lui mettre du plomb dans la tête. Que je suis bête d’avoir attendu
tant de temps. Il y a du retard à rattraper. »
Sa main claqua une première fois
sur les fesses de Clara qui réagit par un cri.
« Bien, pensa Madame
Gorevski, exactement ce qu’il faut ! »
Elle enchaîna une succession de
fortes claques sur l’un des côtés des fesses de sa belle-fille, puis elle
entreprit d’équilibrer sur l’autre côté. Elle recommença en appuyant encore un
peu plus ses coups. Il était important que Clara comprenne, dès la première
fois, que venir faire un tour à plat-ventre sur les genoux de sa belle-mère ne
serait jamais une partie de plaisir et pas seulement parce que, préalablement,
on y avait eu la culotte baissée.
« Aïe, … ah … pardon aïe, …
aïe … je ne le ferai plus, aïe, … pardon aïe, … »
Pour Clara, l’humiliation d’avoir
été déculottée par sa belle-mère passait maintenant au second plan. Elle aurait
promis n’importe quoi pourvu que la fessée cessât. Mais Madame Gorevski ne
tentait pas de lui arracher une quelconque promesse. Elle était punie pour
avoir bâclé son travail. C’était le genre de désinvolture que sa belle-mère
n’admettrait jamais. Clara devait l’apprendre avec des fesses brûlantes. La
punition irait donc à son terme.
Quand sa belle-fille commença à
sangloter, Madame Gorevski sut qu’elle avait fait le bon choix. La leçon serait
salutaire pour Clara. De plus, la nature de leur relation serait maintenant
définitivement changée. Son autorité sur sa belle-fille ne se discuterait plus.
Elle se concrétisera par l’administration d’autres fessées, aussi souvent que
nécessaire.
Elle prit la résolution se
s’occuper de Clara comme si elle était sa propre fille, ce qui était presque le
cas. En épousant son fils, Clara était entrée dans la famille. A cette pensée,
une bouffée de tendresse submergea Madame Gorevski. Clara serait désormais sa
petite fille, celle qu’elle n’avait jamais eue. Il fallait donc qu’elle soit
aussi sévère avec elle qu’elle l’avait été avec son garçon. Il était maintenant
de sa responsabilité de mère de veiller à la bonne éducation de ses deux
enfants.
Cette prise de conscience rappela
à Madame Gorevski ses devoirs maternels. Elle redoubla d’effort pour
administrer à Clara la correction qu’elle avait méritée. Les pleurs et les cris
de la jeune femme sur ses genoux redoublèrent. Ses fesses avaient maintenant
une coloration rouge soutenu.
Madame Gorevski se rabroua
intérieurement.
« En ce qui concerne mon
fils, on ne peut pas dire que l’éducation que je lui ai donnée, soit une grande
réussite. »
Ce moment de recomposition des
relations familiales était propice à la lucidité.
« Je me targue de sévérité
avec mon fils, mais est-ce vraiment le cas ? Si je regarde ce qu’il est en
train de devenir, je n’ai pas à en être très fière. Je l’ai laissé se contenter
d’une voie où il se complait dans la médiocrité. Je dois reprendre tout
cela. »
L’introspection à laquelle elle
se livrait, nuisait à l’attention qu’elle mettait dans la fessée de Clara.
Cette dernière avait tenté de fuir la position dans laquelle sa belle-mère
l’avait mise. Elle avait réussi à ramper et à se tortiller jusqu’à poser un
genou à terre. Malgré ses cinquante-trois ans, Madame Gorevski l’avait rattrapée
de justesse et replacée là où elle devait être, sans grande difficulté. Puis
elle avait immobilisé le bras de Clara dans son dos quand elle avait essayé de
couvrir ses fesses de sa main. La fessée avait alors reprit de plus belle.
« Je ne suis pas assez
attentive à la petite fille qui est sur mes genoux. Je dois me concentrer avec
plus d’application sur la fessée que je lui donne. »
Madame Gorevski jugea, compte
tenu de la désobéissance de Clara, qu’il fallait prolonger encore un peu la
fessée.
« Tu vas apprendre, ma
petite chérie, que quand je te donne la fessée, tu dois me laisser faire.
J’attends de toi une obéissance sans défaut. Si ce n’est pas le cas, tu en
seras punie plus sévèrement. »
La couleur des fesses lui
semblant optimale, elle reporta son attention sur le haut des cuisses. Les
premières claques laissèrent la marque de la main sur la peau de Clara, encore
blanche mais plus pour très longtemps.
Les mouvements incontrôlés des
jambes de Clara étaient gênants. Ils empêchaient toutes les claques d’atteindre
leur efficacité maximale. Madame Gorevski suspendit la fessée, le temps de
positionner Clara entre ses deux jambes, puis elle referma ses deux genoux sur
le bas des cuisses de sa belle-fille. Tout le haut du corps, depuis les épaules
jusqu’aux genoux, était maintenant immobilisé.
Sa main avait maintenant tout le
haut des cuisses à disposition.
« Le temps de leur donner
une belle couleur rouge et j’en aurai fini ! »
Satisfaite du travail accompli,
Madame Gorevski passa le dos de sa main sur les fesses et les cuisses de sa
belle-fille afin d’éprouver la chaleur qui en rayonnait.
« Voilà qui est suffisant
pour le moment, n’est-ce pas ma chérie ? As-tu bien compris que je ne tolérerai plus que tu sois aussi peu assidue à ton travail ? »
Tout à la fournaise qui occupait
ses fesses, Clara ne prêtait pas attention au discours de sa belle-mère. Mal
lui en prit. Une dizaine de claques la rappela à l’ordre.
« Je n’aime pas les petites
filles impolies. Tu auras la fessée à chaque fois que tu feras semblant
d’ignorer les questions qu’une grande personne te posera. »
Encore une bonne série de claques
sur le haut des cuisses.
« Aïe, … pardon Madame, …
aïe … oui j’ai compris, … aïe, je ne le ferai plus. … aïe !
– Ne promets pas des choses que
tu ne tiendras pas. Contente-toi de savoir que je te fesserai à chaque fois que
je ne serai pas satisfaite de ton travail.
– Oui Madame, j’ai compris.
– A la bonne heure ! Nous
arrivons enfin à quelque chose d’utile. Je savais bien que la fessée te serait
profitable. Cela va m’encourager à persévérer dans cette voie. »
Les gémissements de Clara firent
sourire Madame Gorevski.
« Un bon moment au coin,
maintenant. Tu vas y réfléchir aux avantages du travail bien fait et la
conscience professionnelle. »
Madame Gorevski releva Clara qui, libérée de l’emprise de sa belle-mère, s’empressa de frotter ses fesses de
ses deux mains.
« Non, non, non ! Pas
question que tu te masses les fesses. C’est interdit ! »
Comme Clara n’obéissait pas tout
de suite, Madame Gorevski la courba sous son coude.
« Enlève ta main Clara que
je puisse te punir de cette nouvelle désobéissance. »
Comme l’injonction restait sans
effet, le ton de la voix de Madame Gorevski devint plus ferme.
« Clara, si c’est
nécessaire, je vais me munir d’une ceinture ! Je devrai bien trouver
quelque chose qui convient dans vos affaires. »
Elle accompagna cette menace de
deux fortes claques sur le haut des cuisses. Clara préféra alors obéir. Elle
enleva sa main, laissant le champ libre à sa belle-mère.
« Si je revois ta main à
protéger tes fesses quand je te punis, ce sera la ceinture. Tu verras comme
cela apprend à obéir ! »
Clara n’avait aucune idée de ce
que produirait une ceinture appliquée sur ses fesses. La main de Madame
Gorevski suffisait amplement pour l’instant à la convaincre de se soumettre aux
ordres de sa belle-mère.
Ce ne fut pas une fessée ni très
longue, ni très rigoureuse, mais elle prit, symboliquement une place importante
dans la tête de Clara. Courbée sous le coude de sa belle-mère, lui laissant
toute liberté pour la punir sans rien faire pour s’y opposer, Clara se sentait
comme une petite fille que sa Maman avait toute légitimité pour la punir.
Elle savait, encore confusément,
que leurs rapports avaient irrémédiablement changé. Le contact physique que
supposait l’administration d’une fessée et l’accès à son intimité qu’avait
maintenant sa belle-mère pour la punir, les avaient grandement rapprochées.
Cela obligeait un lien familial des plus proches. Clara pressentait qu’elle
aurait dorénavant auprès d’elle, une personne qui prendrait soin d’elle sous
tous les aspects. Plus rien de sa vie privée ne serait inaccessible à sa
belle-mère.
Clara était de nouveau en pleurs
quand Madame Gorevski la relâcha.
« Parfait, dit cette
dernière. Je vais finir par te faire obéir du premier coup. Allez, au
coin ! »
Elle accompagna sa belle-fille
jusqu’à l’angle de la pièce.
« Mets bien ton nez au fond
et je ne veux plus le voir bouger. Tes bras croisés dans ton dos ! »
Madame Gorevski remonta l’arrière
de la jupe de Clara, la coinçant sous ses bras tenus dans le dos.
« La prochaine fois, tu te
mettras dans cette position toute seule. Tu ne bouges plus avant que je ne t’y
autorise. Et je ne veux pas t’entendre ! »
Madame Gorevski revint s’asseoir
sur le canapé. Elle contempla sa belle-fille dont les épaules étaient encore
secouées, de temps en temps, par un sanglot. Elle en sourit. Comme elle était
adorable dans cette position ! Au fond, elle avait toujours su que c’était
une gentille petite fille, plutôt écervelée, avec une tendance prononcée à
refuser d’assumer ses responsabilités, mais elle était certaine, maintenant, qu’elle
allait aimer Clara comme sa propre fille. Il faudrait certainement de
nombreuses fessées, mais elle lui donnerait de grandes satisfactions et la
fierté d’une mère vis-à-vis d’une fille bien élevée.
Elle avait envie de la prendre
dans ses bras, de la serrer contre elle, de caresser ses fesses rougies pour
soulager le feu qui devait les embraser, de consoler sa petite fille maintenant
qu’elle avait été copieusement punie.
« Il ne faudrait pas qu’elle
ne vienne sur mes genoux que pour la fessée. Elle doit aussi y recevoir des
câlins ! Je pense qu’elle en aura besoin et je parie qu’elle les
appréciera. »
Elle reprit un air sévère.
« Nous n’en sommes pas
encore là. Je dois d’abord m’occuper du mensonge. Cela nécessite une autre
bonne correction. Nous verrons après comment consoler cette enfant. »
Clara avait encore un moment
difficile à passer. Madame Gorevski regrettait de ne pas avoir fait preuve
d’autorité plus tôt.
« Que d’années perdues,
pensa-t-elle ! Six ans que Clara et Stanislav vivent ensemble et je les ai
laissés s’éloigner de moi sans y prendre garde. Six ans pendant lesquels ils
ont pris des habitudes sur lesquelles il va falloir revenir. Comme j’ai été
négligente. Je vais rattraper le temps perdu. »
Forte de cette résolution, elle
se détendit sur le canapé. Ramener ses deux enfants dans le droit chemin, voilà
un défi qui la passionnait !
Avez-vous déjà croisé Clara au fil de vos lectures ?
Certainement ! Rappelez-vous, c'était au détour des aventures d'Axel : la première apparition de Clara
La suite ?
Disons... le chapitre 2
A quand un récit en un seul chapitre ?
RépondreSupprimerUn récit en un chapitre : un chef d'oeuvre !
En deux ou trois chapitres : un très bon récit
En vingt-cing chapitre et plus : une daube sans fin dont le seul but est de flatter l'orgueil de l'auteur...
Cher lecteur anonyme,
SupprimerJe suis ravi d'apprendre que vous allez nous écrire tout un tas de chefs-d'oeuvre en un seul chapitre. Je me tiens prêt à publier le premier... disons demain ? C'est convenu ! J'attends donc votre récit.
Quelle chance nous avons de vous avoir, vous et vos nombreuses contributions à ce travail collectif !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Cher ami lecteur anonyme,
SupprimerJ'ai beau chercher dans mes courriels, je n'ai pas trouvé votre chef-d'oeuvre en 1 chapitre.
Il y a du y avoir un problème de transmission de courriel. Pouvez-vous me le renvoyer ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG ,
RépondreSupprimerJe trouves que vos récits sont parfaits( peut être des détails physiques ou tenues des acteurs )et on a toujours envie de savoir la suite ou de nouvelles situations continuez ces nombreux chapitres
Au Plaisir de vous lire régulièrement
PS : Dommage que la Saison 2 de Christine(un autre auteur)n'a pas eu lieu , issue d'un personnage de Axel je crois . . .
JJP
Bonjour à toutes et tous.
RépondreSupprimerNous n'étions pas prêts ... il est là! Mais si! mais si, notre Messie est là. Enfin descendu... mais très bas. Notre ami "anonyme" vient éclairer de la fulgurance de sa pensée lapidaire, le vil peuple de scribouillards qui se répand en diarrhée verbale dans une orgueilleuse incontinence de chapitres.
Un seul suffit pour écrire un chef-d'oeuvre... de concision et circonscrire les difficultés de lecture de quelque handicapé du paragraphe, que l'oeuvre de Marcel Proust ( pour la longueur interminable de ses phrases et de ses chapitres ) a certainement dû traumatiser.
Faisons court mes amis, faisons court! Cessons de nous auto sodomiser d'orgueil par la tête en flattant nos arrières... pensées d'une production sans fin, dans le seul but d'avoir voix au chapitre...
Victor Hugo aurait pu produire un chef d'oeuvre s'il avait connu notre "anonyme" à nous et écrit "les Misérables" en un seul épisode au lieu d'une daube sans fin de 23 chapitres. Que dire d'Alexandre Dumas avec son ragoût de mauvais goût de 67 chapitres des "Trois Mousquetaires". Ne parlons même pas de l'infâme plat de résistance des 90 ouvrages de la "Comédie Humaine" de Balzac. " Vanias vanitatum..."
Le "Beauf en Daube" est devenu une cuisine bien indigeste.
Cher ami courte vue, un mot suffit, le prix Con-court est à portée.
Cordialement
Ramina
Bonjour,
RépondreSupprimerAprès le stimulant intermède des grands prix littéraires, nous voici au premier chapitre, et certainement pas le dernier, de " La nouvelle maison de Clara ". Pas de chef d'oeuvre en vue donc ! (rire)
Ainsi à "Villeneuve sur Horto", qui devrait logiquement se situer dans le "Bas Rhin", (re-rire !) on cultive l'art de la fessée comme une activité naturelle, semblant garantir un ordre public sans nécessaire intervention de dites forces de l'ordre du même public. Un peu comme une discipline collective auto régulée par une pratique contractuelle de la déculottée sur place ( publique), au service du bien commun...
En clair, attention à tes arrières si tu profères des insultes en traversant en dehors des passages cloutés... Sûr, une bonne fessée déculottée coûte moins cher qu'une contravention mais ça chauffe davantage. Villeneuve sur Horto, la ville rouge... du moins des habitants aux fesses rouges. Que voilà un programme électoral original !
Le cadre est bien défini. Madame Gorevski, certainement pas d'origine latine, a réussi dans le commerce du bois de luxe. Vu son tempérament autoritaire, peut être dans la fabrication des Paddles... entre autres.
Pas de chance pour Clara c'est sa belle mère.. fouettarde, intransigeante sur la notion de bonne éducation et de travail bien fait. Preuve en est d'une excellente première fessée qui sonne comme un cuisant avertissement. Fessée d'une main, câlin de l'autre. Un chaud et froid susceptible de provoquer quelques bons rhumes de derrière!
Gageons que Stanislas le fils, ne devrait pas tarder à retrouver les genoux de maman pour un claquant complément d'éducation...
Ah ma pov' dame ! Il y en a qui ne grandissent jamais...
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerNous allons tenir compagnie pendant quelques chapitres à Clara, Stanislav et Madame Goresvski. A ce trio, n'oublions pas d'ajouter Catherine, rencontrée dans le bureau où travaille Daniel de "chambre chez l'habitante".
Cela offre des possibilités de récit que je suis loin d'avoir exploitées à fond.
La Villeneuve sur Horto est une communauté au sein de laquelle se propage la fessée pour les adultes de tous âges et de tout genre (en fait, il n'y en a que deux).
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bjr JLG,
RépondreSupprimerContent de savoir que la pimbêche de Catherine va revenir , et va devoir montrer ses fesses devant des témoins gênant , j’espère bientôt
Au plaisir de vous lire
je viens de faire la connaissance de clara et madame goresvki.
RépondreSupprimerj'aimes beaucoup. un grand bravo à l'auteur.