Soirée fessées entre amies (3ème partie)
Claridge était d'une implacable sévérité à l'égard de son
mari dont l'irréductible tendance à la désobéissance et à l’irresponsabilité justifiait
l’ampleur des corrections qu'elle lui infligeait. Les séances de fessées
régulières à la maison, bien sûr, mais surtout celles en public, qui ajoutaient
l'effet d’humiliation, nécessaire à une bonne mémorisation des fautes à
l'origine des sanctions. C'était pratique courante et d'une efficacité
éprouvée, on retient beaucoup mieux les leçons, les fesses écarlates et
cuisantes après une bonne déculottée.
Ces soirées entre épouses, convaincues du bien-fondé de
l'emploi régulier de la fessée comme méthode d'éducation à n'importe quel âge,
étaient l'occasion d'échanges fructueux sur le sujet. Démonstration d'autorité
et fessées à volonté, constituaient le programme de ces joyeuse réunions
entièrement consacrées à la discipline domestique et conjugale. Mesdames
distribuaient les fessées sans compter et repartaient la paume de la main
délicieusement brûlante, pleine des belles rondeurs fessières de ces Messieurs.
Difficile de consommer avec modération quand on dispose à sa guise d'aussi
formidables paires de fesses si bien rebondies. Mais ces longues séances en
public ne suffisaient pas à satisfaire les exigences disciplinaires de toutes
les épouses.
De retour à la maison, Claridge, rarement rassasiée malgré
les fessées déjà administrées au magasin l'après-midi, s'offrait souvent une
dernière tournée en guise de digestif. A peine rentrée, débarrassée de sac et
manteau, Conrad avait rendez-vous au salon sur le tabouret à fessées. Malgré
les habituelles supplications et autres appels au cessez le feu, c'était le
retour immédiat en position sur les cuisses, re-déculottage en règle, et après
une dernière fessée pour la route, direction la chambre. Monsieur s'y rendait
après sa raclée et dormait sur le ventre, les fesses en feu, montées comme
d'habitude à l'écarlate. Certainement la fessée la plus cuisante de la journée
car administrée par-dessus les trois ou quatre précédentes.
Autant dire qu'après de telles soirées de recadrage, ces
Dames n'avaient pas besoin d'insister pour obtenir respect et obéissance
absolue. Ça filait doux sans discuter, le petit doigt sur l'élastique du slip
et en serrant les fesses. Les tâches domestiques étaient parfaitement
exécutées, du moins jusqu'à ce que les postérieurs aient récupéré une couleur
et une température qui les rendaient de nouveau réceptifs aux fessées. La suite
restait aléatoire et les punitions reprenaient leur rythme habituel, en
fonction des récidives d'écarts de comportements.
Après l'achat compulsif d'un portable hors de prix,
dommageable à l'équilibre du budget domestique, Conrad savait qu'il n'allait
pas échapper à la correction, qui l'attendait et dont Claridge avait annoncé
l'exécution pendant la réunion du soir. Elle l'avait simplement prévenu et
c'était une décision unilatérale et non négociable.
« Les fessées sont bien meilleures et plus excitantes à
administrer devant un public averti. Tu auras intérêt à bien présenter tes
grosses fesses et a me les garder en bonne position pendant tes
corrections. »
Conrad n'eut pas grand-chose à redire, sinon accepter sans
commentaire.
« Oui chérie... Oui bien sûr...
– Tu connais mes amies, ce sont des connaisseuses et elles
sont aussi exigeantes que moi. Tes
fesses ont intérêt à se montrer à la hauteur, ça va claquer
fort ! D'ailleurs je pense qu'une bonne fessée de préparation te ferait
le plus grand bien ! »
Courbé en deux sous son bras, le manteau par-dessus la tête,
pantalon et slip baissé, elle la lui mit sur le perron devant la porte, sous le
regard amusé de deux passantes qui l'encouragèrent à taper bien fort. La fessée
fut brève mais suffisamment intense pour qu'il garde les fesses bien rouges
jusque chez Béatrice où il était prévu un service d'entretien très performant.
A peine reculotté, les jambes tremblantes, il avait suivi Claridge dans la
voiture où elle avait pris le volant. Lui, péniblement assis, en silence, côté
passager, les fesses en chaleur, serrées au fond du slip.
La soirée n'avait pas encore commencé, mais Claridge,
faisant très bien les choses, avait pris soin de préparer le postérieur de son
petit chéri pour qu'il fasse honneur à ce qui l'attendait. Dans ce genre de
circonstances, une paire de fesses en pleine forme, bien entretenue,
contribuait à l'image de marque d'un couple ou de la famille.
Conrad, n'a rien d'autre à faire qu'obéir, il baisse son
pantalon et, sous le regard amusé des spectatrices, se dirige vers sa femme
d'une démarche en canard plutôt ridicule. La boucle métallique de sa ceinture
traîne bruyamment sur le carrelage.
Claridge tape dans ses mains pour le stimuler.
« Aller dépêche-toi ! Et montre un peu plus d'entrain
à venir chercher ta fessée ! Mets-toi en position pour que je te
déculotte. »
Il s'approche à petits pas, pendant qu'elle retrousse sa
jupe sur ses hanches. Elle le saisit par les cheveux, le courbe devant elle et
lui enfourne la tête entre ses cuisses qu'elle resserre ferment sur ses joues.
Claridge, un peu perverse, ne se contente pas d'une banale
descente de slip devant un parterre de fesseuses expérimentées. Se faire
déculotter en public doit être ressenti comme un passage humiliant obligatoire
avant de se prendre sa fessée devant tout le monde,
« Tourne toi vers ces dames et cambre bien les reins en
poussant sur ton gros derrière pendant que je le déculotte. Tu dois le
présenter en bonne position, déployé au maximum pour que nos amies se régalent
à le voir rougir sous la fessée ! »
Humilié des pieds à la tête et surtout entre les deux,
niveau postérieur, Conrad n'a pas le choix et exécute docilement les ordres. Il
piétine sur place en arrondissant au mieux son opulent fessier, exposé au
regard vorace des invitées. Il supplie d'une voix qui sort étouffée d'entre
l'étau des cuisses serrées de son épouse. Ses bas nylon lui irritent les joues,
ajoutant une bonne dose de souffrance à l’avilissante position.
« Hummmmf !!!
S'il... S’il te plaît chérie, pas. »
Elle s'en moque complètement, passe ses doigts sous
l'élastique de son slip et le fait glisser bien lentement sur la courbure de
ses fesses pour le descendre le long des cuisses. Libéré de l'étreinte du
nylon, le splendide fessier s'épanouit développant ses belles rondeurs
volumineuses. Côté postérieur, la nature s'est montrée particulièrement
généreuse avec Conrad, C'est la partie de son anatomie que madame entretient
avec zèle par un régime fessées des plus sévères.
« Profitez en mesdames. Tout le monde voit bien
j'espère ? Il vous le présente bien comme ça, son beau cul à
fessées ?
Béatrice toujours en tour de contrôle.
« Mais dis-moi il a déjà reçu une fessée récemment... Ses
fesses sont encore toutes rouges ! Très appétissantes d'ailleurs !
– Bien sûr, je vous l'ai dit tout à l'heure. Je lui en ai
mis une avant de partir pour le préparer à la soirée.
– En tout cas cette position est parfaite... On ne va pas
perdre une miette de la séance.
Plantée sur ses quinze centimètres de talon aiguille,
Patricia, reste debout au milieu du salon pour bénéficier d'une vue plongeante
sur le derrière en exposition.
« Vision panoramique d'une fesse à l'autre. On va les voir
rougir jusqu'au fond de la raie ! Ironise-t-elle.
– Ah oui, s'exclame madame Bellebourge, je n'ai jamais pensé
à corriger mon Gérôme dans cette position. Il va falloir que j'essaye à la
prochaine fessée. »
Claridge achève le déculottage en faisant bruyamment claquer
l'élastique du slip sur les cuisses.
« J'espère que tu as bien enregistré les raisons de cette
punition pour qu'elles te servent de leçon, mon chéri ! »
Une réponse inaudible parvient à peine d'entre ses cuisses
gainées de nylon. Elle le maintient bien en place, le derrière tendu vers
l'assistance, et lève la main très haut pour prendre l'élan nécessaire à un
démarrage bien claquant.
« Monsieur consomme sans réfléchir. Explique-t-elle avant de
commencer. Il se paye un portable dernier cri qui coûte les yeux de la tête,
alors qu'il en a déjà un très performant. Ça mérite une fessée tout aussi
performante ! N'est-ce pas mesdames ? »
Edwige, toujours à estimer que les corrections ne sont
jamais assez sévères,
« Ce n'est sûrement pas moi qui dirait le contraire. Je
prendrais même bien le relais pour augmenter le niveau de performance avec une
deuxième fessée ! »
Elle a à peine fini sa phrase que les fesses de Conrad
commencent à claquer sous une volée de cuisants allers et retours. Comme le
mari dépensier, Madame n'y va pas à l'économie et démarre sa fessée à plein
régime. La paume enveloppante et bien ferme fait tressauter les deux fesses qui
s'entrechoquent en cadence. Tout en fessant, elle le sermonne d'une voix forte
pour bien se faire entendre malgré le bruit assourdissant des claquées.
« Ah comme ça
monsieur dépense sans compter, Et bien je vais faire pareil sur ses
fesses ! Et comme la maison ne fait pas crédit, c'est la fessée au
comptant, administrée en en une seule fois. Satisfait ou re-fessé... C'est
la devise de la maison ! »
Bien qu'elle n'ait même pas encore commencé à sévir sur les
fesses de son mari, Edwige anticipe en confirmant sa candidature pour une
éventuelle deuxième tournée. Gladys attend patiemment le tour d'Edouard, tandis
que madame Bellebourge s'enthousiasme sur l’efficacité de la position. Béatrice
envoie Maxime, les fesses toujours déculottés, chercher une autre bouteille de
champagne. Dans la chaleur dégagée par les fessiers en feu, il ne faut pas
oublier de s'hydrater, au risque que de perdre de l'énergie avec une baisse de
rendement préjudiciable à l'efficacité des corrections.
C'est loin d'être le cas en ce qui concerne Claridge qui,
après s'être bien chauffé la main en début de fessée, tape maintenant de plus
en plus fort en prenant soin de distribuer le même nombre de claques sur les
deux fesses. La marque d'une fessée réussie étant d'obtenir un beau rouge uniformément
réparti sur toute la surface.
Habitué aux longues et sévères déculottées, le derrière de
Conrad offre une stimulante résistance qui incite à une montée en puissance de
la fessée. La tête broyée entre les fortes cuisses de son épouse, le malheureux
subit sa correction dans un torrent de larmes qui dégoulinent le long de la
couture de ses bas nylon. La soirée pour lui est loin d'être terminée. Pour
avoir mouillé une paire de bas toute neuve spécialement achetée pour la soirée,
il aura droit à une nouvelle fessée déculottée dès le retour à la maison. Une
jarretelle sautée, c'est deux fessées supplémentaires. Tout aussi cuisantes et
claquantes que les autres. C'est qu'on est prié de faire attention aux dessous
chics de ces Dames.
Claridge fesse avec constance. Elle passe inlassablement
d'une fesse à l'autre à grandes claques sonores, avec la régularité un
métronome qui impulse au gros fessier un amusant mouvement de balancier. Il
s'enlumine progressivement d'un flamboyant rouge vermillon qui force
l'admiration des invitées.
Béatrice rythme chaque claque en oscillant de la tête comme
si elle voulait les appuyer davantage.
« Hummm ça fait plaisir de voir une aussi belle paire de
fesses corrigées de cette manière ! Bien méritée en plus !
– Pour ça oui ! Ajoute Edwige. Mais moi je serais
encore plus sévère ! Même si ça claque déjà pas mal fort ! »
Claridge accélère la cadence en insistant au même endroit
sur le haut d'une fesse, bien au milieu.
La réaction du mari est immédiate. Aiguillonné par la
poussée de cuisson, il sautille d'un pied sur l'autre en glapissant.
« Ouaah... non chérie !... Pas...Pas comme ça !!
Raaaaah change de fesse ! Ça... fait trop mal ! Pitié, change de
fesse !!
– Oui, je sais mon chéri, ça chauffe dur là, mais c'est
normal ! C'est la fessée ! Ça doit faire mal. Alors, on va changer de
fesse mais ça va être pire parce que je vais taper encore plus fort ! Elles
claquent tellement bien ! »
Elle joint le geste à la parole et continue la fessée sur un
mari écroulé entre ses cuisses patinant sur le carrelage, jusqu’à ce qu'une
plus forte claquée l'envoie au tapis. Elle accompagne la chute d'une claquante
rafale sur chaque fesse. Il hurle et pleure en se tortillant de douleur. De
toute évidence il ne tient plus la position.
« Et bien Conrad ! Qu'est-ce que c'est que cette
manière de présenter ses fesses ! Et devant mes amies en plus! Ça
mérite une nouvelle fessée ! Et puisque monsieur ne sait pas se tenir
correctement, on va changer de position. Et tu as intérêt à la tenir celle-là ! »
Il couine lorsqu'elle le saisit par l'oreille et le conduit
trébuchant, mais au pas de charge, vers le tabouret à fessées. Là, elle
retrousse à nouveau sa jupe sur ses hanches, pose son talon aiguille sur le
siège, et le soulève par l'oreille pour le faire grimper à plat ventre sur sa
cuisse relevée en pont à l'horizontale. Elle le plie en deux carrément, la tête
en bas, bras et jambes ballant au-dessus du sol, les fesses en l'air bien
déployées parfaitement positionnées pour une nouvelle fessée.
Claironne-t-elle en le faisant basculer un peu plus vers l'avant
pour l'obliger à arrondir davantage ses fesses et les tendre au maximum. Il
s'agrippe, en pleurnichant, à son mollet pour ne pas tomber. Ses doigts
glissent sur le bas nylon. La belle paire de fesses est si bien épanouie
qu'elle semble avoir encore pris du volume et présente une vaste surface
entièrement rouge des plus excitante à claquer.
Edwige se penche vers Gladys.
« Aussi bien positionnées, ses fesses vont claquer encore
plus fort que pendant la fessée précédente !
– Oui, et dans l'état de cuisson ou elles sont, elles vont
chauffer dur... ça met la barre assez haut pour les fessées de nos maris ! »
Elles ne croient pas si bien dire. La forte femme déclenche
une magistrale deuxième fessée qui transforme en quelques minutes le fessier de
l'époux irresponsable en un brasier incandescent. Il a beau hurler sa douleur,
pleurer sa souffrance elle lui fait sauter le derrière sur sa cuisse jusqu'à ce
qu'il reluise d'un magnifique rouge cramoisi sur toute sa surface et jusqu'au
fond de la raie. Dix minutes à ce régime
et c'est un époux pantelant, dompté sous la fessée qui s'écroule au sol
lorsqu'elle le pousse hors de sa cuisse.
Du haut de ses talons
aiguille elle le regarde avec un petit sourire satisfait, se cabrer par terre
en tenant ses fesses écarlates à pleine main, Elle ironise encore en se massant
le poignet. Elle a vraiment tapé fort mais c'était nécessaire pour le corriger
comme il le méritait,
« Alors, elle n’est pas bonne celle-là ? Tu l'as eu ta
fessée déculottée et bien servie encore ! ! Une bonne fessée bien
cuisante, comme tu en as besoin, les fesses rougies à point ! Tu vas voir
comme ça va te faire du bien ! Relève-toi sans te reculotter et va te
mettre au coin à côté des autres. ».
Béatrice toujours dans son rôle d'hôtesse animatrice de la
soirée, lui indique l'emplacement d'un geste cérémonieux accompagné d'un
simulacre de révérence.« Si monsieur veut bien se rendre au piquet en attendant
la fessée suivante, il va être en bonne compagnie ! »
Il se relève en reniflant sa morve et elle lui claque les
fesses au passage pour le faire avancer plus vite. Il pousse un cri et va se
placer en se dandinant aux côtés de Gérôme, Robin et Maxime, toujours en
pénitence. On commence à se serrer les uns contre les autres, fesses rouges
contre fesses écarlates.
« J'espère que tu vas te souvenir de cette fessée quand tu
seras tenté d'acheter n'importe quoi ! »
Lui lance Claridge en reprenant son verre pour aller se
replacer derrière le canapé.
Madame Bellebourge y va de son petit commentaire
sarcastique.
« Et bien s'il est aussi obéissant que Gérôme, il va lui en
falloir des fessées, et des solides ! C'est moi qui vous le dis. »
Tout le monde rit de bon cœur en faisant rosir de plaisir
une Ma'am Thérez qui finit par s'amuser aussi de la pertinence de sa remarque.
On reprend du champagne en discutant tranquillement, fessée, méthode, position,
conseils pratiques. Commentaires et congratulations d'usage devant les grosses
fesses rouges bien rebondies de ces messieurs au coin. Ces dames joyeuses et
détendues profitent de ce moment d'échange sur le sujet passionnant de la
discipline domestique quand Béatrice sonne la fin de la récréation pour revenir
aux choses sérieuses.
« Allons mesdames, nous n'en avons pas encore fini avec cette
tournée, A qui le tour maintenant. On attend les fesses d'Edouard et
Stephen ! »
Gladys et Edwige, fortement émoustillées par le spectacle de
la retentissante série de fessées déculottées, se sont levées pratiquement en
même temps. Elles échangent un sourire complice et se dirigent vers leurs maris
restés sagement debout derrière les fauteuils. Ils esquissent un mouvement de
recul devant leur épouse. L'atmosphère de la pièce s'est de nouveau tendue. Les
fessées vont reprendre du service pour sanctionner les deux incorrigibles,
multirécidivistes. Pour rende les fessées plus impressionnantes et en augmenter
l’impact, les deux femmes ont décidé de les corriger ensemble. Ça
Sourire cynique aux lèvres, l'air détaché, elles les traîne
en les tirant par les cheveux, jusqu’aux tabourets de discipline sous
les :
« Aie, Aie, Aie ! Et Ouille, Ouille, Ouille ...Ça
fait mal !! Comme des gamins,
Courbés en deux derrière elles, ils suivent leur pas
nonchalant rythmé par le claquement des talons aiguille et doivent attendent
debout devant elles pendant qu'elles s'installent.
Sûres de leur force et de leur autorité, elles prennent le
temps de caler leur opulent derrière débordant du siège pour avoir une position
assise bien stable pendant la fessée. Dans un touchant ensemble elles
retroussent leur jupe très haut sur les cuisses pour ne pas la froisser. Le
nylon noir des bas brille sous les jarretelles bien tendues sur la peau.
L'emplacement réservé aux fessiers à corriger est bien
dégagé, prêt à les accueillir.
Gladys prend la direction des opérations. Le ton est sec et
déterminé.
« Baisse ton pantalon Edouard et amène moi tes
fesses en vitesse ! Tu connais la procédure et les raisons de la fessée
que je vais t’administrer. »
Edouard essaye en vain de maîtriser le tremblement de ses
jambes, Il a déjà honte devant cette assemblée de fesseuses dont il sent le
regard goguenard soupeser son postérieur. Le cadre supérieur dans son
entreprise est comme un gamin attendant sa fessée devant sa mère.
« Euuuh non chérie, je ne vois pas très bien. J'ai fait
aujourd'hui tout ce que tu m'avais demandé. Vider le lave-vaisselle, passer
l'aspira...
– Parce que tu crois que tu vas t'en sortir comme ça !
Tu n'es franchement pas malin. Non seulement tu les accumules, mais en plus tu
ne t'en souviens pas. Ou plutôt tu fais semblant.
– Non Gladys, je te jure...Je ne
vois pas de quoi tu parles. »
Le malheureux commence à transpirer
des fesses dans son slip de nylon. Une goutte de sueur perle entre les deux et
dégouline le long de la raie. Un frison lui parcoure l'échine.
Il sent déjà la main de sa sévère
épouse claquer sur ses fesses et murmure d'une voix chargée d'appréhension.
« Je... je t'assure
Gla...dy...sss !
– Et bien, avant de te chauffer les
fesses, je vais te rafraîchir la mémoire !
Les indemnités de retard pour les factures que tu as oubliées de payer…
ça te dit quelque chose ? Hein ?
– Ah oui... c'est vrai... J'avais
oublié...
– Et bien pas moi figure toi. Trois
factures... Alors...tu connais le
tarif ? Trois fautes ...
Edouard se dandine d'un pied sur l'autre en pleurnichant.
« Ah non Gladys... s'il... s'il te plaît...pas la fessée ...
– Mais si Edouard,
si !... La fessée ! Et quel tarif ?
– A chaque faute une fessée....
– Alors, ça en fait
combien pour les factures réglées en retard ?
– Trois !... Trois fessées...
Chérie... Oh noooon ... pas ici ...
Gladys inflexible surtout devant ses amies témoins de la
leçon de recadrage en direct,
« Deux fessées immédiatement et la
troisième à la maison en rentrant. Aller on commence tout de suite, en position
sur mes genoux ! »
Elle le saisit par le bras et le
couche brutalement à plat ventre sur ses cuisses, ajuste la positon relevée de
ses fesses tournées vers le public et, avant qu'il ait eu le temps de souffler,
commence à lui allonger une grosse fessée à travers son slip.
« Je vais d'abord te chauffer le
derrière dans le nylon pour bien le préparer à la fessée déculottée qui va
suivre ! »
Ça claque fort tout de suite et la
belle paire de fesses bien tendue se met aussitôt en mouvement sous les
puissantes claquées.
Le sort de Stephen est plus vite
réglé. Edwige est expéditive et n'a pas besoin de faire un inventaire avant de
l'allonger sur ses genoux et de lui positionner le derrière à sa main. Dettes
de jeu à répétition. Les mêmes causes, produisent les mêmes effets, autant de
fessées que de paris perdus, elles vont se suivre en série. Deux sur le champs
pour lui faire profiter de la soirée et faire bonne mesure avec Gladys, les
suivantes en confort à la maison. Pas de
préchauffage à travers le slip, madame veut du rendement tout de suite. Elle
part du principe que les grosses fesses de son mari sont faites pour ça. Fessée
déculottée du début jusqu'à la fin,
Les deux fessées claquent en même
temps à l'unisson et contrairement à celles de Patricia et madame Bellebourge
continuent un long moment sur le même rythme et à la même vitesse. Le
claquement des deux paires de fesses est vite assourdissant tant les deux
épouses fessent fort et s'encouragent mutuellement à tenir la cadence. Les
hurlements des malheureux ajoutent encore à l'ambiance surchauffée qui enchante
ces Dames, ravies du spectacle. Exposition parfaite des postérieurs en rouge
éclatant et prestation efficace des fesseuses.
Gladys suspend la fessée, juste le
temps de déculotter le derrière déjà bien rouge de son mari, qui gémit au
passage du slip sur ses fesses brûlantes. Elle ne prend aucune précaution, pour
procéder au douloureux déculottage.
« Ah mais c'est que ça commence à
bien chauffer hein ! Tu vas voir la fessée suivante va être encore
meilleure. C'est ça qu'il te faut mon chéri.
De la bonne fessée déculottée, et des fesses bien rouges et cuisantes...
Je suis certaine que ça va t'aider à te souvenir qu'il faut payer les factures
à temps ! »
Elle fait claquer
l'élastique du slip sur les cuisses et repart pour une nouvelle fessée qui
retentit avec une meilleure brillance sur le fessier déjà chauffé au rouge.
De son côté Edwige, les dents serrées, le regard fixe
concentré sur sa cible, continue sans faiblir à corriger son parieur invétéré.
Tout juste une petite interruption le temps de lui remettre le derrière en
place avant la fessée suivante. Pas de
pause, pas encore de mise au coin les fesses à l'air en exposition. Ces Dames
d'expérience fessent fort, sec et serré, ne laissant aucun répit aux rougeoyant
fessiers qu'elles font rebondir sur leurs genoux.
Pour Edouard et Stephen, il n'est plus question de retenue
ni de sauvegarde d'une dignité perdue dès le début. Ils ont obligation de garder
leurs fesses en bonne position, bien tendues, complaisamment offertes aux
fessées. Ils s'y efforcent, rugissant sous les rafales éclatantes, inondant de
larmes le carrelage du salon.
« Joli travail mesdames !,
Voilà une séance rondement menée ! S'exclame Béatrice. Je vous laisse terminer à votre rythme, ces
fesses nous donnent un très beau spectacle. Un claquant bien sec et un superbe
rouge écarlate »
Claridge, toujours à souligner les
bienfaits d'une sévère discipline.
« Pour se tenir aussi bien sous les
claques, on voit qu'elles sont souvent en main, et habituées aux cuisantes
fessées. »
Jusque-là, plutôt spectatrice
contemplative, Patricia sort d'une de ses rares et brèves périodes de silence.
« Maman est en train d'en faire la
démonstration. Il n'y a pas de meilleure méthode que plusieurs fessées
successives pour obtenir des fesses aussi rouges et d'une aussi belle qualité
de cuisson. ; »
Madame Bellebourge est vivement
intéressée par le déroulement de ces corrections, et rassurées de constater que
les fessées qu'on donne à la maison sont à peu de chose près du même calibre.
Surtout quand la sœur ou les cousines sont à la manœuvre, elles fessent aussi
fort.
Edouard et Stéphen anéantis sur les cuisses de leur épouse
respective qui n'ont pas ralenti une seconde la cadence des fessées, ont
capitulé depuis un moment et abandonné leur grosses fesses écarlate aux main
fermes des deux femmes. Elles semblent infatigables et les fessiers de ces
messieurs sont si plaisant à claquer qu'elles donnent l'impression de ne pas
avoir envie d'arrêter. D'un échange de clin d'oeil furtif elles décident cependant
qu'ils ont leur dose et dans un ensemble parfait, comme elles ont commencé,
mette fin à leur calvaire d'une retentissante rafale rageusement appuyée sur
chaque fesse.
Edouard, que Gladys a cessé de maintenir en place pour la
dernière salve, est projeté en avant et se retrouve au sol à genoux fesses en
l'air. Il offre bien malgré lui, à ces dames le réjouissant spectacle d'un
derrière cramoisi parfaitement fessé.
Stephen, les fesses claquées à la verticale, reste au
contraire le ventre écrasé sur les jarretelles de sa femme qui le laisse
rebondir quelques secondes avant de le pousser parterre. Les deux hommes,
hurlant, slip aux cuisses, pantalon sur les chevilles se balance de droite à
gauche sur le carrelage en se tenant les fesses à pleine main. Elles ont pris
du volume sous les fessées et dégagent une chaleur perceptible par Patricia et
madame Bellebourge assises aux premières loges dans le canapé. Elles savourent.
Gladys se lève du tabouret en se frottant les mains,
satisfaite de la punition.
« Oh que ça fait du bien de flanquer
de bonnes fessées ! Longues et cuisantes. Excellente remise en
forme !
– C'est sûr ! Ajoute Edwige en
rajustant tranquillement ses jarretelles détendues pendant la correction. On ne
s'est pas ennuyées une seconde, qu'est-ce qu'on leur a mis sur les fesses !»
Madame Bellebourge ne regrette pas
d'avoir accepté l'invitation.
« Pour ça oui ! Gérôme se plaint
souvent que je tape trop fort, mais alors vous !! II faudrait qu'un jour
vous lui en mettiez une pour qu'il comprenne que je ne suis pas la
seule. »
La maîtresse de maison reprend
l'initiative et suggère aux deux épouses d'envoyer leur fessé au coin avec les
trois autres. Chacune y conduit son homme, tenu par l'oreille, propulsion avant
à grandes claques sur les fesses. Les derrières sont fumants quand ils arrivent
au piquet pourtant pas très éloigné des tabourets à fessée. Le salon est grand
mais pas à ce point-là. Mais ces Dames tapent naturellement fort, par habitude.
On est sévère ou on ne l'est pas, elles le sont.
Ça pleurniche et ça gémit au coin où
le spectacle est permanent. Les paires de fesses des trois garçons et celles de
Conrad, en exposition depuis un moment, sont encore très rouges et témoignent
de la vigueur des fessées reçues. Avec celles d'Edouard et Stephen qui viennent
juste d'arriver, on passe de l'écarlate au cramoisi.
Béatrice, propose une pause, pour
faire redescendre la tension.
« Maxime, tu vas nous chercher une
autre bouteille de champagne ! Je crois qu'on peut arroser cette soirée
particulièrement réussie. »
Maxime s'apprête à se reculotter
pour aller dans la cuisine. Il a les mains sur l'élastique de son slip quand sa
mère le reprend de volée immédiatement.
« Et bien maxime, je ne t'ai pas
autorisé à te reculotter que je sache. Tu vas nous servir le champagne, le slip
baissé pour que tout le monde voit bien tes belles fesses rouges, comme celles
de tes petits camarades de fessée !
–
C'est vrai ça ! dit Patricia en récupérant son verre. On a tout de
même mérité de profiter de la couleur de leurs fesses, après avoir dépensé tant
d'énergie à les rendre si appétissantes. »
Maxime revient de la cuisine et
refait le service, ses grosse fesses rouges bien déculottées. Il remplit les
verres avec précaution pour ne pas déborder.
Chacune de ces Dames le remercie d'une grosse claque cuisante et bien
sonore sur chaque fesse. A la fin de la tournée elles reluisent du même rouge
éclatant qu'après sa fessée en début de soirée.
On trinque joyeusement aux
resplendissant fessiers de ces messieurs et aux fessées à venir.
« A mon avis ils ne sont pas prêts
d'oublier cette soirée dit Claridge entre deux gorgées de champagne.
Madame Bellebourge, un tout petit
peu éméchée, deux verres ça va, mais trois elle n'a pas l'habitude, ne peut
s'empêcher de rire à chaque intervention.
« Ah, ça a claqué fort ! Comme on leur a bien mis
le feu aux fesses !
– Normal, si on veut qu'ils en tirent les leçons. Ils ne
marchent qu'à la fessée ! »
Répond Gladys. Béatrice reprend avec enthousiasme.
« Et regardez-moi ça la belle brochette de paires de
fesses passées à la braise. La cuisson est parfaite ! Encore un peu de
champagne pour finir mesdames ? »
Et c'est Edwige qui a le dernier mot avec ces sorties
ravageuses.
« Pour nous oui, mais pour eux, ce
n'est pas la peine ils encore leurs fessées à cuver ! Hilarité
générale. Et ce n'est pas fini, j'en connais qu'une nouvelle fessée attend à la
maison. »
– Oui, moi aussi ! Murmure
Claridge, en soulevant sa jupe pour vérifier la couture de ses bas nylon. Je
crois bien que Conrad m'a filé un bas, je lui avais pourtant demandé de se
couper les ongles avant les fessées de ce soir. J'ai des paires de rechange au
magasin mais ce n'est pas une raison ! Il va encore s'en prendre
une ! »
Chacune consulte son planning et on
fixe rendez-vous pour la prochaine séance. Cette fois ci ce sera bien chez
Gladys.
Ainsi s'achève la saison 2 de :
''Ces dames aux mains fermes ''
Il y aura probablement une saison 3
après une pause d'écriture et un renouvellement d'inspiration.
Merci à toutes celles et ceux qui
ont lu ces 22 épisodes, écris avec un plaisir que j'ai espéré partagé. A celles
et ceux aussi qui m'ont contacté par mail et avec qui je vais continuer à correspondre.
Grand merci aussi à JLG de les avoir
mis en pages et publiés. A Peter Pan pour ses plaisants commentaires et
pertinentes références.
Cordialement
Et avec les dessins originaux de l'auteur;
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 21
Il y a une suite, oui, c'est la saison 3 dont voici le premier épisode, le chapitre 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuel final ! "La charge héroïque" de ces Dames !!
Voilà une belle soirée que personne ne sera prêt d'oublier. Et en particulier ces grands garnements. Dessins au top, bien sûr.
Hum... nous attendons avec impatience la saison 3. Elle débutera par une soirée chez Mam'e Gladys, dites vous ? Parfait, parfait...
Robin et Gérome ont déjà reçu un acompte au comptant Dimanche dernier.
Tout le monde devra "réviser ses classiques" d'ici-là. Avec carton d'invitation ? "Interrogation surprise Samedi (?) très prochainement dès 21 heures chez Mam'e Tapefort." Mais je ne vous l'ai pas dit : Mam'e Bellebourge est une ancienne institutrice et elle se fera un plaisir de faire travailler ces deux "protégés". Alors ça va chauffeeeer !
Amicalement. Peter.
Rebonjour Ramina,
RépondreSupprimerEn recherchant des dessins de Gladys pour l'adapter à ma prochaine saynète, une idée (lumineuse ? ) m'est venue à l'esprit : à l'occasion de la Fête des Mères toute proche, pourquoi ne pas orienter nos récits autour d'une petite fête avec cadeaux des garçons pour leurs redoutables mais néanmoins bienveillantes Mamans ? Fête qui serait émaillée de maladresses de ces derniers et la suite imaginable... Une bonne idée , non ?
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerAh Peter vous êtes drôle! et vous me plaisez bien! Vous me semblez tellement enthousiaste que vous avez déjà anticipé sur la suite.
Ben oui,à l'heure où je commencerai la saison 3, la fête des mères sera certainement passée depuis un moment. Mais comme on fait ce qu'on veut dans l'écriture, je garde la bonne idée.
je dois avouer que ça me coûte un peu d'arrêter là, mais, avec les illustrations, je finissais par y passer la majeure partie de mon temps. je fais donc une pause. J'ai quand même presque doublé le nombre de chapitre par rapport à la première saison...
Ainsi on n'avait pas dit que Mme Bellebourge était une institutrice... A l'ancienne ça ne lésinait pas sur les fessées!
Merci de vos agréables commentaires. je ne serai pas avare des miens non plus.
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerComme je vous comprend...
Faire une pause dans l'écriture est salutaire pour l'imagination et le stress "de la page blanche" que connaisse les écrivains et... les illustrateurs quant il n'y a pas de support écrit comme scénario !
Tout ce travail mange beaucoup de notre temps .
En toute honnêteté, je n'aurais pas tenu votre cadence question récit. Je m'y suis penché il y a un certain nombre d'années mais, faute d'idée, j'y ai renoncé pour me concentrer sur les saynètes avec dialogue.
Je suis toujours dispo pour vous fournir des dessins. Avec le maitre de ces lieux,ce génial JLG, nous nous chargerons de distraire nos chers passionnés en votre absence...
Profitez bien de votre pause. Ach !
Amicalement. Peter.
Peter,
RépondreSupprimerTes petites saynètes avec dialogue sont certainement ce que tu fais de mieux! Alors...poursuivons dans la continuité!
Mais je ne serai pas véritablement absent. Toujours vivant et attentif sur le blog si bien alimenté par notre amis JLG...
En toute honnêteté, je ne pensais pas arriver à 22 chapitres quand j'ai commencé cette saison 2. D'autant plus que la saison 1 n'en avait que 12! Mais emporté par l'élan et le souffle des fessées...
Amicalement
Ramina