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dimanche 3 décembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Vendredi 02 décembre 2023 – 22h13

« N’oublie pas que tu as de l’écriture à faire ! »


Nous étions en plein câlin de matin, avant de nous lever. Ma compagne en moi étions étroitement enlacés. Il a fallu qu’elle me rappelle la fessée de la veille au soir juste à ce moment-là. J’ai bien tenté d’esquiver.

« Quelle écriture ?

– Tu dois écrire la fessée d’hier soir, juste avant de prendre ta douche ! »

C’était vrai. J’avais compté qu’elle oublierait de me demander d’écrire, mais je devais me rendre à l’évidence : il n’en serait rien.

« Nos lecteurs doivent savoir ! »

C’est son live-motif. Ils ont le droit de savoir, ça se discute… mais pas quand ma compagne en a décidé autrement.

vendredi 1 juillet 2022

Qui, adulte, reçoit des fessées par punition ?

 Fini ? Non, pas tout à fait ! Ne croyez pas que je vais reprendre mes publications régulières. Ce sera beaucoup plus épisodiques. Je ne veux pas me relancer dans une course à la publication, seule solution pour le blog acquière de plus en plus d'audience.

L'occasion fait le larron. J'ai publié, sur un forum (Quora) un article en réponse à une question posée par une personne que je ne connais pas. J'ai repris cette question en titre de mon article. Cela concerne la fessée, vous vous en doutez, bien que ce soit un forum généraliste dont les sujets couvrent un champ beaucoup plus large. Le contenu décrit précisément la nature de la relation que j'ai construite avec ma compagne.

Bonne lecture et j'attends vos avis, commentaires et témoignages. S'il en est qui sont suffisamment longs, je les publierai sous forme d'articles.

dimanche 21 mars 2021

Mémoires d'un garnement de jadis - 157ème tableau

 "Cette nuit-là, j'imaginais que Andrew, l'étudiant au Pair hébergé chez Dame Clarisse ("Messire, c'est okayyyy"), restait quelques jours chez nous et faisait connaissance avec les genoux maternels..."

vendredi 26 février 2021

Une bonne ferme... à bon escient

Je crois que Monsieur a du mal à comprendre des choses qui sont pourtant simples et que j'ai déjà précisées à Monsieur bien des fois. A mon grand regret, je dois constater que redire à Monsieur les mêmes consignes plusieurs fois par jour n'a aucun effet. C'est comme si je passais mon temps à peigner la girafe !

 Troisième fois cette semaine, et nous ne sommes que mercredi, que je dis à Monsieur que, quand il rentre à la maison, il doit enlever ses chaussures de sport et mettre des chaussons. Particulièrement quand il a marché dans de la terre, là où Monsieur va courir. Rien n'y fait !

mercredi 14 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 19

 La vie s’organisait en fonction du confinement. Il était maintenant officiellement en place. Maman Marianne avait prévenu Aurélie et Philippe.

« Je ne veux pas que vous mettiez un pied en dehors de ma propriété sans mon autorisation. Si je vous y prends… »

Oui, ils savaient. Il n’y avait aucune raison que leur mère et belle-mère soit laxiste sur ce sujet, elle ne l’était pas sur les autres.

mercredi 9 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 14

 Mademoiselle Annette reprit la fessée en y mettant toute sa force. Elle voulait que cette correction restât à l’esprit de Philippe, comme la quintessence de ce qui lui arriverait s’il lui prenait l’envie de lui désobéir de nouveau. Il avait besoin de cette leçon. Les actes commis avaient des conséquences, il fallait que Philippe l’apprît. Pour cela la punition devait être mémorable.

Annette était vraiment furieuse, au-delà de ce qu’avait provoqué la désobéissance. Elle concevait qu’un garçon dont elle avait la responsabilité, même s’il était aussi âgé que Philippe, désobéît. Là n’était pas le nœud de ce qui l’avait mis autant en colère. Non, c’est parce qu’il n’acceptait pas qu’une jeune fille le déculottât et le fessât qu’elle s’était mise en rogne. Il avait très vite accepté l’autorité des femmes qui avaient l’âge d’être sa mère, mais pas celle d’Annette. Elle savait qu’il la considérait comme trop immature pour avoir barre sur lui.

lundi 7 septembre 2020

Leçon de français... et autres mesures

Que croyais-tu, mon garçon ? Que tu allais suivre des cours de rattrapage en dilettante ? Que les devoirs que je te donne à faire et les leçons à apprendre sont facultatifs ? Je t'avais prévenu que je serai très exigeante sur le travail que tu aurais à faire et que je ne laisserai rien passer. Tu devrais pourtant te souvenir comment j'exigeais que tous les élèves travaillent quand tu étais dans ma classe, il y a quelques années maintenant, et que je n'aimais pas les petits paresseux.

Je t'ai promis que tu allais faire de rapide progrès en orthographe avec ces leçons particulières, qu'à vingt-trois ans, tu allais apprendre tout ce que je n'ai pas réussi à t'inculquer quand j'étais ta professeure en terminale. Je ne pouvais recourir aux bonnes méthodes bien que j'aie eu affaire à un jeune homme qui refusait de faire les efforts nécessaires.

mardi 1 septembre 2020

Rappel à la règle par la logeuse

Je crois, Mademoiselle, que vous n'avez pas tout compris à la façon dont va se dérouler votre séjour dans ma maison. Je sais que vous avez maintenant un travail et que vous êtes indépendante financièrement s'entend. Cela dit, votre salaire ne vous permettrait pas de trouver de quoi vous loger correctement si je ne vous proposais pas un loyer défiant toute concurrence.

Voyez-vous, je me suis fait un devoir d'accueillir chez moi des jeunes filles qui quittent pour la première fois leur famille, afin de leur procurer un nouveau foyer où elles seraient en sécurité, loin des dangers et des tentations de la grande ville. Vos vingt ans, votre premier travail, le départ pour la première fois du cocon familial, tout cela fait de vous une candidate idéale. C'est pour cela que je vous ai choisie.

samedi 30 mai 2020

Fini la liberté - chapitre 3

Jérôme se réveille. Mais quel heure peut-il être ? Il fait complètement noir dans la chambre. Pourquoi ne lui laisse-t-elle pas un radio-réveil ! C'est pénible ! En plus il a une envie pressante. Bon, où sont les WC déjà.... Ah ben non ! Il ne peut pas ... il n'a pas le droit. S' il se fait prendre il va encore morfler. Oh et puis à quoi bon ! Il ne va quand même pas faire au lit... Il se dirige vers la porte bien décidé à braver l'interdit mais il se ravise et se recouche. L'attente n'est pas très longue.
Madame Lepand fait son apparition une dizaine de minutes plus tard. Elle ouvre les volets et la fenêtre en grand puis découvre totalement son pupille.

samedi 16 mai 2020

Fini la liberté - chapitre 1


Jonas, un nouvel auteur publiant dans ce blog et j'espère pour longtemps. C'est le premier chapitre. Il y en a quatre d'écrits. N'hésitez pas à faire savoir à Jonas, dans vos commentaires, si vous souhaitez lire le cinquième, puis le sixième... JLG

Lorsque l'on sonne à la porte, Jérôme, passe timidement sa tête à travers la porte après l'insistance de la personne derrière la porte. C'est sa propriétaire Madame Lepand qui lui rend une visite surprise.
- Bonjour jeune homme comment allez-vous ? Puis je entrer, s'il vous plait ?
- C'est que ... Je ... je... je viens de me lever bredouille Jérôme.

mercredi 15 avril 2020

Benoit chez Tatie - chapitre 5

Après la visite chez la dermatologue, retour à la maison. Benoit se sent encore plus nu avec ses jambes lisses. Il n’avait pourtant pas beaucoup de poils avant !

Les enfants peuvent aller jouer jusqu’à l’heure du bain.
Déshabillage, WC, bain, pyjama
Dîner ensuite , puis jeux, bonne nuit les petits, jeux jusqu’à 20h20 puisque c’est, samedi, pipi et au lit.

samedi 4 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 40

Maïlis sursautait à chaque bruit qui surnageait sur brouhaha qui venait de l’atelier. Elle guettait le bruit de pas qui lui indiquerait la présence d’un collègue. Il lui semblait que d’être aperçue dans cette tenue serait la déchéance ultime. Si son ouïe ne l’avait pas trompée, la porte des toilettes était restée ouverte. Elle ne pouvait donc pas compter sur le petit couinement qu’elle faisait pour l’avertir d’une présence indésirable.

mercredi 19 février 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 35

Marguerite gémissait doucement et hoquetait de sanglots résiduels quand Teva l’amena devant sa porte.
« Donne-moi tes clés ! »
Marguerite les tendit. La fessée donnée par la voisine avait eu le résultat escompté. Au-delà des effets mécaniques sur ses fesses, Marguerite se savait maintenant sous surveillance de ses voisins et sous la menace permanente d’une correction si son attitude ne devait pas, dès maintenant, rester absolument sans reproche.

samedi 7 décembre 2019

Madame Caroni - chapitre 23

Le samedi matin était jour de presse chez Madame Caroni. Lorena et elle se levèrent tôt. Le plan de travail de la journée fut élaboré pendant qu’elles prenaient leur petit déjeuner. Dès qu’elles furent prêtes, les opérations furent lancées.
« Lorena, tu fais le tour de mes pupilles ! »
Il était huit heures. Lorena entra dans chacun des appartements dont, évidemment, elle détenait la clé. Elle leva ceux qui paressaient encore au lit avec quelques claques sur les fesses pour ceux qui ne réagissaient pas assez vite.

lundi 2 décembre 2019

Les rebelles - chapitre 22

Près de notre domicile, se trouve une blanchisserie à l’ancienne où le lavage et le repassage sont effectués le plus soigneusement possible. Clorinde C., une bourgeoise autoritaire, d’une soixantaine d’années, issue d’une grande famille de la région, tient son commerce d’une main ferme. Elle emploie trois employés camerounais, deux jeunes femmes : Evenye, vingt-quatre ans et Nayah, vingt-deux ans et un jeune homme, Mbe, vingt-deux ans. Les jeunes sont en situation de régularisation vis-à-vis de leurs papiers, ce qui donne beaucoup de pouvoir à Clorinde C., car elle n’aurait qu’un mot à dire pour que leurs papiers définitifs leur soient refusés, de plus, Clorinde C., assez pingre, les paie à coup de lance-pierres. En contrepartie, elle les loge et les nourrit.

samedi 12 octobre 2019

Madame Caroni - chapitre 15

Les claques cessèrent de tomber sur les fesses de Benoît. Il souffla. Il avait cru ne jamais en voir la fin. Il se prépara à se relever.
« Où crois-tu aller ? »
Madame Caroni appuya sur ses épaules pour l’obliger à se rallonger en travers de ses genoux. Elle le fit glisser un peu vers elle et resserra sa prise sur son dos. Il vit qu’elle prenait la règle qui était restée sur la table basse près du canapé.

samedi 28 septembre 2019

Madame Caroni - chapitre 13

Madame Caroni n’avait laissé aucun moment pour que Ludovic puisse penser à ce qui lui arrivait. Le pantalon de son pupille plié sur le bras et la culotte dans son poing, elle avait conduit le garçon jusque dans la salle de bain. Là, il avait dû faire face à sa tutrice qui lui avait déboutonné, puis ôté sa chemise. Le tee-shirt qu’il portait en dessous avait été passé par-dessus sa tête bien plus vite qu’il ne l’aurait fait lui-même.

samedi 21 septembre 2019

Madame Caroni - chapitre 12

Madame Caroni s’appliquait. Elle veillait à ce que sa main arrive bien à plat sur les fesses de Ludovic et avec la plus grande vitesse dont elle était capable. Elle était satisfaite. La fessée faisait son effet. Ludovic apprenait.
Ses fesses commençaient à prendre une belle couleur rouge à laquelle sa main rajoutait une touche plus sombre à chaque fois qu’elle les claquait. Puis, cela se diffusait aux alentours avant que la main n’y revienne. La teinte de l’épiderme des fesses de Ludovic atteignait progressivement la nuance de rouge qu’elle cherchait. Le travail progressait rapidement.

mercredi 11 septembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 12

« Les filles, c’est l’heure de la toilette. Tout le monde dans la salle de bains ! »
Marguerite sentit une présence qu’elle ne pouvait pas identifier derrière elle. Elle se crispa, mais elle ne bougea pas. Une seule fois avait suffi. Des mains descendirent sa culotte sur ses chaussons. Une petite tape sur la cuisse droite :
« Lève ton pied ! »

mercredi 19 juin 2019

Une nouvelle maison pour Clara - chapitre 5

Clara et Stanislav se placèrent là où ils étaient avant que Madame Gorevski les emmène faire le tour de l’appartement. Celle-ci ne reprit pas sa place sur le canapé. Elle se mit à tourner autour des deux jeunes adultes.
« Dégagez-moi correctement vos fesses. Je n’en ai pas fini avec elles ! »
C’était une mauvaise nouvelle, mais c’en aurait été une encore plus mauvaise de savoir si Madame Gorevski les taxait de désobéissance. La jupe et la chemise remontèrent bien haut au-dessus de la taille.