La démonstration faite de ce qui
arrivait à un jeune adulte placé sous son autorité, Tatie Nathalie ne me laissa
pas longtemps au coin. Elle profita d’une pause dans la conversation pour
revenir à mon cas.
« Laissez-moi quelques
instants pour que je finisse de m’occuper du grand garnement qui se tient au
coin. »
Le silence se fit aussitôt. Si je
n’avais pas été au centre des conversations durant ces longues minutes passées
au coin, je l’étais resté, dans la tête de nos visiteurs. Leur attention se
focalisa de nouveau sur moi.
« Axel, je
t’attends ! »
Il n’y avait pas bien loin pour
me rendre à l’endroit où Tatie Nathalie m’attendait. Il n’était, bien
évidemment, pas question de désobéir. Mais le chemin qui m’y menait passait
entre les fauteuils dans lesquels Monsieur et Madame Moreau étaient assis. Je
passais à portée de main alors que mes bras, toujours croisés dans mon dos,
relevaient ma chemise au-dessus de mes reins. Lorsque j’avais fait le
déplacement dans l’autre sens, j’avais d’autres préoccupations. Là je ne
pouvais m’empêcher de songer au spectacle de mes fesses nues qui passaient sous
leurs yeux.
Je me plaçais devant Tatie
Nathalie, tout à sa disposition, pour ce qui, je l’espérais, serait le moment
du pardon.
« J’espère que cette fessée
t’a fait du bien.
– Oui, Tatie Nathalie.
– Es-tu décidé à faire attention
à ce que tu fais ?
– Oh, oui, Tatie, je vais
m’appliquer.
– Bon, viens me faire un bisou,
mon grand garçon, que je te pardonne. »
Tatie Nathalie me fit asseoir à
califourchon, face à elle, sur ses genoux. Elle m’entoura de ses bras et me
plaqua contre elle, posant ma tête sur son épaule. Je sentais le tissu de son
jean sous mes fesses nues que sa main caressait.
C’était une sensation étrange. J’étais
tenté de m’abandonner à ce câlin comme je le faisais habituellement tout empli
de la sécurité que représentait, pour moi, cette fugure d’autorité, mais la
présence d’étrangers gâchait mon plaisir. J’arrivais à oublier la présence de
Julie et de Mamie. Elles participaient elles aussi à me dispenser des câlins
après m’avoir fessé.
De savoir Monsieur et Madame
Moreau observant la scène derrière moi, provoquait un malaise que je n’arrivais
pas à dissiper. Ce n’était pas que le moment passé sur les genoux de Tatie
Nathalie confirmât sans doute possible théorie de Tatie Nathalie sur
l’importance de donner la fessée, y compris à un jeune adulte comme moi. Après
avoir reconnu la légitimité de la fessée qui m’avait été donnée et les
biens-faits qu’elle provoquait, me faire câliner, toujours à moitié nu, sur les
genoux de ma fesseuse, faisait tomber les derniers reliquats de mon statut
d’adulte. Cela parachevait ma transformation en petit garçon.
Je ressentais surtout une rancœur
rentrée à l’encontre de Florence et d’Antony. C’est l’injustice de la situation
qui me révoltait, sans que j’osasse l’exprimer. J’avais été puni et je
reconnaissais que cela avait été à bon escient. Si je regardais avec distance
les événements récents, je devais admettre que j’étais responsable de la
punition. Je m’étais mis tout seul dans cette situation. J’avais eu tout le
temps d’arriver à cette conclusion pendant que j’étais au coin : c’était
ma crainte de recevoir la fessée devant nos hôtes qui m’avait conduit à toutes
ces maladresses. Chez Tatie Nathalie, leur accumulation ne pouvait se solder
que par une fessée. Tout était en ordre.
Ce qui m’écœurait, ce que
Florence et Antony, alors qu’ils étaient bien plus jeunes que moi, avaient fait
bien pire que moi, mais ils n’avaient même pas été réprimandés. Ce n’était pas
tant d’avoir reçu la fessée devant eux qui me mortifiait, mais plutôt qu’eux
n’en avaient pas reçue une également alors qu’elle était amplement méritée.
C’était indéfendable à mes yeux.
Tatie Nathalie, fine lectrice de
mes états d’âme, sentit que je ne m’abandonnais pas totalement dans ces bras
comme je le faisais habituellement après une fessée. Elle murmura à mon
oreille, si bas que les autres ne pouvaient pas comprendre notre échange.
« Qu’est-ce qui ne va pas,
mon grand garçon ? »
Sa main se fit plus insistante
sur mes fesses.
« Rien, rien du
tout ! »
Sa main tapota sèchement le globe
fessier qu’elle caressait.
« Attention ! Je n’aime
pas les mensonges ! Tu sais comment cela finit avec moi !
Alors ? »
Je ne savais pas qu’elle serait
sa réaction si je faisais état du sentiment d’iniquité que je ressentais. Me
lancer dans l’improvisation d’une raison inventée de toute pièce me sembla
encore plus périlleux. Tatie Nathalie me donna une petite claque toujours sur
la même fesse.
« Alors, dit-elle plus
sèchement et un peu plus distinctement ? »
Ma bouche était tout près de son
oreille. Je pouvais parler si bas qu’elle serait seule à entendre ce que je
disais.
« C’est pas juste !
– Qu’est-ce qui n’est pas
juste ? Que je t’aie donné une fessée ? Elle n’était pas
méritée ?
– Si, ce n’est pas ça.
– Quoi alors ?
– Que les deux autres, n’aient
pas été punis.
– Tu penses qu’eux aussi ont
mérité une fessée ?
– Oui ! Si j’avais fait ce
qu’ils ont fait, tu aurais été très sévère avec moi. Alors que là,
rien ! »
La main de Tatie Nathalie se fit
plus insistante sur mes fesses, à la limite de la fessée.
« Mais pour qui te prends-tu
pour décider si quelqu’un d’autre a mérité une fessée ? Faut-il que je
t’apprenne à t’occuper de tes affaires ? »
J’enfouis mon visage dans le creux
de son épaule et je me serrais plus étroitement contre elle. Avais-je été trop
loin ? A sa voix, je ne la sentais pas en colère, ce qui me donnait
l’espoir qu’une nouvelle fessée n’était pas au programme. Elle chuchota dans
mon oreille :
« Ne t’inquiète pas. Je n’ai
pas dit mon dernier mot. Je ne crois pas que ces deux insolents vont quitter ma
maison sans avoir des fesses correctement rougies. Il me faut juste un peu de
temps, mais je crois que nous sommes bien partis. »
Tatie Nathalie me fit un bisou et
je me laissais aller sans retenue dans ses bras, goûtant la caresse de sa main
qui, glissée sous ma chemise, remontait dans mon dos. Elle avait raison. Ce
n’était pas à moi de me préoccuper de ces questions. Je pouvais faire confiance
à son sens de la justice.
Tatie Nathalie me garda un petit
moment dans ses bras, pendant que la conversation reprenait, comme si je
n’étais pas là et comme si mes fesses nues n’étaient pas exposées devant tout
le monde. Puis Tatie Nathalie mit fin à ce moment.
« Debout, que je te rhabille ! »
Tatie Nathalie m’avait remonté la
culotte quand elle fut interrompue par Madame Moreau.
« J’ai vu que ses fesses
étaient épilées. Est-ce vous qui en avez décidé ?
– Ah, l’épilation ! Oui, je
trouve ça plus pratique pour faire sa toilette. Je vais vous montrer. »
Elle me prit par le coude et me conduisit
devant Madame Moreau. Là, sans prévenir, elle baissa ma culotte. J’eus un
mouvement de recul auquel une claque sur mes fesses mit fin.
« Relève le devant de ta
chemise ! »
J’exécutais son ordre tout en
rougissant. Tatie Nathalie me traitait comme un enfant, ignorant ma pudeur.
Elle saisit mon sexe et le souleva pour dégager la vue sur mon entre-jambe.
« Il y a, en fait, deux
raisons. La première c’est que je peux plus facilement contrôler son hygiène
intime quand il n’y a plus de poils. Chaque matin, quand je lui donne sa
douche, je peux vérifier qu’il est bien propre et qu’il n’y a pas de petits
bobos qui apparaissent du côté de ses fesses. La deuxième, c’est que quand je
le déculotte pour une fessée, avec ses fesses glabres, il ressemble bien plus à
un petit garçon qu’à un adulte. C’est ce qu’il est dans la réalité, bien que
son âge semble dire le contraire. Il est resté un enfant dans sa tête.
L’absence des poils nous aide, lui comme moi à nous en souvenir. »
Tatie Nathalie rangeait mes
parties génitales à droite, puis à gauche, en haut puis en bas pour bien
montrer ma peau nue.
« Et puis, je dois avouer
que quand je m’occupe de son hygiène intime, je trouve bien plus agréable le
contact avec une peau toute douce qu’avec une touffe de poils hérissés. »
Tatie Nathalie glissa sa main
dans mon entre-jambe, caressant l’intérieur de mes cuisses et finissant sur mes
testicules.
« Tenez, dit-elle, touchez,
vous verrez comme c’est doux.
– Vous croyez que je peux ?
– Si je vous le propose, c’est
qu’il n’y a pas de problème ! »
Madame Moreau passa sa main entre
mes jambes et Tatie Nathalie laissa mes testicules et mon pénis tomber sur son
poignet.
« Les garçons, même quand
ils sont grands ont toujours tendance à négliger leur propreté ou à considérer
que si c’est à peu près propre, c’est suffisant. Depuis qu’Axel bénéficie d’une
surveillance attentive pendant sa toilette, je suis certaine qu’il est
impeccable. Vous devriez en faire autant avec votre garçon.
– Oui, sans doute, vous avez
raison. »
Tatie Nathalie me reculotta. Madame
Moreau semblait un peu dépassée par ce qu’elle avait découvert en venant chez
Tatie Nathalie.
« Quant à votre fille, elle
me semble être une petite peste qui n’a pas appris quelle était sa place. Il
serait temps que vous le lui appreniez !
– Vous croyez ? »
Madame Moreau jeta un regard à
ses enfants, puis à son mari.
« Qu’en penses-tu,
Jean ? »
Jean était tout aussi indécis que
sa femme.
« Je ne sais pas, …
peut-être, …
– On pourrait essayer,
non ? »
Finalement, c’était Madame Moreau
qui avait pris la décision. Tatie Nathalie s’engouffra dans la brèche.
« Voici une décision que
vous auriez dû prendre depuis longtemps. A la prochaine incartade, n’hésitez
pas : une bonne fessée. Vous m’en direz des nouvelles ! »
L’indécision qui avait
caractérisé la pensée de Madame Moreau était maintenant remplacée par un
enthousiasme débordant.
« Vous avez raison. Une
bonne fessée ! »
Florence et Anthony avaient
écouté ce dialogue sans dire mot, marquant de plus en plus ouvertement leur
désapprobation. Comme cela semblait l’habitude, c’est Florence qui prit
l’initiative.
« Non mais tu es
malade ? Tu crois que je vais te laisser me donner une fessée ? Même
dans tes rêves, c’est inutile d’y penser !
– Non mais pour qui elle se prend
la vieille, renchérit son frère ? »
Tatie Nathalie regarda Madame
Moreau qui restait bouche ouverte sans réagir. Elle prit la même voix que quand
elle me grondait.
« C’est le moment !
Vous ne pouvez plus reculer. Il en va de votre crédibilité.
– Mais, comment faire ?
– Et s’ils ne se laissent pas
faire, rajouta son mari. »
Tatie Nathalie secoua la tête,
désolé d’autant de renoncement.
« Je crois qu’il est
préférable que je m’en charge ! »
Je vis un éclair de soulagement
dans les yeux des deux parents. Ils s’en remettaient à l’expérience de leur
voisine.
« Florence et Anthony, vous
allez vous lever et venir présenter vos excuses d’abord à vos parents, puis à
toutes les autres personnes qui ont été témoins de vos insolence. Puis, vous
aurez une fessée chacun. »
Je les vis tous les deux hésiter.
Ils se regardèrent, puis croisant les bras sur leur poitrine, ils affichèrent
un air méprisant.
« Je vais compter jusqu’à
trois, reprit Tatie Nathalie. Si à la fin de mon décompte, vous n’êtes pas
chacun devant l’un de vos parents, vous serez punis également pour cette
désobéissance. »
Florence leva les yeux au ciel.
« Un, … deux, …
trois ! »
Ni l’un ni l’autre n’avait bougé.
« Maman, demanda Tatie
Nathalie, il faut que nous nous en chargions. »
De concert, les deux femmes
fondirent sur les jeunes gens. Mamie attrapa l’oreille d’Anthony et Tatie
Nathalie celle de Florence, ce qui fut accueilli par deux cris de douleur, mais
durent suivre les mains qui leur tordait l’oreille. Mamie et Tatie Nathalie
prirent les deux places sur le canapé qu’ils venaient de libérer. Puis elles
coincèrent les deux jeunes adultes debout entre leurs cuisses qu’elles avaient
refermées sur les genoux de celui qui se tenait devant elle.
Quand elles relâchèrent le pinçon
sur leurs oreilles, Florence et Anthony tentèrent de se libérer. Ils ne purent
faire un seul pas tant ils étaient solidement maintenus en place. Leurs efforts
leur firent presque perdre l’équilibre, que Mamie et Tatie Nathalie rétablirent
en attrapant les mains qui se tendaient pour amortir une chute probable. En un
geste coordonné, elles firent passer les deux bras dans le dos, immobilisant
les deux chenapans.
Mamie, tenant les deux poignets
d’Anthony dans son dos d’une seule main, utilisa l’autre pour déboucler sa
ceinture. Le garçon tentait de libérer ses mains, mais je n’avais pas
l’impression qu’il osait aller au bout de son geste. Il se tortillait devant
Mamie afin de se plier en deux et rendre plus difficile l’accès aux boutons de
son pantalon. Mamie releva ses poignets dans son dos et il fut obligé de suivre
le mouvement. Mamie déboutonna la taille du pantalon, puis elle entreprit de
faire pareil avec les boutons de la braguette.
Florence luttait de toutes ses
forces. Quand Tatie Nathalie lâcha une main pour pouvoir la déculotter, elle se
libéra et chercha à écarter les jambes qui la maintenaient sur place. Tatie
Nathalie reprit les deux mains et les plaça de nouveau dans le dos de la jeune
fille. Une nouvelle fois, celle-ci se libéra. Tatie Nathalie asséna une claque
monumentale sur la cuisse de Florence qui accusa le coup. Tatie Nathalie
changea de tactique.
« Julie, viens m’aider à
déculotter cette péronnelle ! »
Julie n’hésita pas. Je crois que
nous étions tous désireux de voir cette insolente jeune fille en place pour y
recevoir une des fessées dont Tatie Nathalie avait le secret. Si elle me
l’avait demandé, j’y serais allé volontiers.
« Julie, tiens-lui les mains dans le
dos. »
Julie s’empara des deux poignets
qu’elle remonta dans le dos, à la limite de ce que permettaient les
articulations de bras.
« Aïe, vous me faites
mal !
– Arrête de bouger et cela ira
beaucoup mieux, répliqua Julie ! »
Tatie Nathalie avait réussi à
déboutonner le pantalon. La fermeture éclair de la braguette suivit dans le
même mouvement. Florence fit une nouvelle tentative pour se libérer que Julie réprima
en tordant un peu plus le bras.
« Ah, cria la jeune
fille ! Vous m’avez tordu le bras !
– Ne soit pas si douillette, ce
n’est rien à côté de ce que vont endurer tes fesses dans quelques instants. Tu
devrais garder ton souffle pour ce moment-là ! »
Mamie était venue à bout du
pantalon qu’elle avait baissé sur le haut des cuisses. Anthony se laissait
faire, comme s’il s’y était résigné. Il répétait en boucle une litanie sans
fin.
« Oh, non, pardon, je ne le
ferai plus. Oh, non, pardon, pardon. Non, non, non, … »
Mamie prit l’élastique de la
culotte qu’elle baissa lentement, en prenant soin de lui faire parcourir
quelques centimètres à chaque fois, régulièrement tout autour des fesses, puis
des jambes, comme si elle ne voulait pas froisser le sous-vêtement.
« Je vais te lâcher les
mains et les jambes. Tu vas venir t’installer gentiment à plat ventre sur mon
genou. »
Elle tapota sa cuisse gauche.
« Si je dois t’y mettre de
force, je ne l’oublierai pas pendant ta fessée ! Elle sera bien plus
sévère ! »
Anthony ne tenta pas d’autre
geste que de se courber pour s’allonger là où Mamie le lui avait ordonné. Sa
litanie n’avait pas cessé.
« C’est bien, mon garçon, le
félicita Mamie. »
Mamie passa le bras gauche du
garçon derrière son dos et elle remonta le droit dans le dos tout en relavant
la chemise, dégageant largement les fesses. Elle se pencha pour baisser le
pantalon d’Anthony en dessous des genoux et la culotte en bas des cuisses. Puis
elle posa sa main sur les fesses qu’elle s’apprêtait à châtier.
« Nous allons attendre que
ta sœur soit prête. Sois sage ! »
Elle tapotait doucement les
fesses qu’elle avait sous la main. Toute la surface de peau était couverte de
chair de poule.
Le déculottage de Florence ne
prit plus beaucoup de temps. Tatie Nathalie pouvait maintenant utiliser ses
deux mains. Je ne sais pas si Florence avait renoncé à lutter ou si la prise de
Julie dans son dos la contraignait à l’immobilité. Elle ne fit plus une
tentative pour s’opposer à son déculottage. Tatie Nathalie baissa le pantalon,
puis la culotte suivit le même chemin.
« Vous n’avez pas le droit
de me déculotter. Vous m’obligez à m’exhiber en public. C’est un abus sexuel.
Je porterai plainte !
– Je te vois tout à fait
expliquer devant un tribunal que tu as reçu une fessée déculottée pour avoir
été insolente. Je pense que cela te fera une excellente réputation. A ta place,
je me ferais discrète sur la question, mais c’est toi qui vois. »
Florence resta silencieuse. Elle
méditait les paroles de Tatie Nathalie, jaugeant la possibilité de rendre
public la fessée que manifestement elle allait recevoir.
« Aide-moi à la mettre en
place ! »
Florence pesait peu face à ces
deux personnes résolues, plus grandes et plus costaudes qu’elle. Julie poussa
sur le dos de la jeune fille qui dut se courber jusqu’à se retrouver allongée
sur la cuisse de Tatie Nathalie. Celle-ci prit le relais de Julie, en
maintenant le bras droit plié dans le dos.
« Passe son bras gauche dans
mon dos, je n’aurai plus à m’en occuper. »
Julie y arriva sans effort. Tatie
Nathalie resserra son étreinte sur le buste de Florence, la plaquant
étroitement contre son flanc. La jeune femme tenta de glisser son bras dans un
interstice, ce qui se révéla vain, puis elle essaya de se redresser en prenant
appui sur les coussins. Ce n’était pas un levier assez solide. Une petite
poussée de Tatie Nathalie sur son dos la remit en place.
« Baisse le pantalon et la
culotte un peu plus bas ! »
Julie dut forcer un peu, car
Tatie Nathalie ne relâchait pas la pression sur les cuisses de la jeune fille.
Inéluctablement, le déculottage arriva à terme. Florence fit deux ruades de
suite. En vain.
La main de Tatie Nathalie se
leva, prit de la vitesse et atterrit sur les fesses de Florence en faisant un
bruit assourdissant. Presqu’aussitôt, la main de Mamie sur les fesses d’Anthony
lui répondit. Les deux femmes fessèrent en rythme un bon moment. Aux claques de
Tatie Nathalie, succédaient celles de Mamie, comme un écho.
Puis, Tatie Nathalie ayant fait
une pause pour replacer Florence correctement sur son genou, la belle harmonie
du début se désagrégea. Tatie Nathalie, comme pour rattraper le retard pris,
tenait un rythme un peu plus rapide.
Anthony avait réagi à la fessée,
presque depuis le début, par des cris qui se transformèrent rapidement en
pleurs. Il ne cherchait pas à les contrôler. Florence resta muette un bon
moment. Elle ne laissait échapper qu’un petit grognement qu’elle parvenait à contenir
en serrant les dents. Elle avait compris que les cris et les pleurs
marqueraient sa défaite totale. Elle luttait pour ne pas en arriver là.
Malheureusement, Tatie Nathalie
était arrivée à la même conclusion. Face au peu de réaction que provoquait la
punition qu’elle administrait, je la vis appuyer bien plus fortement, les
claques qu’elle donnait. Si les fesses du garçon étaient indéniablement
rougies, celles de Florence étaient déjà écarlates.
Elle consacrait une bonne partie
de son énergie à laisser ses jambes serrées l’une contre l’autre afin de
dissimuler, autant qu’elle le pouvait, ses parties intimes. Elle avait encore
des exigences de pudeur que je savais qu’elle ne tiendrait plus bien longtemps.
Florence avait résisté bien au-delà
de ce qui était raisonnable. Comme un barrage qui cède, ses pleurs éclatèrent
soudainement pour ne plus cesser. C’était de gros sanglots bruyants qui
sortaient du plus profond de sa gorge. Battant des pieds, écartant les jambes
de façon incontrôlée, pleurant comme elle ne l’avait sans doute plus fait
depuis de nombreuses années, mais sans chercher à se libérer, elle avait tout
d’une petite fille recevant une bonne fessée méritée.
Tatie Nathalie sourit. Elle était
arrivée à ses fins. La double punition continua encore un bon moment, puis
Tatie Nathalie cessa la fessée. Mamie l’imita. Bien que libérés des mains qui
les maintenaient en place, aucun des deux ne chercha à se lever. Ils étaient
accaparés par la douleur qui provenait de leur postérieur.
Je connaissais bien ce sentiment
à la fin d’une fessée quand la gratitude d’avoir mis fin à la punition se mêle
aux élancements brûlants émanant de son postérieur. Nul n’a alors envie de
défier celui sur les genoux duquel on repose encore.
« Qu’en penses-tu Maman,
pour une première fois, c’est assez représentatif de ce que peut donner une
fessée, non ?
– Oui, je pense que ces deux
insolents s’en souviendront. »
Pour faire bonne mesure, Mamie
rajouta une claque sonore qu’Anthony souligna d’un cri désespéré.
« Je propose que, pour le
moment, tu en restes là avec le garçon allongé sur tes genoux. Garde-le dans
cette position pendant que j’en finis avec la chipie que je tiens sur mes
genoux. »
Peter Pan continue sa pause cette semaine encore. Toujours pas de dessin
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
De l'usage des commentaires
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