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mardi 10 mars 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 23

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LA FESSEE DOUBLE EFFET.

 Clarisse, la mine réjouie, embrassa Gladys. Elle avait l'air tout excitée à l'idée de cette expédition punitive chez le cordonnier pour l'achat des martinets sur mesure. C'était, pour ainsi dire, le point d'orgue de cette âpre semaine de fessées quotidiennes et le passage obligé pour solder de tout compte, cette sombre histoire de trahison conjugale. Douglas et Edouard, devaient payer jusqu'au bout le prix de leur complicité.

jeudi 16 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 45


La règle claqua sur mes fesses. Tous les muscles de mon corps tressaillirent. Un cri. Madame Raveneau avait gardé le rythme et la force qu’elle avait mis dans la fin de la fessée qu’elle avait administrée à Catherine. Elle n’avait pourtant pas besoin d’insister autant pour que j’extériorise mon repentir. Je n’avais aucune prétention à feindre l’indifférence pour garder un zeste de fierté. Cela faisait longtemps que je savais que c’était inutile.
« Aïe ! »
La règle continuait son implacable travail sur mon postérieur. Courbé sous son bras, je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais je n’en avais pas besoin. Il n’était attendu de moi que de laisser mes fesses à disposition de ma directrice afin qu’elle puisse y appliquer la règle aussi longtemps et aussi fermement que nécessitait l’expiation de mon mensonge.
« Aïe ! »

lundi 7 mai 2018

Première dispute, première fessée

"Et si, mon chéri, ce sera comme cela. Je t'avais prévenu, avant que nous décidions de vivre ensemble, que ce serait ainsi. Je n'ai pas l'intention de supporter tes colères de petit mâle trop gâté par sa Maman et à qui elle passait tous ses caprices.
Il n'est pas question que nous passions nos soirées à nous disputer et à nous regarder en chiens de faïence. Ce n'est pas comme cela que marchera notre couple. Notre relation conjugale nouvelle se construira sur d'autres bases. Je préfère mettre les choses au point tout de suite.

mardi 14 mars 2017

Impatience au bureau

" Ne sois pas si impatient, tu vas avoir la fessée que tu as méritée pour ce travail négligé. Je dois d'abord finir ce que j'ai entrepris. Tu peux bien attendre quelques minutes. Je te promets que quand je vais t'avoir allongé  sur mes genoux, tu seras surtout impatient que je décide que tu auras été suffisamment puni.
Je sais bien que d'attendre, la culotte baissée que j'aie le temps de m'occuper de toi, est très gênant pour ton ego de jeune homme qui était bien loin de s'imaginer qu'en venant travailler avec moi, qu'il recevrait la fessée déculottée à chaque fois que je le décide. Tu te croyais sans doute trop grand pour être corrigé de cette façon.

samedi 10 décembre 2016

Réprimande 10

« Surprenant … surprenant qu’à cinquante-trois ans, vous éprouviez encore le besoin de voler des bonbons dans un magasin. Voyons voir … pour un préjudice de deux euros quarante-cinq ! Et de plus, vous êtes assez maladroit pour vous faire prendre. Je trouve que vous poussez la bêtise un peu loin.
Cela fait dix-huit ans que je suis substitut du procureur. Je dois avouer que c’est la première fois que je vois un homme en pleine maturité se comporter exactement comme un petit garçon. Dans votre tête, vous ne devez pas avoir plus de six ans d’âge mental !

Réprimande 7

- Entrez ! Ah, c’est vous, jeune homme. Approchez donc.
Je vous ai effectivement convoqué dans mon bureau pour aborder un problème qui commence à devenir récurrent. Votre cheffe de service s’en plaint et vos collègues commencent à penser que vous bénéficier d’un régime de faveur.
Malgré les nombreuses remarques qui vous ont été faites depuis votre embauche, vous persistez à arriver régulièrement en retard au travail. Parfois cinq minutes, souvent une dizaine et il n’est pas rare qu’on doive vous attendre presque d’une demi-heure. C’est avec une attitude indifférente, presque de l’insolence, que vous accueillez les remontrances qui vous ont alors été adressées. Cette méthode qui convient pour la plupart des adultes est sans effet sur vous.

Réprimande 6

« Mais … je n’en crois pas mes yeux. Affalé sur le canapé, devant la télévision, une bouteille de bière à portée de main.
Par contre, si j’ai bien vu, le lavabo de la salle de bain est toujours bouché. Tu ne sais sans doute pas que sortir la trousse à outils du placard, ne suffit pas. Il faut se servir de ce qu’il y a dedans pour espérer réparer ce qui doit l’être. En passant ton temps devant la TV, tu ne risquais pas de te salir les mains. C’était beaucoup plus urgent que de prendre ta part de l’entretien de notre maison.
Ici, il y a deux sortes de grandes personnes : celle qui, après sa semaine de travail, s’occupe des courses, du ménage, de régler les factures, de faire la lessive et de ranger tes affaires que tu laisses traîner ; et celle qui se contente de jouer sur son ordinateur, de regarder le foot à la télé. Je dois même me battre pour que tu fasses ta toilette et que tu t’habilles à des heures décentes.

Réprimande 4

« Peux-tu m’expliquer ce que c’est que ce courrier ?
- …
- Oui, tu as bien vu, c’est encore un point de moins sur ton permis et une amende à payer. La troisième fois en moins d’un mois ! Trois fois pour vitesse excessive ! Cette fois-ci en agglomération ! Dès qu’il a un volant entre les mains, Monsieur se prend pour le roi de la route, et on se moque des règles à respecter. Elles ne sont plus pour toi. Peu importe les conséquences, tu crois que tu peux faire ce que tu veux.

Réprimande 3

« Qu’est-ce que c’est que ce capharnaüm ? Des papiers traînant par terre, un lit qui n’a pas été fait au moins depuis le mois dernier, un carton de pizza sur le bureau, tes vêtements sales de la semaine dernière roulés en boule dans le coin de la pièce ! Et ces enveloppes vides sur la chaise, tu ne peux pas plutôt les mettre à la poubelle ? Qu’est-ce que c’est que ça ? Une culotte maculée sous le lit !
Cela fait plus de deux semaines que je te demande de ranger ta chambre. C’est maintenant une vraie porcherie ! Mais tu as l’air de t’en soucier comme de ta première chemise, c’est le cas de le dire.
J’ai accepté que tu reviennes vivre sous mon toit, mais il y avait des conditions. L’entretien de ta chambre en faisait partie. Quand as-tu passé un aspirateur dans cette pièce pour la dernière fois ? Je veux bien parier que depuis trois mois que tu es là, tu ne l’as pas fait une seule fois. Il est vrai que tu ne te soucies pas plus des autres règles de cette maison. J’ai l’impression que tu te crois à l’hôtel et que j’assume à moi toute seule la totalité du service.

Réprimande 2

« D’où viens-tu ? Sais-tu quelle heure il est ? Tu pensais, sans doute, qu’en rentrant à deux heures du matin, je me serais endormie et que pourrait passer inaperçu un retour aussi tardif ?
Je t’avais pourtant ordonné d’être rentré à vingt-deux heures tout au plus. Il n’est pas question que tu traînes dehors à des heures indues et le fait que tu aies trente-cinq ans n’y change rien. Tu penses, sans doute, que depuis que tu as un travail, tu peux te dispenser des règles qui ont court sous mon toit ? La fameuse indépendance à laquelle tu aspires tant !

Réprimande 1

« C’est très simple, me dit-elle, tant que nous cohabiterons, je serai responsable de toi. Tu devras m’obéir en toute chose et je ne tolérerai pas le plus petit écart. C’en est fini de tes insolences, de ta paresse, de tes caprices et de tes colères. Je ne les laisserai plus passer.
Je n’hésiterai pas à te punir à chaque fois que tu le mériteras. Bien que tu sois majeur, mon garçon, ce sera la fessée déculottée, puis je t’enverrai réfléchir au coin. Tu vas vite te rendre compte que tu n’es pas trop grand pour recevoir une bonne fessée et que c’est tout aussi efficace que pour les petits garçons.
Ne crois pas que la présence, d’autres personnes t’épargnera la fessée ni ne m’empêchera de te baisser la culotte. Sois bien certain que, quand ce sera nécessaire, le martinet saura te transformer en un petit garçon, les fesses toutes rouges, sanglotant sur mes genoux et regrettant la bêtise qu’il vient de commettre.
Viens ici ! » m’ordonna-t-elle.