Le rouge va bien aux joues et aux fesses des dames.
Comme je vous l'ai dit au
début de mes récits, je ne fesse que mon mari et quelques proches, en fait ils sont
deux à bénéficier de ma thérapie claquante. Il s'agit d'Amélie et de son compagnon
Hugues.
Je vous présente Amélie, elle
a dix ans de moins que moi, nous nous connaissons depuis une quinzaine d'années,
c'est mon amie la plus proche, nous sommes comme deux sœurs, elle est plus petite
que moi mais sportive, ce qui peut servir quand on veut s'occuper de son mari...
Tout a commencé il y a une
dizaine d'années, je fessais déjà mon mari depuis quelques années et comme je vous
l'ai raconté dans mon article sur la fessée semi publique, un jour que Gérard était
allongé sur mes genoux culotte baissée, je lui ai dit que je ne pouvais pas lui
parler car je m'apprêtais à administrer une fessée à mon chéri.
Dès la correction finie, Gérard
exposant son fessier écarlate, je l'ai rappelé et lui ai demandé de passer me voir
le lendemain pour lui expliquer la situation.
Évidemment, ses yeux se sont
arrondis quand assise toutes les deux sur le canapé je lui ai raconté par le menu
ma façon de punir mon mari.
"mais, enfin tu le mets
sur tes genoux et tu le déculotte, comme un gamin, et il ne dit rien ?"
"non, il trouve ça normal
depuis le temps et je crois même qu'il apprécie, ça le détend et ça le rassure aussi
je pense même si ça fait du mal à son amour propre et aussi à ses fesses, mais c'est
fait pour ça !"
J'avais dit ça en riant.
Amélie était très intéressée
par la fessée, elle m'avoua assez rapidement qu'elle avait reçu des fessées dans
sa jeunesse et qu'à l'adolescence elle avait quelques fois fantasmé sur ce châtiment,
elle ajouta également que bien des fois sa main l'avait démangée quand Hugues l'énervait
avec ses comportements infantiles.
Ses questions étaient de plus
en plus précises, comment fallait-il s'y prendre pour mettre en pratique la fessée
dans son couple, je lui ai expliqué que vu comment elle dominait son mari ça n'allait
pas être très difficile, en plus elle était de taille à le coincer sous son bras
et à le fesser pour commencer. Ensuite la fessée cul nu arriverait toute seule.
Après cette conversation,
Amélie revenait de plus en plus souvent sur le sujet, je fini par lui dire en souriant
qu'un jour elle assisterait à une punition de Gérard. Ses yeux brillaient, c'est
à ce moment que mon chéri rentra dans la pièce, depuis l'épisode de la fessée téléphonique
il était très gêné quand il rencontrait Amélie. Il ne m'avait pas envoyé un message
pour m'annoncer son arrivée comme il devait le faire tous les soirs. Je lui en fis
la remarque et il bafouilla sous mes reproches. Je sautai sur l'occasion. "tu
files m'attendre dans la chambre, on va régler ça immédiatement" il a rougi
mais sans un mot il a gagné notre chambre. "tu m'excuse ma chérie, je ne vais
pas être longue"
Cette fois ci je n'ai pas
refermé les portes, Amélie aurait le son si ce n'est l'image. Gérard attendait,
résigné, debout, "tu n'as pas encore enlevé le pantalon ! Tu sais pourtant
que la fessée c'est cul nu !"
Je parlais assez fort volontairement,
il s'est exécuté en regardant d'un air désespéré la porte ouverte, la fessée publique
n'était pas loin. Il n'y a pas eu droit cette fois-là mais il a reçu une magistrale
correction culotte baissée à mi-cuisse. Amélie m'a dit ensuite qu'elle ne pensait
pas qu'une fessée pouvait être aussi sonore et durer aussi longtemps, j'avoue que
j'avais pris plaisir à administrer cette correction sachant que j'avais un témoin
privilégié. Gérard lui ne s'était pas régalé il n'avait pas pu s'empêcher de supplier
et de finir en gémissant vaincu par la cuisson de son postérieur. Il était maintenant
au coin, mains sur la tête, nez collé au mur, la chemise épinglée dans le dos et
la culotte descendue à mi-cuisse.
Je rejoignis Amélie qui me
félicita pour mon autorité et comme elle me demandait où était Gérard, je lui ai
fait signe de me suivre et de ne pas faire de bruit, j'avais laissé les portes ouvertes
et arrivé devant la chambre, un doigt sur la bouche pour lui signifier le silence,
je lui ai laissé admirer le spectacle offert par mon mari, une belle paire de fesses
bien rouge.
Nous avons regagné le salon
et elle m'a annoncé que c'était décidé à la prochaine occasion, Hugues serait déculotté
et fessé. Je lui ai conseillé de ne pas se précipiter, il fallait que la fessée
vienne comme une évidence. Commencer par lui parler sévèrement à chaque incartade,
évoquer son comportement de gamin et progressivement introduire la notion d'une
éventuelle punition, puis parler de fessée, lui claquer les fesses sur le pantalon
en même temps que tu lui fais des reproches.
Amélie appliqua mon programme
à la lettre et quelques semaines plus tard elle me téléphona triomphante pour m'annoncer
que c'était fait, Hugues venait d'avoir droit à sa déculottée et qu'il était au
coin avec des fesses bien rouge.
La fessée continuait d'occuper
nos conversations et je constatais son intérêt évident pour mon amie, un jour je
lui posai carrément la question. "et toi ma chérie qui parle si souvent de
culotte baissée et de fesses rouges, tu n'aurais pas envie d'en recevoir une par
hasard ?" elle m'a regardé en souriant et en rougissant un peu. "euh en
fait, peut-être que ça me ferait du bien, de temps en temps, j'y pense."
"s’il n'y a que ça pour
te faire plaisir je suis disponible tu sais"
Elle me dit qu'il fallait
qu'elle réfléchisse et elle changea de conversation.
Je n'avais jamais fessé une
dame mais je me disais que ça serait peut-être agréable. Mon attente ne dura pas,
la semaine suivante Amélie d'une petite voix me dit "tu sais ce que tu m'as
dit la dernière fois au sujet de la fessée, j'ai bien réfléchi, je pense qu'il faudrait
que j'essaye, je suis trop stressée en ce moment"
Elle avait utilisé l'excuse
du stress mais je crois qu'en fait elle mourait d'envie de savoir ce qu'on ressentait
allongé sur les genoux d'une dame, culotte baissée exposant son derrière.
"tu sais ma chérie que
je ne donne jamais une fessée pour rire, ça risque de te faire mal et tes fesses
vont te cuire et ne compte pas sur moi pour m'arrêter à ta moindre pleurnicherie,
j'irai au bout de la punition"
Elle acquiesça, en riant je
lui ai dit "et bien puisque c'est ça, en position madame !" j'avais tapoté
mes cuisses pour lui indiquer l'endroit où elle devait se positionner, elle se leva
et docilement se coucha sur mes genoux. "alors madame, on n’a pas été très
sage, à ce qu'on m'a dit, une bonne petite fessée, voilà qui va régler tout ça !"
Je m'amusais de la situation,
cette dame de 40 ans, dans une position peu enviable, qui était en général réservée
aux enfants, la suite le confirma, je retroussai sa jupe, nous étions en été et
elle ne portait pas de collant, j'eu accès immédiatement à sa culotte, très jolie
d'ailleurs, blanche avec un peu de dentelle qui rentrait un peu dans la raie fessière,
découvrant un peu un fessier bien rebondi. Je tapotai ses fesses à moitié découvertes.
"ses jolies fesses sont un peu blanches, on va leur donner un peu de couleur,
mais avant on va baisser cette culotte, allez, voilà cul nu, madame"
J'avais descendu la culotte
sous les fesses d'Amélie, je les connaissais un peu, au club de gym, on ne se gênait
pas au moment de la douche et j'avais pu déjà apprécier son anatomie qui était parfaite.
Je ne m'attardai pas et je lui ai administré immédiatement une magistrale fessée.
Elle a été surprise par la vigueur de mes claques et elle protesta en essayant de
mettre sa main pour se protéger de la brûlure. Je connaissais la parade, sa main
fut coincée dans son dos et je lui annonçai que cette petite rébellion lui vaudrait
un petit supplément. Ma main claquait sévèrement, et ses fesses prenaient une jolie
couleur rouge, elle protestait toujours mais elle ne pouvait que battre des jambes
et serrer et desserrer ses fesses au rythme de la correction. Décidément je prenais
toujours autant de plaisir à avoir un sujet allongé sur mes genoux me présentant
une belle paire de fesses à claquer. Et j'avoue que des fesses féminines écarlates
c'est très joli.
Quand je cessai la correction,
elle pleurnichait sans oser se relever.
"bon, c'est fini comme
tu l'as vu une fessée de maman Sylvie ça brûle ! Allez tu te relèves et tu vas au
coin, les mains sur la tête et le nez au mur et vite" j'avais accompagné cette
phrase d'une bonne claque sur les fesses ce qui eut pour effet d'activer la réaction
d'Amélie, comme je lui avais dit elle se dirigea rapidement vers le coin du salon
et pris la position requise, la jupe redescendue masquait son derrière bien rouge,
elle fut retroussée et coincée dans la ceinture, la culotte blanche descendue sous
les fesses relevait leur couleur.
Je l'ai laissé 10 minutes
dans cette position humiliante, il fallait qu'elle intègre son statut. Quand elle
fut autorisée à se reculotter, elle m'avoua que malgré la cuisson et la gêne provoquée
par le déculottage et la mise au coin elle était maintenant parfaitement détendue.
"je te l'avais dit, rien
de meilleur qu'une bonne fessée pour lâcher prise et se sentir bien après, puisque
ça t'a fait du bien nous recommencerons. Et par la même occasion la prochaine fois
que tu seras en retard où que tu seras pénible je saurai ce qu'il me reste à faire,
la culotte baissée et pan pan cucul ! "
" Ah, ça non n'y compte
pas, je ne suis pas Gérard ! "'' ''
Elle avait dit ça d'un ton
sec qui eut le don de m'énerver, sans réfléchir comme elle était assise à côté de
moi, je lui ai pris la main et je l'ai tiré pour la remettre en position sur mes
genoux.
" c'est ce qu'on va voir
madame, tu ne me parle pas sur ce ton-là
Elle avait été tellement surprise
qu'elle n'avait pas réagi, il était déjà trop tard quand elle protesta, sa jupe
était retroussée, sa culotte descendue à mi-cuisse et ma main s'appliquait à redonner
une bonne couleur à ses fesses. La correction fut plus sévère que la première, il
fallait marquer mon autorité, je lui ai administré plus de 300 claques, couvrant
toute la surface de son derrière, du creux des reins à la pliure des cuisses d'une
belle couleur carmin. Elle n'était plus une femme de 40 ans mais une fillette implorant
la clémence, la danse de ses fesses était impressionnante.
Quand je cessai la punition,
elle pleurnichait comme tout puni après une bonne déculottée, je la laissai reprendre
ses esprits, puis je lui dis.
"bien tu te lèves et
tu vas dans ma chambre, tu trouveras un thermomètre médical sur la commode, tu me
le ramène, allez vite, et tu tiens ta jupe relevée que je vois tes fesses."
J'avais accompagné ces paroles
d'une bonne claque sur sa croupe écarlate, ce qui eut pour effet de la faire détaler
en direction de la chambre tenant sa jupe bien retroussée mais un peu gênée par
la culotte descendue presque aux genoux.
Elle revint rapidement avec
le thermomètre à la main, ses joues étaient presque aussi rouges que ses fesses,
je lui avais expliqué comment avec Gérard j'utilisais le thermomètre comme pénitence
après la fessée, et elle se doutait bien de ce qui allait lui arriver. Mais domptée
par la correction qu'elle venait de recevoir, elle ne songeait pas à se rebeller.
Elle me tendit l'instrument médical qui pour le coup devenait un instrument punitif,
elle baissait la tête comme une mauvaise élève attendant la sanction de sa maîtresse.
Je tapotai mes cuisses pour lui indiquer qu'il était temps de prendre la position,
sans un mot elle se coucha sur mes genoux me présentant à nouveau son magnifique
fessier écarlate, sous l'effet de la honte et de la crainte de ce qui allait suivre,
elle serrait ses fesses.
"allons ma chérie, il
va falloir me desserrer ça, sinon je vais être obligé de sévir, de toute façon tu
auras le thermomètre quand même, alors tu relâche tes fesses où tu veux une autre
fessée ?"
Ces paroles eurent un effet
immédiat et ses fesses se détendre immédiatement. Avec deux doigts j'écartai les
fesses et je plaçai l'embout de l'instrument sur son petit trou, s'en était trop
pour son amour propre et elle resserra vivement les deux hémisphères. Je m'en doutais
Gérard avait mis du temps à accepter cette humiliation, je reposai le thermomètre
et posément je lui ai administré une cinquantaine de claques. Durant cette courte
fessée je n'avais rien dit, ce n'était pas son cas, elle donnait de la voix au rythme
de la claquée.
"bien ma chérie il va
falloir que tu te laisses faire, j'ai tout mon temps, tu viens juste de gagner une
fessée supplémentaire et 20' de thermomètre au lieu de 10. La première fois pour
Gérard ça a duré plus d'une heure, je ne te dis pas la couleur de ses fesses à la
fin, en plus si tu ne veux pas que Gérard te voie allongée sur mes genoux fesses
à l'air je te conseille fortement de desserrer tes fesses et de me laisser te placer
le thermomètre à l'endroit qui lui est réservé "
Ce dernier argument du lui
faire forte impression car ses fesses s'entrouvrir immédiatement, je recommençai
la manœuvre et le thermomètre pénétra lentement, j'y allais très doucement enfonçant
puis retirant le thermomètre à chaque fois il rentrait un peu plus. Dans le cas
d'une mise en place punitive du thermomètre il est nécessaire de l'enfoncer profondément
il ne doit plus dépasser que d’un à deux centimètres. Deux raisons à cela tout d'abord
l'humiliation du puni et ensuite un problème pratique pour qu'il reste en place
longtemps et ne ressorte pas il faut qu'il soit placé ainsi. Le thermomètre bien
en place on peut le lâcher il ne bouge plus. Amélie avait gémi doucement pendant
toute l'introduction de l'instrument, maintenant elle serrait et desserrait ses
fesses. "voilà ma chérie, il est bien en place, c'est fou comme une bonne fessée
rend obéissante les dames, allez, cesse de tortiller ton popotin il ne sortira pas,
d'ailleurs il vaut mieux, la dernière fois que Gérard l'a fait il a eu droit à une
soirée de thermomètre dans les fesses et une journée fesses rouges le lendemain
alors calme toi un peu tu en as pour 20'"
Je lui tapotai les fesses
et comme je le fais habituellement avec mon mari, je pris mon téléphone. J'appelai
une amie commune pour une longue conversation, je savais qu'il n'y a rien de plus
gênant que cela.
Amélie me l'a d'ailleurs confié
plus tard, elle était morte de honte pendant la conversation, elle avait l'impression
que notre amie la voyait dans cette position humiliante, la culotte baissée, les
fesses écarlates et ce petit bout de thermomètre dépassant de la raie fessière.
Elle avait cru que ça allait durer toute la soirée. Quand l'alarme de mon téléphone
sonna, signifiant que les 20' étaient passées, je lui retirai le thermomètre et
avec une petite claque sur ses fesses je lui dis. "aller c'est fini tu peux
te reculotter, vilaine fille" j'avais dit ça en riant, le terme employé la
renvoyait à sa position de gamine punie ce qui eut le don de la faire rougir à nouveau.
Quelques minutes plus tard, mon mari arrivait, il ne se doutais pas qu'Amélie cachait
sous sa jupe une paire de fesses bien rouge, presque autant que ses joues. Elle
prit rapidement congé.
A l'époque, elle avait 40
ans et moi 50, nous en avons une dizaine de plus maintenant mais madame à 50 ans
passés quand c'est nécessaire me présente ses fesses déculottées pour une bonne
correction et croyez-moi ce ne sont pas des fessées pour rire, elle finit toujours
au coin en pleurnichant comme une gamine.
Bien sûr elle est beaucoup
moins souvent punie que nos maris respectifs mais une petite mise au point est quelques
fois nécessaire.
Les précédentes contributions de Sylvie
Conseils aux épouses pour une journée fesses rouges
Une fessée publique
Vous pouvez les retrouver sur la page "les auteurs invités"
Une fessée publique
Des conseils sur l'administration de la fessée ?
Mais vous pouvez également consulter...
la pages des "débats en cours"
ou encore "la fessée et moi"
Les commentaires...
C'est ci-dessous. N'hésitez pas ! Sylvie vous répondra.
Amis de la poésie et du retour du thermomètre dans le derrière... bonjour.
RépondreSupprimerNotre amie Sylvie continue à prodiguer ses bons conseils pour le savoir bien fesser, ou comment s'y prendre pour mettre de bonnes déculottées à son chéri.
Les récits sont présentés un peu comme des recettes de cuisine avec une attention particulière à la réussite de la cuisson... des rôtis fessiers.
Aujourd'hui, fiche cuisine n°5 : De l'usage du thermomètre pour vérifier la température du bain mari nécessaire à garder un postérieur au chaud après une bonne séance de fessées... Un peu comme réussir une Béarnaise montée dans un bain mari tiède. Sauf que dans le cas présent on est plutôt orienté sur une sauce piquante.
Un brin coquine la maîtresse de maison... Description minutieuse de l'utilisation de l'ustensile avec séance supplémentaire d'assouplissement avant intervention. Humiliation garantie, les punis dégustent... le lecteur savoure.
Attention petite astuce de cuisinière expérimentée, dans l'exemple choisi, une troisième fessée de 300 claques se révèle parfois nécessaire pour bien assouplir les voie d'accès avant introduction!
Amélie apprend vite après un stage de formation. La dame n'a pas froid aux yeux et plutôt chaud aux fesses.
On attend la prochaine recette avec impatience. Comment faire cuire des oeufs au plat sur une paire de fesses chauffées aux rouge...( rires)
Amicalement
Ramina
Bonjour, Sylvie,
RépondreSupprimerSavoir qu'une amie châtie son mari ne peut que susciter la curiosité, l'envie d'en savoir plus, celle de constater de visu de quoi il retourne. De là à avoir envie d'en user de même avec son propre mari, il n'y a qu'un pas, vite franchi. L'envie d'expérimenter, à son tour, ce qu'on ressent, culotte baissée, fesses rougissantes, sur les genoux de l'amie n'est alors plus très loin. Et pour peu que cette amie soit d'une nature autoritaire et dominatrice, on va se laisser aller, avec volupté, au plaisir de la docilité et de l'obéissance.
Reste qu'on a bien envie de lire des récits de ces dix années d'amitié ponctuées, ici et là, de quelques fessées.
Amicalement.
François
J'adore vos récits Sylvie.
RépondreSupprimerVous avez autant l'art de raconter que de donner la fessée en y ajoutant le piment de l'humour.
Cà donne envie d'être un de vos proches amis.