lundi 6 mai 2019

Au tour de la copine d'université !

Je sais bien que je ne suis pas ta mère, mais pendant ces deux semaines de vacances que tu vas passer chez moi, je suis ce qui s'en rapproche le plus. Vous avez cru, toutes les trois, ma fille et vous deux, ses copines d'université, que vous étiez assez âgées pour faire tout ce que vous vouliez et trop grande pour devoir m'obéir.
Malheureusement ce n'est pas mon avis. A vingt-trois ans, tous les enfants ne sont pas encore capables de se comporter comme des grandes personnes et certains d'entre eux ont encore besoin d'une personne exerçant l'autorité. Tu en fais partie.
Comme vous êtes rentrée à des heures inadmissibles hier soir, non je devrais plutôt dire ce matin, je vous ai punies toutes les trois. Pas de sortie jusqu'à la fin de la semaine et au lit à vingt-et-une heures ! 
Il est vint-et-une heures quinze, cela fait une bonne demi-heure que je vous ai envoyées chacune dans sa chambre pour vous coucher, et je te trouve encore debout et pas complètement déshabillée, absolument pas prête à te mettre au lit alors que tu devrais déjà dormir.
Pire, quand je t'en fais la remarque, tu me réponds que je n'ai pas à entrer dans ta chambre sans frapper et que je devrais aller m'occuper de mes affaires et te laisser tranquille. Je passe sur le ton fort peu aimable. Cela ressemble fort à la colère d'une petite fille frustrée parce qu'elle est punie.

Mettons les choses au point. Une, je rentrerai dans ta chambre ou dans toute autre pièce où tu te trouveras, sans frapper, quand je le jugerai bon tant que tu vivras sous mon toit. Deux, je ne supporte pas les enfants insolents quel que soit leur âge. Chez moi, ils sont punis. Trois, je sais parfaitement bien soigner les petites filles qui font des colères. C'est une maladie dont je sais les guérir rapidement.
Quand, cet après-midi, j'ai donné une fessée à ma fille, je vous ai prévenues, toutes les deux que je n'hésiterai pas à faire pareil avec vous. J'ai bien vu que vous avez pris ma menace à la légère. Vous n'auriez pas dû, je suis extrêmement sérieuse. Tant que vous vivrez dans ma maison, même si ce n'est que pour quelques jours, je considère que je suis responsable de vous.

Je sais parfaitement ce dont tu as besoin pour revenir à un peu plus d'humilité et d'obéissance. Je vais te punir exactement comme je l'aurais fait avec ma fille si cela avait été elle qui se serait permis ce comportement : une bonne fessée déculottée avec ma brosse. Tu vas voir, c'est un remède souverain !

une fessée et au lit


Ne crois pas que nous allons en rester là ! La punition que tu reçois, c'est pour ta désobéissance. Ton insolence mérite également une correction, mais nous verrons cela demain. Après le petit-déjeuner, ta toilette faite, je t'administrerai une autre fessée.
Celle-là, ce sera dans le séjour, en présence de ma fille et de ta copine. Je tiens à ce que vous profitiez des fessées que recevront les deux autres. C'est nécessaire pour votre édification. Vous apprendrez presque autant en assistant à une fessée qu'en la recevant !
Ta punition ne sera achevée qu'après une bonne partie de la matinée passée au coin. Je parie qu'après cela tu trouveras bien moins de raison de me désobéir et que tes colères vont se raréfier.

J'ai été bien trop laxiste depuis votre arrivée. Vous en avez indûment profité. C'est terminé ! Je vais vous placer sous une surveillance de tous les instants.
Pour commencer, je vais vous trouver du travail à faire chaque jour. Il y a suffisamment de rangement et de ménage à faire dans cette grande maison pour vous occuper tous les matins.
A partir de maintenant, toutes les trois, vous devrez me demander l'autorisation avant d'aller quelque part et je ne vous y autoriserai que si vous avez bien effectué tout votre travail et si je suis satisfaite de la façon dont vous l'avez fait.
Toute remarque que j'aurai à vous faire s'accompagnera d'une fessée et d'un séjour au coin. Ne crois pas que j'attendrai à chaque fois d'être de retour à la maison pour sévir. D'être à l'extérieur, en présence d'autres personnes, ne m'empêchera pas de te baisser la culotte. Tu ne seras pas la première jeune fille d'un peu plus de vingt ans à recevoir la fessée déculottée dans un lieu public. Tu verras, cela donne à réfléchir.

Pour ce soir, tu vas comprendre très vite que tu as fait une grosse erreur. Je ne connais pas de jeune fille qui, après quelques dizaines d'application de la brosse sur leurs fesses, ne reviennent pas à de meilleurs sentiments.
Je sais que j'ai laissé la porte de la chambre ouverte et que cela n'aide pas à la discrétion. Mais je n'ai aucune intention d'être discrète. Au contraire ! Tes deux copines vont t'entendre crier, pleurer et me supplier de t'épargner. Cela leur sera utile.
Quand j'estimerai que tu as appris ta leçon, tu iras dans la salle de bains te laver les dents. Si je ne me trompe pas tu t'en es dispensée ce soir, comme hier soir. Il faudra, d'ailleurs, que je surveille bien plus étroitement ta toilette. Je ne suis pas certaine, vu ton passage éclair dans la salle de bains ce matin, que tu y accordes suffisamment d'attention.
Ensuite, je finirai de te déshabiller puisque, apparemment, tu ne sais pas le faire toute seule. Je te mettrai ton pyjama et au lit. Tu risques de dormir sur le ventre, mais je parie que tu vas t'endormir rapidement. C'est souvent le cas après avoir reçu une bonne fessée.



Pour tout comprendre, il faut lire l'épisode précédent

Fessée déculottée en travers des genoux de Maman

Grand merci Roger Benson !

L'enquête de la semaine dernière à porté ses fruits. Nous pouvons donc rendre à Roger Benson la paternité de son oeuvre.

Une colère ? Une bonne fessée !


      Fessée déculottée donné par la gouvernante           déculotté au premier RdV



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4 commentaires:

  1. Ces discours de mère "qui sait ce qu'elle veut" sont décidément de véritables petits bijoux. Qu'ils s'adressent à sa fille. Ou aux amies de sa fille. Ces demoiselles vont certainement avoir beaucoup appris de ces vacances. Pour leur plus grand bien.

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  2. Bonjour JLG. J'aime beaucoup cette série. Une idée pour la suite : pourquoi pas dénuder complètement la fautive devant ses 2 amies ? La nudité augmenterait la sanction, surtout si elle est publique. La mise au piquet pourrait se faire dans le jardin. La fautive pourrait même rester nue toute l'après-midi pour mieux méditer sur sa faute commise. A mon avis, ça la calmerait et lui ferait prendre conscience de la discipline à avoir. Après une période de mise au piquet, la punie, nue, continuerait à devoir faire le ménage dans la maison, en présence de ses 2 amies. Qu'en dites vous ?

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    1. Julie,
      Je n'aimerais pas vous avoir pour tutrice. Imaginez que vous mettiez vos idées à exécution...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. Julie,
    Vos idées sont excellentes. Il y a une contrainte de taille pour les réaliser. Ce n'est pas moi qui réalise les dessins. Je choisis un dessin et j'écris le commentaire en fonction.
    Pour réaliser votre idée, il faudrait trouver le dessin qui corresponde... ce qui n'est pas simple. Il y a une troisième épisode qui paraîtra lundi... parce que j'ai trouvé un troisième dessin qui peut passer pour la suite des deux premiers, c'est d'ailleurs assez rare.
    Comme vous le voyez, je ne fais pas ce que je veux.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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