A compter de ce jour, il fut admis que lorsque qu’un client
venait poser une réclamation, il lui était proposé de fesser celui d’entre nous
qui était à l’origine de la bévue. Nous avions principalement des clientes.
C’était normal compte tenu des produits que nous vendions. La plupart d’entre
elles acceptaient et nous nous recevions assez régulièrement une correction
dont la sévérité était proportionnée au mécontentement du client via à vis de
notre prestation.
La différence d’âge avec les requérantes n’était pas un
critère pris en compte. Même les plus jeunes d’entre elles disposaient, sous
l’autorité de Madame Colas, du droit de nous fesser. Les moins dégourdies
avaient besoin d’une supervision de notre cheffe de bureau qui devait leur
expliquer en détail de quelle façon il fallait s’y prendre, mais c’était assez
rare. Parfois, il suffisait d’un encouragement au début de la correction afin
de ne pas hésiter à y mettre de l’énergie et rapidement la cliente trouvait une
autonomie. Le plus souvent, il suffisait d’évoquer la possibilité d’une fessée
pour que la personne à qui on le proposait, passe à l’acte de son propre chef.
La réputation de notre société sur ce sujet augmenta en même
temps que son chiffre d’affaire. Les clientes mécontentes arrivaient de plus en
plus souvent en revendiquant leur droit à la fessée à l’encontre de l’employé
qui avait fait l’erreur qui leur avait porté préjudice.
Bien que Madame Colas s’efforçât de présenter ces nouvelles
dispositions comme banales, je n’arrivais pas à trouver normal de risquer en
permanence de recevoir la fessée par des personnes que je ne connaissais pas.
« Si ce n’est pas la cliente qui vous donne la fessée,
ce sera moi. De toute façon, vous en aurez une. Avec une cliente, vous pouvez
gagner au change, tandis qu’avec moi… »
Il y avait du vrai dans ce qu’elle disait, même si elle
vérifiait que les fessées étaient suffisamment fortes pour constituer une vraie
punition. Je ne sais pas trop ce qu’il en était pour la personne qui donne la
fessée, mais pour celui qui la reçoit, c’est toujours un moment désagréable. Pour
moi, là n’était pas vraiment la question.
Il y avait, certes, l’impact physique d’une fessée. La
réelle douleur ressentie sur le moment et la gêne persistante qui en découlait,
n’étaient pas à négliger. C’était un des paramètres qui faisait d’une fessée
une punition dont on se souvenait, parfois durablement surtout quand elle
laissait les fessées marquées pour quelques temps. Ce souvenir était bien
souvent très présent à mon esprit quand
je me trouvais de nouveau dans une situation proche de celle qui avait amené la
fessée. Le côté dissuasif en était décuplé.
Malgré cela, ce n’était pas ce qui me mortifiait le plus
quand une étrangère me fessait. Recevoir pour l’un et donner la fessée pour
l’autre est un moment impliquant les deux personnes dans une relation intime, y
compris quand elle se déroule en public. Il m’était très difficile de
reconstruire une telle relation avec une nouvelle personne. Cela demandait du
temps. Je n’y arrivais pas dans l’instant.
Je ne m’étais pas tout de suite rendu compte, lorsque
j’avais reçu mes premières fessées par Madame Tolbois, que je devais avoir
confiance dans la personne qui me fessait pour m’abandonner entre ses mains, me
sentir en sécurité et profiter pleinement de la punition. Sauf à avoir
l’impression d’être victime d’une injustice, ce qui est contreproductif pour
les effets à long terme d’une fessée, j’avais besoin d’être certain que les
punitions que je recevais étaient effectivement méritées et leur sévérité adaptée
à ce qui les avait déclenchées.
Accepter, contre son gré, une nouvelle fesseuse était une
véritable épreuve. Cela engendrait un sentiment d’anxiété qui me menait au bord
de la rupture. Je me souviens, à chaque fois, que mon cœur battait la chamade et
que je me pouvais m’empêcher un regard suppliant sur ma fesseuse habituelle
pour l’implorer de m’épargner cette épreuve. Inutile de vous dire que cela
n’avait aucun effet.
Les circonstances professionnelles m’ont pourtant conduit à
devoir vivre ces situations à de nombreuses reprises. J’en connus une, peu de
temps après cette fessée reçue suite à la réclamation de la cliente.
J’étais le coursier attitré. Dès qu’il y avait un petit
paquet à déposer urgemment dans le voisinage, c’était à moi que l’on confiait ce
travail. J’aimais bien ces moments. C’était simple à faire et, sauf à se
tromper d’adresse, il n’y avait aucun risque de faillir à la tâche.
C’était également l’occasion de me donner quelques instants
de liberté, d’échapper au contrôle continu de mes faits et gestes ainsi que de
mes paroles que je vivais autant chez Madame Tolbois qu’au travail. Je prenais
donc mon temps. La route directe n’était jamais mon choix et je musardais en
chemin, prenant le temps de regarder des scènes simples de la vie de la petite
ville dans laquelle nous étions. Cela mettait donc nettement plus de temps que
nécessaire.
Madame Colas n’avait jamais sérieusement investigué l’affaire.
Je disposais de cette liberté peu souvent et me questionnant une fois, ma
réponse l’avait satisfaite.
« La dame était occupée. J’ai dû attendre. »
Ce n’était pas totalement faux ni absolument vrai. Chacun
sait que les meilleurs mensonges sont ceux qui comportent une part de vérité.
Ce jour-là, je fus envoyé dans une boutique de prêt-à-porter
du centre-ville. Il fallait y déposer urgemment un échantillon de nos produits
que la propriétaire du magasin s’était engagée à tester au plus vite. C’était
un petit paquet qui tenait dans un sac en papier que je portais à la main.
C’était léger, il ne pleuvait pas et ce n’était pas le léger vent qui pouvait
ternir mon plaisir. Je décidais de faire le tour par les quais qui bordaient le
cours d’eau qui traversait la ville.
Ma promenade achevée, je trouvais facilement la boutique. Un
magasin de vêtements, place de la Mairie, il n’y en avait qu’un.
La scène qui m’attendait à l’intérieur me suffoqua. Une dame
d’âge mûr était assise sur un tabouret à côté de la caisse. Elle tenait,
allongé à plat-ventre sur ses genoux, un jeune homme dont le pantalon entourait
les chevilles et la culotte se trouvait à hauteur de ses genoux. Ses fesses
nues avaient déjà été copieusement rougies par la brosse à cheveux qu’elle
tenait dans sa main droite et dont le dos frappait d’un rythme régulier la peau
nue.
On ne pouvait pas louper le tableau qu’ils constituaient.
Dès le pas de la porte franchi, le regard du nouvel arrivant ne pouvait tomber
que sur le spectacle qui s’offrait à ses yeux. Aucun obstacle entre la porte et
l’endroit où était administrée la fessée. A cette heure de faible
fréquentation, il n’y avait pas de client dans la boutique, autrement cela
aurait été une fessée en public.
S’il en était besoin, les cris du jeune homme attiraient
l’attention. Malgré sa tenue et la situation plutôt humiliante, il ne faisait
aucun effort pour demeurer discret. La brosse ne lui en laissait pas le loisir.
Cela ne semblait pas faire partie de ses préoccupations immédiates.
J’étais paralysé en plein milieu de la boutique. J’observais
la scène, imaginant la honte qui devait être celle du jeune homme recevant une
fessée déculottée là où tant de personnes pouvaient passer. Sans avoir vérifié,
j’étais persuadé que la scène était visible de l’extérieur. Une jeune fille
s’avança vers moi.
« Monsieur ? »
Elle dut s’y reprendre à plusieurs fois pour que je fasse
attention à elle.
« Monsieur, répéta-t-elle ! »
Je quittais des yeux la fessée qui continuait.
« Oui ?
– Bonjour Monsieur ! Que puis-je pour
vous ? »
Je mis un petit moment à me rappeler ce qui m’avait amené
là.
« Oui, bien sûr ! C’est pour le colis.
– Le colis ?
– Celui-là, dis-je en tendant le bras. Je dois le remettre à
la propriétaire du magasin.
– C’est que… elle est très occupée en ce moment. »
Elle désignait le lieu où se déroulait la fessée.
« Je ne sais pas si elle pourra vous recevoir.
Madame ? »
C’est quand elle releva la tête que je la reconnus. C’était
la dame qui, quelques jours auparavant était arrivée alors que Madame Colas
fessait Catherine.
« Oui, que voulez-vous ?
– C’est ce Monsieur, Madame Schneider, il a un colis pour vous. »
Elle me regarda et je lus sa détermination. Il ne faisait
sans doute pas bon de contrarier cette dame. Le jeune homme sur ses genoux en
était la preuve vivante. Elle fronça les sourcils et son regard se fit noir.
« Daniel, n’est-ce pas ?
– Oui Madame. »
Comment connaissait-elle mon prénom ?
« Madame Colas m’a annoncé votre venue. Elle m’a
appelée quand vous êtes parti du bureau… »
Elle regarda sa montre.
« … il y a un peu plus de trente minutes. Bel
exploit ! Trente minutes pour faire moins d’un kilomètre ! Vous
auriez du mal à marcher plus lentement, même en cherchant à la faire.
– Mais je…
– Tais-toi ! Je ne veux plus t’entendre !
L’onde de sa colère me frappa de plein fouet. Cette fois-ci
j’étais découvert et il m’en faudrait subir les conséquences en rentrant au
bureau. Je pouvais m’attendre à une correction magistrale. Madame Colas était
loin d’être aussi naïve que je le pensais. Elle avait saisi la première
occasion pour vérifier mes dires et je m’étais fait prendre. La suite me prit
au dépourvu.
« Donne le colis à Enora et va te mettre au
coin ! »
Je restais sur place, sans bouger.
« Mais… mais… réussis-je tout juste à balbutier.
– Faut-il que je te le redise ou veux-tu que je me lève pour
te le dire de plus près ? »
La menace était quasi explicite. Mon ventre se noua.
« Donne le paquet à Enora ! »
Machinalement, je tendis le bras vers la jeune fille qui
m’avait accueilli.
« Au coin maintenant ! »
Elle me désignait du doigt l’angle de la pièce. J’hésitais
encore deux secondes. C’était de trop.
« Faut-il que je demande à Madame Colas de venir te
chercher ? »
Le recours à l’autorité de Madame Colas suffit à me faire
céder. Je me dirigeais vers le coin et j’y plaçais mon nez.
« Tu ne bouges pas de là. Je vais bientôt venir
m’occuper de toi. »
Cette phrase, bien que sibylline, contenait une promesse
dont je me serais bien passé, surtout compte tenu de ce qui arrivait au jeune
homme allongé sur les genoux de Madame Schneider. J’entendais la brosse claquer
la peau nue et les cris qui s’en suivaient n’étaient pas feins.
J’entendis deux personnes entrer dans la boutique et ce fut
Enora qui s’en occupa. Cela n’interrompit pas la fessée.
« Bavo Madame, excellente initiative, dit l’une des
clients »
L’autre, un Monsieur si j’en crus sa voix acheta rapidement de
dont il avait besoin et repartit sans faire de commentaire. L’approbation la
plus explicite vint d’une dame qui pénétra dans la boutique, accompagnée de son
fils.
« Que voilà une méthode qui semble intéressante, qu’en
dis-tu ? »
C’est d’une voix prudente que son fils répondit.
« Non… je ne sais pas… Je ne vois pas pourquoi tu dis
cela
– Je crois que nous n’avons pas encore réglé ta
désobéissance d’hier soir Je me disais que ce serait une bonne façon de solder
les comptes.
– Maman, tu n’y songes pas. C’est ridicule !
– Je ne suis pas certain que le jeune homme que je vois-là,
trouve cela ridicule. J’ai plutôt l’impression qu’il regrette sa bêtise et
qu’il n’est pas prêt à recommencer de si tôt. Exactement ce que je cherche. Cela
fonctionnait tellement bien avec toi, il n’y a pas si longtemps.
– Maman, c’était il y a longtemps. Je suis trop vieux !
– Trop vieux ? Madame, puis-je savoir quel âge à votre
puni sur vos genoux ?
– Joris a vingt-deux ans depuis quelques mois. N’hésitez pas, Madame, c’est une méthode souveraine. Il n’y a pas longtemps que je
l’utilise, mais elle a déjà donné d’excellents résultats !
– Vingt-deux ans et toi vingt-trois. Il n’y a quasiment pas
de différence. Rentrons, nous allons régler cela.
– Mais, Maman, tu n’y penses pas. Il n’en est pas
question !
– Soit tu me suis sans discuter et c’est à la maison que tu
prendras ta fessée, soit c’est ici et maintenant.
– Mais, Maman…
– Encore un mot et c’est la culotte baissée tout de
suite ! »
Ils quittèrent tous deux la boutique. Le jeune homme ne
répondit rien, mais sa mère continuait à le gronder et je crus distinguer le
son produit par quelques claques sur le fond d’un pantalon.
Les cris les plus sonores du garçon dont Madame Schneider
s’occupait, cessèrent, mas pas ses pleurs, ni un gémissement continu.
« Bon, cela suffira pour aujourd’hui. Je crois que tu
as compris ta leçon. Recommenceras-tu ? »
Entre deux reniflements, il réussit à répondre.
« Non Madame… je ferai… attention.
– J’espère bien. La prochaine fois, ce sera une fessée sur
le trottoir, devant la boutique et tu y resteras au coin. »
Le gémissement se fit un peu plus fort.
« En parlant de coin, il est temps que tu y ailles.
Celui que tu utilises d’habitude, est déjà occupé ? Va te mettre
là-bas ! »
Des chaussures qui raclaient le sol tout en se déplaçant et
puis le silence. Mon angoisse monta d’un cran.
« Daniel, viens-ici ! »
J’avais perdu la première bataille en acceptant de me mettre
au coin. Je ne me sentais pas de taille à en livrer une autre de si tôt. Madame
Schneider était restée assise sur sa chaise. Elle tenait toujours la redoutable
brosse de la main droite. Elle la posa sur ces genoux quand j’approchais.
« Madame Colas et moi somme tombées d’accord. Compte
tenu de l’heure avancée et du temps que tu mets à te déplacer, je ne vais pas
de renvoyer à ton travail. C’est ici que tu seras puni. Je vais m’en
charger. »
Cela ne sentait pas bon. Mes jambes avaient de plus en plus
de mal à me porter. Je ne voyais pas ce que je pouvais faire. C’est quand
Madame Schneider déboucla la ceinture de mon pantalon qu’une cliente entra.
Elle était accompagnée d’une jeune femme. Elles se ressemblaient, malgré leur
différence d’âge. Il s’agissait probablement d’une mère et de sa fille.
Cette présence ne ralentit pas Madame Schneider. Elle continua
à me déculotter et ma culotte rejoignit mon pantalon. Je me savais quoi faire
de mes mains. J’aurais voulu les utiliser pour cacher mon sexe, mais l’habitude
me disait que c’était interdit. Avoir les fesses exposées à tous vents et à
tous regards faisait partie de la punition.
Les deux femmes ne me quittaient des yeux que pour examiner
mon entre-jambes. J’avais envie de disparaître, de fuir à toutes jambes, mais
ce projet irréaliste fut stoppé net par Madame Schneider. Elle m’attira sur ses
genoux et j’y tombais à plat-ventre.
La brosse, maniée par Madame Schneider, était vraiment un
instrument redoutable. J’avais compris, quand elle avait assisté à la fessée de
Catherine, qu’elle n’avait pas encore envisagé de fesser ses employés en guise
de punition. Cela laissait supposer que son expérience en la matière était
récente. Elle apprenait vite.
En une vingtaine, peut-être une trentaine d’application du
dos de la brosse sur mes fesses, elle vint à bout de ma résistance. On a beau
se dire, à chaque fois, que c’est la dernière, je ne pouvais pas m’empêcher,
avec chacune de mes nouvelles fesseuses, de tenter de rester stoïque le plus
longtemps possible. Comme si cette tentative avait des chances d’aboutir !
En général, elle avait surtout la conséquence d’encourager ces correctrices à
poursuivre et intensifier leurs efforts jusqu’à ce qu’ils produisent les
résultats escomptés.
Comme à chaque fois, et bien avant que Madame Schneider
décide de mettre fin à la fessée, je montrais tous les signes prouvant que
j’avais été puni comme elle en avait le projet. La présence des clients qui se
succédaient dans la boutique, ne m’amenaient plus à envisager une quelconque
retenue.
Etre envoyé au coin à l’issue de la fessée et y exposer mes
fesses nues aux personnes qui défilaient dans mon dos, me sembla un moindre
mal. J’y restais aussi sagement que je le pouvais, me conformant en tout point
à ce qu’on pouvait attendre d’un garçon récemment puni. La honte que je
ressentais était préférable à un nouveau passage sur les genoux de Madame
Schneider.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 52
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 52
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Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas.
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Bonjour,JLG !
RépondreSupprimerDiabolique mon cher!
Voilà comment la pratique de la fessée se répand, contagieuse comme la rougeole ! C'est le cas de le dire.
Et ça commence chez madame Tolbois qui se charge avec une sévérité de tous les instants à discipliner son locataire. Elle vante, avec tant de persuasion, les bienfaits de la fessée dans un discours de la méthode presque cartésien qu'on en retrouve la pratique au bureau ou travaille notre ami Daniel.
Ces dames, collègues de travail et dirigeantes s'en donnent à coeur joie, ne laissent rien passer et distribuent les fessées à la moindre occasion.
Comme cela ne suffit pas les clientes sont invitées à mettre la main à la pâte et corriger elles mêmes les contrevenants.
Excellente manière de fidéliser une clientèle qui ne se fait pas prier et découvre le plaisir du déculottage et de la fessée. Les derrières de Daniel et ses collègue ne chôment pas, ça déculotte et ça fesse à tour de bras pour le plus grand bénéfice de l'entreprise qui augmente ainsi son chiffre d'affaire.
La réputation d'efficacité de la méthode s'élargit à d'autres activités et nos héros commencent à recevoir des fessées partout où la nouvelle s'est répandu. Difficile d'y échapper.
Il faut reconnaître l'habileté, voir la malignité, de l'auteur à démontrer dans cette fiction, la théorie des bienfaits de la fessée régulatrice des rapports entre les individus et de l'activité humaine.
Comme quoi la capacité de production serait proportionnelle au rendement des fessée administrées, à l'intensité de couleur et de cuisson des paires de fesses en activité!!!
Amusant et réjouissant! On se régale.
Cordialement.
Ramina
Ramina,
SupprimerJe crois que l'épidémie va se répandre très vite. Serions-nous au cœur géographique de l'utilisation de la fessée ? C'est possible.
Au plaisir de vous lire,
JLG.