mercredi 31 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 30 janvier 2024 – 15 h 40

La prochaine fois… c’était cet après-midi. Oh, le sujet en était anodin, mais j’ai quand même fini au coin, la culotte baissée, avec les fesses cuisantes. Je ne l’ai pas venue venir et jusqu’au dernier moment, je n’y ai pas cru.

Ce n’est que quand ma compagne m’a tiré par la main pour que je la suive et qu’elle s’est assise sur mon lit que j’ai dû me rendre à l’évidence. Elle avait décidé de me donner une fessée. Je n’y pouvais plus rien.

mardi 30 janvier 2024

Autorité et confiance, diptyque indispensable pour donner et recevoir la fessée déculottée

L’article que j’ai publié sur ce blog le 28 janvier dernier, explicitait ma pratique de l'administration de fessées déculottées à des adultes, en extérieur. Il a soulevé des réactions critiques parlant d’humiliation, d’angoisse, de refus… et j'en passe. La plupart des commentaires qui ont été postés rejetaient cette possibilité comme inadaptée à des adultes et pouvant amener certains d’entre eux à reculer devant cette perspective si elle était d’actualité lors d’un séjour ici.

Si bon nombre des commentaires publiés l’ont été par des personnes n’ayant jamais donné de fessée à un adulte, il y a eu quelques personnes, coutumière du fait, qui ont également exprimé leur désaccord.
Ces critiques ne m’ont pas fait changer d’avis. Je l’ai exprimé dans les réponses que j’ai faites, mais je me suis trouvée bien vite limitée dans ma possibilité de détailler mon point de vue. C’est l’objet de cet article. Bien entendu, si une autre personne voulait publier un autre article défendant le point de vue contraire, je leur ouvrirais bien volontiers le blog.

dimanche 28 janvier 2024

La fessée déculottée en extérieur, craintes et réalités

Beaucoup de commentateurs sur le blog me demandent des précisions quant à la fessée déculottée que je donne quand nous sommes en dehors de la maison et particulièrement dans un lieu public, en extérieur.

Cela semble à la fois attirer et repousser. Il est, en effet, difficile, pour un adulte, de concevoir qu’il pourrait avoir la culotte baissée et recevoir une réelle fessée alors que des personnes non averties pourraient le voir dans cette situation vexante et infantilisante. Mais c’est aussi une expression ultime de l’autorité parentale que de donner la fessée quand et là où elle est nécessaire… y compris à l’extérieur. Réciproquement, c'est la manifestation finale de l'acceptation de la légitimité d'une autre personne à donner la fessée. Reconnaître le bien-fondé de cette autorité, c’est lui donner le droit de corriger quand elle le juge nécessaire. Cela fait donc partie de la situation dont beaucoup ont besoin.
Qu’en est-il réellement quand on vient ici, se placer sous mon autorité ?

vendredi 26 janvier 2024

Un séjour d’éducation chez Papa Josip et Maman Huguette - dimanche 21 janvier 2024

9 h 00

Maman Huguette est montée et est rentrée dans la chambre.
"As-tu bien dormi ?"
"Oui, mais j’ai toujours mal à la fesse gauche."
« Tu te lèves tranquillement, je vais promener les chiens. Josip est parti chercher le pain. Il va revenir vite".
"Oui maman !"
Après quelques minutes, je suis descendue et Josip était déjà revenu à la maison. Il était en train de préparer le petit déjeuner. Confiture, beurre salé et beurre doux (sourire), baguette… en attendant que maman revienne, nous avons discuté de tout et de rien. Puis maman est rentrée, Josip a pris soins de tout, nous avons pris le petit déjeuner tranquillement.

mercredi 24 janvier 2024

Un séjour d’éducation chez Papa Josip et Maman Huguette - Samedi 20 janvier 2024

Enfin, je suis sur la route pour rencontrer Maman Huguette. Depuis mi-décembre 2023, j’ai pris le contact avec elle, nous avons fait deux visios et tout de suite, je me sens très à l’aise avec Josip et Maman Huguette. Pendant la visio, on s’est échangé nos souhaits respectifs et la conversation m’a donné très envie de passer un séjour d’éducation chez eux. Et voilà, le jour J est enfin arrivé.

Presque trois heures et demie de route, mais le trajet me parait court. Est-ce que je vais bien comporter ? Est-ce qu’ils sont aussi sévères qu’avec les garçons comme je suis une femme ? J’ai lu quelques articles du blog, mais il n’y a pas eu de témoignage féminin.

dimanche 21 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – Dimanche 21 janvier 2024 – 11 h 20

Je me croyais à l’abri d’une fessée pour tout le week-end. En effet, à la demande de ma compagne, j'avais donné une fessée à Juliette qui en fera le récit dans les prochains jours. En effet, elle passait le week-end à la maison. J’étais installé dans ce rôle punitif et j’avais oublié que cela n’empêcherait en rien ma compagne de me punir. C’est ce qui s’est passé ce matin-là.

Je n’ai rien vu venir, mais je crois que ma compagne surveillait mon comportement et qu’elle avait décidé de me punir au premier prétexte. Elle ne voulait que je me place dans une fonction, celle de celui qui donne la fessée, que je n’aurai pas à occuper dans les jours qui venaient. Évidemment, je lui ai fourni une raison suffisante pour me punir.

vendredi 19 janvier 2024

Visite chez Huguette et Josip, un séjour d’éducation et de discipline. Jeudi 18 janvier 2024

11H

Tout avait bien commencé, Josip était venu me chercher à la gare. Il avait toujours le sourire et affichait la bonne humeur que je lui connaissais. Trente minutes de trajet jusqu’à leur maison. Huguette m’accueille, embrassade comme des amis.
« Bonjour Lucas, tu as fait un bon voyage ».
« Bonjour Huguette, oui, merci ».
Je dépose mes affaires dans la chambre, mets mes chaussons et descends dans le salon.

mercredi 17 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – Lundi 15 janvier 2024 – 11 h 45

Tonton, le retour ! Eh oui, il fallait bien que je m’y attende, le retour de Tonton à la maison serait ponctué d’une belle fessée déculottée. Je le savais, mais c’est normal. Il est de son devoir de me punir quand je l’ai mérité et, comme le dit ma compagne : « rien de mieux qu’une bonne fessée ! » Elle a raison. Une bonne fessée est un remède très efficace pour me faire comprendre quelle bévue j’ai pu commettre.

Il n’y avait pas un quart d’heure que Tonton était arrivé à la maison, quand, prenant à témoin ma compagne, il me reprocha mon indolence lors de mes derniers courriels. Cela valait bien une bonne fessée. Je l’ai eue.

lundi 15 janvier 2024

Que sont les commentatrices devenues ?

En novembre et en décembre dernier, il y avait eu, sur le blog, un afflux de commentatrices alors qu’habituellement, ce sont plutôt des commentateurs qui répondent aux articles qui sont publiés. Ce nombre inhabituel avait attiré mon attention ainsi que celle de pas mal d'habitués du blog.

Les vacances de Noël approchant, ces commentatrices avaient disparu. Certaines avaient prévenu qu’elles utiliseraient la période des fêtes pour réfléchir aux différentes options qui se présentaient devant elles. Je n’avais donc pas été étonnée par leur absence. Nous voici maintenant en janvier. Les fêtes sont passées depuis presque deux semaines. Les commentatrices ne sont pas revenues.

dimanche 14 janvier 2024

Quelle fessée pour quelle bêtise ?

J’ai été interpelée par Laurent qui envisage de venir passer un séjour ici et se mettre sous mon autorité. Il s’interroge sur l’adéquation entre les bêtises qu’il pourrait faire et les fessées que cela lui vaudrait : « j'imagine que la sévérité de vos fessées doit dépendre de la gravité des bêtises ? Pourriez-vous me donner des exemples ? Pour le moment, j'ai encore un peu de mal à savoir ce que vous appelez "fessée normale", "bonne fessée", voire "grosse fessée sévère". Et également, à quel genre de bêtises correspondent ces différentes sévérités ? » a-t-il écrit.

J’avais commencé une réponse personnalisée à son commentaire, puis, au fil de l’écriture, je me suis rendu compte que ce sujet concernait bien d’autres personnes que lui. J’en ai donc fait un article que vous pouvez lire ci-après.

samedi 13 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – Vendredi 12 janvier 2024 – 14 h 25

Ma première fessée de l’année. « Et tu vas l’écrire pour que tout le monde sache que tu as été puni ! ». Oui, je dois l’écrire. Cela fait partie de ma punition.

« Tu piques ! Tu vas te raser aujourd’hui ! »

J’avais l’intention de me raser, de toute façon. J’aurais dû m’en tenir là. Acquiescer à l’injonction de ma compagne, d’autant plus que j’étais pelotonné dans ses bras. Mais non, il a fallu que je « fasse le malin », comme elle dit. Les conséquences ne se sont pas fait attendre.

dimanche 7 janvier 2024

La fessée déculottée… oui mais

Je ne sais s’il s’agit de quiproquo, de malentendus ou si les personnes qui s’y livrent, en raison d’une pénurie dont beaucoup se plaignent, tentent leur chance bien qu’ils soient persuadés que leur démarche avait peu de chance d’aboutir. Beaucoup des contacts, pris sur ce blog ou par courriel, proposant de recevoir la fessée, beaucoup plus rarement de la donner, n’aboutissent pas ou s’achèvent prématurément.
Il y a, à cela, plusieurs raisons de différents ordres et je voulais, si cela est possible, clarifier dans cet article ce à quoi je porte attention. Ce n’est pas que les autres commentaires ou messages n’y ont pas leur place. Mais j’ai pris l’habitude de ne pas y répondre, laissant à d’autres, intéressés par la situation décrite, le soin d’y répondre.

mercredi 3 janvier 2024

La fessée déculottée, une nécessité avec certains adultes

Il peut être surprenant, pour certains adultes et peut-être pour vous, de prendre conscience que certaines personnes postulent que le recours à la fessée déculottée est une excellente méthode pour aider des adultes à grandir afin d’assumer leurs responsabilités et leurs devoirs de personnes majeures afin de bénéficier pleinement des droits qui vont avec.

Il n’est, en effet, pas couramment admis que recevoir une fessée déculottée est une punition qui se révèle bénéfique pour certaines « grandes personnes ». Il est encore moins couramment admis que le nombre d’entre elles qui en aurait besoin, est bien supérieur à celles qui, ayant admis leur incapacité à gérer elles-mêmes leur discipline, ont trouvé une personne qui acceptait de la prendre en charge et lui ont confié leur éducation.