Je savais bien qu’il y avait anguille sous roche quand ma compagne ne m’a pas donné la fessée tout de suite. Il est rare qu’elle diffère l’administration d’une correction, sauf quand nous nous trouvons dans un lieu où elle ne peut pas me déculotter et me fesser sur le champ, quand, par exemple, il y a trop de monde à proximité.
Là ce n’était pas le cas. Nous étions tous les deux à la maison et il n’y avait personne d’autre. Habituellement, je n’y aurais pas coupé : la culotte baissée, une bonne fessée et un séjour au coin pour que j’y réfléchisse aux inconvénients qu’il y a à lui désobéir.
Elle m’avait prévenu le matin.
« Fais attention, si quand je reviens ton lit n’est pas fait ou si tu ne t’es pas rasé et encore si tu ne portes pas de sous-vêtements blancs, comme tu dois le faire puisque nous sommes le week-end, tu auras une fessée. »
Ce n’était pas très bien parti. Non seulement elle m’avait assigné trois tâches, mais en plus il fallait que j’aille faire des courses et que je fasse à manger. Il n’y avait pas de temps à perdre. Elle ne l’avait pas précisé, mais je savais aussi que je devais me changer pour porter une tenue plus adéquate pour le week-end.
J’ai presque tout réussi à faire quand ma compagne est revenue : la préparation du déjeuner était en bonne voie, les courses étaient faites et je m’étais rasé de près. J’avais aussi réussi à me changer. Mais quand elle revint, je savais que mon lit n’était pas fait comme elle me l’avait ordonné alors que si je n’avais pas pris le temps de faire autre chose, tout tenait dans la matinée sans problème. Je m’attendais donc à recevoir une fessée, ce qui n’aurait été que justice.
Sa réaction me surprit.
« Nous allons voir cela après le déjeuner ! »
J’étais surpris, mais je ne demandais pas plus d’explication, craignant de voir doubler la fessée à laquelle je m’attendais : une avant le repas et l’autre après. Mais rien, si ce n’est cette promesse. J’étais interloqué, mais ce n’était pas le moment de demander des explications. Après tout, pour le moment, je m’en tirais pas trop mal. Ce qui se passerait en début d’après-midi était une autre affaire, pour l’instant un peu lointaine, et puis ma compagne ne m’avait pas promis une fessée, de façon explicite.
« Va au coin ! »
Le déjeuner achevé, la table débarrassée, les dents brossées, plus rien ne s’opposait à la correction à laquelle je m’attendais. Je me mis donc au coin, résigné à subir la punition que ma compagne, à n’en pas douter, envisageait.
« Ah, le voilà ! »
Voilà qui ? J’entendis une voix inconnue dans mon dos. Je me dépêchais de me retourner pour voir de quoi il s’agissait sans quitter véritablement le coin où ma compagne m’avait mis. Aussitôt, la voix grondante de ma compagne retentit.
« Le nez dans le coin ! Et tu ne bouges pas ! »
Il y avait une autre personne avec elle. Ce n’était pas la première fois que cela arrivait. J’en ai déjà fait le récit sur ce blog. J’étais donc prudent. Je risquais encore un œil. À qui montrais-je de façon aussi claire que ma compagne me punissait en me mettant au coin, comme si je n’étais pas vraiment un adulte ?
« Ton nez ! »
Je me dépêchais de reprendre la position habituelle quand ma compagne me mettait dans cet angle de la pièce. J’avais eu le temps d’apercevoir un homme un peu grisonnant qui assistait à cette scène. C’était la deuxième fois que ma compagne demandait à une autre personne de venir me punir. Par contre, j’avais désobéi alors que j’étais au coin. Je m’attendais à en recevoir une fessée, mais le temps passa et il n’en fut rien. Je me gardais bien de donner une autre occasion de me déculotter et de me fesser, quoique je ne me fasse pas beaucoup d’illusion sur la suite des événements… Je restais bien immobile, le nez enfoncé dans le coin, cherchant à me faire oublier.
Ma compagne et le monsieur engagèrent une conversation qui tourna autour de moi et surtout de mes désobéissances.
« Si je vous ai demandé de venir, c’est parce que je pense que Josip a besoin d’une bonne fessée masculine pour apprendre à obéir aux adultes qui l’ont sous leur responsabilité.
– Oui, je vois, une fessée paternelle en quelque sorte.
– C’est cela. J’espère que vous pourrez la lui administrer.
– Je crois que c’est dans les choses possibles.
– Je vous laisse faire ?
– D’accord. »
Mon sort était scellé. Mais je n’y pouvais rien. Je savais que, dans ses prérogatives maternelles, ma compagne pouvait déléguer son droit à me déculotter et à me fesser. Je n’avais pas d’autre choix que d’obéir. Refuser m’aurait entraîné bien plus loin que je le souhaitais.
« Josip, viens-ici ! »
C’était le monsieur qui m’interpellait ainsi. Il me fallait obéir. Je me retournais et je marchais vers mon destin.
« Tu vas poser tes mains sur la table ! »
Je regardais ma compagne. De quoi s’agissait-il ? Avec une position comme celle-là, cela ne pouvait pas être une punition parentale, comme celles que me donnait ma compagne. Une correction institutionnelle avec une canne ? Mais le monsieur n’en avait visiblement pas. Une séance sadomasochiste ? J’étais décontenancé et je ne trouvais légitime aucune de ces deux hypothèses. Heureusement, ma compagne intervint.
« Non, pas comme ça ! Je tiens à ce qu’il soit puni comme sont punis les enfants dans une éducation traditionnelle, qui est celle que je donne à Josip. Il faut soit le coucher sur vos genoux, soit le courber sous votre bras. »
Le monsieur ne prit qu’un bref instant pour réfléchir.
« Alors ce sera sur mes genoux ! »
Il prit une chaise et l’écarta un peu de la table. Là où il la plaça, je ne pouvais pas être mis à plat ventre sur ses genoux. Je n’avais pas la place. Il dut la déplacer.
« Viens-ici ! »
Il me désignait le côté droit de la chaise sur laquelle il avait pris place.
« Sur mes genoux ! »
Il me montrait là où je devais me mettre. J’eus un instant d’hésitation. Habituellement, ma compagne me déculottait et me grondait avant de me mettre elle-même en position. Je ne savais pas trop s’il avait oublié ou s’il voulait faire autrement.
« Allons, je t’attends ! »
Non, c’est bien comme cela qu’il avait l’intention de faire. Je pris place là où il m’ordonna de me mettre. Alors il baissa mon pantalon. Bien sûr, avec mon poids qui pesait sur le devant de mon vêtement, cela n'alla pas bien loin. Il le laissa juste en dessous de mes fesses. Ma culotte suivit. Alors il me donna quelques petites claques sur les fesses. Je pensais à un préliminaire, mais au bout de cinq ou six fois il m’ordonna.
« Cela suffit comme ça. Relève-toi ! »
Je me remis sur mes pieds. Ce n’était pas une fessée que je venais de prendre ou alors une si légère qu’elle ne comptait même pas.
« Remonte ta culotte et va au coin ! »
Encore une nouveauté qui n’allait pas dans le sens de me faire comprendre que j’étais puni. En baissant si peu mon pantalon et ma culotte, j’avais à peine eu le sentiment d’avoir été déculotté. Quant à la fessée elle-même… et aller au coin sans avoir la culotte baissée ? Décidément tout cela était une première mais je n’allais pas m’en plaindre. Pour une punition, elle avait été toute petite. Pas de quoi m’inciter à ne pas recommencer.
Mais ma compagne intervint.
« Une seconde, je crois que cette fessée n’a pas suffi ! »
À elle aussi, la punition n’avait pas semblé assez rigoureuse. Elle me prit par le bras et elle me fit approcher. Aussitôt elle me courba sous son coude. La fessée commença. Une vraie fessée, je sentis immédiatement la différence. Les claques résonnaient dans la pièce et il ne lui fallut pas bien longtemps pour qu’elles soient accompagnées par mes cris de douleur. Je ne sais pas combien de temps je fus ainsi puni, mais c’était suffisant pour que je ressente la cuisson sur mes fesses.
« Passez-moi la brosse ! »
Ma compagne ne me donnait pas souvent la fessée avec une brosse et quand elle l’avait fait, elle avait retenu la force de son bras, épargnant mes fesses, comme si elle avait peur que l’utilisation de cet instrument dépasse la leçon qu’elle voulait me donner. Cette fois-ci, je n’en eu pas l’impression. Sans doute voulait-elle montrer au monsieur ce que c’était que de donner une vraie fessée ? La brosse entra en action et elle en fit bon usage.
La présence du monsieur dans mon dos ne m’importait plus. La rigueur du dos de la brosse qui tombait sur mes fesses occupait tout mon esprit. Je criais de douleur, mais je savais que cela n’arrêterait pas ma compagne. Il y avait une punition à me donner et ma compagne entendait bien que je la reçoive et qu’elle me serve de leçon.
Ce ne fut, malgré tout, pas une longue correction. Je ne sais combien de temps elle dura, mais je n’avais pas le loisir de l’apprécier. Enfin, ma compagne me remonta la culotte et le pantalon, couvrant mes fesses.
« Va au coin ! »
Je me dépêchais de m’y rendre et d’y prendre une pause qui permettait aux deux personnes qui se tenaient dans mon dos de m’oublier. Du moins je l’espérais.
Au bout de quelques minutes, la douleur s’estompa. J’eus alors tout le loisir de réfléchir. Une fessée, certes avec le dos de la brosse, mais c’était tout. Celle reçue en premier ne comptait pas. Au coin, bien sûr, mais pas avec la culotte baissée. Même ma fierté avait été relativement épargnée durant cette correction. Je ne m’en sortais pas si mal.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
 
 
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