Près de
notre domicile, se trouve une blanchisserie à l’ancienne où le lavage et le
repassage sont effectués le plus soigneusement possible. Clorinde C., une
bourgeoise autoritaire, d’une soixantaine d’années, issue d’une grande famille
de la région, tient son commerce d’une main ferme. Elle emploie trois employés
camerounais, deux jeunes femmes : Evenye, vingt-quatre ans et Nayah, vingt-deux
ans et un jeune homme, Mbe, vingt-deux ans. Les jeunes sont en situation de
régularisation vis-à-vis de leurs papiers, ce qui donne beaucoup de pouvoir à Clorinde
C., car elle n’aurait qu’un mot à dire pour que leurs papiers définitifs leur soient
refusés, de plus, Clorinde C., assez pingre, les paie à coup de lance-pierres.
En contrepartie, elle les loge et les nourrit.
Evenye, Nayah
et Mbe travaillent en arrière-boutique. Ils assurent tous les trois, le tri, le
lavage, le repassage, le pliage et le conditionnement des linges et vêtements
des clients. Les trois jeunes ouvriers ont bien du courage, car il fait assez
chaud dans leur lieu de travail, du fait des multiples laveuses et des fers à
repasser, et bien plus encore lorsque le soleil tape sur les verrières du petit
atelier. Le rythme de travail est particulièrement intense sur certaines
périodes de l’année et le personnel de la blanchisserie doit s’activer pour respecter
les délais donnés aux clients. La société IDEAL BLANCHISSERIE a bonne presse
auprès des gens du quartier. De temps en temps, Maman et moi, allons déposer
des affaires pour le lavage. Clorinde C., très guindée, discute assez
facilement et il nous arrive de papoter un moment, cependant, elle nous fait bien
sentir que nous ne sommes pas du même monde, car elle emploie des tournures de
phrases alambiquées, périphrases et autres digressions, ce qui fait que parfois
nous ne suivons qu’avec difficulté le fil de sa pensée.
Lorsqu’il
n’y a pas de clients en boutique, Clorinde C. va dans l’atelier pour gérer les
priorités et remettre de l’ordre dans les façons de faire des trois employés.
Pour elle, rien n’est jamais assez bien et elle critique tout ce que font les
trois jeunes. Certaines fois, les jeunes se rebiffent et justifient leurs
actes, mettant en colère la patronne, qui ne tolère pas qu’on lui coupe la
parole ou qu’on contredise un ordre. Clorinde C. a été pourtant assez claire,
si l’un d’eux se montrent déraisonnable ou désobéissant, il recevra la fessée à
la ceinture, pour leur apprendre à respecter la hiérarchie.
Mbe, le
plus courageux et le plus défiant, n’hésite pas à braver les interdictions et
les règles instaurées par sa patronne. Parfois, ses deux amies lui emboitent le
pas et contestent, elles-aussi, les indications, ce qui fait enrager leur hautaine
de patronne. Les trois jeunes lui répondent qu’elle exagère toujours et qu’ils
font leur travail du mieux qu’ils peuvent et qu’elle n’a jamais eu de reproche
de la part des clients, donc ce fait prouve que leur travail est impeccable. De
toute sa supériorité, Clorinde C. les dénigre et leur dit que c’est parce
qu’elle veille au grain que la qualité est garantie.
Clorinde
C. en a assez des réflexions de Mbe, il l’aura bien cherché, Clorinde C. prend
la ceinture et revient dans l’atelier, menaçante. Elle ordonne à Mbe de retirer
complètement son short, car elle est décidée à le discipliner et à le rendre
docile. De plus, la fessée du meneur sera un bon exemple pour les deux filles. Evenye
et Nayah tentent de trouver des circonstances atténuantes pour leur ami, mais
la décision de leur patronne est prise, elle va le fesser. Devant la menace de Clorinde
C. par rapport à ses papiers, Mbe obtempère et retire son short découvrant son
long et épais pénis. En le voyant, Clorinde C. sourit et en même temps, en est même
toute émoustillée. Le fouetter va augmenter l’excitation ressentie. En prenant
de l’élan, elle cingle les fesses du jeune homme qui se contente de gémir, en
contractant ses fesses et en grimaçant. Même sur sa peau sombre, les traces des
cinglées sont bien visibles. Sous les fouettées de plus en plus intenses, Mbe finit
par crier de douleur, ce qui ravi sa patronne. Lorsque quinze cinglées ont été
données, Clorinde C. s’arrête et vient contempler l’état des fesses de son
employé, ce qui lui permet de regarder de près son beau membre qui est bien plus
impressionnant à l’horizontal. Elle se dit qu’il aurait fallu quelques cinglées
supplémentaires et elle l’aurait vu en érection, ce qui lui aurait fait un
immense plaisir, car il aurait été d’autant plus humilié devant ses deux amies.
La prochaine fois, elle saura quoi faire.
Humilié
et les fesses brulantes, Mbe est tout de même ravi d’avoir tenu tête à sa
patronne. Elle pourra constater qu’ils ne se laisseront pas faire sans réagir,
même si ça doit leur coûter des fessées. Elle devrait se lasser avant
eux ! Clorinde C. ordonne à Mbe de terminer sa journée de travail les
fesses à l’air, car dans cette tenue, il la ramènera moins. Dès que leur
patronne est partie, Evenye et Nayah mettent des linges humides sur les fesses
de leur ami, afin de le soulager. Sous prétexte de le soulager, Evenye et Nayah
en profitent elles-aussi pour reluquer son bel organe de virilité qui a une
tendance à se dresser. Lorsqu’il doit se retourner pour reprendre son travail,
et en constatant que le regard des deux filles fixe son bas ventre, l’effet est
immédiat, l’érection est maximale et Evenye et Nayah sont excitées de cette
vision. Mbe tente comme il peut de leur tourner le dos, mais les deux filles,
dès qu’elles le peuvent, continuent de le reluquer.
La fin de
la journée de travail sonnante permet à Mbe de renfiler son short et enfin
masquer son intimité. Silencieux toute la soirée, les deux filles tentent de
reprendre le dialogue avec lui, car il est confus devant celles qui l’ont vu se
faire rabaisser et ce n’est qu’en toute fin de soirée que Mbe daigne décrocher quelques
paroles grâce aux paroles d’amitié de ses collègues. Mbe leur explique qu’il
faut se rebeller contre ces conditions dignes d’un autre âge. Ils ne peuvent
pas se contenter de leurs conditions de travail, car ils trouvent que leur patronne
exagère et les exploite. Evenye et Nayah sont
entièrement d’accord avec les revendications légitimes de Mbe.
Quoi
qu’il leur en coûte, ils sont, tous les trois, décidés à tenir tête à leur
patronne, ce qui améliorera surement leurs conditions de travail, car ils n’ont
vraiment pas à se plaindre de leur condition de vie, hors travail. Ils sont
logés dans la maison de leur patronne, mangent amplement à leur faim et
bénéficient en toute liberté de l’équipement intérieur de la propriété :
piscine couverte, sauna/hammam/jacuzzi, tennis, salle de jeux, etc.
Durant les
jours qui suivent la fessée du jeune homme, Clorinde C. entre toujours dans
l’atelier munie de sa ceinture, instrument de pression et de contrainte
vis-à-vis des employés. Clorinde C. espère que cette « épée de
Damoclès » va faire que les ouvriers vont se plier à toutes ses demandes
et que le travail sera fait en temps et en heures, pour toujours plus de
satisfaction de la part des clients.
La gronde
monte en puissance chez les trois ouvriers, car ils se montent la tête l’un
l’autre, quant à une correction qui peut s’abattre sur eux à tout moment.
Un matin,
Mbe, Evenye et Nayah refusent d’aller travailler, car ils trouvent que leurs
conditions de travail sont déplorables et les menaces nuisent à leur rendement.
Ils ne supportent plus d’avoir peur d’être corrigés en public pour une
broutille. Avec ce piquet de grève, Clorinde C. est folle de rage. Elle prend
sa ceinture et menace de s’en servir sur le champ s’ils s’entêtent dans cette
voie. De plus, elle les menace de ne pas donner suite à leurs papiers. Mbe,
Evenye et Nayah tentent de faire front, mais la non obtention de leurs papiers
serait synonyme d’un renvoi dans leur pays et ils ne peuvent pas se le
permettre. Nayah, la plus jeune, cède sous la pression. Elle demande pardon à
genoux, à sa patronne et lui promet de travailler sans rechigner. Clorinde C.
lui promet qu’elle sera la moins punie des trois. En entendant le verdict
vis-à-vis de son maie, c’est Evenye qui s’effondre en sanglots en demandant
pardon et promettant à sa patronne tout ce qu’elle voudra. Clorinde C. voit le
mouvement de grève s’effriter, car seul Mbe reste sur ses positions. Clorinde
C. lève sa ceinture et promet de le fouetter sur tout le corps s’il continue de
la défier. Mbe, seul dans sa bataille perdue d’avance se plie aux exigence de
sa patronne.
Clorinde
C., constatant qu’elle les a matés et qu’elle a gagné la partie, leur ordonne
de se dévêtir entièrement, car leur tentative de révolte doit être sévèrement
réprimandée. Dos au mur, les trois jeunes adultes ne peuvent que constater l’échec
du bras de fer contre leur patronne, ils obéissent et se déshabillent
entièrement. En femme autoritaire, Clorinde C. leur promet de les faire danser,
crier et regretter leurs actes. Malgré les suppliques des deux filles,
quasiment en pleurs, Clorinde C. maintient la sanction, afin de les soumettre
tous les trois.
Lorsqu’ils
sont nus, la vue de la menaçante ceinture leur fait un effet proche d’une
puissante excitation. Mbe se trouve en érection et les filles attrapent la
chair de poule et leurs tétons se dressent sous l’imminence de leur correction.
Ils s’aperçoivent un peu tard que leurs revendications étaient vouées à l’échec
depuis le début et ils n’auraient pas dû défier leur patronne.
Pour les
humilier, Clorinde C. commente leur nudité, se moquant du gros pénis dressé de
Mbe, des hanches larges et des gros seins des deux filles. Aussitôt, les trois
punis cachent leur intimité, car ces réflexions désobligeantes les atteignent
dans leur amour propre et les vexent.
Clorinde
C. ferme les portes de façon à ce qu’ils ne puissent pas s’échapper durant la
punition et à tour de rôle, elle leur distribue des cinglées tantôt sur le bas
du corps, tantôt sur le haut, tout dépend de la position du puni lorsque la
ceinture le cingle. Les trois punis tentent, comme ils peuvent, de se protéger
des cinglées qui s’abattent sur eux et ne peuvent qu’encaisser les fouettées en
criant, en se contorsionnant dans tous les sens et en suppliant. La vue des
trois jeunes rabaissés et soumis à sa volonté excite Clorinde C. au point où
celle-ci perd la notion du nombre de fouettées qu’elle distribue à chacun de
ses ouvriers.
Le fait
que ceux-ci hurlent la fait revenir à la réalité. Epuisée par son efforts, Clorinde
C. lâche la ceinture et constate qu’elle est moite de sueur, la chemise lui
collant à la peau, mettant légèrement en relief ses formes féminines. Ses
ouvriers ne sont pas en meilleur état, trempés eux aussi par l’effet de la
douleur, ils sanglotent à chaudes larmes en se massant le corps brulant et
marqué.
Clorinde
C. consciente que les cinglées ont bien éprouvés les trois punis que renforce
la vue des traces sur tout leur corps font que Clorinde C. regrette
instantanément la sévérité de ses cinglées envers les trois jeunes. Clorinde C.
les relève en les tenant dans ses bras, en tentant de les consoler. A ce
moment-là, son attitude est plus proche de celle d’une mère de famille envers
ses enfants que d’une patronne envers ses ouvriers qu’elle vient de châtier.
Lorsqu’ils
sont remis debout, les trois jeunes se confondent en excuses auprès de leur
patronne et promettent de ne plus la fâcher, tandis que Clorinde C. leur dit
qu’elle les pardonne et qu’elle leur permet de rentrer à la maison. Les trois
jeunes, toujours entièrement nus et le corps zébré, rentrent dans la demeure,
mitoyenne à la blanchisserie.
Lorsque
tout le monde est rentré, Clorinde C. se propose pour faire prendre les douches
à chacun des ouvriers. Ne pouvant refuser, les trois jeunes se laissent faire
et Clorinde C. prend tout son temps pour les laver à tour de rôle, prenant un
grand plaisir à bien insister sur les parties intimes des jeunes qui n’osent
pas retirer la main de leur patronne les caressant plus que les lavant. Se faire
laver par une adulte provoque une réciprocité de plaisir chez les trois punis,
qui se voit nettement par des érections chez chacun d’eux. Sous les caresses de
sa patronne et le corps encore très sensible de sa correction, Mbe ne tarde pas
à se masturber intensément et à éjaculer abondamment en criant de jouissance. Clorinde
C., Evenye et Nayah sont admiratives devant la virilité de Mbe.
Ne
voulant pas paraitre faible devant les belles éjaculations de son ouvrier, Clorinde
C. lui donne une quinzaine de puissantes claques sur les fesses déjà bien
marquées de la précédente fessée. Mbe crie et implore, car il croyait
qu’éjaculer devant elle, lui ferait plaisir. Clorinde C. lui dit que ce n’est
pas des façons à faire devant une grande dame et elle lui conseille de ne pas
recommencer ou de le faire lorsqu’elle lui aura demandé.
Ayant
retrouvé toute ses façons hautaines, elle dit à ses trois ouvriers qu’ils
devront être nus durant une semaine complète, même à l’atelier et que ça leur
apprendra à obéir et à ne pas se masturber devant elle. Evenye et Nayah disent qu’elles n’ont rien fait, mais Clorinde
C. leur répond qu’elles doivent être solidaires de Mbe et c’est à ce titre
qu’elles seront punies de la même façon, elles-aussi. Si l’un des trois fait
une faute, la punition rejaillira sur les trois. Elle espère qu’avec cette
menace, ils feront attention de ne pas la pousser à bout. La solidarité devrait
jouer à fond et tous les trois devraient faire en sorte que les autres se
tiennent tranquilles.
Lorsqu’ils
se sont séchés, Clorinde C. envoie ses trois ouvriers dans leur chambre, en
attendant l’heure du repas où ils descendront et l’aideront à le préparer.
Comme souhaité par Clorinde C., Evenye et Nayah reprochent à Mbe son manque de
tact, car à cause de lui, ils devront se couvrir de honte durant une semaine
complète et qu’elles ne sont pas prêtes de lui pardonner, bien qu’elles
l’auraient félicité pour ce beau spectacle, mais dans d’autres circonstances.
Dès le
lendemain, après le petit déjeuner, Clorinde C. ordonne à ses ouvriers de se
dévêtir et de l’accompagner à la blanchisserie. A cette heure, presque personne
n’est à ses fenêtres, ce qui permet de passer presque inaperçu, car de loin,
une dame voit cet étrange cortège de ces trois jeunes, entièrement nus,
accompagner leur patronne jusqu’à l’atelier.
La
nouvelle se répand vite dans le quartier et les jours suivants, quelques
personnes sont à leur fenêtre pour admirer la nudité des jeunes passant de la
maison à l’atelier, à qui Clorinde C. ordonne de ne rien masquer, car la
vexation fait partie de leur punition. Aucun des trois n’osent se couvrir les
parties intimes, de peur de se prendre une fessée, car ils savent ce à quoi ils
s’exposent, s’ils désobéissent. C’est au bord des larmes qu’ils marchent les
bras le long du corps, laissant les regards des voisins les examiner de haut en
bas, dont certains, munis de jumelles se régalent en les regardant.
Un matin,
lorsque Clorinde C. leur fait remarquer que plein de monde les regardent, les
jeunes, qui marchaient tête basse, lèvent les yeux et voient en effet les
voisins les observer, ce qui déclenche une magnifique érection à Mbe, qui se
sent rabaissé au plus haut point. Cette réaction amplifie les excitations des
voisins. De ce fait, une recrudescence de clients est constatée à la boutique,
pour tenter de les apercevoir de près. Clorinde C. se dit que c’est bon pour
les affaires et ne se gênera pas pour infliger d’autres punitions à ses trois
employés.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 21Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerOn change radicalement de registre. Et de terrain de jeu. Pour un texte extrêmement visuel. Un film en quelque sorte. L'homme veut faire l'homme, résister, surtout devant ses deux collègues femmes, mais se trouve, au bout du compte obligé de céder, de faire preuve de faiblesse, ce qui n'en est que plus humiliant quand on a voulu tout d'abord jouer les fiers à bras.
La promenade quotidienne des trois comparses, nus, contraints d'exhiber les marques de la correction qu'ils ont reçue devant un public de plus en plus nombreux au fil des jours est un petit morceau d'anthologie en soi.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerMerci de votre commentaire toujours plein de bon sens. Avec celui de Ramina, je suis gâtée.
En effet je tente à chaque épisode d’explorer de nouveaux terrains de jeu pour ne jamais lasser les lecteurs et de toujours tenter de les surprendre, d’où mes publications irrégulières.
Dans cet épisode, je sors du cadre scolaire ou familial pour foncer dans le cadre professionnel. J’avais déjà abordé ce sujet précédemment, mais sous un autre angle. Ici, il n’y a pas de connexion directe avec mes personnages principaux, mais seulement un vague lien, car la blanchisserie est dans le même quartier que mes personnages et Maman et moi fréquentons la blanchisserie de temps en temps pour des lessives de volume ou délicats. C’est le seul lien entre les protagonistes de cet épisode et mes personnages récurrents.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la fessée en noir et blanc...Bonjour,
RépondreSupprimerBonjour Elena,
Curieux récit... Après en avoir fini avec la trique dans les champs de coton, voilà nos amis black de retour en esclavage, à laver des draps en ... coton, à coup de ceinture sur les fesses. Des noirs dans une blanchisserie...Humour de la même couleur.
Et qu'est ce qu'il lui prend, à notre poétesse de la raclée, d'inventer un monstre femelle pareil?.. La Clorindre C, comme C pas possible! ! Avec en plus, comme si l'erreur de la nature ne suffisait pas, un prénom à coucher nue sur un paillasson !
Notre diabolique écrivaine se lâche complètement et invente une Thénardier bis à côté de laquelle, l'originale des ''Misérables'' fait figure de Bernadette Soubirou...
Tous les vices la Clorindre C machin là !
Marâtre,raciste,radine,exploiteuse,esclavagiste,cruelle,hystérique, vicieuse, voyeuse perverse, frustrée, obsédée sexuelle, ... On en a encore, mais on n'en jette plus... la lessiveuse est pleine!
Mériterait la grosse fessée au bon gros battoir en bois, tenue en laisse dans un lavoir par deux lavandières africaines musclées comme des catcheuses en rut!
Pire que la fessée de Gervaise au lavoir dans "l'Assommoir" de Zola.
Avec Eléna, plus de barrière aux limites...Faut s'attendre à tout, tout est possible!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina. En lisant votre commentaire, je pouffais de rire. Décidément, vous ne faites pas dans la dentelle " humoristique " non plus, vous !
SupprimerJe voulais le stéréotype de la grande dame de la grande bourgeoisie ( ce qui explique le prénom à coucher dehors ), un peu âgée, très hautaine, l'air supérieure à tout le monde, ce qui la rend acariâtre au possible et par voie de fait, très sévère envers ses employés. Là, j'ai choisi des personnes de couleurs, pour rendre crédible leur docilité, de par leurs papiers en instance. Voilà le fond de ma pensée en écrivant cette fiction.
Amitiés.
Elena
Et oui Eléna, un peu d'humour dans ce monde impitoyable ... Dallas de la fessée! Et qu'on aime bien comme ça finalement.
RépondreSupprimerSi l'on y pouffe en plus...
Amicalement
Ramina