mercredi 31 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 30 janvier 2024 – 15 h 40

La prochaine fois… c’était cet après-midi. Oh, le sujet en était anodin, mais j’ai quand même fini au coin, la culotte baissée, avec les fesses cuisantes. Je ne l’ai pas venue venir et jusqu’au dernier moment, je n’y ai pas cru.

Ce n’est que quand ma compagne m’a tiré par la main pour que je la suive et qu’elle s’est assise sur mon lit que j’ai dû me rendre à l’évidence. Elle avait décidé de me donner une fessée. Je n’y pouvais plus rien.

Nous avions été manger à l’extérieur et faire quelques courses. En rentrant, je suis allé sur le blog et, après avoir validé quelques commentaires qui étaient arrivés pendant notre absence, j’ai découvert le texte que m’avait envoyé Émilie. Il racontait la fessée qu’elle a donnée à son mari, début janvier. Comme tous les écrits que l’on m’adresse, sauf les commentaires que je ne peux pas modifier, je dois en adapter la forme avant de les publier. Entre les virgules et les accents sur Émilie à rajouter et quelques coquilles d’écriture à supprimer, cela prend un peu de temps.
Puis, il ne reste plus qu’à soigner la mise en page de publication, ce qui n’est pas forcément trop long, mais il faut tout de même quelques minutes. J’étais environ à la moitié de cette dernière étape quand ma compagne a appelé.
« Josip, viens te changer ! »
Aux dires de ma compagne, le pantalon de toile et la chemise que j’avais mis pour aller à l’extérieur, ne convenaient pas depuis que nous étions revenus à la maison. Il fallait que je mette mon survêtement. C’est dans les habitudes que j’ai prises sous l’exigence de ma compagne.
Là, je n’avais pas fini la mise en page de l’article. J’ai voulu la finir. Dans un premier temps, j’ai fait la sourde-oreille. Mais le rappel n’a pas tardé.
« Josip, tu m’as entendue ? Viens ici te changer ! »
Je ne pouvais plus ignorer l’interpellation.
« Oui, mais attends, je finis la mise en page. »
Attendre. Quand ma compagne me demande de faire quelque chose, ce n’est pas la patience qui est sa première qualité. Il me faut vraiment une très bonne raison pour qu’elle accepte de différer l’obéissance à sa consigne.
« Josip, tu viens tout de suite ! »
Elle était dans la pièce à côté et je sentais son ton monter.
« Oui, j’arrive ! Je n’en ai que pour une minute ! »
Elle a pointé son nez dans la porte du séjour où je me trouvais.
« Josip !
– Voilà, j’ai fini ! »
C’était vrai. Je n’avais pas mis plus d’une minute pour achever le travail que j’avais en cours. Je voyais bien, à l’air de ma compagne, qu’elle n’était pas contente. Étais-je allé trop loin ? La réponse n’a pas tardé.


Ma compagne a entrepris de me changer. Elle a débouclé ma ceinture, puis le bouton de mon pantalon. Alors, elle l’a baissé jusqu’à mes genoux. Je ne savais toujours pas quelles étaient ses intentions. Jusqu’à cette étape, il pouvait y avoir deux conclusions.
C’est quand elle m’a pris par la main pour m’emmener derrière elle et qu’elle s’est assise sur le lit que j’ai compris que je ne couperais pas à une bonne fessée. Elle m’a attiré vers elle, m’obligeant à me coucher à plat ventre sur son genou gauche. C’est sa position favorite quand elle veut me donner la fessée sur le lit. Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps.
Sa main s’est abattue sur le fond de ma culotte. La claque a été suffisamment appuyée pour que je la sente à travers le fin tissu de mon sous-vêtement. Une deuxième a suivi, puis une troisième, puis cela n’a pas arrêté. Le haut de mes cuisses nues lui a servi de cible pendant un petit moment. Elle a alors remonté ma culotte pour dégager le bas de ma fesse. Puis, c’est là qu’elle a porté sa main.
Je n’en pouvais déjà plus quand elle a baissé ma culotte. Quatre fois, cinq, dix, vingt fois, elle m’a fessé très fort exactement au même endroit. Je criais depuis un bon moment quand elle a changé d’endroit, pour prendre l’autre côté pour cible, pour y recommencer la même chose que ce qu’elle avait fait sur le premier côté. Alors, la fessée est devenue tellement cuisante que j’ai été obligé d’interposer ma main. Je ne pouvais plus supporter la brûlure que je ressentais sur mes fesses.
Bien entendu, ma main n’est pas restée longtemps en protection. Ce fut un jeu d’enfant, pour elle, de remonter mon poignet dans mon dos et de recommencer la fessée sur la surface qu’elle venait de dégager. Je n’ai pas vraiment essayé de me libérer de son emprise. Je savais, malgré la douleur qu’elle m’infligeait, que cette fessée était justifiée et qu’elle ne faisait que son devoir. Mes tortillements et mes cris désespérés ont dû finir par lui faire prendre conscience que je n’en pouvais plus.
« Est-ce que tu vas obéir du premier coup, maintenant ?
– Oui, Maman !
– Bon, relève-toi ! »


Une fois debout, contrairement à ce que j’attendais, elle n’a pas remonté ma culotte. Elle m’a ôté mon pantalon et l’a changé pour mon survêtement. Elle m’a alors pris par la main.
« Tu viens avec moi ! »
Je l’ai suivie docilement. Mon pantalon et ma culotte entravaient mon déplacement. Ce n’était pas le moment de montrer une quelconque résistance. Elle aurait justifié une nouvelle fessée et je n’y tenais absolument pas. Je savais où elle me conduisait.
« Le nez dans le coin, les bras croisés dans le dos et tu ne bouges plus ! »
Elle accompagna ses consignes par une bonne claque sur mes fesses. Je restais immobile, cherchant à deviner, au son de ses pas, où elle se trouvait. Il n’était pas question, pour moi, de jouer la même comédie que celle que Juliette avait faite quand elle avait séjourné à la maison. Je sais que ma compagne n’aurait pas été aussi clémente qu’avec elle et je ne tenais absolument pas à me prendre une deuxième fessée. La première m’avait suffi.
Je calais mon nez dans l’angle de la pièce, je croisais mes bras dans mon dos le plus haut possible… et j’attendis.


Elle ne m'y laissa pas bien longtemps. Quand elle m’autorisa à sortir du coin, je dus lui demander pardon, comme elle l’exigeait à chaque fois, et je lui exprimais mon « accord » pour recevoir une autre fessée la prochaine fois que je n’obéirai pas tout de suite.
Elle me ramena dans la chambre et je reçus une tape sur les doigts quand je voulus remonter ma culotte.
« C’est moi qui décide quand la punition est terminée. C’est compris ? »
Une claque sur le haut de ma cuisse confirma le sérieux avec lequel je devais prendre son affirmation.
« Aïe ! Oui, Maman !
– D’abord de la pommade. »
Elle ramena le tube de la salle de bains, puis elle me remit dans la même position que celle dans laquelle elle m’avait donné la fessée. Bien que les similitudes avec le premier temps de la punition soient évidentes, je n’avais plus de crainte.
Elle passa de la pommade partout sur mes fesses. Bien qu’elle s’y prît comme elle l’aurait fait avec un petit garçon, c’était apaisant. Elle finit par me remonter la culotte et le pantalon. J’avais obéi avec retard, j’en avais été puni avec une bonne fessée déculottée. Tout était normal.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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