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dimanche 6 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 2 juillet 2025 – 12 h 25

Je savais que ma compagne allait bientôt être de retour, mais c’était plus fort que moi. J’étais persuadé que je pouvais l’entendre quand elle arriverait et que j’avais le temps de me rhabiller correctement avant qu’elle ne puisse constater que j’avais recommencé à rester sans culotte dans la maison.

Compte tenu de la chaleur, c’était bien plus confortable d’être habillé aussi légèrement et puis je voulais me prouver que j’avais encore une marge de décision malgré ce que ma compagne avait décrété. Ce n’était pas que je considérais sa disposition comme déraisonnable. Considérer que, à mon âge, je ne devais pas me conduire comme un petit garçon, est tout à fait pertinent. Non, mais il fallait que je me prouve à moi-même que je pouvais prendre des initiatives que j’avais décidé seul.

samedi 5 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 1ᵉʳ juillet 2025 – 9 h 25

Je crois que cette fois, ça y est. Ma compagne a décidé réellement d’éradiquer, chez moi, l’habitude de manger la bouche ouverte. Elle m'en avait longuement parlé, elle m’avait menacé, mais elle n’était que peu passée à l’acte ou alors de façon si discontinue que je pouvais difficilement renoncer à cette manie.

Il y a encore peu de temps, je faisais exprès de manger la bouche ouverte. Ma compagne, parfois et pas toujours, m’en faisait la remarque et cela s’arrêtait là. Après avoir abordé le sujet avec elle, j’ai convenu que c’était très désagréable pour les personnes qui mangeaient en face de moi et que je devais absolument changer ma façon de faire sur ce point. Elle a résolu qu’elle serait maintenant intraitable. Cela a pris quelques temps, mais je pense qu’elle met maintenant ses actes en accord avec ses dires. Ce sont mes fesses qui en font les frais.

mercredi 18 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 17 h 22

Ma compagne considère que parmi les valeurs que doit inculquer l’éducation, le respect dû aux grandes personnes fait partie des aspects fondamentaux. Il n’est donc pas admis une quelconque forme d’insolence. Elle doit être punie aussitôt qu’elle se manifeste afin de montrer à celui ou celle qui l’a commise, que cela représente un comportement inadéquat.

J’ai souvent du mal à faire la différence entre de la plaisanterie entre adultes et de l’insolence dont je pourrai me rendre coupable envers elle. C’est pourtant simple. Elle est une grande personne raisonnable chargée de mon éducation. Donc moi, je n’en suis pas une. Nous nous sommes mis d’accord sur ce sujet au début où nous nous sommes rencontrés.

Depuis, elle comme moi, considérons qu’elle a le droit de me punir à chaque fois qu’elle estime que je l’ai mérité, sans avoir besoin de mon accord. Avoir été insolent envers elle fait partie, à ses yeux, comme une bévue dont il faut me corriger. La fessée déculottée, c’est fait pour ça.

samedi 14 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 13 juin 2025 – 12 h 44

Très souvent, je profite de l’absence de ma compagne pour faire tout ce qu’elle me défend. Il s’agit pour moi, de goûter au plaisir de l’interdit, de faire ce qui est défendu, tout en le sachant, avec une boule au ventre qui me rappelle ce qui m’arrivera si ma compagne s’en aperçoit.

J’ai déjà évoqué cette question dans un précédent article. Ce n’est vraiment pas que j’éprouve du plaisir à recevoir une fessée. Certes, je n’ai plus du tout honte de montrer mes fesses nues en présence de ma compagne que ce soit dans l’intimité ou quand elle envisage de me punir, sans doute l’habitude. Cela-dit, c’est toujours ennuyeux quand elle me baisse la culotte avec l’intention de m’administrer une correction. Je n’ai plus du tout l’impression que nous avons une relation entre deux adultes, ce qui est vrai. A ces moments-là, elle dispose de toutes les prérogatives d’une maman, donc de me punir en me déculottant et en me fessant, et moi, je dois obéir. Elle considère qu’elle doit me donner une fessée quand je l’ai méritée et je dois avouer que je ne saurai m’y opposer.

jeudi 12 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 10 juin 2025 – 12 h 31

J’aurais bien dû me douter que cela allait finir par une bonne fessée déculottée. En fait, je m’en doutais, mais cela fait partie de la relation filiale. Il est normal qu’un garçon, quel que soit son âge, teste les limites que lui donne sa Maman. Cela fait partie du processus d’éducation et s’il ne l’a pas fait quand il était petit, il est naturel qu’il le fasse quand il est devenu adulte. Comme il est normal qu’une Maman sanctionne par une bonne fessée quand ces limites sont dépassées volontairement.

Je ne suis pas certain que le terme volontairement soit le bon. Je ne fais rien de volontaire pour recevoir une fessée. C’est bien trop dissuasif. Se retrouver avec les fesses cuisantes, voire avec quelques marques, n’a rien d’amusant. Mais cela fait partie du fonctionnement d’une relation filiale. Je cherche à dépasser les limites sans me faire punir et ma compagne exige que je m’y tienne et elle me punit quand je ne le fais pas.

mercredi 23 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 17 h 09

Après cette première fessée, notre promenade s’est poursuivie. Je sentais, sur mes fesses, la douleur, là où les baguettes avaient imprimé leurs marques. Je n’osais pas regarder plus avant dans quel état étaient mes fesses. Il aurait fallu baisser mon pantalon et ma culotte, et ça, ma compagne ne l’aurait pas permis. Elle faisait comme si ce dernier épisode avait clos le chapitre.

Elle avait totalement raison. Je n’étais pas prêt à m’occuper de nouveau des cailloux du chemin. Chaque fois qu’il y en avait un qui me semblait positionné pour être poussé par mon pied, je résistais à l’envie, sachant, si je le faisais, ce qui m’attendait. Les habitudes des adultes sont souvent profondément ancrées et il est difficile d’y résister. Je sais que, très probablement, il faudra plus d’une fessée pour faire disparaître cette manie. Si ma compagne avait décidé d’y arriver, je sais qu’à force de patience, elle atteindra son but. Mes fesses seront mises à contribution autant de fois que nécessaire, mais pour le moment, la leçon avait porté ses fruits. Plus de coups de pied dans les cailloux… du moins pour aujourd’hui.

mardi 22 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 16 h 45

Ce n’est pas que les fessées que me donne ma compagne aient vraiment cessé un jour, même si les récits n’en ont pas été publiés sur ce blog. Pour répondre à l’interrogation de quelques lecteurs, non, je ne suis pas devenu subitement sage et obéissant. Ma compagne a dû sévir à plusieurs reprises, mais elle n’avait jamais estimé que l’histoire devait en être publiée ici. Hier, après l’après-midi que je vais conter en détail ci-dessous, ma compagne a décidé que je devais en écrire le fil et le mettre à votre disposition sur le blog.

Je ne sais pas exactement quelles étaient ses intentions. Était-ce pour montrer que la fessée déculottée n’a pas disparu des pratiques éducatives, surtout quand il s’agit de parfaire l’éducation d’un adulte ? Était-ce pour accroître la honte que je ressens à l’idée de faire savoir à tous les lecteurs que recevoir la fessée déculottée est encore nécessaire, malgré mon âge ? Il est, en effet, toujours mortifiant de faire savoir à tout le monde que le seul moyen que ma compagne ait trouvé pour contrôler mon comportement et me faire renoncer à des attitudes irresponsables, c’est de me baisser la culotte et de me donner une sérieuse fessée.

samedi 17 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 9

 Les deux sœurs Johanson se regardèrent. Elles avaient enfin obtenu une confession à peu près complète, pensaient-elles, qui leur donnait une bonne idée des mesures disciplinaires dont leurs deux pensionnaires avaient l’habitude.

Cela n’avait pas été sans mal et elles comprenaient la réticence qu’avaient ces deux jeunes adultes à confesser comment ils étaient punis par leur patronne. A la boulangerie, ils étaient considérés comme des enfants et tout écart se traduisait pas une fessée.

samedi 27 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 53

Benoît ne s’attendait pas, en rentrant chez lui, au spectacle qu’il avait sous les yeux. Il y avait une petite assemblée dans le hall d’entrée de l’immeuble, mais, dans un premier temps, une seule personne attirait son regard. Il s’agissait d’un home dont il était difficile de déterminer l’identité, étant donné qu’il tournait le dos. Le nez dans le coin, la culotte baissée, il montrait ses fessées striées de grands trais foncés, à tous ceux qui arrivaient. La fessée avait dû être sévère.

vendredi 26 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 52

Paul rentrait chez lui après sa journée de travail. Il était perdu dans ses pensées quand il arriva dans le hall de son immeuble, pensant à la façon dont il avait remis sa cheffe à sa place le matin-même. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle n’était pas satisfaite ni de son rythme de travail, ni de son attitude vis-à-vis de ses collègues.
« Tous des imbéciles ignorants, pensa-t-il ! »

samedi 27 février 2021

Madame Caroni - chapitre 47

Marlène n’était pas au coin depuis très longtemps, mais elle commençait à se demander combien de temps devrait-elle y demeurer. Elle avait bien compris qu’en aucun cas elle ne devait s’y manifester d’aucune manière, ni par des bruits, ni par des mouvements. Elle fut pourtant tentée quand elle entendit une personne entrer dans l’appartement. Le nouvel arrivant ne pouvait manquer de l’apercevoir, seulement son dos et ses fesses nues, ce qui était une maigre consolation.
Marlène resta finalement sans bouger. La voix de Caroline interpellant la personne entrante avait laissé cette tentation à l’état d’intention.
« Tu tombes bien, je commençais à penser que tu étais en retard. »

mercredi 17 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 44

La voisine et Maeva regardèrent Marguerite se placer dans le coin, ajuster l’arrière de sa jupe afin que ses fesses soient bien dégagées.
« A toi, Maeva, approche ! »
Un court instant Maeva avait oublié que si la fessée de Marguerite était terminée, c’est que la sienne était imminente. En l’interpellant, La voisine l’avait ramenée sur terre, vers une réalité bien prosaïque : bientôt ses fesses auraient la même couleur que celles de Marguerite et elle ressentirait une cuisson analogue à celle que devait actuellement ressentir sa copine.

vendredi 12 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 43

Maeva et Marguerite montaient l’escalier. La voisine les suivait. Elle ne les avait pas autorisées à remonter leur culotte, ce qui rendait l’ascension difficile.
« Ne croyez pas vous en tirer à si bon compte. Votre punition n’est pas finie ! »
Ce qu’elles craignaient arriva. Les deux filles s’arrêtèrent au premier, l’étage auquel habitait la dame. Si la punition ne se prolongeait pas dans le hall de l’immeuble, cela devait être certainement au domicile de la dame.

samedi 16 janvier 2021

Fabien, saison 2 - chapitre 39

 Elle a fait venir Lucie devant elle, elle connaissait sa partition et a conservé ses mains sur la tête, elle savait qu’elle allait prendre cher et ne tenait pas à aggraver son cas, notre logeuse l’a fixée quelques instants et l’a envoyé quérir la baguette qui restait suspendue dans la salle d’études avec le martinet, la ceinture et la règle plate, tous instruments chargés de l’aider à nous rôtir les fesses d’importance quand la faute commise dépassait le cadre d’une simple fessée à mains nues, même si on vient de voir qu’elle pouvait être extrêmement sévère.

samedi 9 janvier 2021

Fabien, saison 2 - chapitre 38

Lucie a eu du mal à se remettre de cette funeste soirée, ses fesses ont repris leur aspect normal dès le lendemain, pas gênée pour un sou, elles me les avaient exhibées au petit déjeuner pour solliciter mon avis, je commençais à trouver un brin tendancieux ce genre d’exhibition, soit, elle me cherchait plus ou moins, soit, elle me considérait comme quantité si négligeable qu’elle n’éprouvait aucune gêne à se montrer plus ou moins dénudée devant moi, je penchais hélas pour cette seconde hypothèse. D’autant plus qu’elle continuait à me traiter en bambin, procédant à ma toilette intégrale quand elle n’était pas trop à la bourre, sans oublier le nettoyage de mes fesses quand j’allais déféquer, sans ces conditions, je ne pouvais véritablement pas me considérer comme un partenaire sexuel potentiel.

vendredi 4 décembre 2020

Tapage nocturne ? Impolitesse ? La solution est évidente !

 Eh oui, ma chérie, je sais que la voisine est là ! C'est d'ailleurs à cause ce qu'elle vient de me dire que toi tu te retrouves là où tu es ! Eh bien non, je ne vois pas en quoi sa présence pourrait changer quoi que ce soit à la punition que tu as méritée. C'est exactement pour cela que je t'ai amenée chez elle.

Vois-tu, elle m'a expliqué, avec force de détails très convaincants, comment tu te comportes quand je ne suis pas là pour te surveiller. Il paraît que le week-end dernier, alors que tu étais seule à la maison, la musique était à fond jusqu'à quatre heures du matin ? Pire encore, ce ne serait pas la première fois ! Je comprends maintenant pourquoi tu aimais tant rester seule à la maison !

mercredi 18 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 24

 « Eh bien, mon garçon, qu’attends-tu ? C’est ton tour ! »

C’est par cette invite, accompagnée d’un geste explicite que Philippe fut prié de venir prendre place. Il vint se mettre à la portée de sa future correctrice. Il se retrouva aussitôt dans la position qu’Aurélie avait dû adopter quelques minutes auparavant. Elle n’avait rien de confortable. La cuisse de sa belle-mère, bien qu’un peu rembourrée, lui scia le ventre dès que ses pieds ne touchèrent plus le sol. Maman Marianne l’avait hissé à l’horizontal en passant son bras entre les jambes de son gendre, écartant au passage la verge et les testicules.

mercredi 11 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 23

 « A ton tour, jeune fille ! »

Jeune fille ? Aurélie n’avait pas vraiment l’impression d’être tellement plus jeune que celle qui venait l’inviter à la rejoindre pour recevoir sa fessée. Oui, mais elle avait tout de même le droit de la corriger. Aucun doute sur cette question. Aurélie avança vers la policière. Elle ne le voulait pas, mais que faire d’autre ?

samedi 7 novembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 29

 Elle envoie du lourd d'entrée, j'avais presque oublié qu'elle tapait aussi fort, elle bénéficie d'une technique innée, pas comme Corinne à qui on s'en souvient, elle avait été obligé de faire la leçon, sa main s'arrondit sur ta fesse et provoque d'entrée une vive douleur, c'est pas aussi raide, leur physique n'est pas comparable, que les fessées de Madame Leblanc ou de la mère Bruno, aux gabarits impressionnants, alors que ma cousine ne doit guère dépasser les 50 kilos toute mouillée, comme Justine d'ailleurs, mais il n'empêche, ça te massacre bien le fessier.

samedi 25 juillet 2020

Fini la liberté - chapitre 11

Comme Jérôme, Laurent a été couché tôt par sa mère hier soir. Sitôt sa punition terminée, ils ont dû se brosser les dents et se coucher vers vingt heure.  Il a obéi sans rechigner. Ce matin il est déjà réveillé. Il a une forte envie d’aller aux toilettes. Jérôme qui a dû migrer dans un lit d’appoint à côté de son lit habituel (pour sa faible corpulence) se montre quant à lui agit.
« Jérôme tu dors ? l’interroge son « nouveau » grand frère