Travail bâclé ? C'est la fessée

Vous savez, Mademoiselle, les standards de travail dans cette entreprise sont des plus élevés. Nous souhaitons être les leaders sur notre marché en matière de relation et de service rendu à nos clients. C'est notre marque de fabrique et nous y tenons.

C'est pourquoi nous sommes très sélectifs avec tous nos employés. Nous exigeons d'eux qu'ils s'investissent totalement dans leur travail et en particulier qu'ils mettent un point d'honneur à satisfaire nos clients. Aucune réclamation ne peut être négligée. "Le client a toujours raison, même quand il a tort", c'est un adage que nous mettons en œuvre tous les jours.

Cela fait plus de dix ans que je travaille ici, dont huit comme cheffe du service après-vente. J'avais vu beaucoup d'attitudes discutables de la part de nos employés, mais j'avoue que vous avez poussé l'impudence bien plus loin qu'aucun d'entre eux ne l'avait osé jusqu'à maintenant.

Expliquer, à l'un de nos plus gros clients, en terme fleuris, que s'il n'est pas content, il peut aller voir ailleurs... avouez que c'est une attitude extrême qui nécessite un traitement approprié à la hauteur de votre insolence.

Quand on m'a informé que vous seriez affectée à mon service, j'ai d'abord refusé. Chacun connaissait votre réputation avant que vous n'arriviez dans cette entreprise. Vos frasques étaient bien connues de tous. Avoir sous sa responsabilité la fille du patron, une petite peste qui a toujours eu plus d'argent qu'elle en pouvait en dépenser et à qui on a passé tous ses caprices depuis qu'elle est toute petite, vous comprenez que cela ne me réjouissait guère.

C'est votre nouvelle belle-mère qui m'a convaincue d'accepter. Il paraît que cette idée, de vous obliger à gagner votre vie en travaillant, vient d'elle et qu'elle a obligé votre père à accepter. Il semble qu'elle ait beaucoup d'influence sur lui.

Elle m'a assuré que j'aurai toute autorité sur vous et que, faute de pouvoir vous renvoyer ce qui correspondrait bien trop à vos désirs, je pourrais, quand je le jugerai nécessaire, vous administrer ce qui vous a manqué dans votre enfance : une bonne fessée déculottée à chacun de vos écarts. A trente-quatre ans, il était temps de s'y mettre !

C'est elle qui m'a offert cette palette à fesser en me demandant d'en faire un usage immodéré sur vos fesses. C'est la première fois que je m'en sers. Je vois qu'elle est d'une redoutable efficacité. Qu'en dites-vous ? Non, non, inutile de répondre, je vois bien que c'est la cas. Des cris, des larmes, des jambes qui dansent la sarabande... pas de doute, vous retiendrez cette leçon !

Dès que je serai certaine d'avoir fait impression, vous irez au coin, dans mon bureau. Votre culotte restera là où elle est et vous ferez en sorte que chaque personne qui entrera dans mon bureau puisse admirer la belle couleur rouge de vos fesses. Si je vous vois bouger d'un seul centimètre ou émettre le moindre bruit, vous reviendrez faire un nouveau tour à plat-ventre sur mes genoux. Ce sera sans délai, quelles que soient les personnes présentes à ce moment-là.

Une bonne heure dans cette position suffira avant que vous ne retourniez travailler. Vous commencerez par présenter vos excuses à tous les collègues avec qui vous partagez votre bureau pour vos écarts d'humeur intempestifs, pour votre paresse récurrente et pour les avoir obligé à réparer vos bévues. Vous leur expliquerez comment vous avez été punie.

La prochaine fois que vous aurez mérité une fessée, je ne vous ferai pas venir dans mon bureau. Vous serez déculottée et fessée en présence de vos collègues et c'est sous leurs yeux que vous ferez votre temps de pénitence au coin.

Ce sera une règle, désormais. Vous recevrez la fessée là où l'un de vos écarts sera constaté, quels que soient le lieu, le moment ou les personnes qui en seront témoins. 

J'envisage également de demander à Madame Gaillard, la plus âgée de vos collègues, de me suppléer quand je serai absente. Elle aura les mêmes droits que moi pour vous corriger quand elle le jugera nécessaire.

Puisque nous parlons de prochaine fois, j'attends de vous une plus grande collaboration quand j'aurai décidé de vous fesser. Plus question que je doive vous allonger de force sur mes genoux et que vous tentiez de m'empêcher de vous baisser la culotte. Vous avez vu que cela ne sert à rien.

Si vous persistez, vous aurez désormais le droit à une deuxième fessée. Je peux vous promettre que dans ce cas, elle sera bien plus sévère que la première.

Ensuite, la première chose que vous ferez, ce sera de rappeler votre correspondante, celle auprès de qui vous avez été insolente. Vous lui expliquerez, à elle également, comment je vous ai corrigée. Vous lui direz que si elle le souhaite, vous pourrez vous présenter dès demain à son bureau pour qu'elle vous administre une sérieuse fessée.

Puis vous réglerez tous ces dossiers litigieux qui attendent sur votre bureau. Interdiction de partir ce soir avant qu'ils aient tous été traités. Vous viendrez me montrer avant de partir où vous en serez et si je ne suis pas satisfaite de votre travail, je sévirai. Vous savez maintenant ce que cela signifie pour vos fesses.

Comme j'en ai convenu avec elle, vous apporterez, à votre belle-mère, un courrier que je rédigerai. Il lui fera part de la fessée que j'ai dû vous donner. Vous me le rapporterez demain, signé de sa main. N'oubliez pas, cela vous vaudrait une sérieuse punition dès votre arrivée !

Si j'en crois ce qu'elle m'a dit du nouveau régime domestique qu'elle vous impose, vous serez fessée ce soir également. Elle s'en chargera elle-même ou elle confiera cette tâche à la bonne qui a maintenant autorité pour vous fesser vos deux frères et vous quand elle le juge nécessaire : colère, caprices, rangement approximatif, insolences, propreté approximative, hygiène corporelle déficiente... les motifs ne manquent pas.

Je comprends que ce soit difficile d'être déculottée et corrigée par des personnes plus jeunes que vous. Quel âge à votre belle-mère ? Un peu moins de trente ans. Et la bonne ? Une dizaine d'année de moins que vous. Là n'est pas la question. Si elles sont moins âgées que vous elles sont bien plus matures.

Il est vrai qu'en matière d'enfantillage, vous et vos frères, vous battez tous les records : vous avez arrêté de grandir dans votre tête alors que vous aviez sept ou huit ans. Il est temps que vous rattrapiez les années perdues !

Grand merci au dessinateur anonyme!

Connaissez-vous le nom de la personne qui a commis ce dessin ? Notre grand concours est relancé. Qui sera le premier à le dévoiler.
Qu'y a-t-il à gagner ? Nos remerciement les plus chaleureux !

Au travail aussi la fessée a toute sa place

                                                   

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