Décidément, l'année scolaire débutait mal. Maman repoussait involontairement le moment où elle m'enverrait en "stage scolaire" chez les Religieuses. En attendant, mes chères grandes soeurs se proposaient de seconder Maman dans sa tâche d'éducatrice. "Poigne de fer et séduction !" (clin d’œil à la série TV de ma jeunesse...)
Il y a d'autres dessins de Peter Pan sur ce blog
Le prochain ?
Un peu de patience, ça arrive mercredi prochain ... euh, non, dimanche, enfin, peut-être ! Vous verrez, il arrivera bien un jour.
Bonjour à vous...
RépondreSupprimerWouah !! Quelle fessée !!! Pauvre Gérome ! Il est incorrigible !
Si Maman l'envoie chez Ma'me Gladys, ça va piquer !! N'en doutons pas que cette brave mère de famille se fera une joie non dissimulée de "prêter main forte" à sa voisine. Solidarité maternelle !
A moins que les "grandes sœurs" s'en chargent à sa place ?
Belle et redoutables ! Telle mère, telles filles ! Rires.
Peter'.
Bonjour,Peter.
RépondreSupprimerAh, cher ami, la solidarité... un concept en voie de disparition dans une société de plus en plus individualisée !! Heureusement la pratique de la fessée entretien la notion de partage. L'échange de paires de fesses à corriger se fait naturellement chez les adeptes inconditionnelle de la méthode forte.
A entendre claquer les fessées d'une maison à l'autre, surtout Gladys et Edwige qui habitent l'une en face de l'autre et fessent souvent la fenêtre ouverte pour que ça se sache ( voir CDAMF saison 2, à venir... hi, hi, j'entretiens le suspense !!!) ça va bien finir par arriver !
Gladys ne manquera pas l'occasion de se faire la main sur le derrière bien entretenu de Gérôme! Il est bon que les fessiers changent parfois de correctrice pour éviter l'accoutumance!
Cordialement
Ramina
je ne sais pas si la solidarité existe en cas de fessées ... cela fait toujours rire ou sourire celles et ceux qui ne la reçoivent pas, quant à celles et ceux qui la reçoivent ou l'ont reçu, c'est une autre affaire ...
SupprimerBonjour Ramina,
RépondreSupprimerBon retour !
Voilà un programme bien piquant qui s'annonce !
On piaffe d'impatience. Rires.
On entend déjà le crépitement des claques... au coin du feu... tout en dégustant thé et châtaignes grillées. Sur un air d'Offenbach...
Le thé du jeudi chez l'une de ces dames est annoncé....
Mais pour l'instant, les vacances de Gérome s'annoncent... cuisantes.
Ce pauvre Gérome qui ne saura plus, tout comme Robin, où donner de la fesse, enfin de la tête, devrais-je dire.
"Il est bon d'être charitable mais envers qui, c'est là le point..."
(La Fontaine : "le Serpent et le Villageois" , livre IV - qu'est ce que j'ai pu m'amuser à illustrer les fables, avec un trait moins sûr qu'aujourd'hui. Belle époque pour moi. Est-ce que les Fables de ce bon Monsieur De La Fontaine sont encore enseignées de nos jours ? Un chef-d'oeuvre de notre patrimoine ! Excuser ce Hors-sujet...).
Bon dimanche. Peter'.
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerAh toute la poésie automnale du crépitement des claques sur les fesses et ... des châtaignes!!!
Je ne sais pas si les fables de la Fontaine sont encore enseignées de nos jours, mais je penses que les lecteurs du blog seraient sans doute intéressés par les fessées administrées dans les romans de la Comtesse de Ségur. "Les malheurs de Sophie " ou "Un bon petite diable". Ou encore "Emile ou de l'Education" de JJ. Rousseau et la fessée administrée par Melle Lambercier..
Effectivement Juves... on sent l'expérience du vécu dans vos propos. La solidarité entre fesseuses (eurs) n'est pas forcément bienvenue lorsqu'on se retrouve déculotté à plat ventre sur des genoux en train de subir! La séquence où Geneviève invite sa jeune collègue à prendre le relai pour administrer une troisième fessée à de son pensionnaire en est la cuisante illustration... Abondance de bien ne nuit pas... dans ce cas de solidarité féminine, peut-être un peu quand même!
Cordialement
Ramina
je voulais parler de la fessée par celles et ceux qui la reçoivent et non la solidarité entre fesseuses et fesseurs toujours prêts à se relayer en cas de manque de motivation ou de fatigue ...
SupprimerBonjour Ramina,
RépondreSupprimerVous avez vous aussi parcouru les romans de cette chère Comtesse de Ségur, figure incontournable de la littérature pour la jeunesse.
Elle débuta sa carrière d'écrivain/e à un âge avancé et sa verve fut prolifique. Le thème de l'enfance maltraitée par les adultes apparaît souvent dans ses romans.
Quant à JJ Rousseau, l'épisode de la fessée de Mlle Lambercier reste un classique de la fessée dans le cadre de l'éducation (qui est extrait des "Confessions" me semble t-il).
J'ai étudié au Bac (1985) deux extraits de ces œuvres : "les Rêveries d'un promeneur solitaire" et "le Contrat social".
Le roman "un Bon petit diable" fut adapté deux fois pour la TV: en 1960 par Claude Santelli et en 1983 par le comédien/réalisateur J-C Brialy qui offrit le rôle de la redoutable Léontine Mac-Miche à la comédienne Alice Sapritch.
Ah elle en fait couler de l'encre cette sempiternelle claque fessière. Rires.
Bonne soirée. Peter'.
Bonjour messieurs,
RépondreSupprimerToujours intéressant notre cher Peter "encyclopédiste". ( Et pour être précis, je crois que la fessée et Rousseau ça doit être dans "Emile ou l'Education"... Bref, on fesse dans la littérature. Judicieux de rappeler l'intérêt que certains auteurs portaient à l'importance des claques aux fesses comme méthode d'éducation.
Voici notre sujet de prédilection référencé, en rapport avec une culture littéraire qui tombe progressivement en désuétude sous l'empire ,entre autres, des nouvelles technologies. Envahissantes, suffisantes, dopées à l'intelligence artificielle ou augmentée... Quand il ne s'agit pas des recherches frénétiques sur le transhumanisme!!! ( Oui,je sais ça n'a rien à voir mais j'en profite quand même !) On est très loin de la comtesse de Ségur ! Oula la... Quel avenir radieux!!
Heureusement il reste encore la simplicité et le goût du travail manuel bien fait, dans la pratique revigorante et réchauffante des fessées à la main! Pas besoin d'intelligence augmentée pour flanquer une bonne fessée déculottée et rougir une paire de fesses!
Et ce "bon petit diable" qui mettait un journal dans sa culotte en espérant amortir les fessées!!! Ce qui lui en valait une autre sur le champ!
Cordialement
Ramina
Bonjour,
SupprimerJ'abonde dans le sens de Ramina, sauf pour un point : la fessée de Mademoiselle Lambercier, c'est dans les confessions. Médiapart en témoigne : https://blogs.mediapart.fr/alexandra-basset/blog/030315/rousseau-la-fessee-de-mademoiselle-lambercier
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir messieurs,
RépondreSupprimerA l'époque de la Comtesse, la littérature d'outre-Manche comptait des auteurs qui décrivaient une société en mutation et ses misères.
Dans le domaine qui nous intéresse, citons l'écrivain Charles Dickens connu pour son triste roman intitulé "Oliver Twist, qui fut adapté là-bas au cinéma.
Le récit 67 me fait penser à cette scène au début du film tragi-comique intitulé "Le Bal des Vampires" (de 1968 avec Roman Polanski. Excellente parodie du genre. Bref).
La scène du bain où la fille (miss Tate) de l'aubergiste Chagal se fait fesser sur les genoux de son père "pour excès de bain" !!!!
Même en plein 1968, les traditions sont conservées !
Bonne fin de soirée. Peter.
Cher amis,
RépondreSupprimerBien, bien... Je confesse l'approximation de mes références.
Alors que de plus en plus d'individus n'ont d'autre sujet principal de conversation que les performances de leur portable et s'ils ont bien le dernier modèle qui sort tous les trois mois, il subsiste quelques illuminés un peu lettrés, passionnés de fessées, qui ferraillent pour savoir exactement dans quel essai JJ. Rousseau à reçu la sienne de Melle Lambercier!!!
Et pourtant on vit dans le même monde!!! Ah, ça vaut tout de même son pesant de claques aux fesses non !
Cordialement
Ramina.
* Je crois aussi qu'une jolie Dame ( Maureen O'Hara )reçoit une célèbre fessée de la main de John Wayne, en personne, dans le film "Le grand Mac'Lintock" de 1963. Et il y en a bien d'autres...
Bonsoir Ramina,
SupprimerErrare humanum est !
Quel joli sujet de dissertation cela ferait:
"la fessée : thèse et anti-thèse. Vous avez trois heures" . Rires.
Il y a aussi, me semble t-il, la même scène dans "l'homme tranquille" (ou "la taverne de l'Irlandais". A vérifier.)
L'actrice Maureen O'hara était sa partenaire attitrée à l'écran dès 1938 (La Charge héroïque) de J.Huston. (Comme le fut Olivia de Havilland avec Errol Flynn).
le cinéma doit recéler quelques bonnes fessées...
Bonne soirée. Peter.
Bonsoir,
SupprimerIl me semble que dans ce même film, ce n'est pas une fessée, mais deux. Yvonne de Carlo, qui joue la fille de Mc Lintock en reçoit une de la part de Patrick Waine (fils de John Waine).
Remarquez qu'il s'agit toujours des hommes qui donnent la fessée.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Exact, Maureen reçoit également une fessée dans l'homme tranquille.
SupprimerAu plaisir de vous lire/
JLG.
je crois que le rôle de la fille du couple Mc Lintock est tenu par Stéphanie Powers et que c'est elle qui est fessée par Patrick Wayne
SupprimerC'est exact. Toutes mes excuses pour cette erreur. J'espère que ça me mérite pas une fessée.
SupprimerAu plaisir de vous lire,
JLG.
sans oublier, toujours avec John Wayne et Elsabeth Allen, le film "la taverne de l'irlandais" avec la fessée final de l’héroïne"
SupprimerBonjour Juves-Fandor,
SupprimerMes sources étaient fondées. Je n'ai plus revu ces films avec le "Duke" depuis une trentaine d'années. Mais les scènes de fessées sont restées gravées.
Bonne journée. Peter'.
Bonjour Messieurs,
RépondreSupprimerIl y a un film dans lequel aucune fessée n'est donnée entre partenaires à l'écran: il s'agit de "Julie Pot-de-Colle".
Une comédie comme on savait en faire datant de 1976 et réunissant JC Brialy et Marlène Jobert ("Les mariés de l'An II", passé cet été sur ARTE). L'affiche de présentation montre Mr Brialy en homme d'affaire fessant sur son genou miss Jobert en robe longue. Mais dans le long métrage, de fessée : point. Dommage pour les passionnés .
Bonne journée. Peter'.
Bonjour,
SupprimerSuite à cette analyse filmographique, permettez-moi de vous faire remarquer que dans aucun de ses films, c'est la dame qui donne le fessée et un Monsieur qui la reçoit.
Le patriarcat règne toujours sur la famille. A croire que ces Messieurs ne méritent jamais une bonne correction.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour messieurs,
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec JLG.
Les femmes reçoivent des fessées que les hommes administrent. Reflet d'une époque où la femme réduite à l'accomplissement des taches domestiques est plutôt soumise au mâle dominant, fessées à l'appui.
Les films cités sont, pour la plupart, des Westerns. Affaires d'hommes où, à quelques exceptions près, les rôles féminins sont soit des prostituées au saloon, soit des femmes au foyer fragiles et vulnérables protégées par de virils et courageux cowboys...
Bref, on patauge dans un machisme solidement implanté dans un inconscient collectif indécrotable.
Il ne reste plus qu'à" prendre les choses en mains". Hi, HI! Renverser les rôles en rétablissant l'équilibre, dans nos récits, en mettant en scène de belle femmes fortes, sévères, autoritaires, administrant, à leur tour, les cuisantes et claquantes fessées que ces messieurs méritent aussi. ET que ça chauffe !!( Sourires compatissants )
L"implacable récit " Journée fesses rouges" récemment publié en est un magnifique et...cuisant plaidoyer. Exemplaire!!!
Cordialement
Ramina