mercredi 18 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 17 h 22

Ma compagne considère que parmi les valeurs que doit inculquer l’éducation, le respect dû aux grandes personnes fait partie des aspects fondamentaux. Il n’est donc pas admis une quelconque forme d’insolence. Elle doit être punie aussitôt qu’elle se manifeste afin de montrer à celui ou celle qui l’a commise, que cela représente un comportement inadéquat.

J’ai souvent du mal à faire la différence entre de la plaisanterie entre adultes et de l’insolence dont je pourrai me rendre coupable envers elle. C’est pourtant simple. Elle est une grande personne raisonnable chargée de mon éducation. Donc moi, je n’en suis pas une. Nous nous sommes mis d’accord sur ce sujet au début où nous nous sommes rencontrés.

Depuis, elle comme moi, considérons qu’elle a le droit de me punir à chaque fois qu’elle estime que je l’ai mérité, sans avoir besoin de mon accord. Avoir été insolent envers elle fait partie, à ses yeux, comme une bévue dont il faut me corriger. La fessée déculottée, c’est fait pour ça.

Me tenant par la main, elle se dirigea vers le petit pont au-delà duquel elle envisageait de me déculotter et de me fesser. Il n’y avait pas très loin depuis l’endroit où elle m’avait donné une petite fessée qui avait pris la forme d’une première étape m’annonçant la véritable punition, celle qui allait venir dès qu’elle aurait trouvé un endroit adéquat.

Je l’avais suivie, résigné. Je ne savais pas quelle serait la fréquentation de cet endroit un dimanche après-midi, mais s’il n’y avait pas plus de monde que la veille, c’est certain que c’était le lieu idéal pour me donner une fessée déculottée. Effectivement, une fois entré sur l’îlot, cela semblait bien désert.

« Bon, dit-elle, ici, ce sera parfait ! »

Elle me mit devant elle et défit le lacet qui retenait mon short.

« Maman, on peut nous voir ! »

Il suffisait que les personnes qui circulaient sur le chemin tournent la tête vers nous et que leur attention soit attirées par mes plaintes à venir, pour qu’elles assistent au spectacle d’un adulte recevant une bonne fessée déculottée.

« D’accord, fit-elle, allons un peu plus loin ! »

Nous nous sommes dirigés vers l’extrémité du lieu le plus éloigné de l’entrée. Je n’avais pas gagné grand-chose. Un petit répit ? Mais c’était tout si on ne compte pas l’absence de spectateurs qui auraient pu assister à ma punition. Il est vrai que pour moi ce dernier point était très important. Où se loge sa fierté ? Pour moi, ce n’était pas d’être traité comme un adulte. Je savais que j’allais prendre une fessée, mais c’était que personne ne soit au courant.



Elle m’a emmené là où il était peu probable qu’une tierce personne puisse nous voir. Elle a coupé une baguette dans un arbre.

« Viens ici ! »

Je me suis avancé. Elle a fait glisser mon short le long de mes cuisses. Il est tombé sur mes chevilles. Puis elle m’a pris sous son bras. Je me suis courbé, lui donnant ainsi complet accès à mes fesses. Alors elle a pris ma culotte et l’a fait descendre et l’a laissé à la hauteur de mes genoux. J’ai agrippé des mes deux mains son pantalon. Elle a positionné son pied gauche entre les deux miens. Alors elle a levé la baguette.

Au début, cela ne m’a pas fait très mal. Elle avait laissé des feuilles sur le rameau qu’elle avait coupé. Ma timide réaction ne l’a pas trompée. Elle a accentué ses coups en prenant plus d’élan afin que le bois souple s’abatte plus fortement sur les fesses. Je crois que c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à émettre des plaintes qui de sourdes sont devenues sonores.. J’essayais de les étouffer, mais il n’y avait rien à faire. Si un quidam passait sur le chemin, nul doute qu’il ait entendu mes lamentations qui sont devenus bien vite des cris que je ne parvenais plus à retenir.

« Alors comme ça, tu veux faire pipi dans ta culotte ? »

La fessée recommença de plus belle.

« L’intention et surtout que tu l’utilises pour faire pression sur moi, me suffit. Une bonne fessée, voilà ce que tu as mérité. »

La correction continua un petit moment. Puis elle cessa.

« Je vais m’occuper maintenant de ton insolence. »

Elle remonta ma culotte puis mon short.



Elle revint sur nos pas en me poussant devant elle et elle coupa une longue baguette fine. Elle prit la précaution, cette fois-ci, d’en enlever les feuilles.

« Viens avec moi ! »

Là où elle m’emmena, nous étions à peu près visibles depuis le chemin. Mais elle avait repéré un tronc d’arbre couché sur lequel elle s’assit.

« Tu ne croyais tout de même pas que tu allais t’en tirer à si bon compte ? »

Elle baissa mon short, puis ce fut le tour de ma culotte. Je suis certain que si une personne était passée sur le chemin qui se trouvait à quelques mètres de l’autre côté d’un fossé, il aurait pu me voir lui faisant face les fesses nues.

J’ai bien essayé de le dire à ma compagne, mais elle n’a pas tenu compte. Il était bien plus urgent, pour elle, de me punir de mon insolence. Certes, que ma fessée ait des témoins était un risque mais elle l’estima négligeable. Elle a eut raison. Je ne crois pas avoir été vu dans une situation aussi peu valorisante.

« Comme ça, dit-elle ! »

Elle m’attira à plat ventre sur sa cuisse, puis elle me ceintura, m’indiquant ainsi l’espace qui serait le mien durant la fessée. Le bout souple de la baguette tomba sur ma fesse droite. Je hurlais. Maintenant il n’était plus question de retenue. Que mes cris attirent des spectateurs était, à ce moment-là, le cadet de mes soucis. Sa leçon portait ses fruits. Mes réactions étaient sans équivoque à ce sujet.

« Je vais d’apprendre à être insolent ! »

La courte interruption pour me gronder ne fut pas assez longue à mon goût. La baguette reprit le rôle qui était le sien. Sûr que je ne serai plus jamais insolent avec les grandes personnes et surtout pas avec ma compagne.

« Encore une dizaine de coups de baguette et je vais en rester là »

Je ne sais combien de fois elle appliqua encore la baguette sur mes fesses. Sans doute dix, puisqu’elle en avait décidé ainsi. Je ne fus soulagé que lorsqu’elle arrêta, mais ce fut pour m’asséner quelques bonnes claques à main nue.

Lorsqu’elle m’autorisa à me lever, je ne perdis pas de temps. Cependant, malgré mes fesses nues visibles à tout va, j’attendis qu’elle veuille bien remonter ma culotte et mon short. Cela finit par arriver. Je retrouvais une tenue décente plus en rapport avec mon âge. Mes fesses me cuisaient et le tissu qui les recouvrait n’améliorait rien. Mais les marques que les deux baguettes avaient dû laisser, ne se voyaient plus.



« Tu vois, commenta-t-elle, ils ont même mis un banc pour que je puisse te donner commodément la fessée ! »

En sortant de l’espace où je venais de prendre deux fessées, nous croisâmes une dame et sa grande fille. Une fois qu’elles nous eurent dépassées, Maman me regarda.

« A quelques dizaines de secondes près, elles se seraient trouvées là quand tu a reçu ta fessée ! »

Heureusement, cela n’avait pas été le cas.




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

1 commentaire:

  1. 13, 14 puis 15 juin... décidément, une à deux fessées par jour ... vous cherchez, vous trouvez. Quoi de plus énervant pour une maman que l'insolence... toutes vos fessées sont totalement méritées. Vous avez de la chance d'avoir une maman si scrupuleuse au niveau de votre éducation. Que j'aimerais avoir une maman comme la vôtre

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