vendredi 26 janvier 2024

Un séjour d’éducation chez Papa Josip et Maman Huguette - dimanche 21 janvier 2024

9 h 00

Maman Huguette est montée et est rentrée dans la chambre.
"As-tu bien dormi ?"
"Oui, mais j’ai toujours mal à la fesse gauche."
« Tu te lèves tranquillement, je vais promener les chiens. Josip est parti chercher le pain. Il va revenir vite".
"Oui maman !"
Après quelques minutes, je suis descendue et Josip était déjà revenu à la maison. Il était en train de préparer le petit déjeuner. Confiture, beurre salé et beurre doux (sourire), baguette… en attendant que maman revienne, nous avons discuté de tout et de rien. Puis maman est rentrée, Josip a pris soins de tout, nous avons pris le petit déjeuner tranquillement.

À la fin, tout à coup, Josip m’a ordonné
"Viens ici, Juliette, je dois vérifier quelque chose ! "
Mes fesses se rappelaient encore la douleur et j’ai eu très peur en ce moment-là. Je croyais que j’allais recevoir une fessée. J’ai hésité un peu, maman a aperçu ma crainte et elle m’a dit :
"Non, il ne va pas te fesser !"
Je me suis approchée de Josip, pas très rassurée, il m’a mis à plat ventre sur ses genoux et a baissé ma culotte.
"Il y a effectivement encore quelques marques, on va te remettre un peu de crème".
Ouf ! Je respire à nouveau. Il a remis la crème partout sur mes fesses et il m’a mis debout.
« Alors, tu m’écoutes bien ! Hier soir, tu as pris une bonne fessée, aujourd'hui, il n’y aura pas d’avertissement, ça sera une fessée directement ! Si la première fessée ne suffit pas, il y aura une deuxième, et si la deuxième ne suffit pas, il y aura une troisième ! Tu as compris ?
"Oui ! J’ai compris ! "
Je lui ai répondu avec angoisse, j’ai eu très peur en ce moment-là. Maman est venue pour m’assurer, "il est plus sévère que moi, mais il t’aime bien."


Après le petit déjeuner, je me suis lavée et puis j’ai commencé à écrire l’article sur la table.
Je n’ai pas entendu ce qui s’est passé dans leur chambre, mais maman a pris la main de papa, tous les deux sont venus dans le salon. Maman s’est assise sur la chaise et elle a baissé le pantalon de Josip, puis son slip et elle a commencé à lui donner une fessée. (Voir l’article de Josip)
J’étais juste à côté, heureusement, je n’étais pas à la place de Josip, car elle l’a bien fessé. Juste en regardant, j’ai eu mal pour lui. Avec la cravache, j’ai eu l’impression que c’était pire, car Josip a poussé des cris.

La fessée n’a pas duré très longtemps, Josip a été renvoyé au coin, et j’ai continué à écrire, je suis restée sage sans faire du bruit.


11 h 30

« Juliette, tu vas monter, tu vas défaire le lit dans lequel tu as dormi, le drap, la housse, etc. !
« Oui, pas de souci, lui ai-je répondu. »
Je les ai mis dans la machine à laver et puis j’ai aidé Maman à éplucher les pommes de terre.
"Bon, on va mettre le couvert !"
J’ai souri et j’ai ouvert le tiroir où se trouvent les assiettes, je les ai mises sur la table, ainsi que les couteaux, les fourchettes, etc. Et puis maman m’a dit de sortir la moutarde du frigo.
Je l’ai ouvert, il y en avait deux pots. Dans l’un, il ne restait qu’un peu de moutarde. Je l’ai amené sur la table.
« Tu sors le deuxième, m'a dit maman. On va en avoir besoin !"
« Non, on va finir le premier tout d’abord, ai-je insisté. Ça ne sert à rien d’ouvrir tout de suite le deuxième. »
"Mais si ! Celui-là, on va finir, il ne reste quasi plus rien et tu sors l’autre".
Je l’ai sorti, mais j’ai rouspété. Josip était à côté de moi, il me regardait, je l’ai regardé avec les yeux provocants.
Je n’ai pas eu le temps de réaliser comment il a fait. Il m’a basculé sous son coude, en une fraction de seconde. Il m’a baissé ma culotte et il a commencé à donner de bonnes claques, à gauche, à droite, à gauche, à droite. Je n’ai pas compté, de toute façon, mon cerveau a été envahi par la douleur. Après, je ne sais pas combien de temps, il m’a mis debout au coin, les mains dans le dos avec la culotte baissée. Il a dit d’un ton sévère :
"Si je vois que tu bouges, tu vas prendre une deuxième ! "
J’étais au coin et je me suis sentie injustement punie. De plus, la douleur aux fesses m’a fait plier le dos, mes mains touchaient un peu mes fesses. J’ai commis une énorme erreur et je l’ai payé très, très cher.
Josip m’a basculé sur son bras. Je n’ai même pas eu le temps de réaliser comment il a fait. J’étais déjà à plat ventre sur son genou, et là, j’ai eu le droit d’avoir une fessée mémorable.
Dès la première claque, j’ai demandé pardon.
Deuxième claque, j’ai hurlé « Pardon ! »
À la troisième claque, je pense, j’ai hurlé, avec déjà les larmes, « Pardon ! »
Je ne sais pas combien de pardons j'ai dits ni combien de claques que j’ai reçues. Je ne pensais plus à rien, à part l’espoir d’arriver à la fin de cette fessée.
Enfin, elle s’est arrêtée. Je me suis laissée tomber par terre, et c’est Josip qui m’a relevé et m’a mis au coin, cette fois malgré la douleur indescriptible, je n’osais plus bouger.


Après quelques minutes, Maman est venue me consoler, je n’ai pas pu retenir mes larmes et j’ai pleuré. Maman m’a pris dans son bras, j’ai laissé couler mes larmes comme une petite fille. Maman a passé sa main sur mon dos, elle m’a laissé de reprendre mon souffle.
Et puis papa a pris une chaise, il s’est assis, et il m’a mis sur ses genoux et il a passé la crème partout sur mes fesses. Ça calme tout de suite la douleur. Et Papa a dit
"Juliette, tu as des fesses toutes rouges !"
Tu m’étonnes !

Après quelques minutes, maman a dit : « Josip, fait un câlin à Juliette ! »
Papa m’a pris dans son bras et puis je suis partie dans la salle de bain pour me laver.
Maman a eu l’idée de me demander de prendre les photos de ses adorables chiens pour changer mon esprit.

Maman a eu pitié de moi : « Tu veux un coussin pour s’asseoir, Juliette ? »
« Non, maman, ça va aller ».
Mais j’ai pris de grandes précautions quand je me suis assise. Nous avons déjeuné et l’ambiance est redevenue très conviviale.

Le repas était très bon, je dois dire que Papa et Maman sont de très bons cuisiniers, ils ont fait des sauces délicieuses, tous les plats sont très bons, ils m’ont accueillie comme leur propre fille avec tellement d’amour. Je suis sincèrement touchée par leur hospitalité.


14 h 30

L’heure de départ, j’ai pris mes affaires et j’ai embrassé Papa Josip et Maman Huguette.
Je suis ravie de mon séjour d’éducation chez papa et maman. Et c’est sûr que je reviendrai.
Merci Papa Josip !
Merci Maman Huguette !


Le précédent récit

23 commentaires:

  1. Bonsoir à vous tous, commentateurs et commentatrices, merci pour tous vos commentaires.
    Vous êtes à chaque fois un peu plus nombreux à nous faire pars de vos réactions , vos idées ainsi que vos différentes expériences.
    Josip et moi avons fait connaissance sur ce blog "une bonne fessée" , de là est née une relation filiale , bien sûr notre relation a très vite évolué vers une relation de couple.
    A ce jour, nous avons le plaisir de pouvoir recevoir à la maison des pensionnaires, tel que Lucas, Juliette et bientôt Arnaud.
    Nous recevons nos pensionnaires avec bienveillance et respect. Josip et moi-même tâchons de répondre à leurs attentes, du respect, une certaine convivialité et surtout une éducation stricte, sévère, mais juste.
    Merci à tout ceux qui restent fidèles au blog.
    J'attends vos retours,
    Huguette.

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    1. Qu and je vous lis c'est toujours avec plaisir, je reconnais l'esprit familial, maman et papa qui prennent soins de l'éducation de leurs protéger quand Ils viennent chez vous. C'est vraiment dommage que j'habite trop loin,car j'en aurais vraiment besoin.

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  2. Ma petite Juliette,
    Je crois que tu as encore omis certains éléments dans ton récit, qui permettent de mieux comprendre en quoi tu as besoin de bonnes fessées déculottées quand tu viens à la maison.
    Tout d'abord, te souviens-tu de l'utilisation, à trois reprises, de gros mots qui ont émaillé tes propos pendant le petit déjeuner ? Moi, je m'en rappelle très bien et Huguette t'en a fait la remarque... mais elle ne t'a pas donné de fessée, ce qu'elle aurait dû faire. Il n'est pas admissible que notre petite fille utilise un tel langage sans en être punie. Admettons qu'au premier gros mot, tu n'aies reçu qu'un avertissement verbal. Je veux bien le concevoir, même si je pense qu'une petite fessée, la culotte baissée, t'aurait certainement amenée à y réfléchir à deux fois avant de recommencer. De toute façon, au deuxième gros mot, une bonne fessée s'imposait. Et si tu avais persévéré une troisième fois, le martinet et un long séjour au coin n'auraient pas été inutiles. J'ai attendu, patiemment, que Huguette te punisse. Tu as de la chance, elle ne l'a pas fait. J'ai hésité à la suppléer, mais finalement, je ne l'ai pas fait. Sache qu'une prochaine fois, ni Huguette, ni moi, ne seront aussi laxistes.
    La deuxième chose importante que tu as oubliée, c'est de dire que je t'avais promis une fessée avec la règle quand je t'ai remise au coin après la deuxième fessée, si tu ne te tenais pas bien pendant que tu étais en pénitence. Alors que tu l'aurais largement méritée, je ne t'ai pas donné cette troisième fessée avec la règle. Huguette m'en a empêché. Elle a jugé que tu avais été assez punie. En fait, comme tu pleurais, elle a eu peur que tu ne reviennes pas.
    Je crois que la prochaine fois que tu viendras à la maison, il va falloir que nous t'apprenions à être sage quand nous te mettons au coin. Pour l'instant, tu es loin du compte. Quand tu es mise au coin, c'est pour te faire oublier et pour profiter du temps pour réfléchir à ce qui t'a valu une fessée. Tu as ainsi tout le temps, tu passeras en effet de longues minutes au coin pour prendre de bonnes résolutions. Cela veut dire que le silence le plus complet et une immobilité absolue sont exigés de ta part. Il ne sera plus question que tu te plaignes d'avoir été punie, les «c'est pas juste » n'auront plus cours, ni que tes mains, croisées dans ton dos, massent tes fesses, même si elles sont encore douloureuses. C'est pour cela que Huguette et moi te donnons la fessée. Pour que, grâce à la cuisson, tu comprennes que tu as fait une bêtise et que la douleur, persistant plusieurs minutes, t'aide à en prendre conscience. Je ne crois pas du tout que tes mains ont touché tes fesses par inadvertance. Je pense que tu l'as fait exprès, et c'est pourquoi j'estime qu'une troisième fessée t'aurait été salutaire.
    Il faut que tu saches, qu'ici, quand on s'entête dans une désobéissance, une insolence ou une imprudence, on reçoit une deuxième fessée, plus sévère que la première. Si nécessaire, il y en aura une troisième, voire une quatrième et ainsi de suite... jusqu'à ce que tu cèdes. L'usage du martinet, de la règle ou d'autre chose arrivera vite. Tu sais qu'on en sort les fesses cuisantes bien plus longtemps qu'à la main et je ne reculerai pas devant la perspective de laisser quelques marques sur ton postérieur.
    Quand tu as désobéi, alors que je t'avais déjà donné une première fessée et que je t'avais mise au coin, c'est comme si tu me disais "cette première fessée n'a pas suffi, il faut que tu m'en donnes une autre plus sévère." C'est ce que je ferai dorénavant.
    À toi de redevenir rapidement une petite fille obéissante et d'accepter la punition que tu as reçue comme un mal nécessaire, très utile pour ton éducation. En quelque sorte, c'est toi qui choisiras de recevoir une deuxième fessée, une troisième...
    Nous tenons beaucoup, Huguette et moi, à ce que tu perdes les mauvaises habitudes que tu as prises en grandissant. Tu verras, la fessée déculottée et de longues minutes au coin t'y aideront.
    Bisous ma petite fille,
    Josip.

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    1. Bonjour Papa et Maman,
      Je souhaite tout d'abord confirmer au lecteur de ce blog, la bienveillance de papa et mama, certes, l'éducation est stricte et sévère, mais ils font très attentions aussi à leur pensionnaires.

      Je dois avouer que j'ai mal d'être mise au coin pendant long temps sans bouger, je n'ai pas beaucoup de patience. Papa a raison, je sais que j'ai bien mérité la 3ème fessée avec la règle car j'avais touché mes fesses avec mes mains. (la douleur passe avant tout). Je ferai bien plus l'attention à me contrôler la prochaine fois même je doute moi même si je peux réussir.
      Bisous Papa et Maman

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  3. Bonjour Josip.
    Je ne savais pas que toi aussi tu étais sévère et que tu donnais toi aussi la fessée déculottée punitive…. Est-ce nouveau ?
    Bien a toi.
    Pascal.

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  4. Chère Juliette, comme tu es une vraie chipie, le lendemain tu as persisté dans tes caprices et la désobéissance. En plus les gros mots cela méritait de bonnes fessées de papa Josip. Maman a été moins sévère que papa moi quand j'ai dit un gros mot maman Huguette m'a flanqué une magistrale fessée bien sévère. A croire que papa est plus sévère que maman gloups, cela promet lors de mon prochain séjour je vais craindre la main de papa aussi. En tout cas tu as raison de préciser que le séjour est surtout très agréable, avec des hôtes charmants qui nous reçoivent avec beaucoup d'attention, de super bons plats, une maison très cosy, un coin charmant. Bien sur la fessée peux vite tomber mais cela fait partie du package un séjour d'éducation et de discipline parental avec une prise en charge totale pendant le séjour. Bon moi je suis prêt à revenir mais je redoute la fessée paternelle.

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  5. Mon cher Lucas, vu ton comportement assez immature tu pourrais être surpris par la fermeté de papa Josip lors de ton prochain séjour si tu n'arrives pas à te coucher à l'heure tu risque de prendre la main paternelle sur les fesses si j'en crois le récit de Juliette.

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  6. Je ne crois pas Ludivine c'est maman Huguette qui donne la fessée et elle se couche tôt

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  7. Cher Lucas, je ne sais pas si tu as prévu de passer un nouveau séjour chez Huguette et Josip mais les mots ont un sens et ils restent sur le blog :
    "Maman Huguette donne la fessée et elle se couche tôt".... Tu crois que cela va se passer comme la dernière fois, moi j'en doute je pense qu'Huguette et Josip ont bien noté ta défiance et tu verras tes fesses ! En tout cas rien que pour régler les problèmes de coucher tu as besoin de retourner chez eux mon cher galopin!

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    1. Chère Géraldine, je vous remercie pour votre commentaire du coup Huguette a prévu de régler le problème du coucher oups!. Comme vous voyez je ne suis toujours pas couché, une mauvaise habitude.

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  8. Géraldine,
    Lucas a effectivement prévu de revenir ici et je vais m'attacher, avec Josip, à régler ce problème de coucher.
    Huguette

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  9. Avec Josip indique que Josip va aussi sévir sur ses fesses ?

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  10. Huguette, vous soulevez une bonne question : comment faire pour régler un problème, une répétition de la même désobéissance?
    Prenons l'exemple du problème de coucher de Lucas, ce n'est pas le seul, beaucoup d'adulte on du mal à se coucher. la première fois vous lui avez flanqué une grosse correction, la seconde pas de fessée par ce que vous étiez couchée. la prochaine fois s'il ne veut pas obéir je suppose qu'il aura vite les fesses rouges. Mais après ? vous n'allez pas lui donner 2 ou 3 fessées pour qu'il monte au lit non? Et puis après tout si la fessée est méritée pourquoi ne pas le laisser tranquille surtout s'il ne vous gène pas comme il l'a raconté dans son dernier récit. On ne peux pas fesser un adulte à répétition jusqu'à lui faire mal avec des marques sous prétexte qu'il ne veut pas se coucher car ce vilain défaut est bien ancré en lui et je ne suis pas sur que donner 2,3 ou 4 fessées de suite le fasse changer d'avis. je pense qu'il est souhaitable après la fessée de le laisser tranquille se remettre de sa correction mais lui promettre une fessée bien salée le lendemain matin s'il n'a toujours pas obéi. A mon avis il ira se coucher plus vite que vous ne le pensez. Bien sur s'il a désobéi il sait à quoi s'attendre au saut du lit.

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    1. Ludivine,
      Vous ignorez ce que c'est qu'un test et comment on fait changer les habitudes des adultes, ce qui n'est pas facile. Comme vous le dites, elles sont ancrées.
      Tout dépend si on exige de la personne placée sous votre responsabilité, une obéissance immédiate ou non. Si ce n'est pas le cas, je ne vois pas pourquoi elle obéirait du premier coup. Il n'y a donc pas de raison de lui donner une fessée.
      Si vous avez décidé que votre consigne devait être obéie du premier coup et que ce n'est pas le cas, la fessée s'impose. Elle doit être suivie d'une autre jusqu'à ce que vous obteniez ce que vous avez exigé et les fessées doivent être de plus en plus sévères. La première ne doit donc pas être trop grosse. Il faut cependant que la personne qui a désobéi, sente que votre demande ne se discute pas. Des fesses cuisantes sont donc une obligation dès la première fessée, mais il doit y avoir des réserves de sévérité pour les suivantes.
      Huguette
      Autrement, vous n'aurez plus aucune autorité sur cette

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    2. Huguette, il n'y a pas de problème d'autorité avec vous, Lucas comme Josip ou Huguette vous obéissent vite et craignent votre main vu les témoignages il n' y a pas de doute vos prérogatives maternelles ne sont pas discutées et la fessée arrive vite. C'est tout nouveau Josip qui donne la fessée est ce une envie de vos pensionnaires une punition de papa aussi ?

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    3. Ludivine,
      Effectivement, j'ai rarement des problèmes d'autorité, mais c'est parce que cette question est claire dès le début : j'ai toutes les prérogatives d'une Maman, avec une vision traditionnelle de l'éducation ; et parce que je suis attentive à la façon dont j'exerce cette autorité.
      En ce qui concerne Josip, c'est venu un peu comme ça avec Juliette. Je l'ai menacée d'une fessée donnée par Josip et elle n'a pas eu une attitude de refus. Face à ses caprices, j'ai demandé à Josip de sévir. Il lui a donné une première fois la fessée. Pour Lucas, ce sont ses commentaires, suites aux fessées reçues par Juliette, qui m'ont amenée à lui demander s'il considérait que Josip pouvait lui donner la fessée quand il la méritait. Il a acquiescé.
      Voila, c'est donc une nouvelle possibilité qui ne m'empêchera pas de déculotter et de fesser Josip quand il en aura besoin.
      Huguette

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  11. Ludivine tu as raison avec un enfant une fessée et il va vite au lit mais avec un adulte comme Lucas cela parait peu probable. La promesse d'une grosse fessée au saut du lit en cas de désobéissance de maman et/ou papa devrait le faire réfléchir surtout si on dépose sur son lit le martinet, il peux vite se coucher.

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  12. Géraldine, je suis tout à fait d'accord avec toi mais je crois qu'Huguette est plus sévère que nous. D'ailleurs Huguette vous avez été beaucoup plus sévère niveau fessées avec Lucas qu'avec Juliette pourquoi ? Quand on voit dans le commentaire de Josip qu'elle a fait beaucoup de caprices, de provocations, de gros mots beaucoup moins sage que Lucas et moins fessée ? Peu être parce que c'était une femme tout simplement et qu'une femme peut moins bien encaisser une fessée.

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    1. Ludivine,
      De mon point de vue, il y a très peu de femme qui ose venir ici et accepter la punition. (D'ailleurs, j'espère mon récit a donné envie aux femmes de venir chez Maman Huguette). Comme c'était première rencontre, Maman Huguette a peut être plus de clémence avec moi car elle a peur de m'effrayer.
      Par contre, je ne pense pas une femme encaisse moins bien qu'un homme une fessée.
      Je laisse Maman Huguette si elle souhaite ajouter un commentaire.

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    2. Chère Juliette, c'est vrai peu de femmes osent et cela fait de toi une super chipie courageuse mais chipie quand même et tu as raison je pense que maman t'as un peu épargné pour ne pas t'effrayer et puis tu as vite pleuré. Tu as eu de la chance moi je me suis pris des fessées beaucoup plus sévères ; peu être que si je pleure maman sera moins sévère lol. Tu as raison je pense qu'une femme encaisse aussi bien qu'un homme mais en général un papa fesse plus fort qu'une maman, je suis prévenu.

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    3. Cher Lucas,
      Aha oui, je te confirme que papa fesse beaucoup plus fort que maman. J'ai eu quelques expériences de fessée y compris avec des instruments sévères (paddle, martinet, cane, tawse, …) je n'ai jamais pleuré avant. C'était vraiment une première fois j'ai pleuré pendant la fessée. (bien sûr que le contexte est différent aussi)
      Je ne sais pas comment tu as ressenti après maman t'a donné la fessé avec le martinet le soir pendant ton premier séjour. Moi, pendant des heures, je cherchais désespérément une position pour dormir lol. Dès que je bouge, le frottement entre le pyjama et la peau m'a fait mal. Si tu mérites une fessée paternelle lors de ton prochain séjour, une petite astuce: c'est mieux de l'avoir dans la journée que dans la soirée :-) surtout pas juste avant de se coucher.
      Si je comprends bien, papa et maman vont faire très attention à l'heure que tu te couches la prochaine fois, donc, si j'étais toi, je serais bien sage. :-)

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    4. Chère Juliette, je ne suis pas novice en terme de fessées, j’en ai reçu beaucoup et heureusement sinon je n’aurai pas passé un séjour chez Huguette et Josip. Je comprends ton ressenti de la fessée de papa du soir assez sévère. Pour t’avouer comme je l'ai détaillé dans mon récit, la double fessée que j’ai reçue d’Huguette main, règle et cravache pour mon refus d’aller me coucher a été très sévère et j’ai eu très chaud aux fesses longtemps et même des marques. Elle était méritée mais très sévère. Tu as eu de la chance de ne pas avoir reçue la même sévérité mais à ton prochain séjour tu pourrais être punie plus sévèrement. Si je n’ai pas pleuré j’étais pas loin et surtout ce qui m’a manqué c’est le pardon avec un petit câlin. Je retiens ton conseil au sujet de la fessée paternelle. Pour l’heure du coucher on verra le jour J si je suis sage ou pas.

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  13. Ou tout simplement parce qu' Huguette a été patiente pour une première visite et a attendu que Juliette multiplie les caprices pour demander à papa Josip de sévir sur ses fesses. Vu le commentaire de Josip la prochaine fois ils ne lui passeront pas ses caprices de petite fille, les gros mots et les mains sur les fesses au coin. Le prochaine séjour elle aura la fessée beaucoup plus vite. Elle sait a quoi s'attendre miss Juliette!

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