La fessée déculottée, une nécessité avec certains adultes

Il peut être surprenant, pour certains adultes et peut-être pour vous, de prendre conscience que certaines personnes postulent que le recours à la fessée déculottée est une excellente méthode pour aider des adultes à grandir afin d’assumer leurs responsabilités et leurs devoirs de personnes majeures afin de bénéficier pleinement des droits qui vont avec.

Il n’est, en effet, pas couramment admis que recevoir une fessée déculottée est une punition qui se révèle bénéfique pour certaines « grandes personnes ». Il est encore moins couramment admis que le nombre d’entre elles qui en aurait besoin, est bien supérieur à celles qui, ayant admis leur incapacité à gérer elles-mêmes leur discipline, ont trouvé une personne qui acceptait de la prendre en charge et lui ont confié leur éducation.

Posons d’abord le décor. La fessée entre adultes n’est pas un sujet tabou. Elle est souvent abordée comme une pratique érotique entre adultes consentants, notamment quand il est question de sexualité entre personnes majeures. Elle a un côté un peu sulfureux, mais se justifie fréquemment au nom du renouvellement d’une libido en recourant à des agissements alternatifs.

Certains vont plus loin et en font la première étape d’actes sado-masochistes qu’un maître ou plus rarement une maîtresse applique à son soumis ou plus habituellement à sa soumise. Si ce genre de sexualité est moins visible que celle qui a été évoquée ci-dessus, c’est qu’elle a un goût de perversité autant pour le maître ou la maîtresse que pour le soumis ou la soumise.

Notons que dans les deux cas, il est question de satisfaire des besoins sexuels et que si la fessée se pratique entre adultes consentants, il s’agit de reproduire des situations proches de l’enfance pendant laquelle la fessée parentale a été pratiquée depuis longtemps.

Dans cet article, et plus généralement sur ce blog, ce n’est pas de cela dont il est question.

La fessée, celle que j’administre couramment à Josip, n’entre pas dans ces cadres. Les différences sont nombreuses. Elles démontrent un état d’esprit bien différent et les visées en sont diamétralement opposées. La finalité éducative est au cœur du recours à la fessée quand il s’agit d’apprendre à un adulte à se comporter comme il est normal que se comporte une grande personne.

Cela part du principe que nombre de personnes majeures ne savent pas, de leur propre chef, assumer leur statut. Cette affirmation mérite d’être examinée plus avant. Il est difficile de raisonner de façon statistique ou historique sur le sujet. Les données manquent.

La fessée administrée à des adultes a toujours été pratiquée dans un cercle familial restreint et quand il en a été question, c’était le plus souvent comme une expression du droit à la correction sacralisé pour le chef de famille. Construite sur un modèle étatique dans lequel le maintien de l’ordre est confié à un chef, la famille traditionnelle reproduit à l’identique ce rapport de force. C’est tout naturellement au mari que la loi attribue cette fonction. Cela n’épuise pas le sujet. Il s’agissait de se donner les moyens de reproduire l’ordre et non d’aider à grandir. Quand il était question d’adulte, il n’y avait que l’homme qui avait le droit de corriger sa femme. Or, les besoins d’une supervision ferme sont tout aussi nombreux chez les hommes que chez les femmes, il n’y a rien qui expliquerait le contraire. Cette pratique traditionnelle ne permet pas de comprendre le besoin de certains adultes d’être corrigés.

L’observation fine des comportements des adultes donne de précieuses indications. C’est, en fait, le seul moyen d’approcher le sujet tout en mettant de côté une bonne partie des présupposés généralement admis. En effet, une attention fine, pour peu qu’on en soit à l’écoute, va révéler, chez nombre d’adultes, des comportements qui vont mettre en avant leur manque de maturité. On pourra citer, sans classement ni de gravité ni de fréquence, les indicateurs suivants qu’il conviendra de rechercher avec la plus grande attention :

• Les attitudes et décisions déraisonnables, donc où la raison n’a que peu de place pour déterminer les façons d’agir. Bien des grandes personnes, ou supposées telles, sont dans l’incapacité d’expliquer le chemin qui les a conduites à prendre une décision. Ils réagissent plus souvent à une émotion sans la mettre à distance, tout en refusant d’endosser la responsabilité de la conséquence de leurs actes. C’est typique d’un comportement immature.
• La prise en compte des seules règles qui conviennent. Il est fréquent de constater que la plupart des adultes s’émancipent du respect des règles quand celles-ci ne leur conviennent pas et quelle qu’en soit l’origine. C’est, par exemple, fréquent que des adultes, hommes ou femmes, s’affranchissent des obligations du Code de la route. Excès de vitesse, non-respect des priorités, traversée des routes en dehors des passages pour piétons… autant d’impératifs que beaucoup d’adultes considèrent comme ne s’appliquant pas à eux, ou s’appliquant à eux quand ils le jugent adéquat. Mais il serait possible de prendre des exemples dans les champs de la politesse ou de la prise en compte de l’autre.
• Obéissance à une autorité. Être adulte, c’est accepter les rôles sociaux que les autres doivent jouer par rapport à nous. C’est un apprentissage qui se révèle très utile dans tous les moments de la vie. Les adultes qui n’ont pas réussi à l’apprendre dans leur enfance, doivent intégrer cette notion s’ils veulent pouvoir agir dans leur espace social. Le refus de l’obéissance à une autorité est un signe d’une inadaptation sociale qu’il va falloir corriger. En tout premier lieu, il sera pertinent d’examiner le respect et l’obéissance dus à la personne qui a en charge l’éducation de l’adulte défaillant.
• Négligences quant à l’hygiène ou la propreté. Savoir se prendre en charge est un élément indispensable qui montre que l’adulte a atteint le niveau de maturité suffisant pour être autonome. Tout manquement dans ce domaine doit être regardé comme un reliquat d’attitude enfantine qu’il conviendra de corriger systématiquement.
• Prise en charge des tâches domestiques. Tout adulte doit prendre sa part des tâches domestiques inhérentes à la vie en société. Beaucoup d’entre eux cherchent à s’en exonérer, estimant qu’ils ont bien mieux à faire que cela. C’est, par exemple, très courant dans la gent masculine, mais elle n’en a, hélas, pas le monopole.
• Travail insuffisant ou bâclé. La qualité du travail fourni par tout adulte sera un critère essentiel de leur capacité à assumer leur rôle social. Négliger son travail ne doit pas être une attitude valorisée. L’adulte doit savoir assumer la part qui lui revient.
• Une procrastination régulière. Beaucoup d’adultes repoussent à plus tard, souvent sine die, la réponse à leurs obligations alors qu’ils pourraient, sans inconvénient, le faire immédiatement : répondre à un courrier ou passer un coup de téléphone, payer une facture, ranger, nettoyer derrière soi… les exemples en sont nombreux. Couramment, ils se plaignent d’en subir les conséquences, sans reconnaître leur responsabilité première. Se fixer un cadre et le respecter n’est pas toujours aisé, mais ne pas en tenir compte continuellement est un des signes incontestables d’immaturité.
• Des imprudences répétées. C’est typiquement une caractéristique d’un comportement immature. L’adulte qui commet régulièrement des imprudences a besoin d’une personne qui, à sa place, va limiter la prise de risque qu’elles supposent. Mais pour qu’un adulte accepte de refréner les risques qu’il prend, il a besoin, à ses côtés, d’une personne qui dispose des moyens de contrôler ses actes.

Il suffit, la plupart du temps, de lever les yeux et de regarder ses proches agir avec ces critères pour décrypter leurs manières de faire, pour se rendre compte que bien peu d’entre eux ont le niveau de responsabilité qui leur permet de prendre en compte tous ces éléments qui sont pourtant la base de ce qu’un adulte doit prendre en compte. Bien souvent, la tolérance à ces manquements est grande, laissant croire aux personnes qui commettent des écarts que ceux-ci sont négligeables. C’est donc affaire de niveau d’exigence.

Quand un adulte admet son incapacité à gérer de lui-même les obligations et les devoirs constitutifs de son statut, nous avons fait un grand pas. S’il trouve, dans son entourage proche, une personne pour qui il compte suffisamment pour qu’elle prenne le temps de superviser en permanence son comportement et à qui les moyens de le faire en ont été confiés, il va pouvoir commencer à travailler ces attitudes et comportements irresponsables et enfantins.

Si l'on passe en revue les méthodes qui fonctionnent pour contenir et sanctionner les impulsions d’un adulte immature, on se rend vite compte qu’il n’y en a que très peu qui ont fait preuve de leur efficacité. Raisonner un adulte peut suffire, mais c’est que les bévues commises ne sont pas fortement ancrées. Elles sont plus l’effet de distraction ou d’erreurs accidentelles que la résultante d’une immaturité enracinée.

Sans doute, y a-t-il d’autres méthodes qui permettent de brider les inclinaisons déraisonnables d’un adulte, mais lui administrer une bonne fessée déculottée a fait ses preuves depuis longtemps. Cette sanction a de gros avantages. Elle ramène l’adulte ainsi puni au niveau de responsabilité, ou plutôt d’irresponsabilité, qui est le sien.

Elle lui enlève, le temps de la punition, tous les attributs qui sont ceux d’un adulte : sa culotte baissée par une autre personne, faisant fi de sa pudeur et contre sa volonté, confirme qu’il ne s’est pas comporté comme on pouvait l’attendre d’une personne responsable ; c’est la volonté d’une autre personne qui s’impose à lui sans qu’il puisse en décider du bien-fondé, ni même que son avis soit demandé ; la cuisson ressentie sur les fesses montre que c’est parce qu’il est insensible aux arguments utilisés avec les adultes, qu’il est nécessaire de lui faire comprendre son erreur d’une autre façon, bien plus douloureuse physiquement et moralement…

C’est de cette façon que j’ai entrepris de faire comprendre à mon compagnon quand son comportement et ses attitudes dépassent les bornes admises pour un adulte. Je dois constater l’efficacité de la fessée déculottée. Une longue mise au coin aidant, Josip évite de retomber dans les mêmes erreurs pendant un bon moment. Mais je sais que modifier durablement les habitudes d’un adulte ne se fait pas aisément et qu’il est nécessaire de remettre plusieurs fois l’ouvrage sur le métier. Il lui arrive donc de recevoir plusieurs fois une bonne fessée pour des motifs analogues. Cela fait partie du processus d’éducation et puisque j’ai accepté d’endosser ce rôle, je n’ai pas à m’en plaindre.

Aujourd’hui, cette relation d’autorité que j’ai sur lui étant établie, je souhaite lui faire comprendre qu’il est à l’origine des fessées qu’il reçoit, que ce sont ses enfantillages qui nécessitent de lui baisser la culotte et de le fesser. Pour ce faire, je souhaite lui montrer que bien des adultes responsables utiliseraient la même méthode que moi face à ses comportements. Je suis donc à la recherche de personnes qui accepteraient de le sanctionner comme je le fais, avec une bonne fessée déculottée, quand il l’a mérité. J’ai trouvé une personne acceptant de jouer ce rôle paternel, mais je suis encore à la recherche de mains féminines qui, approuvant cette méthode, administreront la fessée déculottée à mon compagnon quand il en a besoin.

Pour ma part, je suis également prête à contribuer à l’éducation d’autres adultes en leur faisant bénéficier de la méthode que j’ai mise au point avec Josip. Il ne peut, dans mon esprit, s’agir que de punitions, mais pour que cela porte ses fruits, il est nécessaire que je dispose de la complète autorité sur ces personnes, et en particulier de la possibilité de les déculotter et de les fesser sans qu’ils s’y opposent, là où je le juge nécessaire et quand je le pense utile, quelles que soient les personnes présentes.

Si vous vous reconnaissez dans l’un de ses deux portraits, n’hésitez pas à me contacter en laissant un commentaire au bas de cet article ou en m’adressant un courriel.

Quelques articles qui illustrent le contexte punitif décrit ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

Donner la fessée, une évidente marque d'attention

La fessée déculottée, de la découverte à la pratique habituelle 

 Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin.