Un bruit courrait dans la ville sur le recours systématique
à la fessée pour maintenir les employés dans des normes d’efficacité et de
comportements exigées par la direction. Les personnes qui s’autorisaient ces
commentaires approuvaient ces mesures. Cela donna un élan à ceux qui hésitaient
encore à recourir à ce châtiment pour punir les adultes qu’ils avaient sous
leur responsabilité.
Avec une fessée reçue dans le fameux supermarché, une autre
dans le magasin de Madame Schneider et celle reçue dans la rue, je faisais figure
de pionnier en matière de châtiment administré en public et en nombre de
fesseuses. Je commençais à ne plus arriver à compter sur les doigts des deux
mains le nombre de personnes qui m’avaient fessé.