mardi 24 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 22 juin 2025 – 12 h 45

Quand ma compagne n’est pas là, je prends plein de liberté avec les interdits et les obligations qu’elle a posés. Bien sûr, je sais que si je suis pris à le faire, j’aurai une fessée dont la vigueur dépendra du nombre de fois où ma compagne aura pu constater mes transgressions. Je crois qu'elle sait que je prends des libertés avec ses consignes aussi souvent que je le peux. Je pense que c’est pour cela que, quand nous sommes ensemble, elle n’hésite plus à me donner une grosse fessée quand elle constate une désobéissance.

Je ne crois pas qu’elle prend ces latitudes que je me donne comme une atteinte à son autorité, ce que ce n’est pas. Je pense qu’elle considère que c’est une étape normale dans l’éducation qu’elle me donne. Il s’agit de tester les limites. Tous les enfants le font plus ou moins. Compte tenu de mon immaturité, il n’est pas étonnant que je fasse aussi.

Bien entendu, ma compagne estime que je gagnerai en maturité si j’étais contraint d’obéir en permanence. C’est ce à quoi elle s’attelle quand nous sommes ensemble. Mais elle ne peut pas me surveiller tout le temps. Elle travaille, et pendant ces heures-là, je suis livré à moi-même, ce qui me laisse tout le temps dont j’ai besoin pour agir à ma guise et négliger les consignes de ma compagne qui font pourtant partie du bon sens normal que tout adulte respecterait.

Elle m’a déjà expliqué que c’était pour cela qu’elle cherchait d’autres personnes qui pourraient jeter un œil sur ce que je fais quand elle n’est pas là. Elle rêve de pouvoir me confier à une nounou pendant qu’elle travaille, qui aurait toute latitude pour me fesser quand je ferai des bêtises. Heureusement qu’elle n’en a pas trouvé, mais je ne suis pas complètement certain qu’elle ait renoncé à son projet. C’est pourquoi elle veut constituer un réseau d’hommes et de femmes qui pourraient augmenter le temps où je suis sous surveillance, avec la menace d’une fessée quand je l’ai méritée.

En attendant, elle se contente de varier les moments où, étant potentiellement absente, elle vient malgré tout surveiller ce que je fais. Je sais que si elle arrive et que j’ai désobéi à une de ses consignes, une bonne fessée me remettra dans le droit chemin. C’est ce qui m’est arrivé ce dimanche midi.



Il faisait enfin une température raisonnable et il y avait un petit vent qui rafraîchissait l’air. J’étais attablé sur la terrasse, à l’extérieur de la maison. Je prenais mon repas de midi, au frais. Après ces deux jours de températures extrêmes, cela faisait du bien.

Comme à mon habitude, je m’étais habillé le plus légèrement possible. Je n’avais mis qu’un polo long. Il m’arrivait au ras des fesses et j’estimais que c’était bien assez suffisant. Je n’avais ni chaud ni froid, la tenue idéale compte tenu de la température.

Je savais que je contrevenais ainsi aux ordres de ma compagne. Elle m’avait explicitement interdit de n’avoir qu’une tenue aussi légère. Elle exigeait que je m’habille comme doivent le faire des adultes, et en particulier je savais qu’elle n’admettait pas que je ne mette pas de culotte.

« Il n’y a que les petits enfants qui peuvent se promener comme ça, les fesses nues. Toi, tu es grand. Tu ne peux donc pas prendre le risque qu’une personne aperçoive tes fesses alors que tu n’as pas de culotte. »

J’étais au courant de tout cela, mais j’estimais que le risque d’être vu dans cette tenue était inexistant tant que je restais dans le jardin. Personne n’en saurait rien. Et puis, j’étais bien plus à l’aise comme cela. Ma compagne travaillait. Elle commençait en début d’après-midi. Elle devait déjà être en route et de toute façon, elle ne venait jamais vérifier si j’obéissais bien à ses ordres. J’étais donc serein jusqu’à ce que ma compagne pointe son nez sur la terrasse.



« J’avais cinq minutes, alors je suis passée. Je ne reste pas longtemps ! »

Elle me fit un bisou, et je prenais bien garde à ne pas bouger de ma chaise. Le bas de mon polo recouvrait mes organes génitaux. Certes j’avais les cuisses nues et ça se voyait, mais sans soulever le tissu qui cachait mes fesses, il était difficile de voir si les fesses étaient nues aussi. Il aurait fallu que ma compagne le vérifie ou que je laisse apparaître ma peau nue, en me levant de ma chaise, par exemple.

J’étais, d’un côté, très content qu’elle soit là, mais de l’autre je ne savais comment faire pour qu’elle ignore ma désobéissance. Elle picora dans mon assiette, s’assit en face de moi et engagea une conversation banale sur le temps qu’il avait fait et sur ce qu’elle ferait l’après-midi.

Puis elle se leva et entra dans la maison. Là où elle se rendit, elle n’avait plus de visuel sur moi. J’eus la tentation de me rendre dans la chambre pour y enfiler une culotte. Je mesurais les risques encourus. Il va de soi que ma compagne s’apercevrait de mon déplacement et je devrais le justifier. Il me faudrait une raison plausible et il me faudrait la sortir sans hésitation. Je ne voyais pas quoi inventer. Le temps de mon hésitation suffit à ma compagne pour revenir sur la terrasse. Je ne pouvais plus bouger sans dévoiler ma désobéissance.



Je ne sais plus exactement comment le sujet est venu sur la table. Peut-être ma compagne commença-t-elle à évoquer la chute de la température et le fait que ma tenue allait devenir trop légère.

« Heureusement que tu as une culotte ! »

Je suis resté sans réaction. Mes mimiques n’avaient rien de naturel. Ma compagne s’en est aperçu. Elle eut l’air estomaquée.

« Tu n’as pas de culotte ! »

Elle fit le tour de la table et vint soulever le bas de mon polo, exposant mes fesses nues. Ma désobéissance était dévoilée.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? »

Elle me donna une claque sur le haut de la cuisse, mais positionnée comme elle l’était, cela ne pouvait pas me faire grand mal.

« Je n’ai pas de temps, mais je vais quand même prendre ce qui est nécessaire pour te donner une fessée ! »

Elle me prit par la main et je dus la suivre dans la maison. Heureusement, elle n’avait pas décidé de me punir sur la terrasse. Les voisins auraient entendu le bruit des claques sur mes fesses et j’aurais eu un mal de chien à retenir mes plaintes. Je ne sais pas ce qu’ils auraient pu en penser.

Elle s’assit sur un fauteuil et me fit mettre à genoux entre ses pieds. Puis, d’une ferme poussée dans mon dos, elle me coucha à plat ventre sur sa cuisse. J’avais le nez dans le coussin. Je sentis mon polo remonter dans mon dos. Je serrais les dents.

Sa main s’abattit sur mes fesses. Elle y mettait toute l’énergie dont elle était capable et, visiblement, elle avait récupéré la tonicité qui lui avait manqué la veille. Dès la troisième claque, j’extériorisais la douleur qu’elle faisait naître sur mes fesses. Mes cris n’eurent, bien sûr, aucune incidence sur la correction. Ma compagne les ignorait, tout en sachant qu’ils lui montraient l’efficacité de la punition qu’elle m’administrait.

La fessée ne dura pas très longtemps, mais assez pour que j’en ressorte les fesses cuisantes.

« Va me chercher une culotte ! »



Je revins avec le sous-vêtement à la main et je le donnais à ma compagne. Elle le positionna devant moi de façon à ce que j’y enfile mes pieds l’un après l’autre. Elle remonta ma culotte le long de mes jambes, mais s’arrêta à mi-cuisses.

Elle se leva et me courba sous son bras. J’y reçus une deuxième fessée sans tenter d’y échapper, pas plus qu’à la première. Je savais que ma compagne était dans son droit et que j’avais mérité cette correction. Il lui appartenait de me punir et je n’avais pas intérêt à protester sous peine de recevoir une autre fessée encore plus sévère.

Quand elle me relâcha, je restai debout devant elle, attendant qu’elle me dise ce que je devais faire.

« Je t’écoute : je…

– Je te demande pardon, Maman.

– Pour ?

– Pour n’avoir pas mis de culotte.

– Et…

– Et je ne recommencerai plus.

– Sinon ?

– Sinon j’aurai une autre fessée.

– Oui, une fessée comment…

– Une fessée déculottée.

– Cela va de soi, mais aussi avec…

– Euh…

– Avec des or…

– Une fessée avec des orties.

– C’est cela. Avec des orties ! »

Sous ses indications, j’avais énoncé moi-même la sentence pour la prochaine fois qu’elle me prendrait les fesses nues. Je reconnaissais bien là les méthodes éducatives de ma compagne. Elle m’avait contraint à reconnaître que la prochaine fessée pour le même motif serait plus sévère que celle que je venais de recevoir et j’avais admis qu’il me fallait une fessée aux orties. Je savais maintenant à quoi m’en tenir.

Elle remonta ma culotte.

« Tu sais ce qui va t’arriver la prochaine fois que je te prends, où que ce soit, avec les fesses nues ?

– Oui, Maman ! »

Elle me donna une bonne claque, pour faire bonne mesure, sur le fond de ma culotte.

« Je file, je vais être en retard ! »

Un bisou et elle était partie. Je la suivis pour vérifier qu’il ne s’agissait pas d’une fausse sortie. Elle monta dans la voiture et démarra, non sans m’avoir fait un petit signe de la main. Je ressentais encore la cuisson de la fessée. J’en avais encore pour une dizaine de minutes avant que les élancements disparaissent de mes fesses. Il n’y avait plus qu’à patienter. Je jetais encore un coup d’œil. Elle était bien partie et, compte tenu de l’heure, elle ne reviendrait pas. J’enlevai ma culotte.



Je restais toute l’après-midi dans cette tenue. La cuisson de la fessée avait disparu en quelques minutes, comme je m’y attendais. Ce ne fut pas très long, bien moins que la douleur que provoqueraient les orties. Je savais ce qu’il en était.

J’avais mangé et je regardais la télévision quand le téléphone sonna. C’était ma compagne. Elle m’annonçait qu’elle passerait par là. Dès que j’eus raccroché, je me dépêchai de mettre une culotte. Je ne tenais pas à ce que ma compagne concrétise ce qu’elle m’avait promis.

Dès qu’elle arriva, elle vérifia que j’avais bien une culotte. Je la vis froncer les sourcils.

« Tu n’en avais pas et tu viens de la mettre ! »

Je la regardais, l’air étonné.

« Mais non, Maman, j’en ai eu une toute l’après-midi !

– Tu mens, j’en suis sûre ! Lève-toi ! »

Je pris un air innocent. Il me fallut toute ma persuasion et toute mon assurance pour lui mentir effrontément. Finalement, elle me crut ou le doute joua pour moi. Elle renonça à me fesser. J’avais réussi à passer au travers, mais cela avait été juste.



 


 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.


2 commentaires:

  1. Bonjour Huguette et Josip,
    Dans l’attente d’une réponse à mon mail. J’essaye de me rattraper de mes bêtises mais je ne sais pas comme faire…

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  2. C’est moi sur le dernier message

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