jeudi 19 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 18 h 45

 Il est rare que ma compagne me donne une fessée de façon différée, pour une bévue commise il y a déjà quelques temps. Elle préfère les corrections administrées au moment où la faute est commise, là où elle est commise et quelles que soient les personnes présentes.

Évidemment, elle ne fait pas n’importe quoi. Il y a des endroits, des moments et des personnes où il ne serait pas souhaitable de me déculotter pour me fesser. J’ai bien plus de doutes si elle ne me baisse pas la culotte, mais c’est une autre histoire.

Ce soir-là, sans doute je l’avais trop exaspérée et elle voulait radicalement calmer mes protestations.

Nous étions rentrés à la maison et j’étais encore sur le coup de la fessée semi-publique qu’elle m’avait donnée pour mon insolence. Certainement, même si je n’avais pas pu le vérifier et qu’elle ne m’avait donné aucune indication allant dans ce sens, je sentais les endroits où sa baguette avait tracé un sillon sur mes fesses. Il devait y avoir des marques. J’étais bon pour les avoir au moins jusqu’à ce soir.

Je faisais un peu la tête, ce que, je le savais, ma compagne n’admet pas, surtout après une fessée. Elle n’aimait pas plus me punir que je n’aimais être puni, mais elle le faisait à chaque fois, assumant son devoir de maman. Elle considérait que quand elle me baissait la culotte et qu’elle me donnait une fessée, c’était parce que je l’avais méritée et pour que je retienne bien la leçon qu’elle me donnait. Elle attendait de moi que je sois reconnaissant qu’elle ait pris le temps de s’occuper de moi, de se préoccuper de ce que je faisais. Elle voulait mon bien, je le savais. Cela n’allait pas trop bien avec mes bouderies.

« Dis-moi, tu ne crois pas que tu avais mérité cette fessée ? Après, les conditions dans lesquelles elle s’est déroulée, ça me regarde et tu n’as pas ton avis à donner sur ce sujet. D’ailleurs, je ne te le demande pas.

Non, ce n’est pas ça.

Alors, c’est quoi ? Je sens que tu brûles de me dire quelque chose d’important. »

J’ai hésité. J’étais sur un terrain glissant.

« Tu m’as donné une fessée parce que j’étais insolent, mais quand je fais des choses bien plus graves, tu t’en fous ! »

Elle me donna une petite claque sur le haut de ma cuisse, juste pour souligner la réprimande.

« Tu me parles pas comme ça. La prochaine fois, c’est une fessée ! »

Ce qu’elle disait était à prendre en compte. Ce ne serait pas la première fois qu’elle me punissait à cause de l’utilisation d’un langage bien trop limite pour elle. J’étais étonné de sa clémence. C’était sans doute qu’elle voulait connaître le fin mot de l’histoire.

« Dis-moi ce que tu as à dire !

Tu vois, j’ai pris une grosse fessée parce que tu as dit que j’étais insolent, mais quand je mange la bouche ouverte, tu ne dis rien. Pourtant, je voudrais bien que tu m’aides à ne plus le faire. Je sais que c’est désagréable pour les autres. »

Et c’est comme cela que ce sujet est venu sur la table. C’est moi qui l’y ai amené. Je devais donc en assumer les conséquences.

Ma compagne argumenta sur le fait qu’elle ne voulait pas interrompre un repas par une fessée quand il se passait très bien. Cela ne me convainquit que très peu. Je le lui fis savoir.

« Oui, mais aujourd’hui tu as bien interrompu notre promenade alors qu’elle se passait très bien. Tu utilises les arguments qui te conviennent et tu en changes au gré des situations, en fonction de ce qui t’arrange ! »

Ma compagne m’a prévenu deux ou trois fois de cesser mes récriminations. Mais j’avais encore mal aux fesses et je voulais aller jusqu’au bout. J’aurais dû l’écouter, mais quand je suis lancé, j’ai du mal à m’arrêter.

« Si je comprends bien, tu penses que parce que tu manges la bouche ouverte, tu aurais dû prendre une fessée ? C’était quand la dernière fois que tu as pensé cela ?

Je ne sais pas trop. Ce midi !

Alors, il n’est pas trop tard pour rectifier cela ! »



Elle m’a pris par la main et m’a emmené vers le fauteuil où, dernièrement, elle me donnait la fessée.

« Non, Maman, pas la fessée ! On discute seulement !

Nous discutions, maintenant, c’est autre chose ! »

Elle a dénoué le lacet que tenait mon short. Elle l’a baissé.

« À genoux en vitesse ! »

Je connaissais la position qu’elle voulait me faire prendre. Je m’agenouillai entre ses pieds. Je sentis un bras m’entourer la taille et une main me baisser la culotte. Elle me coucha sur sa cuisse.

« Tu as raison pour la fessée alors que tu manges la bouche ouverte. Je vais y mettre fin ! »

Je n’ai pas eu le temps de savoir si j’approuvais sa décision. Sa main vint claquer sur mes fesses nues.

« Et pour cela... tu as besoin... de quelques bonnes fessées... Tu en as déjà reçues... quelques-unes… Sans doute... n’ont-elles pas été... assez dissuasives. »

Elle ne cessait de me fesser tout en me grondant. Elle installait une véritable fournaise sur mes fesses. Je me tortillais sur ses genoux et mes pieds ne cessaient de remuer, mais tout cela ne la gênait absolument pas pour me corriger. Mes cris devinrent vite désespérés. Elle avait renoncé depuis longtemps à ce que je reçoive une fessée en modérant mes plaintes. Elle laissa donc libre cours à mes beuglements, au risque, par la porte-fenêtre entrouverte, d’ameuter les voisins. Elle s’en désintéressait complètement.

La fessée dura bien plus que je ne pouvais le supporter. En plus des marques laissées par la baguette cet après-midi, je devais avoir les fesses toutes rouges. Mais c’était sans doute le résultat qu’elle espérait. Enfin la fessée prit fin, mais ce n’était pas la fin de ma punition. Elle fit glisser mon short le long de mes chevilles et elle me l’ôta complètement.

« Tu vas aller cueillir des orties sur le bord de la route. Je vais te donner une très grosse fessée ! Je pense que tu l’as bien méritée. »

Elle me donna une claque sur le haut de la cuisse pour s’assurer que j’obéissais bien à ses ordres. Je ne fis qu’un pas vers la sortie.

« Mais, Maman, je n’ai qu’une culotte !

Oui, et alors ?

Mais si quelqu’un me voit ?

Eh bien, cela m’importe peu. Tu vas y aller comme cela !  Et si une personne te voit à cueillir des orties en petite culotte, elle se doutera que c’est parce que tu vas prendre une fessée.

Oui, mais Maman…

Dépêche-toi, à moins que tu ne veuilles que je t’y encourage ? »

Sa main ouverte près de son oreille était explicite. Je baissai la tête et je la suivis. Elle me donna des gants, puis elle me conduisit vers une porte qu’elle ouvrit.

« Tu reviens avec des orties pour ta fessée ! »

Le plus vite possible, tout en ne cessant pas de regarder autour de moi, j’arrachais à la poignée des touffes d’orties.

« Pourvu qu’il n’arrive personne ! »

Je ne voyais pas comment j’aurais pu expliquer que je me trouvais sur le chemin, dans un lieu où tous les passants pouvaient me voir avec une seule petite culotte pour couvrir mes fesses et cueillant des orties. Heureusement, je ne vis personne et j’espérai que personne ne m’avait vu


Je tendis la poignée à ma compagne.

« Mais tu en as as pris beaucoup ! »

Ce n’est pas pour cela qu’elle se débarrassa d’une partie des végétaux. Si j’avais su, j’en aurais pris bien moins, mais je n’avais pas eu trop le temps de réfléchir avant de me mettre à l’abri des regards derrière la porte. J’avais pris ce que j’avais pu en espérant que ma compagne serait satisfaite de ma cueillette et qu’elle ne me renverrait pas en chercher d’autres.

« Viens te remettre en position. »

Je me mis à genoux entre ses pieds et je sentis ses cuisses se refermer sur les miennes, non sans qu’elle ait fait glisser ma culotte jusqu’à mes genoux. J’étais immobilisé et, à moins de me débattre, je ne pourrai plus en bouger avant qu’elle le décide. Elle m’obligea, sans que je résistasse, à me coucher sur sa cuisse. Le premier contact des orties avec mes fesses dépassa tout ce dont je me souvenais. Ce n’était pas la première fois que ma compagne me fessait avec des orties, mais celles-ci étaient toutes fraîches. Elles étaient bien plus urticantes que celles que ma compagne avait déjà appliquées sur mes fesses.

« Nous allons voir si une fessée aux orties sait apprendre à manger correctement ! »

Au début, certes, les orties provoquaient une brûlure insupportable, mais elle était relativement modérée. Puis, elle commença à frapper mes fesses avec la poignée des végétaux qu’elle tenait en main. Ainsi, les poils urticants pénétraient plus profondément dans ma peau et ils y libéraient d’autant plus de liquide inflammatoire. La brûlure devint intense, bien que sans danger pour moi. C’est l’avantage d’une fessée aux orties, elle ne risque pas de blesser celui qui la reçoit, mais elle est bien plus douloureuse et pour un temps bien plus long que toute baguette ou martinet. Ma compagne, apparemment, ne le savait pas.

Elle évita le bas de mes fesses, le haut de mes cuisses de peur de toucher mes bourses. Certes, elle y provoquerait une brûlure aiguë, si elle les effleurait, mais sans y porter d’autres préjudices. Que ce soit avec des instruments punitifs ou avec des orties, j’ai toujours l’impression que ma compagne se retient de m’infliger de très sévères fessées. Effectivement, avec certains instruments, la baguette et peut-être les verges je crois qu’il n’y a que ceux-là, il faut contrôler la force qu’on y met, bien qu’ils aient été utilisés durant de nombreux siècles pour le plus grand bénéfice de celui qui les recevait. Mais avec les orties, il n’y a aucun risque.

Ma compagne fut loin d’utiliser la totalité du potentiel urticant des végétaux que j’avais été cueillir, mais cela me suffit.

« Est-ce que cette fessée te suffit pour comprendre que je ne veux plus que tu manges la bouche ouverte ?

Oui, Maman, j’ai compris, j’ai compris ! »

La brûlure que je ressentais me lançait en des éclairs de douleurs qui parcouraient mes fesses quand elle m’autorisa à me relever.

« Va au coin ! »

Je m’y dirigeais aussi vite que je le pouvais. Je voulais montrer à ma compagne que je ne résistais pas du tout à sa fessée et que je montrais le plus de bonne volonté possible.



Quand ma compagne m’autorisa à le quitter, je ne pus m’empêcher de passer mes mains sur mon postérieur. Ma compagne me gronda, elle me promit une autre fessée si je recommençais, mais j’avais pu sentir les boursouflures que les orties avaient laissées sur mes fesses.





 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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